vendredi 5 septembre 2014

LETTRE OUVERTE A M. LE COMMISSAIRE EUROPEEN

Monsieur le Commissaire Européen,

Pour faire suite à la plainte déposée par Gérard Charollois, Juriste, magistrat de l'ordre judiciaire, président du C.V.N. contre l'Etat Français, je tiens à vous faire connaître certaines de mes réflexions concernant ce document.

Vous trouverez en italique les points que je trouve éronnés ou diffamatoires ou à tendance xénophobe!


espèce présente en France depuis 1992/ / alors qu'un loup a déjà été tué par erreur au cours d'une battue en 1987, “les gardiens du parc ne disent mot face aux éleveurs qui se plaignent d'attaques de chiens”

en provenance spontanée d’Italie où elle est bien installée/ Alors que côté Italien dans le Mercantour personne n'avait de problème avec le loup avant les années 85!  Alors que la convention de Berne dans ces directives, recommande à l'Italie, je cite :" De faire respecter l’interdiction de posséder en captivité des individus de toute sous-espèce de Canis lupus et de les libérer dans la nature ; Alors qu'il était possible à l'époque de se procurer des loups dans ces élevages sans aucun justificatif, il semble qu'il soit autant difficile d’être sûr du retour spontané que de parler de sa réintroduction.  Alors que Gilbert Simon,   Directeur de la Nature et des Paysages du Ministère de l'écologie de 1992 à 1996, avait bien reconnu en 2003 devant une commission parlementaire que des lâchers clandestins avaient été réalisés dans les années 1980 dans les Landes" 

le loup a été très favorablement accueilli par l’opinion publique Française:/  alors que l'opinion  a soigneusement été tenue à l'écart de toute réalité concernant la prédation et les problèmes causés au pastoralisme traditionnel, respectueux de la nature et source de produits de qualité de proximité et de durabilité. Pastoralisme d'autre part reconnu comme favorisant la biodiversité en maintenant les milieux ouverts et en préservant des incendies, reconnu d'intérêt général comme activité de base de la vie montagnarde par la Communauté économique européenne, mais continuellement dénigré par les partisans de l'écologie animaliste extrême . Le loup, après avoir bénéficié d’un capital de sympathie très fort, est entrain de voire celui ci disparaître

mais combattu par certains milieux agro-cynégétiques obscurantistes./ là commence à se dessiner la véritable identité des auteurs de la plainte! Ce procédé de stigmatisation des populations minoritaires devra éveiller vos soupçons, quand au bien fondé de cette requête!

 Malgré l’indemnisation avantageuse des moutons prélevés par le loup/ 
 ces milieux s’agitèrent pour obtenir des pouvoirs publics des autorisations de tirs de loups./: voici une contradiction qui en dit long sur l’indemnisation avantageuse dans l'esprit d'un écologiste coupé des réalités. Car il ne s'agit pas de choisir le métier de berger pour nourrir le loup!. Personne, à part des  intégristes   pros-loups, n’accepterait de faire ce métier plusieurs fois millénaire, dans lequel il faut s'investir corps et âme, si ce n'était dans un but valorisant de produire des matières vitales de qualité, de proximité et de durabilité!

le refus est essentiellement culturel./: alors que la majorité des éleveurs et Bergers étaient prêt à cohabiter avec le loup tel qu'il nous avait été présenté, il est aujourd'hui inconcevable d'accepter cette conclusion à caractère diffamatoire et réductrice d'autant que notre revendication n'a d'autre but que de préserver nos modes de vie ruraux, qui nous permettent de vivre de et en accord avec la nature, tout en la préservant pour les générations futures! Un berger est forcément toujours sur un espace A protéger et il le sait.
Si vouloir garder des terres agricoles utilisables et en bonne santé,  de bons produits, les paysages de montagne tels qu'ils sont est synonyme de "refus culturel" dans ce cas, l'immense majorité de la population pratique le "refus culturel"

De nombreux actes de braconnages à l’encontre de l’espèce FURENT COMMIS/ Quelle sont les sources de cette affirmation ? La seule réalité est qu'aujourd'hui les loups attaquent de jour en présence des bergers et des chiens de protection, sans qu'il nous soit possible d'intervenir!

la MEUSE, département dans lequel un seul loup aurait été signalé./ Si il n'y a qu'un seul loup dans la Meuse, il faut immédiatement, devant l'ampleur des attaques, éliminer cet animal hors normes, en phase de devenir une nouvelle "bête du Gévaudan"

Ces mesures comportent une incidence déplorable en ce qu’elles alimentent les mythes obscurantistes,/ de nouveau la stigmatisation des populations qui souffrent autant de la prédation que de la vindicte des écologistes qui ont perdu tous sens des réalités!

alors qu’il serait du devoir des gouvernants d’élever le niveau des connaissances des populations concernées et de faire prévaloir l’impératif de favoriser la biodiversité./ Alors que les organismes scientifiques qui se sont penché sur la réalité du pastoralisme  sont unanimes pour dire : "« Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). »source CNRS + Université d’Ivry 

Par pure démagogie, le gouvernement confine les éleveurs – chasseurs dans leurs préjugés anachroniques et les conforte dans leur volonté d’aseptiser la nature./  Alors que le grenelle de l'environemment précise: 
"Enfin,  l’agriculture  de  montagne,  avec  un  certain  nombre  de  spécialités  parmi  les  plus  réputées, contribue au renom de la production agricole et alimentaire française et à la richesse nationale. 
Nul   ne   conteste   l’intervention   de   l’Etat,   puis   celle   de   l’Europe   depuis   plus   de   30   ans. L’approfondissement  de  la  politique  de  développement  durable  apporte  une  nouvelle  légitimité  aux aides à la montagne, qui « rémunèrent » les  externalités positives de  l’entretien de la nature, de  la biodiversité et des paysages par l’agriculture et la forêt, dont la contribution aux équilibres sociaux, économiques  et  écologiques  en  montagne  est  tout  à  fait  essentielle  et  dépasse  le  seul  cadre géographique de la montagne". 
Elle fait une guerre aux bactéries même celles qui donnent leur goût aux fromages.
Elle robotise le vivant en obligeant les éleveurs à marquer leurs troupeaux d’une puce électronique.
Elle oblige à concentrer les animaux dans des abattoirs centralisés ou ils connaissent un très fort taux de stress.
Elle interdit aux agriculteurs de semer des graines issus de leur propre production, c’est à dire qu’elle les contraint délibérément à la dépendance face aux semenciers industriels.

