mercredi 2 mars 2016

LOUP, DANS LES VOSGES, DES ÉLUS TIENNENT COMPTE DE L'EXPÉRIENCE DES ÉLEVEURS DES ALPES

Des élus de la communauté des communes de NEUFCHÂTEAU  qui prennent leurs responsabilités, tout simplement et avec lucidité.


Le dossier sensible et très clivant (du loup) a pris ces derniers jours une autre dimension". Ces mots sont signés Christian Franqueville, député de la quatrième circonscription des Vosges, dans un courrier adressé ce mardi à la Ministre de l'Environnement, Ségolène Royal, à la suite de nouvelles attaques du loup dans des élevages de l'ouest vosgien.
 http://www.magnumlaradio.com/economie-societe/article/7505-vosges-des-elus-se-mobilisent-contre-le-loup-apres-de-nouvelles-attaques.html

Rien à voir avec les élus EELV du Grand Est dont voici la photo de propagande pour les Européennes
Notre avenir, notre biodiversité, notre Europe
une photo qui en dit long sur le mépris de la faune sauvage, du loup, et de ceux  a qui s'adresse le message.
Restons tout de même vigilant. Dans le malheur et le désespoir, des éleveurs Vosgiens ont tendance à proposer le zonage et à se désolidariser des éleveurs des Alpes qu'ils ont ignorés jusqu'au jour ou ils se sont sentit concernés : "Franck Duval persiste et signe dans cette plaine des Vosges où l’élevage constitue bien une activité économique : « Le loup n’y a pas sa place ».
 "Philippe Gellenoncourt, « la biodiversité c’est bien, mais elle doit avoir des limites, la réintroduction du loup en plaine n’a pas lieu d’être."

Hors les prédateurs n'ont leur place dans aucune zone d'élevage, ne l'oublions pas et restons  solidaire, sinon le loup aura de beaux jours devant lui.
  La réintroduction des loups n'a pas lieu d’être, ni en plaine, ni en montagne ni ailleurs.

 ​L'ensemble de ceux qui sont solidaire des éleveurs et bergers de tous les pays s'associent pour condamner de telles positions.

Les éleveurs Lozérien ont été les premièrs à proposer le zonage

 ÉCOLOGISTES ET BERGERS D'ACCORD SUR UN POINT!
Les écologistes ne veulent pas du zonage car ils veulent le loup partout.
Les éleveurs et bergers se voient contraint après avoir subit plus de 20 ans de mensonges, de diffamations et d'affirmations contradictoires, de refuser le loup, donc de refuser le zonage, solution inconcevable à l'esprit de solidarité qui nous habite.




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