Les apprentis sorciers s'apercevant qu'ils ne maîtrisent rien, essayent aujourd'hui de réparer leurs incompétences par le biais de la modification de la convention de BERNE, sur le dos du pastoralisme, comme il se doit, mais aussi sur celui de la biologie et de la sécurité publique. Mais, comme dit le proverbe, quand on aime on ne compte pas!
Extrait de : Hybrid project
4 - [...] d’accorder dans la législation nationale aux hybrides du loup et du chien présents dans la nature, là où le loup bénéficie d’une protection spéciale en vertu de l’Article 6 de la Convention, un
niveau de protection équivalent à celui du loup contre les abattages, la capture et les autres
agissements interdits par l’Article 6, indépendamment de l’élimination prudente, sous le contrôle
du gouvernement, de tels hybrides qui vivraient dans les populations sauvages du loup.
Si cette modification est adoptée, elle devient transposable immédiatement dans la directive habitat et ne pourra plus être retirée. 5 mois après la signature pour la cohabitation par les syndicats qui s'engagent à respecter et appliquer cette directive habitat!
Ceci s’explique par le fait que la base génétique a été extraite de la centaine de loups peuplant le sud italien, à l'époque fortement infestée de chiens errants, et donc soumise à l'hybridation. Cette soi-disant référence génétique pour différencier un hybride d'un loup "pur", est en fait à coup sûr, comme l'indique "monsieur loup", L.Boitani, une référence tronquée, comprenant déjà des gènes d'hybridation. