BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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vendredi 15 avril 2016

LOUP, LE PARC DU GÉVAUDAN AU DESSUS DU LOT!


LE PARC DU GÉVAUDAN : P.G.
P.G. : "De par la superficie de l’enclos 12 Ha, et sa nature (végétation dense), certains louveteaux ont parfois été emportés et cachés à nos personnels par les femelles et ainsi ils n’ont pu être capturés pour le puçage avant qu’ils n’atteignent leur taille adulte." On croit rêver : Alors que les écologistes nous accusent de ne pas savoir défendre nos animaux dans la nature, voici que des professionnels à forte tendance écologiste sont incapables de surveiller 40 animaux dans 12 ha clos!

P.G. : En terme de sécurité, nos actions ont toujours prouvé leur efficacité dans la lutte contre l’évasion naturelle des loups de l’enclos. Aucun loup du parc n’a jusqu’ici été responsable des attaques sur quelque troupeau que se soit. 
Etre incapable de savoir combien de loups vivent dans leur parc mais etre sur qu'aucun de ceux qui se sont échappés, avec ou sans témoin, n'ont attaqué de troupeaux, qui peut le croire? les ruraux qui connaissent les lacunes du parc, le mauvais état des clôtures et l'idéologie des responsables sont ils pris pour des idiots?

P.G. : Suite à une effraction malveillante dans la nuit du 7 au 8 mars, 6 loups ont pu sortir de cet enclos. 
6 loups selon un témoin, les a t'il tous vus? 
P.G. : Cet acte odieux et totalement irresponsable de vandalisme nous prouve que nous devons à présent mettre en place un système anti intrusion performant. 
L'effraction a t'elle été commise avant le rapport du témoin, ou après pour justifier les évasions?

P.G. : Nous avons réussi à faire réintégrer leur enclos à 5 loups.
Alors que personne ne sait si le témoin a pu voir tous les loups échappés. Quand bien même, comment des loups qui sont revenus seuls au parc, se sont ils engouffrés par la brèche tous en même temps? Et comment expliquer 6, plutôt qu'un, ou 12...?

P.G. : Un comptage des loups dans l’enclos du parc scientifique a été organisé le 23 mars 2016 en présence de l’ONCFS, de la DDCSPP, de la Gendarmerie, et du personnel. Au total, 25 personnes ont participé au comptage.
Ce comptage a révélé la présence de 40 loups et non 32 comme l’indiquaient nos registres.
Voila un fait qui n’émeut guère ces professionnels, je cite :" procédures, toutes mises en place dans la plus grande légalité et la transparence la plus totale auprès des autorités de contrôle"

P.G. : Le Préfet nous a demandé de remettre le Parc Scientifique en conformité ; ce que nous allons bien évidemment faire. Mais alors si les mesures ne sont pas conformes, la loi n'a donc pas été respectée? Et la transparence restée opaque? Et si comme vous l'affirmez plus bas "Nous savons ce que nous avons à faire",
 tous ces faits étaient ils donc délibérés?

P.G. : Quelqu’un a cherché à nous nuire par cet acte de vandalisme. D’autres essaient à présent de nuire à notre image, mais personne ne pourra remettre en cause notre bonne foi et nos procédures, toutes mises en place dans la plus grande légalité et la transparence la plus totale auprès des autorités de contrôle. 32 loups, puis 40, 6 loups échappés selon un témoin (les a t'il tous vu et comment en etre sur?), puis en définitive 43 loups au dernières nouvelles. Difficile de ne pas mettre en cause la bonne foi! Et sans le témoin, l'opacité aurait durée encore combien de temps?

P.G. : Nous tenions à remercier tous nos fans pour leur soutien et leur confiance. Ceux qui nous apprécient reconnaissent notre éthique et notre savoir faire. Un savoir faire qui omet toute réalité sur le comportement des loups dans une nature anthropisée ( Qui est modifiée par la présence humaine.) et sur leur régime alimentaire de prédateur opportuniste en niant les attaques sur les troupeaux! Un savoir faire mis à jour par ce scandale inadmissible qui serait considéré chez un éleveur comme un délit. Des fans qui n'hésitent pas a inventer des théories afin de justifier la réintroduction des loups dans les zones d'élevage: LOUP, POUR EN FINIR AVEC LES CONTREVÉRITÉS SUR LE PASTORALISME
 P.G. : Ceux qui veulent nous nuire trouverons toujours à dénigrer. Et oui, à vouloir que les règles soient appliquées par les autres tout en se considérant au dessus des lois, on ne fait pas unanimité!

