BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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mardi 27 janvier 2015

SAUVAGE, COMPRENDRE LA PUISSANCE DU LOBBYING PRÉDATEURS


mardi 03 février à 22h20 (88 min)

 Rediffusion mardi 10.02 à 1h35
 Rediffusion mardi 10.02 à 8h55
 Rediffusion lundi 16.02 à 8h55





sur télérama à voir en enter à n'importe quelle heure jusqu'a mardi
NATURE LE NOUVEL ELDRADO DE LA FINANCE

et ensuite selon la programmation ci dessus sur ARTE

Combien vaut la nature ? Combien peut-elle rapporter ? À l'heure où l'on craint le pire pour la biodiversité, ce documentaire révèle la financiarisation croissante des ressources naturelles par les banques et les investisseurs privés. Édifiant.

De quoi comprendre comment les défenseurs de la nature se font manipuler (souvent a coups de subventions) sous prétexte de biodiversité, à travers  "les exemples concrets de populations et milieux naturels menacés par ces nouvelles pratiques."


La nature de l'argent
Fruit d'un patient et minutieux travail d'investigation, Nature, le nouvel eldorado de la finance met en relief les mécanismes d'un système naissant qui pourrait se révéler une entreprise de tartufferie mondiale. Interrogeant financiers, experts et penseurs, le film confronte les points de vue antagonistes et multiplie les exemples concrets de populations et milieux naturels menacés par ces nouvelles pratiques. L'enquête dresse un vaste panorama des intérêts en jeu et des lobbies en action autour de ce "nouveau" capital naturel, se demandant au final quelles valeurs défendent réellement ceux qui attribuent un coût à la nature. Une nouvelle crise financière pourrait en effet résulter de la spéculation et de l'effondrement de ces nouveaux marchés...

La course au profit généralisé et le marché global ont largement contribué à la crise écologique actuelle. Pourtant, les mondes de l'économie et de la finance prétendent renverser la tendance et sauver la planète en la protégeant à leur façon, c'est-à-dire avec de l'argent. C'est bien l'émergence d'un nouveau marché, celui de la protection environnementale, que décrypte le documentaire de Sandrine Feydel et Denis Delestrac  - l'auteur du Sable, enquête sur une disparition, récemment diffusé par ARTE. Encore embryonnaire il y a quelques années, ce marché est aujourd'hui l'un des plus prometteurs en terme de profit. Son mode de fonctionnement est simple. De plus en plus de sociétés financières ou d'assurances, parfois précédées par les économistes, attribuent un coût à la nature. Combien vaut la forêt d'Amazonie ? Quelle est la valeur marchande de l'incessant labeur de pollinisation accompli par les abeilles ? Jusqu'ici, l'"invisibilité économique" de la nature ne jouait pas en sa faveur : les marchés n'aiment ni l'abondance ni la gratuité. Mais avec la raréfaction des ressources et la disparition programmée de certaines espèces, l'équation a changé. La loi de l'offre et de la demande peut maintenant s'appliquer aux richesses naturelles. Ainsi, des banques et des fonds d'investissements, pourtant responsables de la dernière crise financière en date, achètent d'immenses zones naturelles riches en espèces animales et végétales menacées. Monétarisées et financiarisées, ces réserves sont ensuite transformées en produits boursiers possiblement spéculatifs. On peut donc acheter des actions "mouche", "orang-outan" ou "saumon". En investissant dans ces titres, les entreprises polluantes obtiennent des "certificats de bonne conduite" qui les dispensent de suspendre leurs activités les plus néfastes...
L’art de la compensation
Les ravages de la finance environnementale
Améliorer le système des subprimes !

