Un député français obtient gain de cause devant la Commission des Pétitions sur la déclassification du loup
Il semblerait que les parlementaires européen soit des êtres pourvu de raisonnement et de lucidité.
C’est une belle victoire pour le député lozérien qui a toujours considéré que, si le loup pouvait être une espèce protégée en 1979, ce n’est plus le cas aujourd’hui car l’espèce prolifère. C’est aussi une victoire contre le Gouvernement français qui ne voulait pas revenir sur le statut de la protection du loup.
Il a donc effectivement été entendu par l’Europe qui prend ainsi en considération la problématique du loup dans nos territoires ruraux et agricoles.
article paru dans http://www.pierre-morel.fr/un-depute-francais-obtient-gain-de-cause-devant-la-commission-des-petitions-sur-la-declassification-du-loup/
Avant de nous réjouir, attendons de voir la réaction des écologistes qui eux sont pour l’éradication des bergers:
Très précisément et techniquement, Pierre Morel A L'Huisser a saisi la Commission des Pétitions de l'Union européenne, présidée par la députée européenne italienne Erminia Mazzoni. Après huit mois d'instruction, cette dernière lui a répondu que sa requête était recevable en raison d'une atteinte à un principe communautaire. Elle a ensuite enjoint la Commission européenne d'enquêter pour vérifier que le statut d'espèce strictement protégée était toujours d'actualité. En d'autres termes, dans chaque pays européen, il va falloir réaliser un comptage des loups d'une part (les derniers comptages réalisés datent) pour vérifier que l'espèce est toujours en voie de disparition, et d'autre part établir un bilan des dégâts causés par le loup, notamment auprès des bergers. source
La commission européenne, une dimension démocratique qui sera dénoncé par les écologistes détenteurs de la pensée unique!
En Lozère, pour éradiquer les éleveurs , les écologistes ont plusieurs cordes à leurs arcs:
http://federationdesacteursruraux.blogspot.fr/2014/03/en-lozere-la-mauvaise-volonte-tourne-au.html
http://federationdesacteursruraux.blogspot.fr/2014/03/en-lozere-la-mauvaise-volonte-tourne-au.html
C'est une excellente nouvelle car lorsque les grands prédateurs auront enfin disparu il n'y aura plus aucunes raisons pour continuer à subventionner le pastoralisme.
RépondreSupprimerDes millions d'euros d'économie en perspective qui pourront être investis dans des secteurs d'avenir : biotechnologies, domotique, robotique etc et non pas dans le garde 3 moutons et deux chèvres !!!!
Bravo, vous avez raison, ce qui se passe actuellement nous montre combien les biotechnologies, domotique, robotique ont contribué à faire de nos civilisations des modèles de vie sociale. D'autant que toute ces avancées techniques sont disponibles au consommateurs uniquement parce que des enfants vont chercher de l'étain dans des mines en Afrique et qu'ensuite des esclaves orientaux les fabriquent pour des anonymes bornés qui n'ont plus que la possibilité de vivre par procuration en se prenant pour le mâle alpha de la tribu des lobotomisés!
RépondreSupprimerArrêtez d'essayer d'employer des mots que vous ne comprenez pas, vos phrases ne veulent absolument rien à dire, on dirait un politicien à bout d'arguments qui essaie de noyer le poisson !!!
RépondreSupprimerMais non ces secteurs sont justement des secteurs de pointe à haute valeur ajoutée qui créent de l'emploi en France.
Mais oui nous vivons dans une économie mondialisée c'est pourquoi la filière ovine en France disparait car elle n'est pas compétitive face aux anglais ou aux neo zélandais.
Ce n'est pas grave vous aurez votre place au Muséum d'Histoire Naturelle de Toulouse à côté de Cannelle.
Le pastoralisme, comme toute l'agriculture continuera d'être subventionnée ne vous en déplaise, Elle l'était avant l'arrivée (officielle) des prédateurs, elle le sera après.
RépondreSupprimerNous ne fournissons pas assez d'agneaux dans le Sud-Est, les coops ne cessent de nous en demander, c'est vrai que la consommation française d'agneaux est impactée parc La Nouvelle Zélande mais nos agneaux par contre sont très demandés à l'export non pas en raison de leur prix mais en raison de leur qualité.
L’agriculture ne se contente pas d’alimenter l’économie, elle permet aussi d’éviter de nombreuses dépenses aux collectivités territoriales : quand les paysans se retirent c’est aux communes de prendre à leur charge l’entretien des friches, des digues ou des haies, un entretien qui, en raison du coût, est en dehors de leurs possibilités financières, d’où des drames naturels qui surgissent lors des fortes précipitations ou des intempéries violentes.
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RépondreSupprimerLa France est aussi en train de réussir le passage à l’agriculture respectueuse de l’environnement. Le productivisme à tout crin fait place à la recherche de la qualité et du goût qui, n’en déplaise à ceux qui se font une fausse idée du passé, est en net amélioration. Or bien manger, c’est aussi se soigner, selon l’adage d’Hippocrate : « Ton aliment est ton premier médicament. » Le professeur David Khayat rappelle ainsi qu’ « une bonne partie de nos cancers est liée à la façon dont nous nous alimentons. »
RépondreSupprimerLorsque nous faisons analyser le gras d’une viande américaine, 100 grammes de filet de bœuf contiennent 280 calories, contre 150 en France [8].
Il est impossible de se passer de nourriture, et pour notre santé physique il paraît assez discutable de défendre l’idée que l’on puisse faire produire ailleurs les aliments dont nous avons besoin, au risque d’importer une alimentation non saine, voire dangereuse. Au risque de devenir dépendant des pays producteurs.
Redisons-le, l’agriculture est le fondement de l’économie française, c’est elle qui en fait sa force et sa puissance. La laisser périr au prétexte qu’elle n’est pas moderne reviendrait à faire mourir un des aiguillons de notre économie.
source : http://www.contrepoints.org/2012/02/26/70776-la-france-deuxieme-puissance-agricole-mondiale