BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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dimanche 21 décembre 2014

PRÉDATION, POURQUOI LES GRANDS CARNIVORES FONT L’UNANIMITÉ DES MÉDIAS ?

 L'ENSEMBLE DES MÉDIAS SE PRÉCIPITE POUR DIFFUSER TOUS EN MÊME  TEMPS  UN ARTICLE ECRIT PAR LES "SCIENTIFIQUES ENSAUVAGEURS!"



Personne ne se pose la question de savoir pourquoi?

Personne ne se demande comment cela est il possible?

Quelles sont les raisons d'une telle solidarité de la presse ennemie?

A noter toutefois que en fonction de leur tendance, chacun y met sa propre nuance, mais tous le monde se garde bien de publier la vérité!

"La présence de cerfs et de sangliers, dont ils se nourrissent, a favorisé le renforcement de la chaîne alimentaire, évitant ainsi aux prédateurs de s'attaquer aux cheptels"  sur l'express

"Plusieurs facteurs peuvent expliquer ce regain de vitalité des grands carnivores européens. Les politiques de conservation, en premier lieu, mais également le repeuplement des cervidés. Les cerfs, sangliers et autres daims sont, en effet, plus nombreux. Cela a deux effets : plus de nourriture pour les carnivores, qui dès lors s’attaquent moins aux cheptels."  sur RFI

 «Les grands prédateurs peuvent être des voisins assez dérangeants. Ce n’est pas toujours une coexistence à l’eau de rose.» «En Europe le loup vit dans des régions avec une densité humaine moyenne de 37 habitants au km²», explique Guillaume Chapron. Les grands prédateurs ne vivent pas forcément dans des zones désertiques, «ils s’installent s’ils trouvent des proies sauvages et ne sont pas persécutés». sur Libération

"La restauration des populations d'ongulés sauvages – cerf, chevreuil, daim, mais aussi sanglier, chamois ou bouquetin – qu'ils se mettent sous la dent bien davantage que les cheptels domestiques." sur le monde


Ont ils publiés sous la contrainte? Ou les fonds pour la propagande du tout sauvage sont ils illimités? 


attaques sur les troupeaux domestiques (ovins, caprins, bovins, équins, chiens...)

 le loup, comme tous les prédateurs, frappe toujours le maillon faible de la chaîne alimentaire ; c’est pour ça que quelque soit le nombre d'ongulés sauvages et surtout de sangliers dont il a peur, le loup préfère toujours les brebis, les chèvres, les chevaux et les bovins (quand ce ne sont pas les chiens).

Comme indiqué dans toutes les observations et en contradiction totale avec ce que veulent nous faire croire les défenseurs du loup: "Nous nous sommes ainsi rendu compte en étudiant l'impact du loup sur les mouflons que ce dernier était particulièrement sensible à la prédation du loup, contrairement aux autres ongulés de montagne[...]Nous avons remarqué que les mouflons peuvent rester vingt minutes la tête dans l'herbe à brouter sans regarder autour d'eux. Il est donc bien plus facile à un loup de s'en approcher et de les capturer que cela ne l'est dans le cas du chamois qui, lui, relève la tête régulièrement pour surveiller les alentours." Les mouflons sont issu d'un croisement avec le mouton[....]le nombre de mouflons a fortement baissé,[....], nous avons constaté certaines années une absence quasi totale de survie des jeunes.Il est vrai que, d'un point de vue biologique, le mouflon est une espèce introduite et n'est pas très bien adaptée aux prédateurs. » Comme l'explique M. Benoît Lequette, chef du service scientifique du parc national du Mercantour . Voilà de quoi faire réfléchir ceux qui maintiennent que le loup s'en prend plus facilement aux cerf, chamois, chevreuil, sanglier, plutôt que aux cheptels domestiques!
Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur (meutes en zone d'élevage), l’abondance et l’accessibilité des proies(troupeaux en alpage), la probabilité de rencontres avec la proie (tout les jours au même endroit), la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle (animaux domestiques présent en fonction de la disponibilité de cette biomasse gérée par ceux qui en sont devenus les propriétaires par location ou achat) , la probabilité de succès de la chasse (quoi de plus facile que le domestique), le risque de blessure (néant, renforcé par l'hyper protection dont il bénéficie), la profitabilité de la proie (agneaux de 1ere qualité), les conditions environnementales. (donc adieu le mythe du loup qui se nourrit d’espèces  sauvage. Quand il a goutté aux proies faciles plus rien ne le fera dévier)

Et pour infirmer les affirmations de nos scientifiques au service de la dictature verte, relayées par la presse sans scrupule, nous passons de 6102 victimes domestiques en 2013, a 8226 en 2014!
Faire le parallèle avec les 250 loups en 2013 et les 301 loups en 2014! Cherchez les erreurs


MAIS CONTINUONS L' ANALYSE :

« Nous ne disons pas que cette cohabitation n'engendre pas de conflits. Mais les faits montrent qu'elle est possible », répond Guillaume Chapron. sur le monde

"Les scientifiques y voient la confirmation que l'homme et ces animaux peuvent vivre ensemble sur des espaces restreints."  sur 20MN

"«Le principal débat autour de la conservation de ces grands carnivores, c'est de savoir s'il existe suffisamment d'espaces pour eux», soulignent les chercheurs" sur Le Figaro

Vous commencez à saisir!

 Ce qu'ils ont oublié de publier :
 "« des réserves naturelles de faune sauvage limitées ne sont pas suffisantes pour les grands carnivores. c’est la totalité du paysage qui doit être incluse dans les plans de gestion. »«Dans cette zone sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/"

En démocratie on aurait dit "afin que les carnivores ne perturbent  pas l'élevage"

"Le modèle alternatif est celui qui permet aux humains et aux prédateurs de vivre ensemble. «C'est ce modèle de coexistence qui a été choisi par l'Europe."sur Le Figaro

Traduction: 
Les promoteurs du tout sauvage, qui ne subiront jamais l'ombre d'une contrainte liées à leur retour, ont choisis de cohabiter avec les prédateurs vivant sur nos terres réquisitionnées!

Ensuite, l'industrie alimentaire pourra choisir entre l'élevage industriel ou  la nourriture à partir de cellules souches pour mettre le joug sur la population ébaudie par la faune sauvage.
 La régulation sera réservée à un minorité dominante qui se délectera de la chasse aux grands carnivores, comme le font certains responsables du WWF par exemple! Car plus aucun carnivore ne pourra se réguler ou réguler qui que ce soit dans un monde antropophisé et sous tutelle! 

(le Prince Philip, premier président de WWF en Angleterre, a tué un tigre dans le parc Ranthambhore en Inde, peu avant que l’organisation ne soit créée. Dans une interview avec Huismann, Philip déclare :
 « Mise à part cette fois-ci en Inde, je n’ai jamais chassé le gros gibier. La meilleure façon d’être sûr d’avoir une population sauvage raisonnable et de s’assurer qu’elle est équilibrée. On ne peut pas juste laisser faire la nature ».)