vendredi 28 novembre 2014

LOUP, HYBRIDES? OU EN EST ON?

Voici une petite récapitulation de ce qui se fait en France et en Europe pour contrer la folie des financiers qui se cachent derrière la protection de la nature!

DANS L'ORDRE DE PUBLICATION/ sauf erreur de ma part? avec des extraits de chaque publication:

LE LOUP DES VOISINS
"... L'hybridation entre différentes espèces, ou entre individus appartenant à des sous-espèces de la même espèce, se produit dans la nature depuis des temps immémoriaux. Quand elle est causée par l'intervention de l'homme, l'hybridation peut produire des individus susceptibles d'avoir un impact sur les animaux sauvages correspondants ou sur les activités humaines qui se déroulent en milieu anthropisé. C'est le cas de l'hybridation entre loup et chien.

LE LOUP DANS LE HAUT DIOIS:
Les apprentis sorciers s'apercevant qu'ils ne maîtrisent rien, essayent aujourd'hui de réparer leurs incompétences par le biais de la modification de la convention de BERNE, sur le dos du pastoralisme, comme il se doit, mais aussi sur celui de la biologie et de la sécurité publique. Mais, comme dit le proverbe, quand on aime on ne compte pas!

Si cette modification est adoptée, elle devient transposable immédiatement dans la directive habitat et ne pourra plus être retirée.  5 mois après la signature pour la cohabitation par les syndicats qui s'engagent à respecter et appliquer cette directive habitat!

LE MONDE DES PYRÉNÉES/ 
Face à la prolifération des loups, essentiellement hybrides, en Europe, les apprentis sorciers tentent de de couvrir leurs méfaits ayant conduit à la prolifération incontrolable de ce prédateur. Compte tenu du développement de la contestation des populations humaines hostiles au loup dans pratiquement tous les pays d’Europe et d’une volonté d’éliminer ces loups dont, dans de nombreux cas, les origines proviennent d’élevages prévus à larecommandation n°17 de la Convention de Berne non reprise dans le projet de recommandation de conservation des hybrides, certains fanatiques de l’ensauvagement des territoires tentent de renforcer leurs actions par une nouvelle recommandation de la Convention de Berne qui constituerait un arrêt de nombreuses activités humaines. Mais à quel coût humain, social, économique et environnemental ? Quel avenir pour la notion de développement durable ? Est-ce vraiment compatible avec les objectifs d'origine prévus dans cette convention notamment son article 2 ?

FÉDÉRATION DES ACTEURS RURAUX/
5) l'administration semble avoir été au courant dès le début car il suffit de lire la convention de berne pour s'en douter, la collaboration avec le corpo forestale et les équipe de Boitani semble accréditer les certitudes sur une connaissance il y a plus de 20 ans par l'administration française de la pollution des populations de loup par des batards, pour la ligné italienne, mais aussi pour d'autres qui ne sont donc pas protéger.

ÉLEVEURS ET BERGERS DU VERCORS/
Nous sommes consternés d'apprendre les propositions visant à clarifier les dispositions et obligations de la Convention de Berne (art. 6) et à accorder, dans les législations nationales, un niveau de protection aux "hybrides du loup et du chien" équivalent à celui du loup.

A savoir ; le projet de classer les hybrides en protection stricte pour la majorité des pays signataires

Encore une fois, les propositions ont été réalisées avec la collaboration des spécialistes partiaux du LCIE qui, jusque-là, ont pourtant montré toute leur incompétence à gérer l'impossible cohabitation entre loups et élevages extensifs, y compris le problème incontournable d'hybrides en zones pastorales.

L’Union internationale de conservation de la nature (UICN) et le lobby européen en faveur des grands carnivores (LCIE) veulent étendre la protection du loup aux hybrides, autrement dit aux loups chiens et chiens loups.  Comment y parvenir ? Tout simplement en modifiant  la Convention de Berne portant sur la protection des espèces sauvages. Un projet de modification écrit sous leur dictée sera en effet présenté au Comité permanent de la Convention de Berne, qui doit se réunir du 2 au 5 décembre prochain à Strasbourg.
L’affaire serait passée inaperçue sans la vigilance du réseau des éleveurs
Pourquoi une telle précipitation ? Parce que l’imposture commence à être dévoilée : les loups qui recolonisent l’Europe ne sont pas sauvages, mais de vulgaires hybrides. Non pas issus du croisement entre espèces naturelles (comme le coyote et le loup donnant le loup rouge aux Etats-Unis), mais du croisement entre une espèce sauvage et une espèce domestique.  Ces hybrides sont donc pollués génétiquement, comme l’est le « cochonglier »  issu d’un porc domestique et d’un sanglier. 

