BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

mardi 31 décembre 2013

MEILLEURS VŒUX,

QUE L’ANNÉE 2014 VOUS SOIT ¨PROPICE.......


MONTAGNE DE L'AUPE DANS LE HAUT DIOIS


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POUR CETTE NOUVELLE ANNEE.
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Pour que nos enfants vivent et travaillent au Pays.

Pour que nos arrières pays méditerranéens continuent d'être entretenus en prévention des incendies.

Pour que nos montagnes soient de moins en moins endeuillées par les avalanches.

Pour que nos coqs, cloches, sonnailles et clarines continuent de résonner dans nos campagnes.

Pour que nos services publics et services de proximité, commerces, écoles, santé, pompiers, déneigement, se maintiennent auprès de nous.

Pour la défense de la qualité de nos produits, de notre terroir ainsi que de nos traditions.

Pour que nous puissions faire front commun face à l'adversité.

Pour au moins toutes ces raisons, sous cette forme et sous d'autres:

Nous ne devons pas accepter que des prédateurs à quatre comme à deux pattes viennent nous dicter notre façon de vivre et de travailler au Pays.

Aucun combat n'est perdu d'avance, ne pas l'engager... promet la défaite.


Bonne Année à tous !

Yéty 05 berger salarié

Bonne et heureuse année !
Buon anno !
Feliz año nuevo !
Glückliches neues Jahr !
Gott Nytt År !
Godt Nyttår !
Onnellista uutta vuotta !

samedi 14 décembre 2013

TÉMOIGNAGE DE BERGERS ITALIEN

BERGERS, LOUPS ET BREBIS
Les bergers exigent un rôle social et culturel pour la montagne
LOUPS ET BERGERS : laquelle des deux espèces est en voie d’extinction?
Quelques réflexions sur les conséquences du retour des loups sur les Alpes
occidentales.

Nous sommes par vocation des bergers de brebis. Nous sommes des gens de
montagne, les porteurs d’une culture, d’une langue ancestrale, d’un héritage millénaire.
En même temps que les bergers et leurs brebis, c’est la montagne dans son
ensemble qui est en train de mourir, une culture qui ne saura jamais être remplacée. Les
loups ne tuent pas seulement des brebis et des veaux. Les loups font disparaître une
culture, notre culture alpine.
Nous considérons que c’est le devoir de ceux qui nous représentent en politiciens
et en syndicalistes de faire un choix qui assure la survie de la vie montagnarde.
Du point de vue démographique il en restent très peu de nous, mais néanmoins
nous relevons toujours le défi et nous ne nous considérons des perdants. Nous ne quêtons
non plus des remboursements ou des subventions. Tout simplement nous demandons de
continuer à demeurer des bergers sur nos montagnes, tout comme nous le sommes depuis
toujours, les porteurs d’une culture, d’une langue, d’une identité qui constituent une
richesse pour l’Italie et pour l’Europe entière.
Les loups tuent nos animaux, mais la faute n’est pas aux loups, elle est à ceux qui
ont choisi de protéger les loups en oubliant de protéger les bergers; la faute est à un choix
politique, qui se soucie de la seule facette écologiste, mais a tout à fait oublié ceux et
celles qui ont toujours vécu et continuent de vivre sur la montagne. La faute est aussi aux
associations de catégorie, qui nous ont quelque peu oubliés, dans notre rôle de bergers et
de gens de montagne, car nous comptons pour très peu point de vue numérique et
économique.
Nous considérons que le choix de réintroduire les loups, qui plaît tellement aux
gens qui demeurent dans des villes, n’a pas de conséquences néfastes seulement pour les
bergers. Nous demandons à être respectés et protégés en tant que bergers et gens de
montagne parce que c’est bien nous, les bergers, qui sommes la véritable espèce en voie
d’extinction.
Nous le demandons au nom de toute la montagne et de notre civilisation alpine
dont nous nous considérons les héritiers.

Mario Durbano
Anna Arneodo



DU NOUVEAU DANS LA MANIPULATION

FAUNE. Vingt ans après sa réapparition, la France crie au loup


Lire l'article sur LE PROGRÈS  Publié le 17 décembre 2012

Eric Marboutin  en decembre 2012 "« Il se plaît en France, indique Eric Marboutin, responsable des études sur les loups et les lynx à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Aujourd’hui, on estime à 250 le nombre d’individus qui sont installés sur le territoire français. Ce chiffre progresse d’environ 25 % par an. Biologiquement, l’espèce peut faire mieux, mais c’est davantage qu’en Espagne ou en Italie par exemple. »"

A comparer avec juillet 2013 Eric Marboutin, chef de projet du Réseau loup de l'ONCFS .  Selon l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la présence de groupes de loups sédentarisés est ainsi attestée dans l'Oisans, le nord de Belledonne, le Vercors et le Taillefer. «On ne peut donner qu'un nombre minimum d'animaux détectés car on suit les empreintes et ils marchent parfois dans les mêmes traces, explique Eric Marboutin, chef de projet du Réseau loup de l'ONCFS250 loups sont aujourd'hui recensés en France, dont 95 % dans les Alpes. On a environ 20 % d'accroissement annuel

