BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

jeudi 30 juillet 2015

LOUP, LES ÉCOLOGISTES RÉCIDIVENT SANS ÉTAT D'ÂME

Et pourtant bien de l'eau a coulé sous les ponts depuis la publication de cette propagande mensongère ou tout est sinon inventé, pour le moins largement dépassé par la réalité!


1 er DOCUMENT RÉALISE EN 2013 POUR RÉTABLIR LA VERITE

PASTORALISME, pour en finir avec les contre-vérités sur le LOUP





Voici quelques mises à jour concernant les affirmations plus que fantaisistes du document d'origine ( en gras soulignées sur fon jaune) qui seront complétées au fur et à mesure des événements ! 

§ - Un prédateur dépendant des proies sauvages
Conclusions d'un  travail de scientifiques au Portugal:
entre  2011 et 2014, 295 excréments analysés.
Régime du loup qui ne dépend aucunement des proies sauvages:
Chèvres domestiques 62%, bovins 20%, ovins 13%

§ - Non, le loup n’a pas été réintroduit en France !
Et pourtant on peut singulièrement en douter

§ - Une réinstallation plus lente que nature
Qui pourra y croire? une colonisation des départements chaque année plus importante et des victimes sans cesse plus nombreuses
Chiffre officiel du nombre de loups en France et chiffres officiels des victimes  (ovins, caprins, bovins, équins, chiens...):
Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés

§ - … Mais la cohabitation avec le loup est possible
Mais alors pourquoi les instances européennes qui promeuvent le loup se sentent elles obligées de dire: "dans les zones ou évolueront les grands prédateurs,  sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »? WWF, UICN, LCIE
" Il est vrai toutefois que le loup a été, et est toujours dans certains cas, un prédateur important pour le bétail domestique et pour les espèces sauvages. " UICN

§ - Des aides importantes qui permettent le gardiennage des troupeaux
Voici les conclusion de la DDT 26, ONCFS et DREAL rhone alpe:
"Les attaques se produisent de jour comme de nuit depuis trois-quatre ans. La proportion d’attaques en pleine journée ne cesse de croître. Des attaques qui se produisent malgré la présence de bergers et de chiens de protection."

§ - Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage
Cosigné entre autre par la LPO qui demande des subventions dans l'Aude pour acheter des brebis afin d'entretenir le paysage!

§ - Les moutons n’ont jamais créé la moindre espèce
Une meilleure gestion des secteurs négligés stimulerait la réglementation et les politiques en matière d'eau ainsi que la biodiversité et pourrait séquestrer jusqu'à 9,8 % des émissions de carbone anthropique
Selon un nouveau rapport publié (9 mars 2015) par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et l'Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d'énormes avantages à l'humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte.

§ - Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.
Selon un nouveau rapport publié (9 mars 2015) par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et l'Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN),
Les lois et la gouvernance liées aux ressources des grands pâturages libres devraient être améliorées à l'aide du renforcement des capacités et de la sensibilisation en vue d'une meilleure application des lois nationales (notamment l'alinéa 8 du code rural Français: "l'état s'engage a protéger les troupeaux des attaques de loup et de l'ours dans les territoires exposés a ce risque.ndlr), la création d'institutions de gestion des ressources naturelles, et l'autonomisation des éleveurs à travers le partage des connaissances et le respect de leur consentement préalable, libre et éclairé.

Le rapport constate que le pastoralisme durable dans les écosystèmes de grands pâturages libres tels que les prairies désertiques, les forêts et les steppes préserve la fertilité des terres et le carbone présent dans sol et contribue à la régulation de l'eau et à la conservation de la biodiversité. Les autres avantages qu'il présente se trouvent sous la forme de produits alimentaires de grande valeur.

§ - Si les éleveurs ont des difficultés à cause d’un contexte économique défavorable, aidons les éleveurs et n’instrumentalisons pas le loup
Le loup ne s'attaque qu'aux petits élevages qui s'en sortent plutôt bien en proposant des produits de qualité dans la proximité, la durabilité et la traçabilité, produits qui ne couvrent pas la demande:
""L’agneau de Sisteron se porte bien. Tellement bien, que la progression continue,  ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."

