BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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mercredi 16 mars 2016

LOUP, A L'ÉTRANGER COMMENT SE PASSE LA COHABITATION?

Selon les défenseurs du loups, la France est le seul pays à avoir des problèmes avec le loup!

Vous trouverez ici quelques articles sur ce qui se passe réellement chez nos voisins:


cohabitation en Espagne

LE LOUP EN ALLEMAGNE INQUIÈTE LES PAYS BAS





LOUP, ITALIE, LA FIN DU PASTORALISME S'ANNONCE MEUTRIÈRE
































cohabitation en Italie



En Italien en attendant la traduction de Marie, Webmaster de l'excellent blog "LE LOUP DES VOISINS" dans lequel vous trouverez des traduction concernant cette fameuse cohabitation exemplaire. 




mercredi 9 décembre 2015

LOUP, ILLUSTRATION DE L'IMPOSSIBLE COHABITATION



Cela pourrait aussi s'intituler: 

PASTORALISME, LUTTE CONTRE LES AVALANCHES, ENTRETIEN DE LA BIODIVERSITÉ ET IMAGE IRREMPLAÇABLE DE NOTRE PATRIMOINE NATUREL ET HUMAIN!

En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (C.N.R.S.)

« Les paysages créés par la coévolution de l'élevage et de la végétation ressemblent souvent à des zones sauvages pour les étrangers /alors que/ la disparition des systèmes traditionnels de pâturage tend à s’accompagner de pertes importantes de biodiversité. » (F.A.O.)


ZOOM



Imaginez le carnage que pourrait faire les loups photographiés en plein jour par le berger en charge de ce troupeau:

dimanche 11 octobre 2015

LOUP, ON NOUS A TROMPÉS

Discours d'Yves Derbez, Président d'Eleveurs et Montagnes, à la foire de Seyne-les-Alpes 

 Depuis plus de 20 ans, on nous fait croire que la cohabitation avec le loup est possible. On a passé beaucoup de temps à écouter les uns et les autres, à recevoir des conseils de garde et de protection, à faire des essais. Au départ, on a voulu faire preuve de bonne volonté, on a suivi ces conseils. Aujourd’hui il faut l’avouer : on nous a fait palabrer des heures inutilement dans des réunions, écouter des rapports de fonctionnaires et pseudo-spécialistes qui, bien souvent, n’ont jamais mis les pieds sur une estive ou même dans une exploitation... ON NOUS A TROMPÉS.
 
Nous avons entendu tous les mensonges possibles et imaginables. On nous a dit notamment que la cohabitation se passait bien en Espagne, en Italie et ailleurs. C’est faux ! Et le pire, c’est qu’on nous a presque fait admettre que nous sommes de mauvais bergers, incapables de garder nos bêtes ! Et si elles se font dévorer, c’est de notre faute, en somme…

On a vu défiler des apprentis sorciers qui avaient tous la solution miracle, des illuminés qui venaient nous donner des leçons et nous apprendre notre métier. Mais dans le genre folklorique, le clou du spectacle a été l’arrivée de Christophe Castaner en 2013 ! Lui aussi, il avait SA solution : établir la responsabilité des éleveurs et bergers pour disculper l’Etat. Lui qui n’a jamais fait la différence entre pouvoir législatif et exécutif, s’est mis à présider cette grande machine à palabres faite pour amuser le public qu’est le Groupe National Loup.

Il est bien triste et regrettable de dire que notre député C. Castaner, lui aussi nous a trompé. Mais aux médias, il s’est permis de déclarer, je cite : " J'invite les Eleveurs à assumer leurs responsabilités"! - "Dans leur métier, il y a la défense du troupeau. Si ils pensent que c'est l'Etat qui va venir, qui va réguler et qui va protéger, ils se plantent (...)".