Vendredi 28 novembre, à 17h, les éleveurs et bergers tiennent une conférence de presse exceptionnelle réunissant en urgence et pour la première fois tous leurs représentants à la Maison Régionale de l'Elevage;
Du 2 au 5 décembre, sera étudié à Strasbourg un projet d'extension du statut de protection de la Convention de Berne aux hybrides du loup. Les éleveurs demandent l'abandon immédiat de ce projet mené sans concertation, dans le plus total déni démocratique. Contraire à la défense de la biodiversité, il constitue une menace inacceptable pour l'élevage. On sait que ces hybrides attaquent davantage les élevages et peuvent même être dangereux pour l'homme.

je constate tout d’abord que cette recommandation est en totale contradiction avec l’annexe de la recommandation 17 de la Convention de Berne : « les populations de loups se sont peu à peu différenciées en sous-espèces qui sont génétiquement adaptées aux différents types d’environnement. Il est capital que ces populations locales soient maintenues à l’état sauvage dans leur milieu naturel. »
L’Italie, où l’hybridation est déjà bien présente, a constaté des comportements de prédateurs déviants et encore plus agressifs que les loups purs. Il sera par ailleurs concrètement impossible de déterminer et donc de surveiller un degré de croisement entre les espèces. Cette modification reviendra donc à terme à protéger également les loups et les chiens errants.
ÉLEVEURS ET MONTAGNES/
Vendredi 28 novembre, les éleveurs ont tenu une conférence de presse exceptionnelle, en présence des organisations et associations suivantes :
Association Eleveurs et Montagnes, Fédération Nationale Ovine, Fédération Régionale Ovine Sud-Est, Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles, Jeunes Agriculteurs PACA, Confédération paysanne, Coordination rurale, Associations des Bergers de Provence et des Alpes du Sud, Chambre régionale d'agriculture PACA, Maison régionale de l'élevage et avec le soutien total de ceux qui sont trop loin pour être présents: le CNRH, l'Association Le Cercle, Jean Lassalle, président de « Des racines et des Hommes » et José Bové, député européen EELV. 

Nous demandons la mise à disposition publique des analyses génétiques et de toutes les données scientifiques permettant de justifier qu'il s'agit de loup ou non. Nous demandons la transparence totale sur l'analyse de référence permettant de prétendre qu'il s'agit d'un loup italien.
Nous exigeons la même transparence sur le loup italien. Nous demandons la réhabilitation des chasseurs et des éleveurs qui, dans le passé, ont été condamnés.


HAUTES PROVENCE/
"Aujourd'hui le loup est dans toute la France, et les éleveurs, sont tous solidaires, car si cela continue il n'y aura plus de mouton, plus de berger, et toute une filière va disparaître", a expliqué Francis Soldaprésident de la FROSE (Fédération Régionale Ovine Sud-est).  Leur crainte va au-delà aujourd'hui et un texte européen pourrait accroître leurs problèmes.
En effet, le Comité Permanent de la Convention de Berne qui se tiendra à Strasbourg du 2 au 5 décembre, étudiera un projet d'extension de la convention sur les croisements entre les loups sauvages et les chiens, les loups hybrides. C'est-à-dire que les loups hybrides seraientprotégés, au même titre que les loups sauvages.

FEDERATION DES ACTEURS RURAUX/
Il est donc évident que si ce texte est adopté, il n'y aura qu'un seul et unique article qui sera applicable, l'article 4, qui donnera aux « croisés » une protection égale à celle du loup aujourd'hui. Ce sera une épine de plus dans le pied des éleveurs et des bergers, qui n'auront désormais plus le droit de se défendre contre les attaques de canidés qui ne sont pas des loups, de peur que après analyses, on puisse déceler un « gène  »qui les classeraient immédiatement: hybrides protégés .

A SUIVRE



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