En juillet 2013, 95% dans les alpes ( donc 13 loups hors des alpes), en décembre 2012 ils sont en pleine expansion "« Si l’on excepte l’homme, le loup n’a pas de concurrent direct, poursuit Eric Marboutin. La place est libre. Cela explique en partie son expansion. C’est aussi un animal qui s’adapte bien à de nouvelles conditions de vie."
Et le journal de poursuivre "L’aire de répartition ne cesse de s’étendre. Le nombre de zones de présence permanente (ZPP), là où le loup est observé pendant au moins deux années consécutives, est passé de 27, l’an dernier, à 29 dans le dernier bilan de l’ONCFS. Parmi elles, 19 abritent des meutes bien constituées. Des Alpes, des individus ont notamment rejoint les Pyrénées Orientales et de nouveaux foyers sont apparus dans les Vosges."

Toutes ses informations sont peut être des erreurs de transcriptions des journaux, mais je vous conseille de les comparez avec l'article paru dans 20 Minutes le 10 juillet 2013

La réponse de M. Eric Marboutin: "A l'attention d'Ouragan: je n'y suis pour rien si certaines années les effectifs de loups augmentent plus ou moins que d'autres années: c'est une grande banalité "biologique" observée sur toutes les espèces sauvages qui vient de la variabilité d'une année à l'autre du bilan des naissances, et de la survie des animaux. La croissance moyenne de 20% (avec un intervalle de confiance qui va de 7% à 33%, donc oui, celà peut augmenter bien plus que 20% certaines années, ou bien moins d'autres)est le résultat de l'analyse de la série des valeurs d'effectifs faites par l'équipe suédoise sur les données françaises durant la période 1995 - 2012; cette analyse était la phase préalable au calcul des "quotas" de loups réalisés aussi par cette équipe suite à la venue de l'expert suédois Olof Liberg en France en fin d'année dernière (le tout su demande du ministère en charge de l'environnement).

On ne se mouille pas trop a l'ONCFS

Suite a une réunion avec les administrations, début août 2011 les représentants de l'association des éleveurs et bergers du Vercors drome Isère ont présenté ce tableau à monsieur Eric Marboutin pour savoir si ils avaient bien compris le taux de 29,5 %
 La réponse fut par l'affirmative, mais il convient d'émettre les réserves du bas de ce tableau car c'est du vivant

année effectif de loup taux 29,50% 
1992           2             0,295 
1993           2,59        0,295 
1994           3,35405  0,295 
1995          4,34349   0,295 
1996          5,62483   0,295 
1997          7,28415   0,295 
1998          9,43297   0,295 
1999        12,2157     0,295 
2000        15,8193     0,295 
2001        20,486       0,295 
2002        26,5294     0,295 
2003        34,3556     0,295 
2004        44,4905     0,295 
2005        57,6152     0,295 
2006        74,6117     0,295 
2007        96,6221     0,295 
2008      125,126       0,295 
2009      162,038       0,295   effectif officiel retenu: 164 (source DREAL) 
2010      209,839       0,295   194 ( officiel ministère de l'écologie et de l'agriculture)
2011      271,741       0,295      la population totale estimée via la méthode dite de capture marquage recapture (CMR) est d’environ 250 individus (hiver 2011/2012 ), ( officiel ministère de l'écologie et de l'agriculture)

Jusqu'en fin 2011 début 2012, les chiffres sont très proches entre organisme d'état et calcul sur le tableau validé par l'oncfs. 

Hors mystère, depuis fin 2011 il y a toujours 250 loups. Malgré le taux de croissance revus à la baisse par l' oncfs en 2012 à 25%, puis à 20% en 2013 ( voir en début d'article)le nombre de loup devrait enregistrer une augmentation, même moins importante???  
Quand on parle de taux de croissance, on tient compte de la mortalité, des variations peuvent intervenir car ce sont des données sur des animaux sauvages difficiles à maîtriser, mais pas un loup de plus?  Toujours 250 et officiellement dans le double de départements et plus du double d'attaque . Chercher l'erreur ne devrait pas poser de gros problème!

Voir l'ensemble du tableau de croissance sur la F.A.R.

Le comble vient d’être atteint le PARIS, 10 avr 2014 (AFP) : Mais soulignant que la population des loups en France, actuellement d'environ 250 bêtes, « s'accroît très rapidement, autour de 20 % par an » 

ci dessous on voit bien l'évolution des attaques alors que le nombre de loup reste à 250 dans les 2 dernières annèes

une autre vue de la preuve de la manipulation


les derniers chiffres qui confirment:
Chiffre officiel du nombre de loup en France et chiffres officiels des victimes loups:

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés

Merci de m'avertir en cas de changement!

De plus en plus de fuite émanant du milieu officiel, par des agents qui prennent conscience de la gravité de la situation, font état de la présence de plus de 750 loups sur notre territoire.  

lundi 2 décembre 2013

QU'EN EST IL DU LOUP EN 1897

A propos de ce loup qu'un chasseur brestois a vu ou cru voir aux environs de Crozon, nous constations l'autre jour que, depuis plusieurs années, les loups avaient entièrement disparu de notre département. 
Il n'y a pourtant pas si longtemps encore que ces fauves étaient la terreur des campagnes bretonnes. Malheur aux fermes qu'ils visitaient! Leurs visites étaient aussi désastreuses qu'une épizootie pour les malheureux paysans dont ils décimaient les troupeaux. Et quelles émouvantes rencontres ils menageaient la nuit aux passants attardés! Au coin du feu, les histoires de loups faisaient suite aux histoires de revenants dans le programme des longues veillées d'hiver. 