Depuis, il veut faire de nous des cow-boys armés, une nouvelle fonction qui n’est prévue dans aucune école de berger, pas même dans les formations, au contenu très discutable d’ailleurs, financées par le Conseil Régional.
Mais Monsieur Castaner oublie que l’Etat a des obligations régaliennes. La première et l’une des plus fondamentales, c’est la protection des biens et des personnes ! C’est à l’Etat de protéger les troupeaux et les exploitations, pas aux éleveurs et aux bergers de se transformer en chasseurs professionnels, obligés de payer un permis de chasse pour défendre leur troupeau, et leur famille !
Il serait temps que la France applique LA LOI : l’article L 113-1 du Code Rural stipule que :
"Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard".
Ce même article indique ensuite que :
"En conformité avec les dispositions des traités instituant la Communauté économique européenne, le Gouvernement, reconnaissant ces rôles fondamentaux de l'agriculture, du pastoralisme et de la forêt de montagne, doit s'attacher à : Assurer la pérennité des exploitations agricoles et le maintien du pastoralisme, en particulier en protégeant les troupeaux des attaques du loup et de l'ours dans les territoires exposés à ce risque".
Depuis des décennies, les services de l’Etat n’ont JAMAIS respecté les obligations liées à cet article !
Depuis plus de 20 ans, nous sommes sans arrêt critiqués et humiliés. On nous fait passer pour de mauvais bergers. Pourtant, au cours du séminaire organisé par le CERPAM et la Chambre d’Agriculture des Alpes-Maritimes à Valdeblore, il a été démontré qu’il est IMPOSSIBLE pour nous d’aller plus loin en matière de protection. Laurent Garde, écologue au CERPAM, le répète fort justement : nous sommes arrivés au bout de ce qu’il était possible de faire. Les services de l’Etat étaient tous représentés à Valdeblore mais tout ce beau monde fait comme s’il n’avait rien entendu…

En matière de loup, le constat, après plus de 20 ans d’observations, est simple, et contrairement à ce qu’on a voulu nous fait croire, il est identique dans tous les pays européens : la cohabitation n’est PAS POSSIBLE ! Il va falloir qu’on fasse des choix en modifiant notre législation. Que veut-on ? Du pastoralisme et de l’élevage de montagne de qualité, ou bien des loups ? Avoir les deux à la fois, c’est impossible !

Si l’Etat choisit le pastoralisme et des productions de qualité, il doit en tirer les mêmes conséquences que nos anciens : c’est-à-dire l’éradication du loup. En fait, on ne sait même pas s’il s’agit vraiment de loups ou de chiens-loups puisqu’aucune étude n’existe. Rien n’a été fait depuis la dernière recommandation de la Convention de Berne concernant les hybrides.

Pour notre part, nous optons pour une éradication rapide du loup et la mise en place d’un grand plan de développement du pastoralisme et de l’élevage de qualité en montagne, toutes filières confondues. 

Ça fait plus de 20 ans que notre sort est directement lié à celui des loups. Ça a trop duré ! A l’exception de quelques associations extrémistes qui militent pour le « tout sauvage », sans présence humaine, associations toujours très largement subventionnées par les pouvoirs publics, nous savons tous que l’élevage de montagne contribue "à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité". Alors pourquoi ne fait-on rien pour en assurer le développement ? 

Nous avons des cabanes lamentables, souvent sans eaux et sans toilettes. On nous impose de fait des bergers permanents alors que nous ne sommes pas en mesure de respecter la législation du travail en matière de logement des salariés et de la protection sanitaire des personnes. Rien, ou si peu, n’a été fait en matière de communication GSM et numérique alors que la gestion d’une exploitation passe aujourd’hui impérativement par Internet. De trop nombreuses estives ne sont toujours pas désenclavées ce qui rend de plus en plus difficile de trouver des bergers salariés….
La liste de nos difficultés est encore longue, très longue, sans parler de la formation et de l’installation des jeunes dans un contexte que les pouvoirs publics, seuls responsables, ont rendu lamentable.

En regard de ces besoins pour la survie de nos alpages, pour la vie de nos vallées, on apprend [séminaire du 24 septembre au Conseil départemental] qu’au titre des fonds FEADER, destinés au développement rural en Paca, 32 M€ sont affectés aux prédateurs (oui je répète 32 M€) et 4 pauvres petits millions au pastoralisme. N’était-ce pas une véritable provocation ??? 

Le développement du pastoralisme dans un contexte de développement durable est le seul garant du développement de la biodiversité, de la paix sociale et de l’avenir économique de nos vallées. L’agriculture de montagne est le complément indispensable au développement touristique par le maintien d’une vie valléenne, de liens sociaux avec les citadins et la fabrication de produits de qualité.

Il nous parait indispensable de très vite penser à l’avenir en élaborant un grand plan de développement du pastoralisme à l’échelle de la région. Il faut abandonner les palabres inutiles autour de la gestion des chiens de protection, de plus en plus problématique pour le tourisme. Arrêtons ces stratégies administratives toutes plus délirantes les unes que les autres qu’on cherche à nous faire avaler au sein de ce machin sans consistance juridique qu’est le GNL.
Il faut passer à la vitesse supérieure à partir de structures légales telles que le Comité de massif. Les Pyrénéens l’ont fait en supprimant le Groupe National Ours. Pourquoi pas nous ? Il faut aussi que nos chambres consulaires se mettent au travail pour élaborer un plan partagé entre tous. Notre avenir professionnel ne doit plus dépendre uniquement de l’environnement et des DREAL. Nous pourrons voir, au moins une fois dans notre vie, un Ministre de l’agriculture venir enfin sur le terrain, parler avec nous de développement de l’agriculture de montagne et non des loups.

