- L’Europe privilégie les loups et les vautours aux éleveurs - 07 septembre 2014 | Par Françoise Degert
- Risque mortel : Conséquence du loup, un berger poussé par son troupeau - 4 septembre 2014
- Rumeurs et vérités sur le loup en France et ailleurs
- Aider pour cohabiter - Juin 2013
- Les chiens de protection Patou face à l'ours - 2 septembre 2014
- Le businesse des chiens de protection avec ces éleveurs qui cherchent à placer leur production de Patou subventionnés par l'Etat.
- Université de la transhumance .... Dans la droite ligne des objectifs de la plateforme européenne pour la coexistence avec les grands carnivores. D'autres actions européennes seront programmer pour faire accepter le loup, notamment par le COPA-COGECA. Voir ci-dessus l'article de Françoise Degert Voir ici : http://www.pyrenees-pireneus.com/Environnement/Institutions-Commissions/Union-Europeenne/Plateforme-Europeenne-Coexistence-Population-Grands-Carnivores/Plateforme-Europeenne-sur-coexistence-entre-Populations-et-Grands-Carnivores.php
- Mercredi, réunion technique du GNL sur les moyens de protection. Encore une palabre pour rien depuis plus de 20 ans. Plusieurs associations et organismes refusent d'y participer. Les syndicats seront-ils les seuls à collaborer avec ceux qui veulent imposer des loups ?
Le pastoralisme ? Non merci
RépondreSupprimerIl est temps que l'Etat arrête de subventionner le pastoralisme. Des millions d'euros pourraient être économisés pour développer des secteurs qui créent de l'emploi.
La fermeture des milieux permettra à la filière bois de se développer et de créer de l'emploi en montagne.
Le loup pourra devenir un animal chassable moyennant le paiement d'une licence. Cela existe déjà dans certains pays. Cela permettra de générer un vrai revenu pour les populations qui vivent dans les zones à loup.
Le pastoralisme lui n'apporte rien, loup ou pas il faut le subventionner le porter à bout de bras. C'est une activité vieillissante. Dans 10-15 ans on ne parlera plus de tout cela. Regardons vers l'avenir.
les formes d’élevage largement déployées sur l’espace pastoral apparaissent ainsi comme les mieux adaptées pour proposer des produits « naturels » et locaux, mais les plus vulnérables face à l’implantation d’une importante population de loups.
SupprimerLe niveau de ce commentaire est tellement "élevé" que je ne veux pas rater l’occasion, dés que j'en ai le temps, d'écrire un article qui démontrera une fois de plus la véritable identité des écologistes
RépondreSupprimerJe ne suis pas un ecolo
RépondreSupprimerHa merde, voilà que les promoteurs du loup ne sont plus écolos!
RépondreSupprimerPourtant, le président de l'association pour la protection des animaux sauvages est "forestier" étonnant non?
Pour justifier leurs fantasmes les pastorâleurs n'hésitent pas à inventer un monde imaginaire coupé de la réalité.
RépondreSupprimerLes hordes de loups qui détruisent tout sur leur passage. Les vautours qui deviennent carnassiers.
Bientôt on aura droit aux marmottes tueuses.
Tout ça pour ramasser de l'argent.
pour ramasser de l'argent il faut que le loup reste protégé, ce qui n'est pas a l'ordre du jour chez les bergers!
Supprimerpour ramasser de l'argent le loup est une aubaine pour les association, a tel point que se rpofile la secte des adorateurs du loup
pour changer, voici une vidéo d'attaque de vautours sur des brebis
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=3VimEgWAI1I
et sur des bovins:
http://france3-regions.blog.francetvinfo.fr/pyrenees/2014/09/05/video-face-aux-vautours-la-vache-protege-son-veau.html
Ce qui est prouvé aujourd'hui a été imaginé hier, mais pour un écologiste ce qui est prouvé aujourd'hui reste une énigme!