La réalité fut autrefois au moins aussi terrible que les contes.

Et dire que les histoires de loups ont effrayé notre enfance ! C'est tout au plus si nos enfants voudront croire à l'existence des loups.

écrit en 1897

Lire l'article sur Crozon - Bretagne

Autre son de cloche dans les Pyrénées:

ce passage résume tout ce qui pose problème aujourd'hui à l'inverse de ce que veulent nous faire croire les intégristes pros loups:
 "Ce sont surtout les bêtes à laine qui étaient la proie des loups, mais aussi les jeunes bêtes à cornes et les chevaux. Salaberry signalait cet aspect au ministre, en 1824 : "le bétail à laine et les chèvres sont les plus exposés à ses ravages ; les porcs , les ânes, même les génisses et les bouvillons jusqu'à l'âge de deux ans sont de sa partie. Le cheval le plus fougueux se laisse surprendre par l'adresse : le loup, appuyé sur son derrière , le saisit au museau pendant qu'il le flaire et, à force de le faire tourner, il parvient à l'abattre et à en faire sa proie". A la différence des ours , les loups égorgent toute une partie des troupeaux sans vrai motif alimentaire et il peut se trouver cinquante à soixante brebis mortes."

ESPAGNE EN 1900 On comprend sans peine que les communautés rurales d’Asturias, de Cantabria et de Castilla-León soient encore aujourd’hui fréquemment en contact avec les deux espèces. Dans cette zone rurale à hiver rude, les dégâts causés par les deux « grands prédateurs » sont remarquables — précisons qu’en 1924, sur la seule « province de Santander [située dans l’autonomia de Cantabria] qui couvre 5 300 km2, la perte de 1712 moutons, 679 chèvres, 677 chevaux et ânes, 437 vaches et 21 porcs » fut attribuée aux loups (Delibes 1990, 47 : 22). source :  http://librairie.immateriel.fr/fr/read_book/9782738010223/e9782738010223_c03

samedi 30 novembre 2013

DIVISER POUR MIEUX RÉGNER

Chers amis fervents défenseurs du zonage,

vous êtes infiltrés de tous les côté par des pro-loups, dont vous êtes les marionnettes. 

Le zonage qu'il vous semble avoir inventé, était écrit dés 1997 (voir PJ, Merci à Bruno Besche pour son excellente synthèse). Seulement voila, le zonage porté par les défenseurs des grands prédateurs n'aurait jamais été accepté par le milieu rural. Donc il fallait trouver un cheval de Troie. Pas de bol, c'est tombé sur vous!

L'idée de génie, c'est de faire porter ce projet de zonage en montant des agriculteurs contre des agriculteurs. Diviser pour mieux régner.  

Maintenant, regardez la réalité en face: il y a 2 ans que vous êtes confrontés au problème du loup. En toute honnêteté, croyez-vous que vous avez le recul suffisant pour juger de la situation et surtout juger et condamner les Alpins?

Votre sénateur Bertrand qui veut repousser le loup sur "les crêtes des Alpes", est-ce qu'il est au courant que la région PACA est la seule région française où l'élevage ovin progresse en terme prix et de rémunération? Vous voulez saccager la seule filière ovine française qui va bien? Bravo! 

Et non content de cantonner les loups dans Alpes, vous voulez en plus casser le plan loup qui nous permet de nous défendre, tant bien que mal? Pour le remplacer par quoi? Le plan loup est encadré par Habitat. Tant qu'Habitat ne changera pas, les plans loups successifs ne seront que des copiés-collés et pour faire bouger Habitat, il faut virer le loup de BERNE. En attendant, vous condamnez vous collègues des Alpes à crever sans même pouvoir se défendre. Bel esprit de solidarité! 

Ajoutons pour finir que vous êtes les dupes de vos élus: vous ont-ils préciser qu'il n'est légalement pas possible de toucher aux loups en zone de présence permanente? Donc que votre idée de zonage n'aura jamais d'application légale? Allez voir sur le site de l'ONCFS, vous y verrez que les 31 meutes constituées et intouchables ont colonisé 1/3 du territoire français. Comment il fait votre sénateur pour les mettre "sur les crêtes des Alpes"? 

 Qu'allez vous faire une fois que l'ONCFS annoncera de la reproduction en Lozère, si ce n'est déjà le cas officieusement?  Vous devrez alors faire avec le loup et ne pourrez plus vous défendre. En clair, vous aurez été les artisans de votre propre perte. 

En attendant, vous avez réussit à vous mettre à dos la majeure partie de vos collègues éleveurs dans le Sud et Est. Il est encore temps de rectifier le tir. Ce n'est pas au niveau national que se situe l'enjeu, mais au niveau européen. Et bien entendu que les élus ont un rôle majeur à jouer, mais ici et pas comme ça.  