Il est insupportable de constater que depuis plus de 20 ans, seul le loup s’impose au nom d’un grand mensonge mis en place par quelques hauts fonctionnaires aidés par les idéologues du tout sauvage. Une lettre du Président de la République François Hollande et une autre de la Ministre de l’écologie, Ségolène Royal, prouvent sans la moindre ambiguïté, qu’il y a bien eu introduction. Le témoignage enregistré et filmé d’un garde du Parc des Abruzzes le confirme ainsi que de nombreux autres faits. Cessons de nier cette réalité et posons-nous les deux vraies questions majeures pour notre avenir :
Que veut-on faire de nos territoires de montagne ? Qui doit décider de notre avenir, de notre vie et nos modes de travail ? 

Soit nous sommes dans une République démocratique et c’est à nous, habitants des vallées, d’en décider, et à nous, éleveurs, de dire de quelle manière nous voulons et pouvons travailler, soit nous sommes dans une dictature et tout nous est imposé par le haut comme l’a été le loup en 1992 et probablement avant.
Ça fait 20 ans qu’on écoute des apprentis sorciers, souvent directement responsables de cette catastrophe écologique, sociale et économique. Ça suffit ! La seule chose qui ait évolué positivement, ce sont les chiffres des prédations. Le temps des palabres, des rapports sans lendemain, de dizaines de millions gaspillés de fonctionnaires qui cherchent seulement à justifier leurs postes, doit cesser. Aujourd’hui, la seule solution acceptable est celle choisie par nos anciens : l’éradication du loup et rapidement.

Cette page stupide de notre histoire, créée de toutes pièces par des idéologues et fonctionnaires irresponsables, doit être tournée. C’est à l’Etat d’assumer pleinement ses responsabilités en faisant respecter notre législation en faveur de l’élevage de montagne. C’est aux élus, notamment régionaux, départementaux et consulaires, de prendre des initiatives de projets de développement, comme d’autres massifs ont su le faire avant nous et avec des résultats.

Monsieur le Préfet et Messieurs les élus, nous avons un grand chantier à lancer pour l’avenir de nos territoires mais aussi de nos familles ! Nous avons pris 20 ans de retard dans de nombreux domaines. Alors, soit nous relevons le défi, soit nous abandonnons. La balle n’est pas seulement dans le camp des éleveurs. Elle est aussi et surtout dans votre camp !

Nous devons passer à une phase de reconstruction, sans l’intervention de charlatans et d’amateurs, avec un grand plan régional de développement discuté, élaboré et partagé entre professionnels.
Mesdames et messieurs les élus, c’est cela que nous attendons. Rien d’autre !

VERSION PDF ET ANALYSE DU DISCOURS

mardi 1 septembre 2015

jeudi 9 juillet 2015

LOUP, ESPAGNE ET COHABITATION


Février 2015, un bilan européen des attaques de loups en Espagne : situation dramatique pour les bovins 
Extraits de l'analyse et la traduction de Bruno Besche Commenge. ASPAP/ADIP

En février 2015, la Commission européenne a publié un document en espagnol intitulé « Prédation du
loup sur les bovins – Caractérisation du conflit et propositions pour le réduire »  Les travaux préparatoires se sont déroulés en 2013-14 sous la coordination de l’Institut d’Écologie Appliquée (Luigi Boitani président depuis 1987) et la supervision de la LCIE, Initiative Européenne pour les Grands Carnivores (c’est à dire encore et toujours Luigi Boitani ).


En mettant en parallèle l’augmentation du cheptel bovin dans ces zones à loup et la même augmentation dans les autres régions de la péninsule, l’auteur « oublie » un élément essentiel. En effet, sur tout l’arc Nord-Portugal, Galice, Asturies, Cantabrie, très impacté par le loup, les éleveurs ont modifié la proportion gros et petit bétail de leur cheptel justement à cause de l’impact des loups sur chèvres et brebis. Dans les Asturies, cela a eu des conséquences dramatiques sur la fabrication fromagère. 