P.G. : Nous ne répondrons pas à toutes ces attaques infondées et diffamatoires. Et pour cause, tout est falsifié depuis le début et aucune réponse ne pourra plus jamais convaincre qui que ce soit.

P.G. : Nous savons ce que nous avons à faire et nous le ferons comme toujours dans le respect de la loi et des animaux. Vous le savez ou vous le saviez? Quand au respect de la loi voici les textes que vous avez bafoués:
Art. 11. - Les loups détenus en captivité sont identifiés par :
- l'apposition d'une marque individuelle et permanente ;
- l'enregistrement dans un fichier national ;
- l'établissement d'une carte d'identification remise à leur détenteur.

P.G. : Rappelons enfin que le parc est visité chaque année par près de 70.000 visiteurs, à savoir l’équivalent de la population du département. Le parc s’intègre parfaitement dans ce tourisme vert qui fait notre renommée….. Ne l’oublions pas ! Et surtout, comme la plupart des parcs présentant des loups,  vous faites l'apologie de l'idéologie du tout sauvage, dans le déni de la réalité, le manquement à la loi, le tout avec l'incroyable complicité aveugle des autorités....

Historique de cette fugue on ne peut plus suspecte : 
LOUP, LES PARCS ZOOLOGIQUES SUR LA SELLETTE DE LA RÉINTRODUCTION?


mardi 29 mars 2016

LOUP, LES PARCS ZOOLOGIQUES SUR LA SELLETTE DE LA RÉINTRODUCTION?

HISTORIQUE DU MANQUE DE RIGUEUR

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000399969

Sur la page 21 de l'enquête parlementaire, il est écrit  : 
"Le fichier national est actuellement en cours de mise en oeuvre.
Les 524 loups sous contrôle administratif ne figurent pas tous dans le
fichier national. Celui-ci n’a en effet été mis en place qu’à compter du
printemps 2002 (en raison d’un agrément tardif du matériel nécessaire), de
sorte que les loups enregistrés dans le fichier national sont en effectif
beaucoup moins nombreux. Sur les 62 établissements répertoriés, 21
seulement ont fait la demande. 77 loups sont enregistrés officiellement et
36 sont en attente.
Constatant le décalage entre le nombre de loups enregistrés et les
524 loups recensés, une circulaire a rappelé aux préfets, en octobre dernier,
l’obligation d’appliquer les règles de recensement.
Les premiers fruits de ce rappel apparaissent puisque, pour le seul
mois de janvier 2003, il a été enregistré davantage de loups que durant
toute l’année 2002. On peut donc espérer finir par obtenir un
enregistrement exhaustif.
Il est impératif que tous les loups en captivité soient
clairement répertoriés et contrôlés par l’administration."


LOZÈRE, PARC DU GÉVAUDAN, HISTORIQUE DE L'INVRAISEMBLABLE

8/03/2016
Ou la la ...8/03/2016
LOZERE Suite 8/03/2016
Communiqué de presse JA 48 8/03

9/03/2016
LOZÈRE Suite.
""Si on se base sur le témoignage d'une personne, entre quatre et six loups se sont échappés" ...(le témoignage est très important puisque soi disant person,ne ne connait le nombre de loup ndlr)  
LOZERE, Affaire du Parc du Gévaudan. COORDINATION RURALE 48
Loups : Ras-le-bol !
LOZERE, Affaire du Parc du Gévaudan.
Plusieurs loups se sont échappés d'un parc animalier dans la Lozère. Des battues sont organisées pour les retrouver.

10/03/2016
LOZERE, Affaire du Parc du Gévaudan.
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11/03/2016
LOZERE, Affaire du Parc du Gévaudan.
"Un quatrième loup est rentré ce vendredi matin 11 mars au parc à Loups de Sainte-Lucie en Lozère. Il ne reste plus que deux loups dans la nature." ...
LOZERE, Affaire du Parc du Gévaudan. COORDINATION RURALE 48