mercredi 17 septembre 2014

LOUP, SOUTIEN A FRANCE INTER

Merci France Inter pour ce reportage "LOUP EN LIBERTÉ, ÉLEVEURS EN DANGER"
Je tiens à corriger certaines erreurs et démesures, qui comme d'habitude sont les arguments des défenseurs du loup, dans une lettre (en italique) qui vous est adressée!
Monsieur,
"Vous présentez le loup uniquement comme un problème, en oubliant de rappeler le rôle essentiel que joue cette espèce comme prédateur naturel dans les écosystèmes, en particulier dans les montagnes des Hautes-Alpes, lieu de votre reportage. Le loup, rappelons-le, se nourrit principalement d’ongulés sauvages.! 
Il est pourtant facile de démontrer que le loup d'aujourd'hui surprotégé est devenu déviant et comme il est rappelé dans son descriptif biologique:"
 "Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur, l’abondance et l’accessibilité des proies, la probabilité de rencontres avec la proie, la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle, la probabilité de succès de la chasse, le risque de blessure, la profitabilité de la proie, les conditions environnementales. source le site de l'état consacré aux loups!
(donc adieu le mythe du loup qui se nourrit d’espèces sauvages. Quand il a goutté aux proies faciles plus rien ne le fera dévier)
"Vous évoquez 4 800 ovins tués possiblement par le loup en un an en France, mais ce nombre ne signifie pas grand-chose s’il n’est pas mis en perspective avec les 500 000 ovins tués dans le même temps par d’autres causes : maladies, accidents, pertes dans les alpages…"
Les départements en 2012 concernés par la  présence  loup,  recenseraient  approximativement 870 000 ovins.(source maison de l'élevage et d.r.a.a.f.). D’après le Centre d'Etudes et de Recherche pour le Pastoralisme Alpes Méditerranée,"l’estimation de 700 000 ovins exposés au risque loup dans le massif alpin est réaliste."
 Heureusement pour nous, nous sommes loin de perdre 500 000 animaux sur les 700 000 exposés aux loups. Comme toujours, les associations pour la défense du loup utilisent un stratagème qu'un élève de CM² serait capable de déjouer. En effet comparer  500 000 ovins qui représentent les pertes dans toute la France,( chiffres non vérifiables et non confirmés)  y compris les animaux de réforme, avec les 4800 victimes dans les alpes devraient vous mettre la puce à l'oreille quand à l’intégrité de ces associations!
La seule comparaison valable serait celle qui comparerait les mêmes estives avant et après l'arrivée du loup!
La réalité est toute autre, ""Aux 6000 ovins reconnus et indemnisés, nos études montrent qu’il faut rajouter environ 40 à 50 % d’animaux disparus ou invérifiables (dont 20 % reconnu dans la cadre du forfait). La réalité des pertes reconnues par l’Etat est donc de plus de 7000 ovins perdus, et la réalité de terrain doit avoisiner prudemment 8000 ovins perdus dans les Alpes." source centre d'étude pour la pastoralisme
Vous relayez sans aucun questionnement le discours absurde d’un syndicat agricole évoquant une disparition future du pastoralisme à cause du loup. Comment pouvez-vous laisser croire sans réagir qu’un pays comme la France ne serait pas techniquement capable d’élever des moutons en plein air, de façon compatible avec la présence de prédateurs naturels ?
Tout simplement parce que dans tous les pays confrontés aux loups, le pastoralisme, ovins, caprins et bovins devient impossible, laissant la place à l'élevage industriel!

le 14 septembre 2014: déclaration d'une éleveuse Italienne à Beaucroissant sur le stand de la "fédération des acteurs ruraux"
"Maintenant les attaques ont encore pris de l'ampleur en Italie, c'est très rare que l'état indemnise les éleveurs, même quand ce sont des veaux qui sont tués... donc les éleveurs prennent leurs responsabilités et ils font le ménage!" http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/07/en-italie-tout-va-tres-bien.html
Le quota de chasse sur les loups a été augmenté à cause des préoccupations des propriétaires de bétail espagnol sur leurs propres animaux, en raison de la récession actuelle de l'Espagne. http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/05/le-loup-en-espagne-en-italie-et-ailleurs.html

