Doctorat en géographie à l'École nationale du génie rural, des eaux et des forêts (Engref), Farid Benhammou est aussi une des têtes pensantes et " scientifiques " de FERUS et de l'ADET -
Voici au hasard une phrase tirée d'un texte écris par la tête pensante des associations pros loup les plus virulentes:
Par le passé, les brebis seules n'ont jamais pu entretenir l'ouverture des paysages. L'action humaine, par l'entretien des zones de fauche pour le fourrage, la coupe de bois de chauffe et le brûlis contrôlé, contribuait majoritairement au façonnement paysage!
Comme si quelqu'un, a part les intégristes écologistes (Les moutons n’ont jamais créé la moindre espèce" dans leur manifeste pour le loup") avaient prétendu le contraire. Par définition une brebis seule ça n'existe pas, par contre, l’élevage des brebis est pratiquement la seule activité possible dans les zones d'altitude ou aucune culture n'est rentable, pour maintenir une symbiose entre la nature et l'homme qui, fauche pour les nourrir, coupe du bois pour se chauffer pendant qu'elles passent l'hiver dans la bergerie proche de la maison afin qu'il puisse leurs prodiguer les soins nécessaire a une bonne gestation, pratique le brûlis pour qu'elles disposent de pâturage de qualité, sans buissons qui favorisent la transmission des tiques. Sans les brebis, pas besoin de foin, désertification des zones rurales, dons pas de coupe de bois et pas de brûlis pour préserver les pâturages! Voila, sans doctorat, je viens de démontrer ou veulent en venir les écologistes afin de s'approprier les terres des ruraux pour que soit préserver les loups qui coûtent a la société en 2012 l'équivalent du salaire de 3000 instituteurs, 2000 aides de vies scolaire et 300 professeurs de lycée, charges comprises!
Farid Benhammou, grand promoteur de la stigmatisation du pastoralisme y va de sa ritournelle:
L'élevage prétendument défendu contre le loup dans les Alpes du Sud s'inscrit depuis maintenant plusieurs années dans une logique nécessitant moins d'hommes et plus de bêtes, et ce, bien avant le retour de grands prédateurs.
Cette logique est valable pour absolument tout les corps de métier: Moins d'hommes plus de machines, c'est ce que nous imposent les politiques de tout les bords. Cependant le berger est de loin le métier qui reste le plus contraignant (même avant l'arrivée du loup) pratiqué par des passionnés qui vivent de et en accord avec la nature, tout en préservant avec les autres agriculteurs, l’indépendance du pays vis a vis des produits vitaux et la possibilité de retourner se réfugier dans nos montagne en cas de coup dur!(pollution radioactive ou chimique, conflit civil ou autre, crise économique sévère...)
des chercheurs de l'INRA répondent au docteur Benhammou :http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/ours/France/Rapports-Etudes-Reflexions/OURS-Inra-Benhammou.pdf
Pour les accros, les commentaires rares pour, et plus nombreux contre, le texte de M. Farid Benhammou
http://www7.inra.fr/dpenv/ope-c49.htm#loup
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