dimanche 6 juillet 2014

UICN, ÉCOLOGISTES : MENSONGES ET VILAINES MAGOUILLES


En marge des dérochements récents en France


WEI (Wolf Education International) rappelle que pousser des proies au-dessus des barres rocheuses est une tactique de chasse très courante chez le loup; que cela soit cerfs, chevreuils, moutons ou vaches.
http://wolfeducationinternational.com/wolf-hunting-techniquesdepredation/

Le défunt expert Professeur Dr Bibikov (une sommité de l'espèce)  : "Le loup" 1985. 600 pages (Nauka Publishers, Moscow.)
Page 501 ..
" Les loups en train de pousser leurs proies au-dessus d'une falaise. Une des méthodes de chasse les plus répandues dans les Caucases."


WEI. Wolf Education International.




L'UICN, alliée providentielle des écologistes prêts à tout pour assouvir leurs fantasmes 

Interview avec Luc Bas UICN Bruxelles (un des co-signataires de l'accord de cohabitation à la plateforme le 10 juin)

" Déjà aujourd'hui, il y a de nombreux exemples positifs d'une coexistence pacifique entre l'homme avec les grands carnivores en Europe, même dans des zones relativement densément peuplées et les zones d'élevage." ????

Toutes les informations en provenance de tous les pays nous démontrent le contraire!

"Beaucoup peut être fait pour trouver des solutions, entre réintégrer certaines pratiques pastorales oubliées depuis longtemps  et installer des clôtures électriques modernes."
autrement dit doubler le temps de travail et les investissements, sans pour autant revaloriser le produit fini afin de permettre aux pays qui n'ont pas de prédation ou qui utilisent des bergers esclaves sans protections ni acquis sociaux d'être les premiers sur le marché des produits issus de l'élevage.
Tout a été essayé sans résultat à moins de vivre comme des sauvages avec des hordes de chiens de protection dangereux...

 "Bien sûr, en raison de la longue absence des grands carnivores, la ré-adoption d'anciennes pratiques peut être un défi majeur pour des raisons sociales, culturelles, économiques et logistiques. Cela nécessite la volonté de changer, ainsi que de l'assistance technique  et un soutien économique."
" En tant que membre de la plate-forme, l'UICN se réjouit de jouer un rôle constructif dans cette initiative louable de favoriser un dialogue positif."
"Il n'y a pas de conservation sans conversation "

- Alors que dans tous les pays (France, Italie, Espagne, Suède....) le loup est en train d’achever le pastoralisme traditionnel,
- Alors que le constat sur les mesures de protection s'avère être un échec,
- Alors que des apprentis sorciers reçoivent des fonds publics pour  étudier toutes les fantaisies qui leur passent par la tête afin de pouvoir les imposer aux éleveurs et bergers, dans le seul but de gagner du temps afin que le loup s'installe définitivement au détriment de la vie rurale,
- Alors que les écologistes se targuent souvent des conclusions de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature...... 

L'UICN s'allie avec Syngenta, un des principaux producteurs d’insecticides 

- soutenu par le Copa-Cogeca ! :http://www.neonicreport.com/home/project-compass/ (Neonicotinoid seed treatment review published by Humboldt, supported by Copa-Cogeca, financed by Bayer and Syngenta.)

"C’est un communiqué d’apparence anodine, rendu public le 2 avril par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). La vénérable organisation de défense de la biodiversité, célèbre pour le maintien de sa « liste rouge » des espèces menacées, y dresse un sombre état des lieux de la situation des bourdons d’Europe, importants pollinisateurs : 30 des 68 espèces du genre Bombus présentes sur le continent y sont en déclin et 12 menacées d’extinction.« Le changement climatique, l’intensification de l’agriculture et les changements dans l’utilisation des terres agricoles sont les menaces principales auxquelles ces espèces sont confrontées", précise l’UICN dans son communiqué.

Rien, a priori, qui soit matière à polémique. Pourtant, sollicités par Le Monde, plusieurs chercheurs se montrent très circonspects sur la tournure du texte. A mots à peine couverts, certains y voient l’influence de pourparlers en cours entre l’organisation de protection de la biodiversité et Syngenta, un des principaux producteurs d’insecticides agricoles.
« Le mot “pesticide” n’apparaît qu’une seule fois dans le communiqué et encore au cinquième paragraphe, dans une citation attribuée à un responsable européen », grince un apidologue qui a requis l’anonymat. « Je n’ai jamais vu jusqu’à présent d’éléments clairs liant les déclins de bourdons et d’abeilles au changement climatique », ajoute Dave Goulson, professeur à l’université du Sussex (Royaume-Uni) et spécialiste de la biologie des pollinisateurs.
Ce n’est pas tout. Les solutions proposées par l’UICN dans son communiqué pour protéger les pollinisateurs sauvages sont précisément celles préconisées par les industriels de l’agrochimie : « mise en place de bordures et de bandes-tampons autour des terres agricoles riches en fleurs » et « préservation des prairies ». A aucun moment, l’UICN n’évoque la restriction d’usage de certains produits phytosanitaires – solution pourtant déjà partiellement mise en place au niveau européen, avec le moratoire en vigueur depuis décembre 2013, notamment sur trois molécules dites « néonicotinoïdes ».