§ - Si nous faisons le choix de maintenir une activité pastorale partout, réadaptons les pratiques pastorales à la présence de prédateurs naturels et à la préservation de la biodiversité
Ou est le problème avec le pastoralisme et la biodiversité?
En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air" (CNRS)
Réadaptons les pratiques pastorales à la présence des grands prédateurs : "dans les zones ou évolueront les grands prédateurs sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »? (WWF, UICN?LCIE) La voilà la seule réadaptation prévue!

§Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal
Tout ce travail de propagande mensongère et d'inventions pour en arriver là?
A des millions d'années lumière de ce que préconisent les études relatives au pastoralisme et à la biodiversité!
La séquestration du carbone fournit un bon exemple de la façon dont le pastoralisme peut contribuer à l'économie verte. Les pâturages recouvrent cinq milliards d'hectares dans le monde et séquestrent entre 200-500 kg de carbone par hectare et par an, jouant un rôle de premier plan dans l'atténuation du changement climatique. 
le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d'énormes avantages à l'humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte. (PNUE et UICN)

Le pastoralisme constitue un exemple de secteur d’investissement au sein duquel le double objectif de développement et de conservation de la biodiversité peut être atteint par la reconnaissance de la contribution importante de ce système aux cultures, traditions, moyens d’existence et services des écosystèmes. (convention sur la diversité biologique)



Le pastoralisme est vital pour conserver les grandes zones d’habitat naturel et semi naturel. Ce faisant l’abandon du pastoralisme constitue une menace pour la biodiversité. (UICN) http://www.iucn.org/fr/wisp/portail_des_eleveurs_/diversite_biologique_/

Les pratiques pastorales ancestrales participent à une forme d’équilibre et à la diversité des milieux de montagne que l’on connaît actuellement.
 (cemagref)

Le pastoralisme est aujourd'hui considéré comme une solution durable a l'entretien des milieux en faveur de la biodiversité. Il est également un outil de préservations des milieux contre les incendies. Par ses multiples vocations, le pastoralisme est donc présent dans de nombreux documents de planification territoriale comme les documents d'objectif des sites Natura 2000 mais également les plans départementaux de défense de la forêts contre les incendies.

L’agro-pastoralisme au cœur du dispositif Natura 2000un outil pour ouvrir ou préserver les paysages et leur biodiversité


lundi 27 juillet 2015

LOUP, LES ÉCOLOGISTES ONT TROUVÉE LA SOLUTION POUR L’ÉRADICATION DU PASTORALISME

Petit à petit, la finalité se précise.
Une finalité orchestrée de main de maître par les écologistes au service des multinationales qui vont pouvoir financiariser les terres abandonnées par les derniers  agriculteurs proposant des produits de qualité dans la proximité, la durabilité, la traçabilité et le respect.
Il est évident que sans l'aide des intégristes pros loups manipulés par des décideurs qui ont des vues sur nos terres et qui n'ont rien à voir avec la biodiversité, la tache serait plus ardue.

"L’écologie n’existe que par la finance. L’idéologie de l’UICN est que tout s’achète, tout se vend y compris la nature. Le syndicat agricole « La coordination rurale » n’entend pas se faire Acheter et le dit clairement"

Dans les pays ou les autochtones n'ont pas de titre de propriétés, la délocalisation tourne à plein régime:


Analysons donc ce que les fondamentalistes appellent le "BLABLA" des éleveurs:

Depuis le début de l’estive, le bilan s’alourdit pour les bergers de Valmeinier. Le troupeau d’Isabelle Dalbier diminue quotidiennement. En quelques jours, onze carcasses de brebis ont été retrouvées et deux sont encore disparues.
L’Office national de la chasse et de la faune sauvage a confirmé qu’il s’agit bien d’attaques de loups. Elles auraient eu lieu entre 4 heures et 6 heures du matin, à proximité des habitations du village.

Le maire, Philippe Baudin, déplore cette situation qui devient inquiétante pour les moutonniers. Ils seraient prêts à quitter Valmeinier pour éviter de trop grandes pertes.

