Voici un groupe d'étudiant qui propose de faire une pub sur le thème:
Hors leur parrain "Loup. org " qui se targue, entre autre mensonges, de prôner la merveilleuse cohabitation du loup en Espagne et en Italie compromet d’emblée l'usage du mot LIBRE.
D'autant que se sont engouffré dans l’opportunité de pouvoir diffuser leurs messages de propagande, les associations intransigeantes comme:
Férus :
"700 000 ovins partent chaque année a l’équarrissage pour diverses raisons, dont la maladie. Faut il faire un parallèle entre ce nombre et les 5000 victimes dont la moitié est due aux chiens.."ce qui représente 0.7% du cheptel ovin". ." 700 000 ovins ( invérifiable, ils sont capables d’évaluer la mortalité des brebis pour des raisons autres que les grands prédateurs alors qu’il n’existe aucune statistique… Mais eux sont capables… Plus fort que les études du CERPAM…. ) issus de 96 départements de France et dans lesquels sont comptabilisées les "5000 victimes du loup",. Comment osez faire la statistique avec les 5779 ovins* (officiel) victimes du loup, issus d'élevage extensif en pâture, dans seulement 16 départements contre les sois disant 700 000 ovins issus de tous les élevages (sans aucune source officielle) , notamment industriels répartis dans toute la France??
La buvette des alpages : Sans pastorâleurs, la montagne vivra bien, très bien, comme elle l'a fait avant l'arrivée des moutons. De cesser toute aide de type Pastoraloup, qui ne font que renforcer l'idée que oui, décidément, les grands prédateurs posent des graves problèmes aux éleveurs et l'idée qu'ils ont un rôle socialement et écologiquement utile.
L'aspas: En France, on estime à environ un million le nombre de chiens divagants. Les témoignages et les preuves concrètes d’attaques sur des troupeaux domestiques ne manquent pas. Cette problématique est connue et bien réelle,....
Le résultat d'une enquête efectuée par :
(1) UR-EPR (soutenue par l'INRA), Enita Clermont, BP 35, 63370 Lempdes
(2) SUAMME, 35 av. Vincent d'Indy, 30100 Alès
(3) CRA Franche-Comté, Valparc, Espace Valentin Est, 25048 Besançon cedex
(4) CERPAM, Route de la Durance, 04100 Manosque
"Les fréquences annuelles d'attaque de chiens sont de 0,11, 0,15, 0,36, 0,12, 0,13, 0,11 et 0,41, et les taux de prédations sont de 0,31, 0,27, 0,29, 0,05, 0,17, 0,24, et 0,33, respectivement pour les Monges, le Lubéron oriental, le Lubéron occidental, les Cévennes, le Larzac, le Livradois et le massif du Jura.
Ces attaques sont essentiellement diurnes et les chiens sont repérés dans près de 89% des cas.
Une moyenne de 0.20%, un risque d'attaque, par troupeau, 1 fois tous les 5 ans, sans commentaires possibles, l'enquête en entier
En conclusion, cette pratique commerciale nous prouve que dans la pub comme dans tout business, la vérité n'est pas porteuse, mais ça le consommateur avertit le savait déjà. Ces apprentis sorciers ne se soucient pas de la réalité dévastatrice induite par la prédation sur des petits élevages.respectueux de la nature pour arriver à leurs fins, et ce n'est pas un hasard si les associations qui vivent de la manne des subventions ou, des sponsors qui ont intérêt a ce que les ruraux désertent leur pays pour s'accaparer leurs terres, se soient précipitées pour apporter leur soutient a ce projet qui n'a rien a voir avec la protection de la nature et de la biodiversité!
"Les perspectives sur la diversité biologique, sa conservation et son utilisation durables sont nombreuses. Mais trop souvent, nous perdons de vue l’importance de l’utilisation et de la gestion humaines dans le maintien de la biodiversité.
Le pastoralisme constitue un exemple de secteur d’investissement au sein duquel le double objectif de développement et de conservation de la biodiversité peut être atteint par la reconnaissance de la contribution importante de ce système aux cultures, traditions, moyens d’existence et services des écosystèmes."
Vous pourrez constater ici :
les mensonges et propagandes mensongères diffusées par ces associations et bien d'autres cosignataires qui n'ont pas honte de diffuser de telles contrevérités, si faciles à démolir.
En conclusion, la finalité de la protection des prédateurs au dépends des véritables écologistes qui ont choisis de vivre de et en accord avec la nature en pratiquant un métier plusieurs fois millénaire qui ne fait qu'un avec leur âme, cette finalité c'est faite sans aucune concertation avec les populations qui sont les seules à être impactées par la prédation, les seules à être stigmatisées comme des parias rétrogrades, par les adeptes de la pensée unique!