Cet article qui discrédite l'organisme Mondial pour la Conservation de la Nature devrait nous rapprocher les uns des autres :

Les bergers et éleveurs à qui s'adresse ce blog, comprendront qu'ils sont une paille dans le processus de mondialisation

- Les écologistes qui défendent leurs idées en s’imaginant détenir la vérité ne pourront pas comprendre mais  pour ceux qui défendent leurs idées en tant qu'Etre humain il y a peut être de l’espoir:

Défendre le retour des prédateurs sans aucune concertation avec les populations concernées par l'impact de ces réapparitions relève du fanatisme.

Défendre le retour des prédateurs en s'appuyant sur le fait que nos ancêtres les ont supportés à leurs dépends alors que les citadins ne supportent pas une souris, voire une mouche, relève de l’intégrisme.

Défendre le retour des prédateurs en essayant de monter les peuples les uns contre les autres relève de la dictature.

Défendre le retour des prédateurs en se prenant pour le rédempteur relève de la folie.

Défendre le retour des prédateurs en s’appuyant sur les théories d'organismes, d'associations ou de scientifiques bien pensants, sans tenir compte de la réalité, ou en faisant sienne cette réalité, relève de l'inconscience et du totalitarisme.

Défendre le retour des prédateurs en participant activement aux contraintes physiques, morales, financières et psychologiques induites par cette réalité, aujourd'hui personne ne l'assume en dehors des populations concernées par la prédation.

Autre contradiction de l'UICN, et non des moindres:

"Les écosystèmes montagnards jouent un rôle important en matière de régulation des risques naturels (érosion, avalanches, éboulis) et offrent un refuge aux espèces remontant sous l’effet du changement climatique. Les montagnes sont des lieux recherchés par les touristes et présentent donc des services culturels importants. Ils permettent la pratique de multiples activités (randonnée, rafting, alpinisme…) et constituent également des lieux de détente et de bien-être.
  • La vision de la montagne par l’UICN est quelque peu étonnante. A se demander si ces penseurs de la nature y sont quelque fois allés. Pour eux, le rôle de la montagne est de :


    Réguler les "risques naturels (érosion, avalanches, éboulis)..."
  • Offrir "un refuge aux espèces remontant sous l’effet du changement climatique"
Vision plus que restrictive du rôle de la montagne dont ils estiment que ce sont des lieux :
  • "recherchés par les touristes"
  • Présentant "donc des services culturels importants"
Où est la protection de l'environnement ? Protection se marie avec "services"....
Et ces lieux permettent :
  • la pratique de multiples activités (randonnée, rafting, alpinisme…)
  • la détente et de bien-être
Autres services payants.... Manifestement, la recherche de la rentabilité de la nature.


L’UICN ne mentionne aucune activité traditionnelle en montagne. Le pastoralisme n’existe pas à ses yeux. Et pourtant, c’est l’activité première des montagnes et des vallées depuis des millénaires. Ce sont les bergers et leurs bêtes qui ont fait la diversité des paysages, entretenu des espaces ouverts et fermés, créé des chemins, construit des abris, etc…


La seule solution est de prendre son destin en main et de lutter pour que  la raison reprenne ses droits sur la dictature verte qui n'a rien à faire de la faune ou de la flore que nous avons su préserver dans nos montagnes !

3 commentaires:

  1. Le pastoralisme cause de très gros problèmes.

    => plusieurs millions d'euros de subventions pour un secteur en déclin

    => la viande de mouton qui est grasse et mauvaise pour la santé d'ailleurs on en consomme de moins en moins sauf lors de certaines fêtes

    => les ovins sont porteurs de maladies qu'ils transmettent à la faune sauvage : isards, chamois, bouquetins

    => surpaturage qui provoque une érosion

    Il faudra un jour ou l'autre se pencher sur ses sujets, débattre et présenter la facture aux bergers et éleveurs qui souillent nos montagnes avec leurs carnes dont personne ne veut.

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    1. " carnes don't personne ne veut" ????

      Donc, que mangez vous? les mures dans les campagnes en faisant un coucou a l'ours qui vous regarde d'un mauvais cote parceque vous mangez ses framboises?

      Une photo SVP de votre smart phone ou Ipad poir que nous puissions voir cettre rencontre bucolique du citadin, de l'ours et des framboises.

      Monique des Pyrenees

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  2. Voilà encore l'exemple type de la bêtise écologiste: Tout est subjectif, mensonge et diffamation, ce sont leurs seules armes!
    « Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air
    http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2014/01/limpact-dramatique-de-la-disparition-du.html

    Les canidés dont lupus, sont porteurs du ténia qui cause des ravages chez les herbivores. La contamination se faisant en dévorant des herbivores qui ont pâturés dans les prés ou les canidés ont déposés leurs déjections. Les larves transitant par les ongulés qui sont atteint de terribles maux et deviennent dés lors qu'ils sont affaiblis, des proies facile pour infester les prédateurs! la contamination n'ira que croissante!

    "L’agneau de Sisteron se porte bien. Tellement bien, que la progression continue, ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."

    Par ailleurs, l’agneau Label Rouge s’exporte et gagne des parts de marché dans la région languedocienne jusqu’à taquiner son homologue du Quercy sur les terres aveyronnaises.

    La filière ovine d'animaux de qualité manque d'agneaux et d'éleveurs:
    http://www.lafranceagricole.fr/cours-et-marches-agricoles/elevage/ovins/peu-d-apports-79152.html

    http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2014/01/les-ecologistes-font-parler-les-chiffres_17.html

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