LOZERE
Parc du Gévaudan officiel.   
Le parc reste ouvert au public les mercredis et vendredis de 14h00 à 17h00 et les w-e de 10h00 à 17h00. ... ! ! !
Les Loups du Gévaudan
11 mars, 14:13
L' enclos du parc scientifique qui est concerné par l’acte de vandalisme qui a eu lieu dans la nuit du 7 au 8 mars.
Selon les témoignages que nous avons , 6 loups se sont échappés du parc. (premier aveu confirmant qu'il ne veilent pas dire combien ils possèdent de loup ndlr)
4 loups ont été récupérés et remis dans l’enclos.
Tout est mis en œuvre pour faire rentrer les 2 loups restants.
Par arrêté municipal, un périmètre de tranquillité est matérialisé autour du parc scientifique. Aucun accès n’y est autorisé afin de nous laisser toutes les chances de récupérer ces loups.
Merci à tous de respecter cela !
Quant à lui, en cette période, et comme prévu, le parc de vision est ouvert au public les mercredis et vendredis de 14h00 à 17h00 et les w-e de 10h00 à 17h00.
Nous tiendrons informés nos fans de toute évolution de la situation.
Merci à tous pour votre soutien !!!

12/03/2016
LOZERE
Rien de nouveau ...

14/03/2016
LOZÈRE
Il faut récupérer les deux loups qui n'ont toujours pas réintégré leur enclos du parc de Sainte-Lucie. Le préfet avait préparé un arrêté. Comme prévu, au commencement d'une nouvelle semaine, il permet de procéder à la capture par télé-anesthesie, voir en cas d'urgence, l'usage de méthodes plus radicales...

15/03/2016
LOZÈRE
Il n' en resterait qu'un dans la nature ...

16/03/2016
GEVAUDAN.
Cinq des six fuyards ont regagné quasi spontanément l'enclos scientifique, là où ils ont grandi dans une tribu de 32 spécimens....

18/03/2016
LOZERE
" Pour les gestionnaires du parc, une opération de comptage risquerait de stresser encore plus l’éventuel loup en liberté et donc, de compromettre son retour. " (et pourrait faire savoir qu'aucun fichier n'est tenu.ndlr)   http://france3-regions.francetvinfo.fr/…/lozere-un-des-loup…

23/03/2016
LOZÈRE
la quarantaine de personnes, qui a comptabilisé les prédateurs dans le parc scientifique en ce mercredi 23 mars, a dénombré 40 loups au lieu de 32 !
LOZÈRE
AFFAIRE DU PARC À LOUPS DU GÉVAUDAN.
40 loups dénombrés dans l'enclos scientifique du parc animalier près de Marvejols en Lozère. C'est plus que prévu !

24/03/2016
LOZÈRE
AFFAIRE DU PARC À LOUPS DU GÉVAUDAN.

25/03/2016
Les loups du parc du Gévaudan vont être équipés de puces électroniques. ( mais lesquels? Combien? Personne ne le sait ndlr)
AFFAIRE DU PARC À LOUPS DU GÉVAUDAN.
Détention de loups ... La loi n'est pas appliquée, dans quel but?
Art. 11. - Les loups détenus en captivité sont identifiés par :
- l'apposition d'une marque individuelle et permanente ;
- l'enregistrement dans un fichier national ;
- l'établissement d'une carte d'identification remise à leur détenteur.
636 loups de captivité en France en 2014
Les loups nés et élevés en captivité
Questions & réponses Pages 6 et 7

 26/03/2016
Jacky Gervais a partagé sa publication.
4 h
Hier après midi les fonctionnaires de l'administration ont reçu à la préfecture une délégation de la Coordination Rurale de la Lozère au sujet de la gestion du parc à loups "scientifique" interdit au public, après avoir longtemps hésité à donner des réponses sur le dysfonctionnement ahurissant les responsables de la direction ont écarté les journalistes et leurs réponses sont pour le moins déconcertantes: depuis 2005 il n'y a pas eu de comptage de la population des loups dans le parc scientifique!
Au départ il y en avait une centaine, les morts n'étant repérés qu'avec certains ossements apparents! mieux aucune naissance n'est répertoriée! ils se sont vaguement avancés à nous dire que certains louveteaux auraient peut être étés euthanasiés à la naissance! là aussi aucune trace! mais si un éleveur de bovins ou d'ovins pratiquait ainsi il serait en prison! et bien non les responsables de la surveillance de cet élevage quasi clandestin annoncent que l'effectif à ce jour serait de 40 loups! mais de qui se moque t-on? la question est posée, ou sont passés tous les loups manquants et non identifiés?
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28/03/2016
TÉMOIGNAGE Par Jacky Gervais
AFFAIRE DU PARC DU GEVAUDAN

l'affaire du gévaudan par ouragan-pierre
Hier après midi une délégation de la CR48 est allée visiter le parc à loups et surtout rencontrer le directeur, ils devaient être au courant de notre visite car un comité d’accueil d'une vingtaine de gendarmes nous attendaient, la discussion avec les responsables a tourné court, ceux ci se justifient même des loups non identifiés car ils ont trop de travail...affaire à suivre..... :


La FNO se réveille:
Les loups en captivité sont ils suivis ? par la Fédération Nationale Ovine
"Enfin derniers élément d’inquiétude très important, si les populations de loups de ces parcs ne sont pas suivies de façon plus rigoureuse : qu’est ce qui empêche ces militants pro-loups de relâcher des loups dans la nature ?"