Mais les loups se sont adaptés et attaquent bovins et équins ce qui entraîne une autre conséquence tout
aussi dramatique : la baisse du nombre de bovins en estive, c’est ce qui se passe par exemple depuis plusieurs années dans le parc des Picos de Europa (Asturies) avec deux conséquences tout aussi dramatiques :
- un embroussaillement (le « matoral ») générateur d’incendies et de dégradation du milieu ;
- l’abandon par de nombreux éleveurs des races locales adaptées à ce milieu, et leur passage à
un élevage en stabulation avec des races dites améliorées.


Quant aux équins, dans les Asturies ce sont les « Asturcones » qui sont menacés : race locale d’origine
celte-ibère et très ancienne puisqu'elle fournissait une partie de leurs montures aux armées romaines. Intimement lié à sa sauvegarde, le parcours permanent en toutes saisons dans les sierras côtières et en toute liberté est un élément essentiel des caractéristiques de la race et je connais personnellement des éleveurs qui en arrivent à ce paradoxe, pour eux un déchirement, de ne plus mener leurs plus belles bêtes dans ces sierras et les garder en clôture dans leurs près dans la banlieue d’Oviedo, capitale des Asturies, pour ne pas les livrer en pâture aux loups !



L'avis d'Ouragan

Dans cet exposé, nous touchons la réalité de l'impact du loup en Espagne, mais pas avec la propagande des écologistes fondamentaux. Simplement à partir d'un rapport de l'Europe:

"Les défenseurs du loup auront du mal à ne pas accepter les conclusions de ce rapport, il convient de savoir que Boitani, grand pape du loup, siège dans la plupart des commissions européennes et nationales pour son protégé.


Comment la propagande va t'elle justifier cette merveilleuse cohabitation en Espagne dés lors que l'Europe se sent obligé d'intervenir tellement la situation est critique" 

 "Les mêmes conséquences dues aux prédateurs induisant tous les jours les mêmes constatations en Franceen Italie et ailleurs, pour le plus grand bonheur de l'industrie agroalimentaire et des requins de la finance qui investissent dans la biodiversité avec l'aide des écologistes pervertis! "

"Au fur et à mesure que les éleveurs caprins et ovins se recyclent, on voit la part des attaques se déporter vers les bovins:
Exemple en  Panéda Gérês  
en 1996:
- les caprins absorbent 37% des attaques                   contre 27% en 2012
-les ovins absorbent 27%des attaques                         contre 17% en 2012
-les équins absorbent 22% des attaques                      contre 21% en 2012
-les bovins absorbent 14% des attaques                      contre 35% en 2012
Cette caractéristique de l'adaptation des loups est constante dans toutes les régions étudiées avec des variations selon les provinces." cf tableaux ci dessus
                    
"Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur, l’abondance et l’accessibilité des proies, la probabilité de rencontres avec la proie, la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle, la probabilité de succès de la chasse, le risque de blessure, la profitabilité de la proie, les conditions environnementales. (donc adieu le mythe du loup qui se nourrit d’espèces sauvage. Quand il a goutté aux proies faciles plus rien ne le fera dévier)
le loup un animal merveilleux


"Voilà une fois de plus les mensonges des écologistes mis à bas. Cette fois ci sous la tutelle du pape du loup."

Voici démonté le mensonge sur la paisible cohabitation en Espagne

Un autre avis tout aussi percutant:

Contrairement au titre, ce rapport n’apporte aucune solution aux éleveurs (Caractérisation du conflit et propositions pour le réduire) il ne fait que répéter des mesures existantes pour les ovins. Rien de plus. L’objectif n’est pas de sauver l’élevage bovin mais de le faire disparaître comme l’élevage ovin tout en excluant les paysans des territoires de montagne et appliquer les objectifs de "re-wilding" actés en 1997 : Promouvoir des espaces vierges.

Ce rapport n’est qu’une manipulation idéologique. Il est sans intérêt mais présente un gros danger pour les espagnols et les autres pays si l'Espagne sert de référence aux illusionnistes de l'écologie.

 Autre analyse: En France, une élue écologiste de la région PACA préconisait de changer de type d’élevage pour répondre à la problématique des prédations de loups : passer de l’élevage d’ovins et caprins à l’élevage de bovins. Pour une élue, c’est faire preuve d’une profonde méconnaissance de la répartition des prédations en France et se voiler les yeux sur ce qui se passe dans les autres Pays à travers le monde.