C'est la plus importante attaque depuis le début de l'année dans la Drôme: 50 brebis tuées, blessées ou disparues à Lus-la-Croix-Haute. L'éleveur découragé redescend de la montagne. Le maire de la commune se dit désemparé.
L'éleveur n'en peut plus. Il va faire descendre son troupeau, il quitte l'estive. C'est aussi un coup dur pour la biodiversité. Des espaces qui ne sont plus pâturés par les moutons finissent par se refermer et se couvrir de forêt. Le maire de Lus-la-Croix-haute Alain Matheron partage le désarroi de l'éleveur, il en appelle à un arrêté préfectoral de prélèvement pour abattre un loup, même si ce serait une solution tardive. (et qui ne changera rien au problème! ndlr. Vouloir réintroduire des loups dans les zones d’élevage n'a rien à voir avec la protection de la nature! )
http://www.francebleu.fr/infos/drome/drome-cinquante-brebis-victimes-du-loup-lus-la-croix-haute-2503171

Trop, c'est trop! Après deux attaques consécutives attribuées aux loups sur ses brebis dans les alpages de la communes des Costes, René Galland a donc décidé de rentrer ses brebis. 540 brebis sont donc descendus de leurs alpages. Un véritable gâchis pour l'éleveur.
http://www.dici.fr/actu/2015/07/31/hautes-alpes-exaspere-loup-un-eleveur-descend-540-brebis-alpages-valgaudemar-624840
 
E.E.L.V. ne cache pas sa véritable vocation au service de l'ensauvagement et se distingue une fois de plus dans la propagande xénophobe envers les ruraux qui dérangent leurs plans pour l'ensauvagement aux cotés des requins de la finance:
"les grands prédateurs et les éleveurs, ce n’est pas nouveau. Il y a des pays d’Europe où cela se passe bien. Regardons où cela se passe bien car on ne va pas tuer tous les prédateurs pour aider nos éleveurs "
(d'autant plus qu'il est prévu de fortes restrictions à l’élevage pour que le pastoralisme ne gène pas les grands prédateurs! WWF, UICN, LCIE ndlr)

Regardons donc un peu chez nos voisins:

LOUP, EN ITALIE TOUT VA DE MIEUX EN MIEUX

LOUP, LA COHABITATION EN SUISSE (Valais - Abandon cette année de l'alpage de l'Inalpe en raison de la présence du loup (vidéo à voir à la minute 4) Une conséquence économique et écologique importante.)


Pour les illuminés responsables politiques de E.E.L.V. la biodiversité est représentée par cette image publiée pour leur campagne Européenne dans le plus grand mépris des électeurs auquel s'adresse le message:

Notre avenir, notre biodiversité, notre Europe


choisir une image émotionnelle, qui n'a rien à voir avec la réalité,  à des fins idéologiques, nous montre l'ampleur de la perte de libre arbitre des écologistes et leur mépris envers la population à laquelle s'adresse le message!

Voici de quoi faire blêmir les fanatiques de l'ensauvagement:

Dans un avis paru au Journal officiel européen du jeudi 23 juillet, le Comité économique et social européen (Cese) revient sur le thème « L’accaparement des terres : une sonnette d’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale ».

Au niveau européen, les chiffres indiquent que « 1 % des entreprises agricoles contrôlent 20 % des terres agricoles de toute l’Union européenne, et 3 % contrôlent 50 % des terres agricoles ».ON PARIE COMBIEN QUE CES ENTREPRISES SONT POUR LE LOUP ET COPAINS  COPAINS  AVEC LES ÉCOLOS?

Ci dessous en italique quelques extraits à des millions d'années lumières des justificatifs utilisés pour la réintroduction des grands prédateurs et arranger les affaires des requins de la finance : (dans ces zones, il faut de fortes restrictions a l'élevage traditionnel pour ne pas déranger les grands carnivores../ .. Mais il faut aussi des territoires inadaptés à sa présence: "Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)

WWF, UICN, LCIE
3.4. L’on constate en Europe une corrélation entre la réduction du nombre des unités de production agricole et la baisse du nombre des personnes employées dans l’agriculture. Ainsi, entre 2005 et 2010 par exemple, dans les pays d’Europe orientale, en particulier dans les États baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie), le nombre d’unités de production s’est considérablement réduit et, parallèlement à cela, l’on a assisté aux plus fortes baisses du besoin en main-d’œuvre (de 8,9 % par an en Bulgarie et en Roumanie et de 8,3 % par an dans les États baltes). En Irlande et à Malte, au contraire, le nombre des exploitations agricoles a augmenté et, avec elles, la demande de main-d’œuvre dans le secteur agricole.

4.1. Dans les pays où se produisent la concentration et les acquisitions de terres, celles-ci provoquent un recul du modèle agricole européen caractérisé par l’exploitation agricole familiale au profit d’une production agricole industrielle à grande échelle.

4.3. L’accaparement des terres agricoles et la concentration de la propriété foncière aboutissent à l’éviction des exploitations agricoles qui utilisaient jusqu’à présent ces surfaces, ce qui se traduit par des pertes d’emploi et une diminution des possibilités de vie dans les zones rurales. Ce processus est généralement irréversible, sachant qu’il est très difficile pour les petits producteurs ou pour les nouvelles exploitations (et les jeunes agriculteurs) d’acquérir des terres et de prendre pied dans ce secteur économique lorsqu’ils ne disposent pas d’un capital suffisant.

4.4. Bien que la Banque mondiale se soit efforcée de mettre en avant les aspects positifs de l’accaparement des terres, tels que les gains d’efficacité, l’innovation et le développement, de nombreuses organisations et mouvements de la société civile critiquent ce phénomène. Elles estiment qu’il cause des dommages à l’environnement, une dégradation des terres et un dépeuplement des zones rurales, où se développe, en lieu et place d’une agriculture durable, une vaste industrie agricole fondée sur la monoculture.

4.6. Willis Peterson, chercheur à l’université du Minnesota, affirme d’ailleurs que les petites exploitations agricoles familiales sont au moins aussi efficaces que les grandes entreprises agricoles. L’affirmation selon laquelle une concentration des surfaces agricoles génère des récoltes plus importantes n’est pas non plus démontrée par les faits ( 4 ). Des données de la FAO indiquent le contraire, étant donné que, dans le monde, 90 % des exploitations agricoles sont des exploitations agricoles familiales, qui gèrent 75 % des terres agricoles et produisent 80 % des denrées alimentaires du monde entier.

5.1. Le CESE a constaté avec satisfaction que les Nations unies ont proclamé l’année 2014 «Année internationale de l’agriculture familiale». Il s’est en plusieurs occasions employé à souligner l’importance stratégique de l’agriculture familiale pour garantir la sécurité alimentaire et le développement rural, et à porter celle-ci davantage dans les débats de société.

5.3. La vie et le travail sur la terre et au sein du monde agricole qui reposent sur des entreprises familiales et sont socialement et écologiquement appropriés s’appuient, dans la plupart des régions de la Terre, sur une tradition vieille de milliers d’années. Là où il existe une sécurité juridique et une fiabilité politique, dans le monde entier, les exploitations relevant de l’agriculture familiale se sont révélées stables, voire supérieures, par rapport à d’autres systèmes agricoles.

5.4.1. Les exploitations agricoles familiales ainsi que les coopératives agricoles jouent un rôle actif dans les structures économiques des zones rurales. L’appartenance de ces exploitations à des organisations coopératives et professionnelles est d’une importance essentielle pour leur stabilité et leur flexibilité. Les exploitations agricoles préservent le patrimoine culturel et la vie rurale, contribuent à la densité de la vie sociale en milieu rural, génèrent des produits à forte valeur ajoutée, utilisent les ressources naturelles de manière durable et veillent à une large dispersion de la propriété dans les zones rurales.

5.4.5. Un grand nombre d’exploitations possède une valeur en soi dans la perspective de la survie de l’humanité, étant donné que celles-ci garantissent à un plus grand nombre de personnes des compétences et des connaissances relatives à la production de denrées alimentaires et, partant, assurent les bases nécessaires à la survie des qualifications et des connaissances requises, même en période de crise. Si l’on veut que l’agriculture familiale puisse constituer une alternative viable à l’agriculture industrielle et à l’accaparement des terres, qui est l’une de ses manifestations, il convient de prendre des mesures actives pour protéger les exploitations agricoles familiales, notamment des mesures destinées à promouvoir les organisations de producteurs et d’autres pour lutter contre les pratiques commerciales déloyales. Des actions politiques, tant à l’échelon de l’Union européenne qu’au niveau national, peuvent contribuer à rendre l’agriculture familiale plus durable et plus résistante ( 5 ).

6.16. Les communautés locales doivent être associées aux décisions relatives à l’utilisation des terres, ce qui signifie également qu’elles doivent se voir accorder davantage de droits et de possibilités.


6.14. La terre agricole est une ressource naturelle limitée; l’accaparement des terres représente donc une menace pour la mise en œuvre des objectifs formulés aux articles 39 et 191 du TFUE. Le CESE invite dès lors instamment la Commission européenne et le Parlement européen à s’engager activement dans la réglementation de la gouvernance foncière.

Avis du Comité économique et social européen sur le thème «L’accaparement des terres: une sonnetted’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale»

mardi 21 juillet 2015

CAP LOUP, NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN!

NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN!
Je cite Cap Loup:

"Le retour du loup est un signe de bonne santé de nos écosystèmes. Il pourrait être valorisé par un tourisme vert, comme le font l’Espagne et l’Italie où les loups sont 5 à 7 fois plus nombreux qu’en France et où des milliers de touristes français se rendent chaque année pour voir des loups. Au lieu de ça, l’État cède aux lobbies agricoles en menant une politique de tirs qui empêche toute cohabitation pérenne entre le loup et l’élevage."
(Faut pas avoir froid aux yeux!)

J'analyse:

  • "Le retour du loup est un signe de bonne santé de nos écosystèmes"

« Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). » (CNRS)
Merci les éleveurs à qui ont a rien demandé avant de réintroduire le loup!


  • "Il pourrait être valorisé par un tourisme vert, "

Ha, mais je croyais qu'il s'agissait de respecter la biodiversité et la faune sauvage!
J'ai tout faux?
 Ce qui compte c'est donc bien:
La délocalisation et la main mise sur les terres que nous avons su garder riches en biodiversité pour faire du tourisme de classe internationale?
 Contrecarrer le tourisme familial et accessible à tous, généré par le pastoralisme depuis des lustres pour en faire profiter les multinationales?

Petit extrait de la morale des écologistes: ""Dans cette étude, nous avons calculé non seulement le revenu par chasseurs, mais aussi par les activités découlant de la taxidermie, la gestion et l'entretien des lieux, la coordination des raids, la restauration ou l'occupation de places Hôtels par les chasseurs." sans commentaires! 

Voici une approche du tourisme vert en Inde:
Interviewé en 2012 par Survival International, le mouvement mondial pour les droits des peuples indigènes, Sukhdev déplorait : ‘Nous ne retrouverons jamais un endroit comme celui-là. Comment pourrions-nous nous installer ici? Comment allons-nous élever nos enfants? Nous avons besoin de nos champs et de nos maisons… Allons-nous mourir?’
Mais bon, puisque les tigres sont sauvés, que le WWF, qui ferme les yeux sur les expulsions des tribus comme celle de Sukhdev continue à engraisser CAP LOUP pour qu'il puisse distiller ses mensonges et sa propagande fondamentaliste, pas de quoi en faire un plat!
Lire ce communiqué en ligne: http://www.survivalfrance.org/actu/10855
Voir le reportage de Canal Plus (à partir de la 37ème minute).

  • "l’Espagne et l’Italie où les loups sont 5 à 7 fois plus nombreux qu’en France "
Chiffre officiel du nombre de loup en France et chiffres officiels des victimes loups:

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés
2015 = on nous annonce 282 loups alors que nous allons dépasser les 10 000 victimes et que le loup est signalé dans les Pyrénées!
QUI PEUT CROIRE A CETTE MASCARADE?

  • "l’État cède aux lobbies agricoles en menant une politique de tirs qui empêche toute cohabitation pérenne entre le loup et l’élevage."


Voici les directives des associations regroupées chez Cap Loup pour la cohabitation pérenne:

Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.

Dans les Alpes du sud, la richesse floristique est parfois plus grande sur les pistes de skis que dans les pâturages !

Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal!

"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages !"



