Publiée le 5 févr. 2014
Suite aux attaques de loup sur les brebis à côté de la Chèvrerie le printemps dernier, j'explique tous les après-midi les conséquences de la présence d'un loup sur notre massif. Conséquences directes, c'est-à-dire les cadavres des brebis. Les conséquences à moyen terme, c'est-à-dire l'augmentation du nombre de loups et d'animaux tués et, sur le long terme, des conséquences néfastes au niveau écologique. Vidéo réalisée par Bruno Lecomte, éleveur de chèvres, au milieu du zone de présence permanente de loups (ZPP).
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Cette personne a fait une présentation posée, très bien. J'aimerais savoir comment un prédateur qui se nourrit d'animaux domestiques équilibre un écosystème, ça semble illogique. Par contre ça semble logique s'il s'agit d'un vaste espace sauvage où les proies sont essentiellement des animaux sauvages .
RépondreSupprimerJe me demande ce qui se passerait si la pression due à la présence de prédateurs était répartie équitablement sur le territoire, dans les zones de plaines, ainsi elle ne toucherait plus uniquement les éleveurs, mais un peu tout le monde vivant à la campagne. Compliqué ! Aujourd'hui la société fait pression sur une catégorie socio professionnelle, est-ce juste ? Il faudrait vraiment trouvé un compromis. Lequel ?