En effet, après les fantasmes contre les loups, émergent désormais, dans certains milieux ruraux, des rumeurs fantaisistes contre les vautours./ le refus de prendre en compte ce que disent les témoins d'attaques de vautours montre à nouveau à quel point la parole des éleveurs n'est pas prise en compte, alors que en Espagne on peut lire:  " Le problème est réel, reconnu par les Gouvernements des Autonomies comme par les spécialistes de cet oiseau," source 
Ici une vidéo montrant des vautours qui attaquent un veau a la naissance! 

Avec l'assurance de ma meilleure considération, et la confiance que je porte en la justice de la communauté Européenne au service du peuple!

Ouragan , pour:





6 commentaires:

  1. Le loup est une espèce protégée en France. Sa population est extrêmement faible environ 200 animaux contre plus de 2 000 chez nos voisins espagnols ou italiens.
    Les animaux tués par le loup sont systematiquement remboursés sachant que le benefice du doute quand la prédation n'est pas forcément avérée revient au bénéfice de l''eleveur.
    Même avec cela les pertes liées au loup représentent moins de 1% des ovins tués dans les Alpes françaises chaque année.

    Le loup est devenu le bouc émissaire d'un pastoralisme subventionné qui a trouvé là une nouvelle source de revenus.

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    1. D'entrée ça pue le mensonge et la propagande
      Chiffre officiel en France 301 loups (faut oser le publier d'ailleur), chiffre officieux en France 700 loups
      Chiffre officiel en Italie 700 loups. Chiffre officieux en Italie plus de 1500 loups
      Pour l’Espagne je n'ai pas de sources officielles donc je ne dis rien!
      Prendre un chiffre inférieur a l'officiel en France pour le comparer a un chiffre supérieur a l'officiel Italien, faut oser

      L'indemnité ne couvre pas les frais à tel point que les éleveurs ne déclarent plus les attaques avec faible prédation. Trop de papier, de temps et de frais pour si peu!

      Et dernière contradiction de taille, pourquoi devrions nous nous battre contre le loup puisque nous en tirons du bénéfice.? seul pour un écologiste, le loup peut sembler être une source de revenus, pour nous c'est la disparition d'un mode de vie que personne ne choisira pour l'abondance de ses revenus!

      Ce qui est maintenant prouvé fut jadis imaginé, mais pour un écologiste, ce qu'il imagine ne sera jamais prouvé!


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    2. "The total number is estimated to be 100-120 wolves, increasing on average by 10% per year."

      Date de l'établissement du constat 11/02/2006
      année de publication 2007

      Dés que je les retrouve, je vous donnerez les chiffres officiels de 2006 par l'oncfs qui sont évidemment bien en dessous de ceux de l'UICN, ce qui confirme la manipulation relayée par notre anonyme sur de détenir la vérité sans aucune preuve autre que des manipulations
      http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/07/la-preuve-de-la-manipulation.html

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  2. L’espèce n'est absolument pas protégée par L'UNION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DE LA NATURE, en Europe et dans le monde! Il est classé non concerné par aucune mesure de protection, ni vulnérable, ni en voie de disparition.
    - l'espèce n'est menacée ni au niveau mondial ni aux niveaux européens (Voir la liste de l'IUCN Monde, "Status and distribution of european mammals", page 29).

    - ce dont on parle ici c'est d'une population : "ensemble d'individus d'une même espèce vivant en un même lieu", c'est cette population qui serait alors à préserver, cette population et non l’espèce.

    - l'espèce, elle, n'est pas plus menacée aujourd'hui que lorsqu'il n'y avait pas de loup en France. Elle ne le serait pas davantage s'il n'y en avait pas ou plus !

    - sa présence n'est même pas indicatrice de la qualité biologique des milieux qu'il fréquente. Dans la plaquette du projet UE LIFE-Coex, on y lit : "Les loups sont des prédateurs généralistes et opportunistes. [...] Ils vivent dans différents types de milieux et leur vaste distribution démontre l’adaptabilité de l’espèce aux conditions écologiques les plus diverses."

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    1. Voilà ce que dit l'Union internationale pour la conservation de la Nature

      http://www.iucnredlist.org/details/3746/1

      Je cite "2. Western-Central Alps
      Endangered (D). The Alpine population is the recent outgrowth of the Italian wolf population and it is still numerically small. Though it is increasing fast, it is currently estimated to be 100-120 animals, and it has limited genetic and demographic contacts with the adjacent population of the Apennines (less than one successful migrant per year, meaning that it qualifies as a subpopulation under IUCN Red List guidelines). Its small size justifies the assessment in category Endangered."

      Le loup est donc classé comme espèce en danger en France que cela vous plaise ou non.


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  3. m^me réponse qu'a l'autre anonyme ci dessus, année de publication 2007 d'un rapport de 11/02/2006
    Vas falloir reprendre des cours de manipulations si vous voulez un poste important dans la dictature écologiste!

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