"Ce manquement est contraire aux dispositions réglementaires prévues par le code de l'environnement", selon le préfet de Lozère.
http://www.midilibre.fr/2016/03/30/parc-a-loups-du-gevaudan-le-prefet-de-lozere-reagit,1308511.php




Le parc du Gévaudan mis en demeure

Le préfet de Lozère demande à la direction du parc de remédier aux dysfonctionnements constatés suite au comptage des loups présents sur le site...

http://www.lafranceagricole.fr/actualites/...,983117947.html




AFFAIRE DU PARC DU GEVAUDAN.

Le directeur du parc à loup de Sainte Lucie en Lozère à un mois pour se mettre en conformité ...



Conséquemment à la découverte de l'acte malveillant, la présidente socialiste du Département et propriétaire des bâtiments Sophie Pantel avait estimé qu'il s'agissait là d'"un comportement irresponsable et inadmissible qui doit être puni par la loi"....


Fin.
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Un témoin en a vu s'echapper, si ce témoin extérieur n'avait pas été là, le parc aurait t'il prévenu les autorités ? ou simplement refermé la porte ?
 Depuis 1962 création de ce parc, est ce la première fois que des loups non-identifiés rejoignent la nature ? 
On peut tous se poser la question. y a t'il préméditation dans le fait que des loups ne soient  pas identifiés, les naissances et les euthanasies non enregistrées,  ?

Comment savoir combien il en reste à l'extérieur puisque personne ne sait combien il y en avait à l’intérieur. 

Une fois de plus les apprentis sorciers hors la loi n'en font qu' à leur tête

En collaboration avec Yéti 05 

lundi 25 janvier 2016

LOUP, MOBILISATION POUR DÉFENDRE CEUX QUI ONT ÉTÉ POUSSÉ À BOUT PAR LE PROFESSEUR






Mende, le 25 janvier 2016

Objet : Mobilisation de soutien
JEUDI 4 FEVRIER 2016

À partir de 9h00 
Devant le Palais de Justice
27 Boulevard Bourrillon, 48000 MENDE


Jeudi 4 février 2016, la Coordination Rurale de Lozère se mobilisera devant le Palais de Justice de Mende à partir de 9h00 pour soutenir les 7 agriculteurs de la CR48 poursuivis pour destruction et violences aggravées.

Fin 2015, des agriculteurs de la CR48 s'étaient rendus dans les locaux de l'Alepe (Association Lozérienne pour l’Étude et la Protection de l'Environnement) pour y déposer notamment des carcasses de brebis tuées par le loup. Désarmés suite à de nouvelles attaques, les éleveurs souhaitaient s'entretenir avec les responsables de l'Alepe, suite à un article pro-loup publié dans Lozère Nouvelle.

A travers la mobilisation du 4 février, la Coordination Rurale de Lozère souhaite non seulement soutenir ces 7 agriculteurs, mais aussi dénoncer l'idéologie et les accusations trop nombreuses qui sont faites à l'encontre de la profession agricole par des associations écologistes. L'Alepe en est l'exemple même, cette association se porte systématiquement partie civile dans toutes les affaires juridiques qui concernent des agriculteurs.

La CR48 proteste contre cet acharnement qui ôte aux agriculteurs toute liberté d'entreprendre. Nous
comptons sur votre soutien, mobilisez-vous le 4 février ! Prouvons aux écologistes que nous sommes
encore plus nombreux qu'eux sur le territoire que nous entretenons !


