BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
Affichage des articles dont le libellé est population loup. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est population loup. Afficher tous les articles

vendredi 6 novembre 2015

POPULATION LOUP "EN BAISSE", C'ÉTAIT PRÉVISIBLE : ATTAQUE EN HAUSSE

Le chiffre officiel du nombre de loup en France a baissé, passant de 301 début 2014 à 282 début 2015;

Un chiffre qui sert la propagande des écologistes en minimisant le nombre de loup.
Un chiffre dans la lignée de l'incompétence ou de l'omerta au vue des déclarations officielles de ces 5 dernières années:

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes

La population loup, basée sur le mensonge de la "réapparition d'un couple de loup en 1992", a régulièrement et officiellement augmentée d'environ 29% chaque année jusque en 2011 pour atteindre publiquement  250 individus!

Mais revenons en 2015: 
Avec 2100 constats au 31 octobre 2015 contre 2054 à la même époque en 2014, c'était prévisible, et ce malgré "la baisse officielle du nombre de loup".
Prévisible parce que le chiffre officiel n'a strictement rien à voir avec le chiffre réel qui devrait se situer autour de 800, si l'on prend les statistiques validées par l'ONCFS concernant le taux de croissance du loup. En acceptant toutefois qu'il n'y ai eu que 2 loups en 1992! Ce qui reste tout à fait improbable.
  

Les écologistes fondamentalistes nous font croire que en Italie il y a beaucoup plus de loups que chez nous et que la cohabitation se passe bien!
A en croire les spécialistes la vérité est tout autre:

Le problème fondamental est que, au-delà de quelques estimations localisées basées sur les hurlements, personne ne sait combien il y a de loups aujourd'hui en Italie.

""Pendant ce temps, plutôt que des faits et des données (y compris les millions d'euros de dommages non payés, mal payés ou en retard, ou pire, que personne ne veut payer) chez nous (en Italie) on continue à proposer les solutions habituelles pour affronter le problème de la surpopulation du Loup : toujours démentir et de toutes les façons (comme certains avocats l'enseignent aux parjures!) la croissance de la population, réduire le montant des dommages en ne payant pas les cas douteux, en les mettant le plus possible sur le compte de mystérieux chiens ensauvagés (ou sur des hybrides, chose de bon ton aujourd'hui), et, en conclusion...faire entretenir le Loup par les éleveurs !"

le loup des voisins

A qui profite le mensonge? Voilà une autre des questions fondamentales à se poser pour comprendre.



lundi 15 juin 2015

LES LOUPS AUGMENTENT DE 20% PAR AN / L’ESPÈCE N'EST PAS EN DANGER? NOS PÂTURAGES SI

Préface:
 Article publié sur le plus du nouvel Obs, que je rapatrie et met à jour, sur mon site suite au refus systématique de ce journal de publier un droit de réponse aux insanités écrites à propos des ruraux par le vice président de Férus, et  l'écrivain Armand Farrachi dont la vindicte n'a d'égale que la haine qu'il voue à ceux qui travaillent pour rétablir la vérité!


Tout d'abord, mettons-nous dans le bain avec un rappel historique des publications officielles de la présence du loup en France.

En résumé, le chiffre officiel de l'augmentation de la population loup est passée de :

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés

À savoir que les rejets d'attaques de loup en augmentation en 2013, permettant à l'État de faire de substantielles économies... crise économique oblige !

Une estimation totalement invraisemblable

Aujourd'hui, la déclaration officielle de la moyenne de la population loup est de 301 spécimens.

Cette estimation entre 220 et 381 loups qui, si elle revêt un semblant de caractère de sérieux avec le chiffre de 301, n'en reste pas moins totalement invraisemblable et a pour but de minimiser l'impact du loup sur les problèmes de prédation.

À ce stade, le lecteur se fera sa propre idée sur les possibles dérives, intentionnelles ou non, suscitées par l'alignement de toutes ces contradictions.

Des attaques systématiques sur nos bêtes

Au jour le jour, je constate personnellement, dans mon vécu quotidien, l'augmentation de la population loup. Depuis trois ans, je n'ai plus jamais vu de cervidés avec mes chevaux à la pâture, alors qu'il ne se passait pas une semaine sans que j'en retrouve en leur compagnie.

