Ce message de réconfort à destination des éleveurs et du berger ayant perdu 209 brebis pourrait s'adresser à tous les éleveurs et bergers qui depuis 20 ans subissent des attaques, les uns du fait des ours les autres du fait des loups. Des milliers de victimes dans des conditions épouvantables, des éleveurs et des bergers désespérés , la détresse des uns, l'inconscience des autres et l'idéologie.
OUI notre métier fait face à un de ses plus grands défis. Nous avons surmonté l'exode rural, la brucellose, les crises économiques, nous devons nous unir car le défi est bien plus grave puis que c'est un choix de société. Il faut comprendre que l’État n'a pas une " mauvaise gestion du dossier", il a une gestion délibérée et guidée par une poignée d'idéologues qui poursuivent non pas l'intérêt des loups (sinon ils n'auraient jamais accepté l'hybridation) mais la désertification de nos territoires au profit d'une nature prétendue sauvage. A. JOUVENT
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Ce message de réconfort à destination des éleveurs et du berger ayant perdu 209 brebis pourrait s'adresser à tous les éleveurs et bergers qui depuis 20 ans subissent des attaques, les uns du fait des ours les autres du fait des loups.
RépondreSupprimerDes milliers de victimes dans des conditions épouvantables, des éleveurs et des bergers désespérés , la détresse des uns, l'inconscience des autres et l'idéologie.
OUI notre métier fait face à un de ses plus grands défis.
Nous avons surmonté l'exode rural, la brucellose, les crises économiques, nous devons nous unir car le défi est bien plus grave puis que c'est un choix de société.
Il faut comprendre que l’État n'a pas une " mauvaise gestion du dossier", il a une gestion délibérée et guidée par une poignée d'idéologues qui poursuivent non pas l'intérêt des loups (sinon ils n'auraient jamais accepté l'hybridation) mais la désertification de nos territoires au profit d'une nature prétendue sauvage.
A. JOUVENT