Inutile de dire que avec l'application des règles de cohabitations prônées par cette dictature au service de la financiarisation de la nature, il n'y aura plus de problème pour le loup ! Et ses défenseurs seront peut être grassement remerciés par les requins de la finance, ou peut être pas. Par contre les derniers hommes vivant de et avec la nature, proposant des produits de qualité, dans le respect, la proximité et la traçabilité auront bel et bien disparu ! 
"Dans les zones où évolueront les grands prédateurs il faut de fortes restrictions à l'élevage pour que le pastoralisme ne les dérange pas"
"Dans les zones destinées à l'élévage intensif (29 projets en cours (20 000 laitières, 63 000 porcs, 250 000 poulets...)) sa présence sera inappropriée renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/. ! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut ! ndlr) par UICN, WWF, LCIE organismes chapeautant et engraissant ses pions, en l'occurrence ici les associations environnementales
          
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !

LOUP, LA DISPARITION DE L'ELEVAGE A L'HERBE SE MET EN PLACE

Extrait du Communiqué de Mme Ségolène Royal, Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie.
Paris, le 18 juillet 2015

"Par   ailleurs,   Ségolène   Royal   engage   une   démarche   auprès   de   la   Commission
européenne et de la Convention de Berne pour que les modes de gestion du loup
soient adaptés en fonction de l’importance de sa présence sur le terrain, comme en
Espagne où deux modes de gestion du loup existent."


Tout cela a été prévu dés 1997 par les instances qui s'occupent de réensauvager des millions d'hectares en Europe

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS


 à des fins financières:
LOUP, LA FACE CACHÉE DES DÉFENSEURS DE LA NATURE

Quelques extraits de 

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS, TOME II


« Page 20 - L’Etat devrait pouvoir affirmer clairement que la population de loups a vocation à s’étendre sur le territoire français, mais pas nécessairement dans toutes les zones. 4.2.4 Déterminer des zones différenciées de colonisation:
     -Des territoires confortés, adaptés et soutenus face à la présence de loups. Ces espaces pourraient correspondent aux massifs montagnards colonisés actuellement (Alpes du Nord et du Sud) et en colonisation prévisionnelle (Jura, Vosges, Pyrénées) ! Dans ces zones (définies par les dirigeants sans aucune concertation avec la population concernée ndlr), sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »
  • Des territoires inadaptés à sa présence: Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?, je vais vous en parler plus bas. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)

Alors, vous commencez à comprendre pourquoi les biens pensants vous préconisent des mesures de protections aussi inefficaces les unes que les autres, ce n'est pas par hasard! Le petit élevage extensif est condamné au profit de l'élevage industriel et du tourisme de classe internationale.





lundi 20 juillet 2015

LOUP, DANS LE HAUT DIOIS ON SE MOBILISE

A l’occasion du passage du tour de France, les enfants en vacances à la ferme se sont mobilisés pour faire connaître leur solidarité, aux côtés de la population du Haut Diois, contrainte et forcée de subir la folie des défenseurs du loup!

























Et voilà le résultat





"« l’idée qu’un animal comme le loup puisse vivre librement dans les zones hyper urbanisées et cultivées de l’Europe centro-méridionale sans créer de problèmes pour la vie humaine, tant par les prédations sur le bétail et autres animaux domestiques que par le risque d’agression sur l’homme (...) ». est inadmissible pour n’importe quel être humain censé, d’autant plus inadmissible que cette personne censée ne sera jamais concerné par la prédation ! Encore plus inadmissible de la part des écologistes dont la seule participation à la cohabitation se borne à la stigmatisation des acteurs ruraux à qui ils ont imposés cette cohabitation !


Que le loup vive ! oui, au milieu de ses proies sauvages à chasser, en agissant pleinement selon sa nature. Mais bien loin des humbles brebis, parce que, quand il est à son tour dévoré par les affres de la faim, il est obligé de se transformer de merveilleux chasseur en misérable cambrioleur assassin qui pénètre dans les espaces où sont enfermées ses victimes, et - célébrant son rite de tuerie - il en vi-vi-sec-tion-ne des dizaines, dans le sens qu’il les dévore encore vivantes, sous les yeux des compagnes terrifiées qui ne peuvent s’enfuir.
Et il n’y a pas de réparations pour le dommage, la douleur et le stress des humains et des animaux, et pas non plus de dissuadeurs (rapidement ridiculisés par l’intelligence des prédateurs), de chiens de troupeau (dévorés) ou d’enclos avec des treillis soudés (franchis en creusant sous les bordures de béton enterrées) qui tiennent. L’impossible projet, sur ces terres, n’aurait même pas dû être une hypothèse, si sa faisabilité avait été évaluée avec une approche réaliste et une responsabilité de compétences. Lucia Morelli,psychosociologue