Pour les puristes voici le document officiel en Espagnol:
Pour les autres, voici  une traduction partielle et son l'analyse en attendant mieux"
 PAR Bruno Besche Commenge Ex-Enseignant et chercheur (retraité) au centre de linguistique et de dialectique de Toulouse. Spécialiste de l'histoire des techniques agropastorales;
  • "Le savoir des bergers de Casabède" - Textes gascons pastoraux du Haut Salat (Ariège-Pyrénées)
    Edition : Toulouse : Université de Toulouse-le-Mirail, 1977. - 150 p
    Collection : Travaux de l'Institut d'études méridionales / Centre de Ressources Occitanes et Méridionales
  • " De la notion de race au concept de population - Les concours bovins en Ariège depuis 1823 ", Ethnozootechnie n° 28, pp. 59-74.- 1981
  • " Le concept de race - Mythe rationaliste ou pratique socio-économique ", Ethnozootechnie n° 29, pp. 43-59.- 1982
  • " La mère du bétail n'est pas encore morte. Culture technique et pensée symbolique : évolution et permanence dans les Pyrénées (1787-1987) ", Histoire et animal. Colloque Homme-Animal-Société. Sources, travaux historiques - 1988
  • Publications dans Les Cahiers d'Études Romanes (Toulouse)
    • "Un carnet de saillie" - N° 1 (1979)
    • "Le maïs mange, les brebis sont en sève ou les maîtres de l'herbe. Analyse sémantique du "glap" et du "reish", 8 mai 1980 - N° 2 (1981)

vendredi 3 juillet 2015

LOUP, LA COHABITATION EN SUISSE

Ils vont finir par exterminer le pastoralisme, nos défenseurs du loup, ceux là même qui prônent la cohabitation sereine chez nos voisins!


Valais - Abandon cette année de l'alpage de l'Inalpe en raison de la présence du loup (vidéo à voir à la minute 4) Une conséquence économique et écologique importante. Les écologistes sont en passe de réaliser leurs prévisions:
"Dans les zones ou évolueront les grands prédateurs,  (définies par les dirigeants sans aucune concertation avec la population concernée ndlr), sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »"

http://canal9.ch/le-journal-du-30-06-2015/

POUR LA MAJORITÉ DES DÉFENSEURS DU LOUP, TOUT CELA N'EST QUE DU BLABLA, d'autant qu'ils ne subiront jamais l'ombre d'une contrainte physique, morale, financière ou psychologique liée à la prédation!


dimanche 28 juin 2015

LOUP, EN ITALIE TOUT VAS DE MIEUX EN MIEUX

sur le net en italien il y a beaucoup de choses sur la colère des éleveurs de la zone de Grosseto :
300 bergers et 7 maires souhaitent faire pression sur l'Europe pour la suppression de la directive habitat qui les empêche de tirer sur les loups/hybrides et disent qu'ils iront manifester à Florence et à Rome aussi
600 brebis tuées en 270 attaques depuis le début de l'année selon les services vétérinaires , soit 1,5 million€, sans tenir compte des prédations non déclarées
les éleveurs disent que c'est la fin de l'élevage en Maremme et pas seulement en Maremme. Il y a 31,5% d'élevages en moins par rapport à 2004 (une cohabitation exemplaire! ndlr)
sur la vidéo (premier lien) le jeune éleveur montre l'enclos de 2m de haut qu'il a été obligé d'installer, enterré sur  30 cm, ce qui n'empêche pas les prédations car les prédateurs creusent et arrivent à passer en-dessous  : il a eu 43 bêtes tuées, plus le stress et les avortements des survivantes. Ibriwolf s'est pointé avec une cage pour choper des prédateurs : bredouille.( A noter que dans la littérature "scientifique" de Ibriwolf il est clairement dit que les pièges à lacets type Belisle sont beaucoup plus efficaces que les cages mais cela ne les a pas empêché d'utiliser les pièges cages !!!)





mardi 17 février 2015

LOUP, PORTUGAL ET LA COHABITATION

Les défenseurs du loup a n'importe quel prix nous rabâchent sans cesse l'exemplaire cohabitation avec nos voisins!

Après L'ESPAGNE,
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2013/05/le-loup-en-espagne-en-italie-et-ailleurs.html

http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/03/en-espagne-en-fevrier-tout-vas-bien.html

L'ITALIE :
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2013/07/en-italie-tout-va-tres-bien.html

http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/10/en-italie-tout-va-bien-tome-ii.html