Votre sujet est le « zoom de la rédaction ». Ne serait-il pas intéressant pour vos auditeurs d’être informés sur ce dossier complexe avec plus de recul ? Vous pourriez aborder les questions de fond liées aux vrais problèmes de la filière ovine : problèmes économiques, structuraux, peut-être moins attrayants à vos yeux, mais beaucoup plus significatifs pour la compréhension du dossier « loup ».
Ce qu'il est important de savoir avant tout, c'est que la filière ovine des petits élevages traditionnels se porte mieux que le reste de la profession! En effet le petit élevage tire son épingle de la crise, en offrant des produits de qualité et en optimisant les méthodes simples qui ont fait leurs preuves et sont le fait de la connaissance du métier et de la valeur réelle des choses.
La coopérative du fameux "Agneau de Sisteron" ne s'y trompe pas: "L’Agneau de Sisteron" se porte bien. Tellement bien, que la progression continue,  ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."
Hors le loup s'attaque uniquement à ces élevages respectueux, proposant des produits de qualité, de proximité et de durabilité!
Vous ne donnez la parole qu’à des éleveurs et à des représentants syndicaux. Il serait pertinent pour vos auditeurs de leur proposer aussi les interventions de scientifiques qui étudient le loup, et des associations de protection de la nature qui connaissent parfaitement le terrain et le dossier.
Pour ce qui est des scientifiques, je pourrais vous proposer dès maintenant une liste ICI, vous y trouverez des scientifiques qui sont clairs: "Le pastoralisme  menacé par l’installation des loups". Mais je me propose de mettre à votre disposition d'autre noms et d'autre études, si vous en avez besoin! 
Quand aux associations, je vous conseille avant toute approche de lire quelques articles qui vous montreront l'intégrité de leurs représentants!
"C’est pourquoi, en réponse à ce reportage, nous vous demandons de pouvoir intervenir sur votre antenne à l’occasion d’un prochain sujet sur le loup diffusé à une heure de grande écoute, afin que nos concitoyens puissent bénéficier d’une vision plus large et mieux informée de ce dossier. Les associations de CAP Loup se tiennent à votre disposition.":
Je pense que vous avez une grande partie des données vous permettant de prendre votre décision quand à une émission sous contrôle des associations environnementales.
Sachez que je me tiens à votre disposition pour de plus amples renseignements!
Dans l’attente, veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Ouragan pour "le collectif de défense du pastoralisme"

mardi 12 novembre 2013

LE RETOUR DES PREDATEURS

http://www.lesobservateurs.ch/2013/11/08/retour-predateurs-bete-lhomme/


Le retour des prédateurs: la bête avant l’Homme ?



Pierre Kunz
Ancien député PLR, Genève
loup3

Les médias romands traitent en général ce qu’il est convenu d’appeler « le retour des prédateurs » d’une manière superficielle. Ils tendent ainsi à favoriser les dérives sentimentales et utopistes de tous ordres caractérisant notre société richissime, notamment celles véhiculées par certains soi-disant défenseurs de l’environnement et de la biodiversité. Cultivant la crédulité et les émotions de leurs concitoyens, ces derniers mènent entre autres combats celui de la réinstallation du loup, de l’ours et du lynx dans un pays dont nos aïeuls avaient fini par les chasser voici plus d’un siècle parce qu’ils entravaient leur labeur.