Hervé SAPET, Président de Lozère d’Avenir - CR 48
Lozère d’Avenir - Coordination Rurale 48
3 Bis rue du Salaison - Le Méridien Bat A - 34740 Vendargues

Tel : 04 66 32 11 98

Mail : lozeredavenir48@coordinationrurale.fr

Site : www.crlr.fr

La culture de la Terre pour nourrir les Hommes





Lien pour comprendre comment les environnementalistes poussent à bout la minotité qui subit la prédation :




samedi 1 août 2015

COLLECTIF DE PRÉSERVATION DES ACTIVITÉS AGROPASTORALES ET RURALES FACE A LA PRÉDATION DU LOUP

COLLECTIF DE PRÉSERVATION DES ACTIVITÉS AGROPASTORALES ET RURALES 
 FACE A LA PRÉDATION DU LOUP 


Association régie par les dispositions de la
loi du 1er juillet 1901 et du décret du 16 août 1901

 ARTICLE 1. – NOM

Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1
er juillet 1901 et le décret   du   16   août   1901,   ayant   pour   titre   :   « COLLECTIF   DE   PRÉSERVATION   DES   ACTIVITÉS AGROPASTORALES ET RURALES FACE A LA PRÉDATION DU LOUP ».

Le titre de cette association pourra être réduit au sigle « C.P.A.A.R.P.L. ».

ARTICLE 2. – OBJET

Cette association a pour objet la préservation des activités agropastorales et rurales face à la prédation du loup par tous les moyens légaux opportuns et notamment l’introduction d’action en justice.

ARTICLE 3. – SIÈGE SOCIAL

Le siège social est fixé au 3, Allée Piencourt – 48000 MENDE.

Il  pourra  être  transféré  par  simple  décision  du  conseil  d'administration  à  l’occasion  d’une  assemblée générale ordinaire ou extraordinaire.

ARTICLE 4. – DURÉE

La durée de l’association est illimitée.

ARTICLE 5. – COMPOSITION ET ADMISSION

L’association  est  ouverte  à  tous,  personne  physique  ou  personne  morale  représentée  par  son  Président, ainsi que toute collectivité locale et/ou territoriale représentée par son représentant légal, dès lors que le règlement de la cotisation annuelle a été acquitté.

ARTICLE 6. – MEMBRES ET COTISATIONS

Sont membres actifs ceux qui ont dûment réglé leur cotisation annuelle.

Le montant de la cotisation peut être révisé chaque année par le Conseil d’administration à l’occasion de l’assemblée générale.

ARTICLE 7. – RADIATIONS  

La qualité de membre se perd par :
a)   La démission;
b)  Le décès;
c)   La radiation prononcée par le conseil d'administration pour non-paiement de la cotisation.

 
ARTICLE 8. – RESSOURCES

Les ressources de l'association comprennent :
1° Le montant des cotisations ;
2° Les subventions de l’Union européenne, de l'Etat, des départements, des EPCI et des communes ;
3°   Toutes les ressources autorisées par les lois et règlements en vigueur.

ARTICLE 9. – ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE

L'assemblée générale ordinaire comprend tous les membres de l'association à quelque titre qu'ils soient.

Elle se réunit une fois par an.

Sept  jours  au  moins  avant  la  date  fixée,  les  membres  de  l'association  sont  convoqués  par  les  soins  du secrétaire. L'ordre du jour figure sur les convocations.
Le président, assisté des membres du conseil, préside l'assemblée et expose la situation morale ou l’activité de l'association.
Le trésorier rend compte de sa gestion et soumet les comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe) à l'approbation de l'assemblée.
Ne peuvent être abordés que les points inscrits à l'ordre du jour.

Les décisions sont prises à la majorité des voix des membres présents ou représentés.

Toutes les délibérations sont prises à main levée, excepté l’élection des membres du conseil.
Les décisions des assemblées générales s’imposent à tous les membres, y compris absents ou représentés.

ARTICLE 10. – ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE

Si besoin est, ou sur la demande de la moitié plus un des membres inscrits, le président peut convoquer
une assemblée générale extraordinaire, suivant les modalités prévues aux présents statuts et uniquement
pour modification des statuts ou la dissolution.

Les modalités de convocation sont les mêmes que pour l’assemblée générale ordinaire.
Les délibérations sont prises à la majorité des deux tiers des membres présents.

ARTICLE 11. – CONSEIL D'ADMINISTRATION

L'association  est  dirigée  par  un  conseil  de  5  membres,  élus  pour  3  années  par  l'assemblée  générale.  Les membres sont rééligibles.

En cas de vacances, le conseil pourvoit provisoirement au remplacement de ses membres. Il est procédé à leur remplacement définitif par la plus prochaine assemblée générale. Les pouvoirs des membres ainsi élus prennent fin à l'expiration le mandat des membres remplacés.