Voici le PORTUGAL, déja cité:
Dans une émission qui est sorti au début de Novembre, les agriculteurs ont décrit les menaces qui pèsent sur les moutons, les ânes, veaux, cochons et vaches.
Dans certains cas, bergers restent la nuit dans leur voiture, juste pour garder un oeil sur leurs animaux.
Les dommages étaient déjà en cours d'exécution et dans les milliers lorsque cette semaine les loups auraient attaqué à nouveau - à cette occasion de tuer autant que 13 moutons, et en blessant cinq.
Comme les bergers et les agriculteurs interrogés ont expliqué, le ICNF (institut de conservation d'Etat) "ne paie jamais jusqu'à ce que les animaux valent".
Larmes, l'épuisement, la pression sur le conseil municipal - rien ne semble avoir bougé autorités à agir.
- See more at: http://portugalresident.com/wolf-attacks-in-guarda-the-flip-side-of-conservation#sthash.RgCRYLGw.dpuf


Comme le résident a rapporté en Novembre (voir: http: //portugalresident.com/wolf-attacks-in-guarda-the-flip-side-of-cons ... ), la relance du loup en voie de disparition a eu des conséquences dévastatrices pour éleveurs, en particulier dans la région de Guarda. - See more at: http://portugalresident.com/anger-as-iberian-wolf-cull-becomes-a-possibility#sthash.r7uIE8Sb.dpuf



mais les écologistes n'en démordent pas , partout en EUROPE:


« des réserves naturelles de faune sauvage limitées ne sont pas suffisantes pour les grands carnivores. c’est la totalité du paysage qui doit être incluse dans les plans de gestion. » Dans ces zones sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/


 




samedi 14 février 2015

PRÉDATEURS, LA COPA COGECA QUITTE LA PLATEFORME POUR LA COHABITATION

Heureuse nouvelle, après les nombreuses mises en gardes et les révélations quand à la supercherie de la plateforme pour la cohabitation, qui n'est autre qu'une mesure supplémentaire de protection des grands carnivores,  la COPA - COGECA représentant l’ensemble des syndicats agricoles européen quitte  la plateforme, et pour cause:

Ils se sont rangés du côté de la raison. La vérité étaient pourtant claire, la directive habitat, l'UICN, la LCIE, le WWF l'ont intégré depuis longtemps: " dans les zones ou se développe les prédateurs, il faut de forte restrictions a l'élevage, afin que le pastoralisme ne perturbe pas les carnivores"

13 – 02 – 2015

Communiqué De Presse

Le Copa-Cogeca démissionne de la plate-forme de la Commission européenne qui ne tient aucun compte des préoccupations des éleveurs concernant les attaques de grands carnivores comme les loups sur leurs élevages.

Le Copa-Cogeca a démissionné aujourd'hui de la plateforme de l'UE mise en place pour trouver des solutions aux conflits découlant des attaques de grands carnivores (loups, ours bruns, lynx eurasiens, carcajous/gloutons) sur les élevages, les préoccupations des éleveurs restent toujours ignorées et les troupeaux mis en danger. En Europe, on compte aujourd’hui dans les zones rurales où l'agriculture est la principale activité économique 17.000 ours, 12.000 loups, 9.000 lynx eurasiens, 1000 carcajous.

Pekka Pesonen, le Secrétaire général du Copa-Cogeca signale : « La Commission européenne n’écoute pas les préoccupations de la communauté agricole et nous avons donc décidé de quitter la plate-forme sur la coexistence entre les communautés humaines et les grands carnivores. Nous avions rejoint cette plate-forme en pensant que cela aiderait à résoudre les problèmes, mais aucune solution n’a été trouvée. La plate-forme met l'accent sur les bonnes pratiques pour la conservation des grands carnivores au lieu de chercher des solutions pour améliorer la situation vécue localement par les populations rurales. C’est inacceptable. Les attaques contre les élevages augmentent, en particulier dans des pays comme la France, la Finlande, la Suède, affectant sévèrement la production et le revenu des éleveurs ».
Pekka Pesonen ajoute : « La forte protection de ces espèces emblématiques commence à menacer l’existence de prairies riches en biodiversité qui sont conservées par le pâturage avec les nombreux autres espèces qui en dépendent.
Au niveau de l’UE, la mise en œuvre de la directive Habitat devient en elle-même un obstacle à la résolution des conflits découlant de la présence des grands carnivores. Chercher comment cette directive peut évoluer est crucial compte tenu de la dynamique de croissance des grands carnivores dans de nombreuses régions de l'UE. Se focaliser uniquement sur les mesures de protection n’est plus possible. Des solutions doivent être trouvées ».

communiqué officiel en Français
communiqué officiel en anglais


Merci à notre partenaire Anglaise au caractère bien affirmé, , si souvent décriée, mais qui nous a été d'une aide irremplaçable dans cette affaire, comme dans bien d'autre!
Merci à tous ceux qui ont dénoncé cette mascarade.
Que ceux de notre bord qui se sont abstenu, voire ont fait obstruction, par fidélité ou obéissance à leurs syndicats, ils se reconnaîtront , en prennent la mesure!