Arrêtez les frais avec le recours contre le plan-loup et le zonage, vous nous tirez une balle dans le pied; il n'y a qu'une issue: la remise à plat de Berne et d'Habitat. On a toutes les cartes en main: l'opinion qui change, les pays frontaliers (ou non) qui nous soutiennent: il faut la majorité qualifié pour revoir Berne. Ensemble on peut y arriver. Mais pas en se battant les uns contre les autres. 

Bien à vous,

  Caroline BOURDA 

 Association Eleveurs et montagne.

Le recours du cercle contre le plan loup est il au mépris des autres régions d'élevages??

Le sénateur Bertrand aurait été adulé sous le gouvernement de vichy, lui qui nous dit "« je le redis, le loup a sa place sur certains territoires français bien délimités, bien particuliers » Lui dans la zone libre, nous dans la zone d'occupation!
et de poursuivre " Donc il faut cantonner le loup sur les crêtes des Alpes, sur les crêtes des Pyrénées, là on peut regrouper les troupeaux, on peut mettre des barrières électriques, on peut faire tout un tas de choses, ici c’est trop compliqué, c’est pas possible, ça aboutirait à une disparition progressive d’une forme traditionnelle d’agriculture sur les Causses notamment et dans les Cévennes qui nous vaut aujourd’hui par ex. le classement à l’UNESCO »
Le plus drôle c'est que le parc du Mercantour demande son élection à l'unesco! Vas t'il demander d’être en zone d'exclusion loup?
La lozére est presque au centre de la France, se prendrait elle pour le centre du MONDE?


ÉCOLOGISTES ET BERGERS D'ACCORD SUR UN POINT!
Les écologistes ne veulent pas du zonage car ils veulent le loup partout
Les éleveurs et bergers se voient contraint après avoir subit plus de 20 ans de mensonges, de diffamations et d'affirmations contradictoires, de refuser le loup, donc de refuser le zonage, solution inconcevable a l'esprit de solidarité qui nous habite.
Ce sont peut être ces trois raisons:
 le mutisme des autorités , l'incompétence des technocrates relayé par la frénésie des écologistes qui condamneront le loup !


jeudi 28 novembre 2013

LE LOUP N'EST PAS CELUI QUE L'ON CROIT

En réponse a l'article.

Le loup du Gévaudan n’est pas celui que l’on croit

Sur fond jaune des extraits de l'article paru dans Info Chalon   

"Partant du postulat que l'ignorance et les idées reçues forment le lit de l'irrationnel"
ça démarre plutôt mal, car le loup est surtout montré du doigt par les catégories de population qui en subissent les conséquences! Il serait facile d'en déduire que les éleveurs bergers réagissent car ignorants et bourrés d'idées reçues, alors que leur motivation à l'inverse de l’irrationnel, est la protection et la pérennisation de leurs entreprises et de leurs animaux.

l'ignorance et les idées reçues, cela nous amène directement à l'évolution des mentalités qui est, je cite :  "globalement en progrès chez les enfants"
Alors que la convention de Berne recommande de sensibiliser la population  à l'image du loup, notamment car les enfants qui sont malléables (sic) . De fait, on montre aux enfants des villes des images de louveteaux qui tètent leurs mères, alors que les enfants ruraux vivent en direct le massacre de leurs animaux dans des conditions atroces, sans autre aide que les commentaires diffamants qui leur martèlent qu'ils sont indemnisés!
"Aujourd'hui nos enfants sont confrontés à la réalité de l'horreur des charniers causé par le loup, alors que les enfants, à qui l'on enseigne les bienfaits du loup, ne doivent surtout pas voir de telles abominations en photos! Comment  éviter les conflits entre ces deux visions du problème?"

"c'est plus difficile maintenant de trouver des enfants qui ont peur du loup,car aucun de ces enfants ne connait la réalité. L'histoire nous a montré ce que l'éducation au service de l'endoctrinement est capable de produire). en revanche c'est plus difficile au sein de la population rurale..." 

 Nos enfants ruraux n'ont pas peur du loup car nous même n'en avons pas peur, certainement moins peur que les enfants des villes, malgré les millions d'euros investis depuis plus de 20 ans dans la propagande du gentil loup pour les écoles primaires des zones urbaines, 
Nos enfants n'en ont pas peur car ils ont la vision de la réalité et comprennent que leur survie dépendra de leurs engagements, contrairement aux enfants des villes pour qui le loup est une notion abstraite, sans aucune conséquence  sur leur mode de vie actuel et à venir! 
 Simplement  nous veillons à ne plus les laisser s'éloigner de la ferme ou pire s'aventurer de nuit, par exemple pour aller fermer le poulailler! A ce titre le loup leur a imposé les mêmes contraintes que subissent les enfants des villes!
  

"Ce que je trouve dommage depuis le retour du loup, c’est qu’en fait il y ait une volonté de ne plus vouloir cohabiter, de faire en sorte qu’il ne puisse plus être protégé, mais régulé, voire éradiqué.