Depuis trois ans, les pâturages d'hiver, qui se composent essentiellement de "l'herbe ronde", (filante de Montpellier) sont tellement fournis du fait de la disparition ou du déplacement des herbivores sauvages, qu'il faut veiller à ce que nos chevaux n'engraissent pas trop, car ils sont destinés au travail de la ferme et aux loisirs de nos visiteurs.

Pour ce qui est du vécu de mes des voisins, cela se concrétise par des attaques systématiques sur les ovins, caprins, bovins, équins et même sur les chiens de protection. Ce qui engendre la disparition des élevages de ceux qui ne peuvent plus supporter le stress et les conséquences des attaques à répétition.

Un mouton attaqué par un loup. (DR/Ouragan)

Cela se concrétise aussi par l'éclatement des familles, les bergers deviennent irascibles et dépressifs, trop accaparés par la protection de leurs animaux !

Déjections et pelouse dégradée

La mise en place de mesures de protection pour essayer de vivre la cohabitation s'avère aujourd’hui totalement inefficace, nécessitant des moyens humains insurmontables, impossibles à mettre en place dans certaines régions.

En effet, faire parcourir aux animaux des kilomètres pour aller du parc à la pâture et retour tous les soirs, engendre une diminution du rendement, du bien-être de l'animal ainsi qu'un piétinement de la pelouse qui s'en trouve terriblement dégradée.

Sans parler des accumulations de déjections à l’intérieur de ces parcs qui polluent la nappe phréatique et favorisent les maladies de pieds.


Enclos abîmés par les déjections et le passage des bêtes. (DR/Ouragan)

À savoir que ne sont aidés que les éleveurs ovins et caprins de plus de 49 animaux, rien pour les bovins, équins ou autre particulier !

Le retour de nombreuses maladies 

L’augmentation exponentielle de chiens de protection, qui pour être efficaces se doivent féroces et aguerris aux combats, pose de nombreux problèmes de cohabitation avec les usagers de la montagne.

Sans parler du retour constaté de maladies pratiquement disparues comme le tournis, causées par la prolifération de canidés, déposant les œufs du ténia présent dans leurs déjections (chiens et loups infectés) sur les pâturages. Maladies qui affectent aussi la faune sauvage.

Le berger remet son fusil à l'épaule

Et que dire du fusil que le berger doit porter à longueur de journée, souvent à l'encontre de ses convictions et de ses choix de vie, en plus du sac contenant l'eau, la nourriture et le nécessaire pour les soins des animaux ?

Fusil qu'il est obligé de poser à terre s'il doit courir rattraper un agneau qui boite afin de lui ôter une épine mal placée, fusil parfois difficile à retrouver et devenant un danger pour le public randonneur.

Voici un témoignage de Jacques Courron, éleveur de 400 brebis dans les Alpes-Maritimes, 34 ans : 

"J’ai des Patous, des parcs de nuit, plus rien n’y fait. Aujourd’hui, je n’ai plus de vie de famille, je suis tout le jour à garder mes brebis, chercher des cadavres, faire des constats… c’est usant cette vie avec le loup. On a l’impression de se faire cambrioler tous les jours. Pour vous dire, on est le 5 février, j’ai déjà eu quatre attaques depuis le début de l’année, six bêtes tuées, six autres disparues. Mais le pire, c’est quand je sors mes petits agneaux au printemps, le loup fait un massacre là-dedans. Il me mange 3 à 4 agneaux par semaine sans compter ceux que je ne retrouve jamais."

Le loup n'est pas une espèce menacée en France

Voici ma réponse à la question qui revient dans la bouche des défenseurs modérés du loup : comment peut-on lutter contre ses attaques tout en préservant l’espèce ?

- l'espèce n'est menacée ni au niveau mondial ni aux niveaux européens (Voir la liste de l'IUCN Monde, "Status and distribution of european mammals", page 29).

- ce dont on parle ici c'est d'une population : "ensemble d'individus d'une même espèce vivant en un même lieu", c'est cette population qui serait alors à préserver, cette population et non l’espèce.