Quand on lit ce communiqué, on a l'impression que "le loup dans le haut diois" et les syndicats parlent d'une seule voie! Et pourtant il en fallut de l'encre pour en arriver là! Surtout lorsque l'on sait qu'aucune antenne régionale n'était au courant de cette signature!
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/04/loup-trahison-des-syndicats.html
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/05/loup-trahison-reponse-wikiagri.html
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/05/loup-comprendre-la-copa-cogeca-le.html
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/06/loup-la-disparition-programmee-du.html

le commissaire européen à l’environnement, ne pourra plus prendre pour prétexte a l'immobilisme dévastateur des instances européennes qui condamne l'agriculture familiale je cite : "que la profession agricole s’est engagée dans la même voie en signant le 10 juin dernier, via le COPA-COGECA".
http://blogs.mediapart.fr/blog/francoise-degert/070914/l-europe-privilegie-les-loups-et-les-vautours-aux-eleveurs%22

RESTE ENCORE LES CHASSEURS REPRÉSENTÉ PAR LA FACE, qui ont signé eux aussi. Nous sommes en train de leur mettre la pression, et nous comptons sur tous les adhérant chasseurs pour les convaincre.


SE POURRAIT IL QUE LA RÉALITÉ SURGISSENT DANS LES ESPRITS DES BIENS PENSANTS et de ceux qui ne pensent plus?

Il est pour le moins normal que le COPA-COGECA démissionne de la plate-forme européennesur les grands carnivores tant il était anormal qu’il signe une telle participationmanifestement orientée contre tous les intérêts des éleveurs confrontés aux grands prédateurs ours, loups, lynx. Aujourd’hui la Commission Européenne n’a plus que les chasseurs européens de la FACE comme interlocuteur sur ce sujet tout en sachant qu’il n’y a pas unanimité dans cette organisation. Une telle situation apparaît plus conforme aux positions des syndicats agricoles français.



dimanche 21 décembre 2014

PRÉDATION, POURQUOI LES GRANDS CARNIVORES FONT L’UNANIMITÉ DES MÉDIAS ?

 L'ENSEMBLE DES MÉDIAS SE PRÉCIPITE POUR DIFFUSER TOUS EN MÊME  TEMPS  UN ARTICLE ECRIT PAR LES "SCIENTIFIQUES ENSAUVAGEURS!"



Personne ne se pose la question de savoir pourquoi?

Personne ne se demande comment cela est il possible?

Quelles sont les raisons d'une telle solidarité de la presse ennemie?

A noter toutefois que en fonction de leur tendance, chacun y met sa propre nuance, mais tous le monde se garde bien de publier la vérité!

"La présence de cerfs et de sangliers, dont ils se nourrissent, a favorisé le renforcement de la chaîne alimentaire, évitant ainsi aux prédateurs de s'attaquer aux cheptels"  sur l'express

"Plusieurs facteurs peuvent expliquer ce regain de vitalité des grands carnivores européens. Les politiques de conservation, en premier lieu, mais également le repeuplement des cervidés. Les cerfs, sangliers et autres daims sont, en effet, plus nombreux. Cela a deux effets : plus de nourriture pour les carnivores, qui dès lors s’attaquent moins aux cheptels."  sur RFI

 «Les grands prédateurs peuvent être des voisins assez dérangeants. Ce n’est pas toujours une coexistence à l’eau de rose.» «En Europe le loup vit dans des régions avec une densité humaine moyenne de 37 habitants au km²», explique Guillaume Chapron. Les grands prédateurs ne vivent pas forcément dans des zones désertiques, «ils s’installent s’ils trouvent des proies sauvages et ne sont pas persécutés». sur Libération

"La restauration des populations d'ongulés sauvages – cerf, chevreuil, daim, mais aussi sanglier, chamois ou bouquetin – qu'ils se mettent sous la dent bien davantage que les cheptels domestiques." sur le monde


Ont ils publiés sous la contrainte? Ou les fonds pour la propagande du tout sauvage sont ils illimités? 


attaques sur les troupeaux domestiques (ovins, caprins, bovins, équins, chiens...)

 le loup, comme tous les prédateurs, frappe toujours le maillon faible de la chaîne alimentaire ; c’est pour ça que quelque soit le nombre d'ongulés sauvages et surtout de sangliers dont il a peur, le loup préfère toujours les brebis, les chèvres, les chevaux et les bovins (quand ce ne sont pas les chiens).