Effectivement des élus de plus en plus nombreux ainsi que la profession agricole cherchent à déclasser le loup au niveau des juridictions et traités européens et comptent bien y arriver, ainsi que de classer par la suite l'espèce canis lupus nuisible en milieu d'élevage - cela répond tout simplement à une prise de conscience de la réalité. Libre à ceux qui en déconviennent de prendre en charge l’intégralité des contraintes, et des avantages si il y en a, et de le faire classer protégé hors zone d'élevage, chez eux! Et si chez eux c'est en milieu urbain et péri urbain, qu'ils sachent que nous n'y sommes pour rien, nous qui avons su résister à la "facilité et au confort" de la vie urbaine pour vivre de et en accord avec la nature!
Les dés ont été pipés dés le début. Lire http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/10/les-mensonges-de-ferus.html Ce sont peut être ces trois raisons: le mutisme des autorités , l'incompétence des technocrates relayé par la frénésie des écologistes qui condamneront le loup 

 Alors que dans le passé on pouvait cohabiter avec les grands prédateurs, par des chiens de protection, des parcs de contention nocturnes, des aides-bergers…)."
Dans le passé, dés qu'un loup s'approchait du village, on sonnait le tocsin et tout les valides partaient à sa poursuite, ce qui le rendait méfiant envers l'homme, à l’inverse d'aujourd'hui ou étant sur-protégé, il est devenu déviant, se nourrissant  presque exclusivement d'animaux domestiques plus facile à attraper!
Dans le passé, celui qui se faisait mordre par un chien de protection ne portait pas plainte, comme le font ce qui nous imposent ces chiens!
Qui veut vivre comme dans le passé? ou les enfants, qui ont payé le plus lourd tribu aux loups, étaient loués pour protéger les troupeaux, car c'était eux les aides bergers qui échappaient à l'instruction scolaire. Comment peut on citer cette période du passé en exemple? Personne, et surtout pas les défenseurs du loup, ne l'accepterait.
Aujourd'hui, il s'agit pour eux d'avoir un loup civilisé, éduqué, pucé, vacciné, qui se déplace dans un environnement ou les paysans auront été délocalisés, arrachés à leurs terres et à leur milieu pour satisfaire à l’intégrisme du soi disant "tout sauvage". Il s'agit aussi comme le préconise de nombreuses  associations  pros loups,  d'y favoriser, une fois vidé de l'agriculture, du pastoralisme et  de l'exploitation de la forêt de montagne, reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde , d'y favoriser donc   l'écotourisme vert, activité artificielle, qui sera récupérée par des multinationales localisées dans des paradis fiscaux!. Voici d'ailleurs ce qu'en dit "l'association pour la protection des animaux sauvages" : "Une opportunité eco-touristique,  deux millions de visiteurs sont accueillis chaque année pour le seul parc des Abruzzes, en Italie ! " En savoir plus . Alors qu'en Italie le problème est le même que chez nous . 

"quand on constate aujourd 'hui les dégâts causés par le gibier..."  surtout quand on sait que cerfs et chevreuils ont été réintroduits en masse par l'état pour préparer l'arrivée du loup! Raté, le loup préfère les ovins, caprins, bovins équins, plus faciles a attraper. 6102 victimes en 2012!!!


"Dés qu'un animal gène on essaie de le supprimer" depuis plus de 3 générations, le pastoralisme et la vie rurale se sont épanouis sans la présence des prédateurs.  Aujourd’hui, une partie de la population voudrait l'imposer  aux acteurs ruraux en échange de dédommagement financier, sans tenir compte des sensibilités, du stress, ni des conséquences physiques  et psychologiques dramatiques que cela entraîne! La M.S.A. a été obligé de mettre en place une cellule d'aides aux sinistrés du loup? Ceux qui veulent le loup, ne veulent rien entendre, ni subir aucune contrainte, Ils délèguent  aux éleveurs berger le surplus de travail et les pertes financières, allant jusqu'à dire "mais puisque vous êtes indemnisés...". qui accepterait d'être cambriolé tou s les mois, puisque il est indemnisé?


"l’élevage n’a jamais créé la biodiversité ..." Le cheval de bataille des écologistes, envers et contre toutes les études qui prouvent le contraire!

L’homme intervient depuis toujours  sur les milieux montagnards, et ce sont en partie ses activités qui en ont façonné la biodiversité spécifique et écosystémique qu’on y trouve. Il les perturbe surtout par les aménagements tels ceux des grands barrages hydroélectriques, des infrastructures de transports (axes ferroviaires,  autoroutes, réseaux énergétiques...) ou des équipements créés pour le tourisme de masse, notamment hivernal, pour la pratique du ski alpin.
le Pastoralisme a tout simplement façonné depuis plus de 6000 ans, tous les paysages préservés que nous connaissons et que nous aimons!

 Programme Life Nature
réferentiel technique et économique sur le redéploiement du pastoralisme...
"Le pastoralisme est aujourd'hui considéré comme une solution durable a l'entretien des milieux en faveur de la biodiversité. Il est également un outil de préservation des milieux contre les incendies. Par ses multiples vocations, le pastoralisme est donc présent dans de nombreux documents de planification territoriale comme les documents d'objectif des sites Natura 2000 mais également les plans départementaux de défense de la forêt contre les incendies."