Le  conseil  d'administration  se  réunit  au  moins  une  fois  par  an,  sur  convocation  du  président,  ou  à  la demande du quart de ses membres.

Les décisions sont prises à la majorité des voix; en cas de partage, la voix du président est prépondérante.

Tout membre du conseil qui, sans excuse, n'aura pas assisté à trois réunions consécutives sera considéré comme démissionnaire.


ARTICLE 12. - RÈGLEMENT INTÉRIEUR

Un  règlement  intérieur  peut  être  établi  par  le  conseil  d'administration,  qui  le  fait  alors  approuver  par l'assemblée générale.

Ce règlement éventuel est destiné à fixer les divers points non prévus par les présents statuts, notamment ceux qui ont trait à l'administration interne de l'association.


ARTICLE 13. – DISSOLUTION

En cas de dissolution prononcée selon les modalités prévues à l’article 12, un ou plusieurs liquidateurs sont nommés,  et  l'actif,  s'il  y  a  lieu,  est  dévolu  conformément  aux  décisions  de  l’assemblée  générale extraordinaire qui statue sur la dissolution .

dimanche 24 août 2014

LE LOUP EST INCOMPATIBLE AVEC L'ELEVAGE

    Les troupeaux transhumants sont arrivés sur les pentes du Mont Lozère depuis quelques semaines, avec discrétion car les transports routiers ont le plus souvent pris le pas sur la montée en estive par les drailles. Mais le spectacle est toujours au rendez vous lorsque l’on découvre ces milliers de brebis se déplaçant tranquillement au rythme de leur recherche d’herbe toujours plus fraîche. Ce spectacle ne sera-t-il qu’un souvenir dans peu de temps ? Voila la question que se posent les bergers sur le Mont Lozère et bien au-delà. En cause, l’apparition du loup autour des troupeaux quelques jours à peine après la mise en estive.
Sophie Pantel, Conseillère générale, Vice-Présidente du Conseil Régional ayant en charge l’élevage, accompagnée d’Alain Jaffard, Maire du Pont de Montvert, de son Adjoint François Folcher et de Jean-Paul Velay, Maire de Saint Maurice de Ventalon a tenu à rencontrer les bergers pour les assurer de son soutien en prenant la mesure de leurs craintes et des dégâts subis.


Les groupements pastoraux sont nombreux sur le Mont Lozère : Bellecoste, l’Aubaret, La Vialasse, Le Mas de la Barque, Altier… Près de huit mille brebis pâturent sur ce domaine. Les échanges avec Frédéric Cambon ou Bruno Seryies, bergers aguerris et soucieux de l’avenir ne laissent planer aucun doute : le loup est une menace à prendre en compte rapidement car l’activité pastorale, dans son ensemble est touchée et le moral des bergers de la même manière.

Lorsque l’on parle des brebis ou des agneaux blessés ou mangés directement par le loup, les chiffres paraissent dérisoires pour le profane. Ce que les bergers veulent faire comprendre, c’est la perturbation générée sur l’ensemble du troupeau : l’attaque d’un loup ou seulement l’approche du troupeau par l’animal engendre un stress chez les brebis qui provoque des avortements en grand nombre. Certaines brebis ne prennent plus le bélier, les troupeaux sont difficiles à rassembler… En bref, ces contraintes imprévisibles génèrent, non seulement des pertes financières mais également un souci, une préoccupation de tous les instants chez les bergers. Ces derniers sont d’ailleurs irrités que l’on mette en avant, dans le plan loup, les seules indemnités qui ne comblent absolument pas les pertes réelles. La preuve des attaques du loup n’est jamais une évidence pour les « autorités », même lorsque le berger atteste avoir vu l’animal s’approcher du troupeau. Bruno Seryies a sans doute évité une attaque : il a surpris le loup, au milieu de la journée, à une quarantaine de mètres de lui, proche d’un groupe de brebis isolées, dans la posture d’un animal se préparant à l’attaque. Ses sifflements, ses cris, l’appel des chiens ont fait fuir l’animal mais le troupeau a gardé longtemps en mémoire cet épisode.