mercredi 15 juillet 2015

ÉCOLOGISTES, LES ADEPTES DU BLABLA VONT POUVOIR EN RAJOUTER

13 JUILLET 2015, dans le haut diois, feu d'artifice pour le loup:

Valdrôme, 21 heure, le troupeau se présente pour rentrer dans le parc de nuit.
 Une aberration par ces temps de canicule où les animaux ont du mal à se nourrir pendant la journée.  Mais l’implacable logique imposé par des écologistes vivant sur une autre planète, fait que nous devons travailler à contre sens de la raison. Travailler de telle sorte que la branche de la filière ovine, respectueuse envers les animaux et la nature, proposant des produits de qualité labellisés, dans la proximité et la traçabilité se voit contrainte d'appliquer des normes d'élevage se rapprochant de plus en plus de l'élevage industriel confiné et nourrit artificiellement.

21 heure donc, au moment ou la bergère doit rester vigilante pour que tout le monde se mette à l'abri, le loup qui a épié le troupeau toute la journée en attendant le moment propice, se jette sur une agnelle en queue du peloton.
Que faire, courir, hurler après le prédateur, ce qui est fortement déconseillé et très risqué, mais ce qui n'a pas empêché le loup d'égorger sa victime, avant finalement de fuir face à la détermination de l'inconsciente mais courageuse bergère qui n'a pas respectées les consignes dictées par l'ONCFS:
 "Ne jamais empêcher le loup d'accomplir son forfait car les risques encourus sont très importants"

Au 26 juin 2015, avant la montée en Alpage, dans la Drôme, nous déplorons 86 ovins, 1 caprin, 1 bovin et 1 équin. Un chiffre en bonne voie pour être multiplié par deux ce mois ci !

Le nombre de bêtes attaquées par les loups a augmenté de 30% en 2014, ce qui n’empêche pas les écologistes d’affirmer que la population des prédateurs est en forte baisse! 

 la journée du 13 juillet autour de chez nous  (liste non exhaustive!)

Hautes-Alpes : c'est le troupeau de Vincent Briançon, au hameau de Glaise, au dessus de Veynes, qui a été la cible d'une attaque attribuée au loup dans la nuit de lundi à mardi.Quinze brebis ont été tuées et quinze autres sont blessées.
Drôme : Treschenu Creyers une attaque sur un troupeau d'Ovins, je n'ai pas le détail des victimes
Bouvante , un veau, Valdôme une agnelle

Sud Isère : Deux chiens de berger ont attaqué et blessé sérieusement une randonneuse , un dégât collatéral du aux exigences des écologistes qui n'hésitent pas à porter plainte après nous avoir contraint à posséder des chiens qui deviennent incontrôlable après quelques attaques. Une manière de bien affirmer qu'ils ne veulent subir aucune des contraintes liées à la présences des loups.



Quel blabla pour cette journée du 13 juillet!

samedi 11 juillet 2015

LOUP, POUR L' A.S.P.A.S. AUCUNE MORALE, AUCUNE ETHIQUE, RIEN!

Un tout petit extrait des "déclarations de l'ASPAS pour la masturbation intellectuelle de ses adeptes:"

Les « tirs de défense » (tuer un loup près du bétail) peuvent être autorisés pour un troupeau qui n’a jamais été attaqué. Les « tirs de prélèvement » (tuer un loup loin du bétail) se font au hasard, sur des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail. Ces animaux protégés sont donc détruits de la même manière que les « nuisibles », et sans justification de défense des brebis ! Or, les efforts devraient porter sur la protection des activités agricoles, et non sur la destruction de la faune.

Autre jour autre, autre "fallacité":
Le loup y est traité de façon pire qu’une espèce « nuisible », avec l’abattage organisé de 36 individus pour la saison 2015-2016, jusqu’en cœur de parc national, et sans encourager les éleveurs à protéger leur bétail.

Les « tirs de défense » (tuer un loup près du bétail) peuvent être autorisés pour un troupeau qui n’a jamais été attaqué.