étude du cemagref :
"Les pratiques pastorales ancestrales participent à une forme d’équilibre et à la diversité des milieux de montagne que l’on connait actuellement.Elles sont notamment indispensables au maintien des prairies d’altitude riches en espèces végétales. Par exemple, la déprise de ces espaces conduit à une progression des ligneux (arbres ou arbustes) et une fermeture du paysage qui peut être néfaste à la biodiversité végétale ou animale...". 
Et des centaines d'autres exemples issues d'études d'organismes indépendant ou non.

Voilà, si vous défendez la biodiversité, cela passe par le maintien du pastoralisme de montagne extensif, respectueux de la nature , rentable ou pas! Ceux qui veulent le loup, doivent en assumer les contraintes physiques, morales et financières, doivent soutenir, comprendre et aider les populations qui en souffrent, doivent se résoudre à accepter le fait que le loup est incompatible avec le petit élevage géré de façon durable, doivent comprendre que le loup favorise l’élevage industriel, qui délocalisera 
dés qu'il le décidera  dans des pays à la main d'oeuvre surexploitée, pays moins regardant sur le respect et le droit des animaux!



BONUS:


Ce qu'il faut savoir sur les indemnités.


Voici un témoignage d'une bergère ancienne militante de férus, association de défense du loup!


Ce qu'il faut savoir sur les protections!

Ce qu'il faut savoir sur les morsures invisible!



lundi 25 novembre 2013

EDUCATION DU LOUP ça RECOMMENCE

Voici que resurgit l'idée farfelu de l'éducation du loup.

Sur fond jaune, Document édité par l’association Houmbaba en Janvier 2013 Fiche Action PLAN NATIONAL LOUP 2013/2018  « SPIKE AND RELEASE 1  » 


Sur fond vert : source le monde planète


Réaction de la F.N.E. :
A         "On donne à la société humaine l'illusion de contrôler une espèce sauvage, déplore Jean-David Abel, de FNE.....




 "Pourtant, sa cohabitation avec les éleveurs caussenards 
paraît aujourd’hui impossible. Comment sortir de cette impasse ? En un mot : en innovant ! "

En  ces  temps  de  modernité  et  d’inflation  technologique,  il  est  nécessaire,  pour  étudier  la présence et les effets de la présence de l’animal en temps réel sur le monde, de réaliser ce geste enfantin/archaïque, de l’attraper. Et l’attraper, c’est mettre en œuvre tous les éléments de rencontre et de relation à cet animal élusif.

- Action n°3 : capture et relâchement des loups porteurs d’un dispositif de localisation. 


Technique  et  outils 5  :  détection  et  capture,  technique  du  « foot-hole »  qui  consiste  à poser le piège au-dessus d’un trou empli de nourriture ou d’un leurre attractif. Les outils (2 lignes de 8 pièges à mâchoires en plastique de type easygrap, lasso, leurres, tamis, papier de soie,…), matériel de détection automatique, matériel de monitoring (VHF/GPS ou satellite ?), un  ordinateur  portable,    2  mobiles,  un  véhicule utilitaire  et  un  quad,  un  local  technique (15m2), matériel de survie (duvets goretex, tente abri), matériel vétérinaire et d’anesthésie… ( la on croit rêver, on n'en fait pas autant pour les victimes d'agressions sexuelles ou autre. un juge vient d'interdire a la police d'utiliser le suivit gps du téléphone d'un délinquant: pour non respect de la personne????)

B      Reste que même après dix-huit ans d'expérience outre-Atlantique, la technique requiert encore du temps, de l'argent et du matériel sophistiqué. "Les loups sont difficiles à capturer à l'aide de pièges au sol, assure l'ancien expert du Service américain de la pêche et de la faune sauvage. L'utilisation d'un hélicoptère fonctionne mieux, mais s'avère très chère." Coût de l'opération : entre 2 000 et 6 000 dollars par loup, en fonction du type de GPS utilisé – d'une durée de vie de deux ans en moyenne.


1  Les trappeurs s’occupant du contrôle des prédateurs en Amérique du Nord appellent cette technique de gestion du  loup  le  « spike  and  release »,  dont  la  traduction  la  plus  fidèle  serait :  « un  coup  de  pompe  au  cul  et  tu dégages ».   

   C’est  être  en  mesure  de  répondre  à  la  question :  comment  gérer  la présence du prédateur, y compris dans une zone cœur de Parc national. Les effets, en règle générale,  d’un  loup  capturé  sur  une  scène  d’attaque  d’un  troupeau  sont  à  deux  niveaux :  la terreur pour l’animal qui s’est fait prendre et l’angoisse pour tous les loups de la meute qui ont été spectateurs de la scène. (La communication olfactive très développée fait que le loup n’a  pas  besoin  d’être  un  spectateur  direct  de  la  scène  pour  la  comprendre,  l’animal  capturé laissant de multiples traces de son stress, urine par exemple). C’est le « spike and release » expérimenté  et  utilisé  depuis  20  ans  par  les  équipes  scientifiques  en  charge  de  la réintroduction du loup au Yellowstone 4 .