- l'espèce, elle, n'est pas plus menacée aujourd'hui que lorsqu'il n'y avait pas de loup en France. Elle ne le serait pas davantage s'il n'y en avait pas ou plus !

- sa présence n'est même pas indicatrice de la qualité biologique des milieux qu'il fréquente. Dans la plaquette du projet UE LIFE-Coex, on y lit : "Les loups sont des prédateurs généralistes et opportunistes. [...] Ils vivent dans différents types de milieux et leur vaste distribution démontre l’adaptabilité de l’espèce aux conditions écologiques les plus diverses."

Et le site loup de l'ONCFS :


"Le loup est un carnivore opportuniste qui adapte son régime alimentaire à la région où il vit, à la saison, au type et à la densité des proies. [...] L’espèce majoritaire du régime alimentaire d’un loup est en général l’espèce la plus abondante de la région, à condition que sa prédation ne soit pas trop dangereuse. Le loup peut également se nourrir, selon les conditions, de carcasses, de fruits ou même de détritus."

- sa présence en France ne se justifie ni par une nécessité pour l'espèce ni par sa place ni son rôle dans la biodiversité générale

Exclure le loup des zones pastorales et habitées

La solution pour éviter les attaques est de l'exclure de toutes zones pastorales et habitées, ne serait-ce que par respect pour la population qui vit de l'élevage. En accord avec la nature, il faut conserver l'espèce dans les pays où il existe encore de vastes zones inhabitées. Pour comparaison :
France 117 h/km², Canada 4 h/km², Russie 8 h/km², Québec 5.8 h/km²....

Mais pour les extrémistes défenseurs du loup, la question ne se pose pas : 

"Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"

 

Or en France, à ma connaissance, il n'y a pour nous, ruraux, aucun endroit "difficile ou reculé", simplement des lieux ou s'épanouissent et vivent des femmes, des enfants et des hommes qui ont choisi en toute connaissance de cause, d'y développer leur passion, respectueuse de la nature et des animaux dont ils ont la charge, en accord avec les grands principes qui démontrent que le pastoralisme est indispensable au bien être de la biodiversité : 

"Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. […] Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). […]En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…)." (source : "Science et Décision" du CNRS)

samedi 14 décembre 2013

DU NOUVEAU DANS LA MANIPULATION

FAUNE. Vingt ans après sa réapparition, la France crie au loup


Lire l'article sur LE PROGRÈS  Publié le 17 décembre 2012

Eric Marboutin  en decembre 2012 "« Il se plaît en France, indique Eric Marboutin, responsable des études sur les loups et les lynx à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Aujourd’hui, on estime à 250 le nombre d’individus qui sont installés sur le territoire français. Ce chiffre progresse d’environ 25 % par an. Biologiquement, l’espèce peut faire mieux, mais c’est davantage qu’en Espagne ou en Italie par exemple. »"

A comparer avec juillet 2013 Eric Marboutin, chef de projet du Réseau loup de l'ONCFS .  Selon l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la présence de groupes de loups sédentarisés est ainsi attestée dans l'Oisans, le nord de Belledonne, le Vercors et le Taillefer. «On ne peut donner qu'un nombre minimum d'animaux détectés car on suit les empreintes et ils marchent parfois dans les mêmes traces, explique Eric Marboutin, chef de projet du Réseau loup de l'ONCFS250 loups sont aujourd'hui recensés en France, dont 95 % dans les Alpes. On a environ 20 % d'accroissement annuel

En juillet 2013, 95% dans les alpes ( donc 13 loups hors des alpes), en décembre 2012 ils sont en pleine expansion "« Si l’on excepte l’homme, le loup n’a pas de concurrent direct, poursuit Eric Marboutin. La place est libre. Cela explique en partie son expansion. C’est aussi un animal qui s’adapte bien à de nouvelles conditions de vie."
Et le journal de poursuivre "L’aire de répartition ne cesse de s’étendre. Le nombre de zones de présence permanente (ZPP), là où le loup est observé pendant au moins deux années consécutives, est passé de 27, l’an dernier, à 29 dans le dernier bilan de l’ONCFS. Parmi elles, 19 abritent des meutes bien constituées. Des Alpes, des individus ont notamment rejoint les Pyrénées Orientales et de nouveaux foyers sont apparus dans les Vosges."