Les défenseurs du loup, avait proposé le droit de tir de défense a condition:
-Que les attaques soit récurrentes et
- Que les dégâts soient importants;

Traduction: "il faut que la meute s'habitue à s'en prendre aux animaux domestiques, et pour affaiblir le pastoralisme, il faut que les dégâts soient importants avant de commencer à se défendre, en espérant que l'élevage soit anéanti avant que l'éleveur puisse réagir!"

"Les « tirs de prélèvement » (tuer un loup loin du bétail) se font au hasard, sur des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail."

Ah bon, alors que les défenseurs pleurnichent sur la rareté des loups (utilisant le mensonge de 282) qui ont fait plus de 9000 victimes en 2014, sans compter les disparues non comptabilisés, ni les victimes de particuliers non classés éleveurs, ni les victimes isolées non déclarées pour éviter les pertes de temps, on aurait donc la chance de trouver "des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail?" en France.
L'ASPAS n'a vraiment peur de rien, mais il est vrai que pour embobiner les adeptes de l'idéologie fondamentaliste, il n'y a pas de gros efforts à fournir. La quasi totalité d'entre eux étant pré-conditionnés dés le plus jeune age par des intervenants à la solde de ceux qui ont des intérêts financiers dans l'abandon des terres pour l'ensauvagement. Nous en avons la preuve dans notre petite commune!

La plupart des grands journaux n'hésitent pas à renoncer aux aussi à toute déontologie pour faire de l'idéologie. Nous en avons une démonstartion ici.

Mais retournons à nos moutons, si le loup nous en laisse le loisir:
"Or, les efforts devraient porter sur la protection des activités agricoles, et non sur la destruction de la faune."
"... et sans encourager les éleveurs à protéger leur bétail." (plus de 12 millions d'euro pour des mesures de protections  rapidement ridiculisés par l’intelligence des prédateurs)

Voici les propositions de l'ASPAS pour la protection des activités agricoles qui dérangent le loup:

"Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique."

"Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"

"L'ASPAS demande le retrait des moutons dans les parcs nationaux"

"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, (les propriétés des éleveurs et bergers. ndlr) et non les animaux sauvages !"

Une fois tout cela mis en place il n'y aura effectivement plus de conflit avec le prédateur. Mais ont ils pensé qu'un de leur principal partenaire, Rewilding Europe, n'aura plus besoin de l'ASPAS pour réaliser son chiffre d'affaire et fera donc des économies de sponsorisations?

Rewilding Europe? L'ASPAS condamne le pastoralisme mais se félicite du partenariat avec :
Rewilding Europe / = réensauvager l’Europe/ est une initiative du WWF des Pays Bas, des organisations ARK nature, Wild Wonders of Europe et de Conservation Capital, visant à réensauvager des zones entières de l’Europe.  l’une des organisation fondatrice.
 Conservation Capital est un praticien spécialisé leader dans le domaine émergent des
entreprises de conservation et le financement de l'investissement commercial connexe. Collectivement, notre équipe a structuré les opérations de développement et de conservation dans plus de 20 pays à travers l'Afrique et l'Europe d'une valeur globale de plus de 200 millions de dollars US, générant des revenus annuels de plus de 25 millions de dollars US. » http://www.conservation-

En conclusion l'ASPAS ne craint pas plus le ridicule que l'ensembles des associations de défense du loup, je cite:
"Madame Royal promeut sans rire la « démocratisation du dialogue environnemental » mais refuse de recevoir les associations de CAP Loup* qui l’interpellent depuis un an, tandis qu’elle accueille, dans le même temps et à bras ouverts, les extrémistes anti-loups dès qu’ils le demandent et s’empresse de satisfaire leurs doléances."

je réponds:
"quelle est la différence entre un extrémiste qui défend ses idées* parce "qu'il culpabilise de s'apercevoir qu'il ignore sa condition de vie dans son rapport réel avec les choses qui la fondent et qui ne s'aperçoit pas qu'en somme il n'existe pas", et un extrémiste qui défend "sa vie en contact étroit avec la nature et pour qui il n'est pas loisible de se contredire et de la** contredire, car il en mourrait"!

*complètement abstraites
** la nature
Gavino Ledda (padre padone II)

Dans le même chapitre, la LPO condamne le pastoralisme mais se félicite du partenariat avec AREA!