- Démonstration de l’effet disuasif de la capture/relâchement de loups sur leur comportement 

de prédation du bétail ;

 C       "Nous avons réussi à inverser les habitudes comportementales de certains loups grâce à un conditionnement aversif utilisant des captures, des balles en caoutchouc ou des bombes au poivre, livre Daniel Stahler, biologiste en charge du projet loup à Yellowstone. Mais ce conditionnement doit intervenir au moment où le loup agit : la technique ne fonctionne pas si vous le capturez plusieurs jours après la prédation."
"En capturant les prédateurs près du bétail, vous pouvez les amener à rester à l'écart pendant un jour ou deux ; mais s'ils ont faim, ils reviendront, poursuit-il. Tant que les humains, le bétail et les loups cohabitent dans le même écosystème, il n'existe pas de méthode permettant d'éliminer toute prédation."( expérimenté  et  utilisé  depuis  20  ans  par  les  équipes  scientifiques  en  charge  de  la réintroduction du loup au Yellowstone )


l’innovation dans les mesures de gestion du loup, un accompagnement et une communication auprès  des  habitants  et  des  éleveurs.  Sa  stratégie  est  celle  de  l’anticipation :  agir  avant  le loup !   
  Notre hypothèse est qu’une stratégie d’anticipation fondée sur la préparation et l’accompagnement du retour du loup permettra :
 - D’empêcher la prédation sur les élevages et autres espèces domestiques liés à l’homme ; 
 - De faire vivre les loups sur la faune sauvage abondante en Cévennes ; -
( il s'agit d'une hypotése qui va couter cher chapitre C et D)

Depuis le retour du loup Officiel en 1992 ,  prés de 5000 attaques sur des troupeaux ont été recensées, il faut donc éradiquer ces loups et tout recommencer en attrapant les loups avant qu'ils ne commettent un forfait????
Sans oublier de nombreuses prédations de loups et probablement d'ours (dans une moindre proportion) ne sont pas prises en compte dans aucune statistique. Il s'agit des prédations chez les non-agriculteurs déclarés, les retraités et les animaux de loisir (chevaux, ânes, brebis ou chèvres tondeuses, chiens...). Bien souvent les agents ne se déplacent même pas ou se contente d'observer, compatir et repartir (entretenant ainsi le flou qui permet a la doctrine de faire son chemin). Merci de nous prévenir en cas de connaissance de faits assimilable a cette catégorie, 


- La capture : Il s’agit d’une capture scientifique où l’animal est relâché une fois porteur d’un dispositif de localisation.( 2 ans de vie pour le gps, sur combien de loup??? entre 2000 et 6000 dollard pièce???chapitre 
B) C’est un principe et même un honneur de ne pas l’abîmer. C’est un animal  social.  Il  apprend  ce  qui  est  arrivé  aux  autres  membres  de  la  meute.(on croit rever????)  La  grande difficulté est que le degré d’exigence pour l’activité de capture est extraordinairement élevé. Les  cessions  de  capture  n’auront  donc  lieu  qu’une  fois.  On  n’essaiera  pas  de  faire  des  recaptures (les animaux auront appris de l’expérience de la première capture).(En capturant les prédateurs près du bétail, vous pouvez les amener à rester à l'écart pendant un jour ou deux ; mais s'ils ont faim, ils reviendront, poursuit-il... voir chapitre C et D) On essaiera donc d’attraper le maximum d’animaux qui, une fois capturés, donneront des infos objectives sur le nombre d’individus dans la meute, sa localisation et l’état du territoire où elle circule ; 

En Espagne les écologistes s'élèvent contre la pose de colliers sur les loups.
En France les écologistes font tout ce qu'ils peuvent pour vendre le projet.
Cherchez l'erreur.des écologistes qui nous vantent la cohabitation en Espagne!


Au niveau du management, on doit intervenir chaque fois que le phénomène loup affleure au niveau du monde humain : le loup se gère en acceptant d’être en relation avec le loup. Il s’agit de protéger le territoire de l’Homme et de le signifier au loup. Selon la logique de domination du territoire qui est celle de l’animal lui-même : ici c’est chez moi, tu n’as rien à y faire. A fortiori quand j’y suis !  (D'habitude, les intègristes nous disent que c'est nous qui sommes sur le territoire du loup???)

Ces grands manipulateurs se targuent du soutien de :

- Institut Desanti, ENS de Lyon : Jacques Deschamps, professeur de philosophie ; ???

- ONCFS : Eric Marboutin, chef de mission loup/lynx, réseau national de surveillance ; De son côté Marboutin précise qu'il n'y a aucune autorisation de piégeage de loup et aucune participation de l'ONCFS

- Parc national des Cévennes ; Aucune participation du parc a ce projet

- Chambre d’agriculture ; laquelle??? a ce jour aucune chambre n'a communiqué sur ce sujet!