Un mensonge originel fonde toute la communication des défenseurs des trois prédateurs. Il consiste d’une part à laisser croire que ces derniers ont disparu de nos terres parce qu’ils auraient été « persécutés » par l’espèce humaine, pourchassés à cause de nos peurs ancestrales et pour de mauvaises raisons. D’autre part, il vise à nous convaincre que le retour des trois animaux serait naturel et que nous serions forcés de nous y adapter. Or la réalité est très différente. Si les Helvètes exterminé le loup, l’ours et le lynx voici plus d’un siècle ce ne fut pas par stupidité et méchanceté mais bien parce que ces animaux leur nuisaient. Et si ces derniers reviennent c’est parce que nos parlementaires, se pliant aux exigences des activistes de l’écologie, en ont interdit la chasse.
La réapparition des prédateurs représente en 2013 pour les apiculteurs et les éleveurs le même embarras qu’en 1850 et pour le bétail le même danger de mort. Promouvoir leur retour exigerait donc une argumentation fondée sur des éléments plus sérieux que le naturalisme simpliste qu’affichent les écologistes. Ils pourraient évoquer l’intérêt que cette réapparition marquerait sur le fonctionnement de l’écosystème mais comme cet intérêt est inexistant ils sont contraints de s’en abstenir. L’action de quelques individus reste en effet sans influence significative sur l’écosystème ; quant à une présence nombreuse, elle demeure impossible parce qu’elle impliquerait des efforts de prévention et des dommages insupportables pour les éleveurs comme pour les deniers publics requis par leur indemnisation. Les écologistes pourraient aussi mentionner l’attrait touristique et pédagogique du loup, de l’ours et du lynx, mais ils n’en pipent mot puisque bien évidemment personne ne sera jamais en mesure d’apercevoir ces prédateurs dans leur environnement naturel.
La dérive intellectuelle des « jusqu’au-boutistes » de l’environnement et de la biodiversité trouve probablement son explication dans le constat que chez eux la sensiblerie et le dogmatisme ont manifestement pris le pas sur la raison. Le professeur Jacques Blondel le souligne d’ailleurs dans son dernier ouvrage (L’Archipel de la vie) : « Les représentants les plus radicaux de l’écologisme militant conçoivent l’idée de Vie, le sentiment de Vie, comme l’unique valeur, l’unique source d’une éthique possible. La profession de foi de ce « bio-centrisme » est de proclamer la vie de la mère Terre plus précieuse que celle de l’espèce humaine et, en tous cas, prioritaire sur elle ».
Pas étonnant donc qu’ils s’expriment comme s’il existait une seule « vraie » biodiversité et un seul fonctionnement « juste » des écosystèmes. Ce sont celle et celui qui évolueraient « naturellement », c’est-à-dire hors de toute ingérence de l’espèce humaine. Evidemment incapables de fixer la période à laquelle correspondraient la vraie biodiversité et le fonctionnement juste des écosystèmes, ils sont condamnés à rejeter l’idée même de l’extinction d’une espèce, fût-elle la moins utile, et à militer pour la réintroduction de toutes celles qui ont disparu, le loup, l’ours et le lynx en l’occurrence.
Ces gens discourent et se comportent comme si l’humanité ne faisait pas partie de la biodiversité, comme si, contrairement aux autres espèces animales et végétales, elle n’avait pas le droit d’agir comme toutes les autres, à son profit, sur l’environnement. Au prétexte de la protection de la nature, au sein de laquelle pourtant les espèces se détruisent, disparaissent et apparaissent en permanence, l’Homme devrait, lui, se mettre « hors jeu ». Il devrait se limiter à assister à cette lutte aussi éternelle que naturelle, se contenter de veiller à sauvegarder les animaux et les végétaux peuplant aujourd’hui la planète, même ceux qui lui nuisent et dont il a pu se débarrasser au cours des siècles.
Pour l’humanité certaines espèces sont fonctionnellement essentielles en ce sens qu’elles assurent des fonctions indispensables en termes de production de biens et de services. L’Homme doit donc apprendre à mieux mesurer l’impact de ses activités sur son environnement, sur la biodiversité en particulier, cela pour des motifs éthiques, certes, plus prosaïquement parce que c’est son intérêt bien compris, « durable », et que son intelligence l’ordonne.
Mais à l’évidence le retour que certains ambitionnent du loup, de l’ours et du lynx n’a rien à voir avec ces préoccupations légitimes et intelligentes.
Pierre Kunz, ancien député et constituant PLR
Article publié également par Le Temps, 8 novembre 2013

mardi 14 mai 2013

REPORTAGES SUR LE LOUP

a ma connaissance c'est le premier reportage ou on découvre la vérité et rien que la vérité sans la haine des associations écologiste! Un reportage humain pour des centaines d'autres qui ne reflète que la manipulation des écolos! Quand aux attaques de chiens seul les intégristes pros loups qui ont perdu leur libre arbitre ou qui manipulent la population peuvent en parler /
"dans la gueule du loup"



Au cours du reportage sur canal + a propos du  loup chez Caroline (voir son témoignage) le représentant de Fèrus n'a qu'un seul argument laissant supposer que les bergers font exprès de laisser les loups massacrer leurs Brebis pour toucher la prime. Devant la détresse de Patrick, on se demande comment les associations pour le loup comptent pérenniser la survie de leur idole en employant de tels arguments? Vomir tant de haine à l'encontre des bergers pour justifier les massacres dans le seul but d'endoctriner la population nous rappelle l'"HISTOIRE" pas si ancienne et  oblige à prendre en compte l'origine des mouvements écologiste 



Dans le reportage FR3 sur le loup dans l'ardèche, voici un berger qui vient de subir 15 attaques et le seul argument du représentant de la Frappna, c'est que les chiens sont les plus grand prédateurs de brebis.. Comment un journal télévisé peut il laisser dire de tels mensonges alors que des études prouvent le contraire.