Comme indiqué dans toutes les observations et en contradiction totale avec ce que veulent nous faire croire les défenseurs du loup: "Nous nous sommes ainsi rendu compte en étudiant l'impact du loup sur les mouflons que ce dernier était particulièrement sensible à la prédation du loup, contrairement aux autres ongulés de montagne[...]Nous avons remarqué que les mouflons peuvent rester vingt minutes la tête dans l'herbe à brouter sans regarder autour d'eux. Il est donc bien plus facile à un loup de s'en approcher et de les capturer que cela ne l'est dans le cas du chamois qui, lui, relève la tête régulièrement pour surveiller les alentours." Les mouflons sont issu d'un croisement avec le mouton[....]le nombre de mouflons a fortement baissé,[....], nous avons constaté certaines années une absence quasi totale de survie des jeunes.Il est vrai que, d'un point de vue biologique, le mouflon est une espèce introduite et n'est pas très bien adaptée aux prédateurs. » Comme l'explique M. Benoît Lequette, chef du service scientifique du parc national du Mercantour . Voilà de quoi faire réfléchir ceux qui maintiennent que le loup s'en prend plus facilement aux cerf, chamois, chevreuil, sanglier, plutôt que aux cheptels domestiques!
Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur (meutes en zone d'élevage), l’abondance et l’accessibilité des proies(troupeaux en alpage), la probabilité de rencontres avec la proie (tout les jours au même endroit), la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle (animaux domestiques présent en fonction de la disponibilité de cette biomasse gérée par ceux qui en sont devenus les propriétaires par location ou achat) , la probabilité de succès de la chasse (quoi de plus facile que le domestique), le risque de blessure (néant, renforcé par l'hyper protection dont il bénéficie), la profitabilité de la proie (agneaux de 1ere qualité), les conditions environnementales. (donc adieu le mythe du loup qui se nourrit d’espèces  sauvage. Quand il a goutté aux proies faciles plus rien ne le fera dévier)

Et pour infirmer les affirmations de nos scientifiques au service de la dictature verte, relayées par la presse sans scrupule, nous passons de 6102 victimes domestiques en 2013, a 8226 en 2014!
Faire le parallèle avec les 250 loups en 2013 et les 301 loups en 2014! Cherchez les erreurs


MAIS CONTINUONS L' ANALYSE :

« Nous ne disons pas que cette cohabitation n'engendre pas de conflits. Mais les faits montrent qu'elle est possible », répond Guillaume Chapron. sur le monde

"Les scientifiques y voient la confirmation que l'homme et ces animaux peuvent vivre ensemble sur des espaces restreints."  sur 20MN

"«Le principal débat autour de la conservation de ces grands carnivores, c'est de savoir s'il existe suffisamment d'espaces pour eux», soulignent les chercheurs" sur Le Figaro

Vous commencez à saisir!

 Ce qu'ils ont oublié de publier :
 "« des réserves naturelles de faune sauvage limitées ne sont pas suffisantes pour les grands carnivores. c’est la totalité du paysage qui doit être incluse dans les plans de gestion. »«Dans cette zone sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/"

En démocratie on aurait dit "afin que les carnivores ne perturbent  pas l'élevage"

"Le modèle alternatif est celui qui permet aux humains et aux prédateurs de vivre ensemble. «C'est ce modèle de coexistence qui a été choisi par l'Europe."sur Le Figaro

Traduction: 
Les promoteurs du tout sauvage, qui ne subiront jamais l'ombre d'une contrainte liées à leur retour, ont choisis de cohabiter avec les prédateurs vivant sur nos terres réquisitionnées!

Ensuite, l'industrie alimentaire pourra choisir entre l'élevage industriel ou  la nourriture à partir de cellules souches pour mettre le joug sur la population ébaudie par la faune sauvage.
 La régulation sera réservée à un minorité dominante qui se délectera de la chasse aux grands carnivores, comme le font certains responsables du WWF par exemple! Car plus aucun carnivore ne pourra se réguler ou réguler qui que ce soit dans un monde antropophisé et sous tutelle! 

(le Prince Philip, premier président de WWF en Angleterre, a tué un tigre dans le parc Ranthambhore en Inde, peu avant que l’organisation ne soit créée. Dans une interview avec Huismann, Philip déclare :
 « Mise à part cette fois-ci en Inde, je n’ai jamais chassé le gros gibier. La meilleure façon d’être sûr d’avoir une population sauvage raisonnable et de s’assurer qu’elle est équilibrée. On ne peut pas juste laisser faire la nature ».)