- CERPAM ;Je reçois avec le plus grand étonnement ce projet d’action de l’Association Houmbaba  et de l’Université de Montpellier avec le soutien de la Fondation Nicolas Hulot. Je n’avais pas connaissance de ces documents. Le CERPAM est mentionné. Je vous informe que le CERPAM n’a jamais été contacté par ces personnes et n’est concerné en rien par les projets décrits, ni dans les Cévennes, ni ailleurs.
Pour info, et avec l’accord des auteurs, je vous communique ci-dessous des extraits l’analyse réalisée par Marc Vincent et Michel Meuret de l’INRA sur la réalité des méthodes « éducatives » des loups aux Etats-Unis. En résumé, si un premier piégeage est non létal sur un loup s’en prenant au bétail (équipement GPS pour suivi et relâche dans une zone sans bétail(voir paragraphe B), en théorie, et dans des espaces infiniment plus vaste que chez nous), en cas de récidive, il y a abattage. En 2008 aux USA, 15 % des loups étaient abattus (transposé en France, cela ferait 45 loups abattus en 2013), et les USA viennent de retirer le loup de la liste des espèces en danger. Très curieusement dans le document Houmbaba, la principale référence justifiant leur action concerne le Yellowstone, un espace… où il n’y a pas de troupeaux domestiques. Cela n’est pas sérieux.
A ma connaissance, il n’existe nulle part de méthode non-létale permettant d’ « éduquer » les loups à éviter les troupeaux domestiques.
Bien cordialement
Laurent Garde (écologue au centre d'étude et de recherche pour le pastoralisme alpes méditerranées)

- U.S. Fish and Wildlife Service : Carter Niemeyer.    D     (La capture ne peut pas forcer l'animal à quitter un territoire sur lequel il s'est installé ni l'éduquer à ne pas attaquer un troupeau, confirme Carter Niemeyer,(coordinateur de l'Idaho récupération loup pour l'US Fish & Wildlife Service.) qui rappelle que dans le Wyoming, l'Idaho et le Montana, les éleveurs et chasseurs tuent les loups avec lesquels ils ne parviennent à cohabiter.)

Je laisse la conclusion a david Abel, de la Fédération Nationale de l'environnement:

"On donne à la société humaine l'illusion de contrôler une espèce sauvage, déplore Jean-David Abel, de FNE.....


Et j'ajoute que le loup va rapporter beaucoup d'argent à tout ces écologistes bienveillants qui n'ont pas peur du ridicule, de la contradiction et du mensonge!

La surprotection du loup et l'inflation des moyens de protection (qui font que les loups se cantonnent près des troupeaux, épiant les faits et gestes de l'homme, des chiens et du troupeau ... afin de trouver la faille, d'attendre un moment d'inattention, l'occasion ..) ont rendu les loups 100% "sans gêne". 100% mauvais. 100% "bad wolves"... des loups redoutables,  habitués à l'homme ..
Aujourd'hui, il faut réclamer l'exclusion de ces loups de toute zone pastorale
Demain, le grand public sera amené à réclamer l'exclusion de ces loups de tout milieu péri-urbain ... il ne leur faudra pas 20 ans pour réagir parce qu'ils vont hériter de loups dégénérés.
Et comme il n'y a l'espace nulle part pour ces loups à part des camps d'internement ...dans l'intérêt général et du pastoralisme et du grand public, le loup devra perdre sa qualité d'espèce prioritaire, être totalement déclassé .. il ne faudrait même plus entendre parler de statut.
L' objectif de ce type est le même que FNH.  Rouler les éleveurs dans la farine pour gagner du temps et laisser le loup se développer pouf être en situation de non retour,  épuiser les éleveurs,  les faire partir et laisser la place libre aux loups
Tout est dans le rapport Guth et Braque. 

Le choix pour les éleveurs est simple .... s' organiser pour résister et se développer sans loups et écolos, comme l'ont fait Marizette, Christiane, Pierre, Léon, José  quelques uns des acteurs, drôles et émouvants, d'une incroyable lutte, celle des paysans du Larzac contre l'Etat, affrontement du faible contre le fort, qui les a unis dans un combat sans merci pour sauver leurs terres, ou tout perdre dans les 5 ans à venir.....

éleveurs attention

Des éleveurs ont été ou seront contactés par un certain Antoine Nochy pour des expériences de capture de loups totalement farfelues et, plus récemment, pour la mise en place d'une marque commerciale (pseudo label de qualité) pour la commercialisation de l'agneau tout en faisant la promotion du loup et de la cohabitation.
Les Pyrénées ont connu ces expériences avec la marque de l'ours pour le fromage "Pe descaous" et le "broutard du Pays de l'Ours". Que des fiascos.
Il existe des labels de qualité officiels délivrés par l'INAO. Il est nettement plus sérieux de se référer de ces labels de qualité (comme l'agneau de Sisteron) pour s'assurer une pérennité sans compromission dans le développement des prédateurs.
Les parcs nationaux offrent ou vont offrir également leur propre marque qui n'est pas un label de qualité  mais juste la preuve de la production dans le cœur du Parc ou la zone d'adhésion. Cette marque pourra être attribuée à la fabrication de marionnettes, du biogaz comme de l'agneau. A vous de juger.


A titre d'exemple :"D’un côté, un artisan qui rencontre le succès du public avec ses Biscuits du Mercantour. De l’autre, le Parc national qui s’oppose (un peu tard?) à l’utilisation du mot Mercantour"

A savoir que le parc du Mercantour se situe dans lmassif du Mercantour qui est un massif des Alpes situé à cheval entre les départements français des Alpes-Maritimes et des Alpes-de-Haute-Provence et le Piémont italien. Sa partie italienne est appelée massif de l'Argentera ou Alpi Marittime. Le nom du massif provient de la cime du Mercantour, situé en France. Le mot Mercantour n'appartient pas au parc, mais pour faire du fric au mépris de la population autochtone, tout est permis!