Dans le reportage fr3 sur les alpes maritimes, alors que le plan loup prévoit l'abattage en zone de forte prédation, le préfet refuse le tir de prélèvement et autorise le berger a rester 24/24 h avec son fusil pour pratiquer des tirs d'éfarouchement. Cela prouve bien que le plan loup ne sert a rien et qu'il est seulement aussi compliqué a utiliser que la conduite d'une usine a gaz!

Dans le reportage FR3, toujours la même arme des défenseurs du loup:: Oser dire que les bergers et éleveurs tire profit d'une agnelle de 6 mois indemnisée 90 euros alors qu'elle est issue d'une sélection drastique faite par l'éleveur afin qu'elle soit adaptée a son milieu et à son troupeau. Les mêmes éleveurs qui sont très clairs, ils veulent continuer a exercer leur métier avec amour et passion en dehors de la présence des loups et donc des indemnités qui sont de toute manière largement insuffisantes.

«Endoctrinements, stratagèmes, dénégations et mensonges.... tout est dévoilé...» dans ce dossier. Nous y trouvons même une traduction européenne importante qui a été totalement remaniée, afin de tromper et de dissimuler la dangerosité du loup. Selon la naturaliste, «les tribunaux seront sans doute saisis». Comme pour l'ours dans les Pyrénées, faux et usages de faux, telles sont les pratiques courantes de certains organismes et associations sur lesquels nous aurons l'occasion de revenir. La semaine dernière, un chercheur reconnaissait avoir travaillé sur des faux documents officiels depuis 10 ans.



Une journaliste pause une bonne question: "pourquoi vous faut-il autant de temps pour reconnaitre la présence de loup?"
la réponse est évasive, la même quelque soit le département, des fiches ont du circuler dans l'administration pour faire durer, laisser le temps aux loups de s'installer...




Après les affirmations de l'aspas sur fr3 et ferus sur canal + : 

les bergers s'organisent pour favoriser les attaques afin de toucher la prime qui serait plus importante que la valeur en boucherie."
 Pour cet exemple dans le reportage de fr3, ils s’appuient sur une somme de 90 euros pour une agnelle de 6 mois qui a été sélectionnée pour ses aptitudes génétiques et son adaptation au milieu dans lequel elle est destinée a vivre. 

Alors voilà le prix du marché:

 Vds agnelles Corses 5 mois, de plein air en AB. Prix : 80 € chaque. 
Tél. : 04
Cède 4 agnelles Rava de 6 mois. 30 à 35 kg. Prix : 100 € pièce. 
Tél. : 06 88 2
- Vds 40 agnelles Rava, début 2013. Prix : 100 €.
Tél. : 06 04
Vds 2 agnelles de race Solognot, nées en 2013, ind. brucellose, prophylaxie OK. Boucles électroniques selon la réglementation obligatoire depuis 2013. Factures, bons de transport fournis. Issus de parents inscrits au groupement de la race. Prix : 120 €. 
Tél. : 02 48 

Après minimum une journée de perdu avec les voisins, non indemnisée, pour retrouver le maximum d'animaux, les disparues passent a la trappe, encore une demi journée de perdu non indemnisé, avec les agents pour les constats, puis il faut se débarrasser des cadavres, soigner les blessées, déstresser les survivantes.......On a du mal a croire que le berger prenne le temps pour organiser les attaques afin d' être indemnisé. Seul des association intégriste dont le travail consiste a endoctriner la population afin de pouvoir arriver a leur fin sont capable de proférer de telles diffamations envers des éleveurs  Et ça marche, car beaucoup de gens dont le libre arbitre semble avoir disparu après le lavage de cerveaux organisé par des associations comme l'ASPAS er FERUS , nous disent "mais puisque vous êtes indemnisé; On pourrait leur répondre:

"C'est vrai quoi, si un voleur rentre chez vous, viole votre intimité, prend ce dont il a besoin et aussi ce dont il n'a pas besoin, on ne comprend pas pourquoi vous sous sentez mal, déprimé, inquiet, spolié atteint dans votre intégrité  puisque vous serez indemnisé et de toute manière malgré le renforcement de vos protections, si il le veut il reviendra"

Pensez y comme nous pensons que le loup reviendra se servir envers et contre toutes protections, et pensez aussi que nous n'aurions jamais choisi ce métier pour nourrir le loup, nous l'avons fait par passion et parce qu'il fait parti des activités vitales pour l’indépendance d'un pays et l'entretien des paysages ouverts que nous partageons avec vous!