https://fr-fr.facebook.com/ContreLeRetourDuLoupEnLozere

Longuement, les bergers ont parlé des obligations qu’imposent la présence du loup : changer les habitudes en évitant la dispersion du troupeau dans la journée, en évitant de laisser le troupeau manger la nuit, ce qui est fréquent lorsque la chaleur est au maximum aux mois de juillet et août, doubler la garde du troupeau, rentrer les brebis chaque soir, pratiquer un comptage plus fréquent… Autant de contraintes qui prennent du temps qui ont une incidence sur la vie familiale, qui rajoutent de la présence au plus près du troupeau. Et que dire des perspectives de développement ou de passation des exploitations. Les jeunes générations accepteront-elles de s’installer avec des ovins ? Certains songent déjà à ne plus venir en estive : «Une catastrophe pour notre territoire !», souligne Sophie Pantel. « Des espaces naturels qui se fermeraient, un patrimoine et des coutumes ancestrales qui disparaîtraient et une perte économique qui s’étendrait bien au-delà du seul secteur Mont Lozère ».

Face aux interrogations des bergers, les réponses sont difficiles à apporter. La seule prise en charge financière des brebis reconnues tuées par le loup ne suffit pas. Les aides pour les clôtures, grillages, alarmes sonores, entretien des chiens « Patou » ne sont qu’un palliatif à court terme : le loup s’adapte ! Ces moyens sont par ailleurs inadaptés dans le cadre de l’élevage en zone de moyenne montagne. Il y a urgence à reposer la question du loup sur ce territoire ou le maintien du pastoralisme est indispensable car, aujourd’hui, le loup n’est plus un animal en voie de disparition. Il convient aussi de pouvoir laisser les éleveurs tirer, y compris en zone cœur du Parc National, pour défendre leur troupeau.


mardi 12 août 2014

LE PASTORALISME MENACÉ PAR LES LOUPS

Le pastoralisme cévenol et caussenard menacé par l’installation des loups

Depuis leur arrivée à la mi-juin sur les estives du mont Lozère, les éleveurs d’ovins transhumants voient leurs troupeaux victimes d’attaques répétées d’un ou de plusieurs loups. Le poids de cette menace permanente est matériellement et psychologiquement insoutenable pour ces éleveurs et bergers. Si les pertes en nombre d’animaux restent à ce jour limitées – pour combien de temps ? – c’est au prix d’une surveillance renforcée du troupeau, de jour comme de nuit, par tous les temps. Dans ce contexte, certains envisagent d’abandonner les estives du mont Lozère à plus ou moins court terme, voire dès cet été.
Plus largement, si rien n’est entrepris pour y mettre un terme, l’installation des loups affectera le pastoralisme tant sur les territoires d’estives (mont Lozère, massif de l’Aigoual, hautes Cévennes…), que sur les espaces essentiellement valorisés par des élevages sédentaires (Causses de Sauveterre, Méjan, Noir, Larzac et autres Causses méridionaux). Les dispositifs préconisés pour la protection des troupeaux (parcs électrifiés, patous, aides-bergers…) présentent l’inconvénient majeur d’être coûteux et d’une efficacité limitée : le constat s’impose dans les Alpes, en dépit des efforts des éleveurs et bergers, depuis 15 ans pour certains. Quant à l’effarouchement, il n’aboutit qu’à déplacer le danger vers d’autres bassins d’élevage proches et à déranger la faune locale. À brève échéance, c’est donc toute une région de moyenne montagne où l’existence même de l’activité pastorale en système extensif, déjà fragile, sera mise en cause.

Mais les cessations prématurées d’activité, l’abandon de projets de reprises d’exploitations et de troupeaux par de jeunes bergers auront des conséquences bien plus importantes. En effet, le maintien d’élevages autonomes, respectueux de l’environnement et supports de production de viande et de fromages de qualité, est conditionné par ces modes de valorisation pastorale. Au-delà de la perte d’emplois et d’habitants, la ruine de ces activités d’élevage signifierait l’échec de la politique de développement et d’accueil de la région.

Car cet élevage ovin séculaire, emblématique des Cévennes et des Causses, a mobilisé depuis des décennies des investissements humains et financiers à tous les niveaux des collectivités territoriales (départements, régions, État et jusqu’à l’Union européenne), des organismes professionnels, le Parc national des Cévennes, ainsi que de nombreux chercheurs scientifiques. Tous ces acteurs, et en premier lieu les éleveurs et bergers, ont permis de sauvegarder une activité pastorale essentielle au maintien d’espaces ouverts où sont reconnus aujourd’hui des habitats naturels et des espèces remarquables.