Toutes ses informations sont peut être des erreurs de transcriptions des journaux, mais je vous conseille de les comparez avec l'article paru dans 20 Minutes le 10 juillet 2013

La réponse de M. Eric Marboutin: "A l'attention d'Ouragan: je n'y suis pour rien si certaines années les effectifs de loups augmentent plus ou moins que d'autres années: c'est une grande banalité "biologique" observée sur toutes les espèces sauvages qui vient de la variabilité d'une année à l'autre du bilan des naissances, et de la survie des animaux. La croissance moyenne de 20% (avec un intervalle de confiance qui va de 7% à 33%, donc oui, celà peut augmenter bien plus que 20% certaines années, ou bien moins d'autres)est le résultat de l'analyse de la série des valeurs d'effectifs faites par l'équipe suédoise sur les données françaises durant la période 1995 - 2012; cette analyse était la phase préalable au calcul des "quotas" de loups réalisés aussi par cette équipe suite à la venue de l'expert suédois Olof Liberg en France en fin d'année dernière (le tout su demande du ministère en charge de l'environnement).

On ne se mouille pas trop a l'ONCFS

Suite a une réunion avec les administrations, début août 2011 les représentants de l'association des éleveurs et bergers du Vercors drome Isère ont présenté ce tableau à monsieur Eric Marboutin pour savoir si ils avaient bien compris le taux de 29,5 %
 La réponse fut par l'affirmative, mais il convient d'émettre les réserves du bas de ce tableau car c'est du vivant

année effectif de loup taux 29,50% 
1992           2             0,295 
1993           2,59        0,295 
1994           3,35405  0,295 
1995          4,34349   0,295 
1996          5,62483   0,295 
1997          7,28415   0,295 
1998          9,43297   0,295 
1999        12,2157     0,295 
2000        15,8193     0,295 
2001        20,486       0,295 
2002        26,5294     0,295 
2003        34,3556     0,295 
2004        44,4905     0,295 
2005        57,6152     0,295 
2006        74,6117     0,295 
2007        96,6221     0,295 
2008      125,126       0,295 
2009      162,038       0,295   effectif officiel retenu: 164 (source DREAL) 
2010      209,839       0,295   194 ( officiel ministère de l'écologie et de l'agriculture)
2011      271,741       0,295      la population totale estimée via la méthode dite de capture marquage recapture (CMR) est d’environ 250 individus (hiver 2011/2012 ), ( officiel ministère de l'écologie et de l'agriculture)

Jusqu'en fin 2011 début 2012, les chiffres sont très proches entre organisme d'état et calcul sur le tableau validé par l'oncfs. 

Hors mystère, depuis fin 2011 il y a toujours 250 loups. Malgré le taux de croissance revus à la baisse par l' oncfs en 2012 à 25%, puis à 20% en 2013 ( voir en début d'article)le nombre de loup devrait enregistrer une augmentation, même moins importante???  
Quand on parle de taux de croissance, on tient compte de la mortalité, des variations peuvent intervenir car ce sont des données sur des animaux sauvages difficiles à maîtriser, mais pas un loup de plus?  Toujours 250 et officiellement dans le double de départements et plus du double d'attaque . Chercher l'erreur ne devrait pas poser de gros problème!

Voir l'ensemble du tableau de croissance sur la F.A.R.

Le comble vient d’être atteint le PARIS, 10 avr 2014 (AFP) : Mais soulignant que la population des loups en France, actuellement d'environ 250 bêtes, « s'accroît très rapidement, autour de 20 % par an » 

ci dessous on voit bien l'évolution des attaques alors que le nombre de loup reste à 250 dans les 2 dernières annèes

une autre vue de la preuve de la manipulation


les derniers chiffres qui confirment:
Chiffre officiel du nombre de loup en France et chiffres officiels des victimes loups:

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés

Merci de m'avertir en cas de changement!

De plus en plus de fuite émanant du milieu officiel, par des agents qui prennent conscience de la gravité de la situation, font état de la présence de plus de 750 loups sur notre territoire.