C’est pourquoi, face à l'urgence de la situation et dans l’état actuel des techniques de contrôle des prédateurs, les signataires (solidaires à divers titres, professionnel ou personnel, des éleveurs et bergers) attirent l’attention sur l’incompatibilité entre la présence permanente d’une population de loups et l’exercice d’un pastoralisme extensif, sédentaire ou transhumant, acteur fondamental du maintien et de l’évolution des « paysages culturels de l’agropastoralisme des Causses et Cévennes », tels qu’ils ont été consacrés comme éléments du patrimoine mondial par l’UNESCO en juin 2011.


Relayant l’avis des éleveurs transhumants, ils demandent aux pouvoirs publics d’autoriser des tirs de défense en cas d’attaque des troupeaux, y compris en zone cœur du Parc national des Cévennes, parc habité où des actions de chasse sont pratiquées. En cela ils sont en accord avec la demande faite aux ministres concernés (Écologie et Agriculture), dans un courrier du 11 juillet 2014, par le Préfet de la Lozère et le Président du Conseil d’administration du Parc national des Cévennes.
9 août 2014
 Jean-Luc Bonniol, anthropologue, Professeur émérite, Université d’Aix-Marseille
Anne-Marie Brisebarre, ethnologue, Directrice de recherche émérite, CNRS
Daniel Crépin, Ingénieur en retraite, ministères de l’Agriculture et de l’Ecologie
Jean-Claude Duclos, Conservateur en chef honoraire, Vice-président de la Maison de la transhumance
Gaël Glandières, Agrégé en sciences de la Vie et de la Terre
Magali Jouven, Enseignant-chercheur en zootechnie
Pierre Laurence, ethnologue, Ingénieur agronome
Guillaume Lebaudy, ethnologue, Chercheur associé à l'IDEMEC, Doctorant à l’EHESS
Pierre-Louis Osty, agronome, Directeur de recherches honoraire, INRA
Audrey Pégaz-Fiornet, ethnologue, Doctorante à l’EHESS
Daniel Travier, Conservateur fondateur du Musée des vallées cévenoles
Pierre-Marie Tricaud, Ingénieur agronome, Architecte-paysagiste, Expert paysages culturels du patrimoine mondial
Michel Verdier, Photographe très investi sur le pastoralisme et la transhumance ovine.

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L'IMPACT DRAMATIQUE DE LA DISPARITION DU PASTORALISME

vendredi 28 mars 2014

DÉCLASSIFICATION DU LOUP?


Un député français obtient gain de cause devant la Commission des Pétitions sur la déclassification du loup

Il semblerait que les parlementaires européen soit des êtres pourvu de raisonnement et de lucidité.


C’est une belle victoire pour le député lozérien qui a toujours considéré que, si le loup pouvait être une espèce protégée en 1979, ce n’est plus le cas aujourd’hui car l’espèce prolifère. C’est aussi une victoire contre le Gouvernement français qui ne voulait pas revenir sur le statut de la protection du loup.
Il a donc effectivement été entendu par l’Europe qui prend ainsi en considération la problématique du loup dans nos territoires ruraux et agricoles.
Avant de nous réjouir, attendons de voir la réaction des écologistes qui eux sont pour l’éradication des bergers:

Très précisément et techniquement, Pierre Morel A L'Huisser a saisi la Commission des Pétitions de l'Union européenne, présidée par la députée européenne italienne Erminia Mazzoni. Après huit mois d'instruction, cette dernière lui a répondu que sa requête était recevable en raison d'une atteinte à un principe communautaire. Elle a ensuite enjoint la Commission européenne d'enquêter pour vérifier que le statut d'espèce strictement protégée était toujours d'actualité. En d'autres termes, dans chaque pays européen, il va falloir réaliser un comptage des loups d'une part (les derniers comptages réalisés datent) pour vérifier que l'espèce est toujours en voie de disparition, et d'autre part établir un bilan des dégâts causés par le loup, notamment auprès des bergers. source

Une autre vision que celle des "défenseurs du loup a n'importe quel prix" (pourvu que ce soit les autres qui payent), dont vous pourrez constater la qualité et la valeur intellectuelle des propos dans les commentaires ci dessous et aussi dans "les 10 vérités sur le loup"

La commission européenne, une dimension démocratique qui sera dénoncé par les écologistes détenteurs de la pensée unique!

En Lozère,  pour éradiquer les éleveurs , les écologistes ont plusieurs cordes à leurs arcs:
http://federationdesacteursruraux.blogspot.fr/2014/03/en-lozere-la-mauvaise-volonte-tourne-au.html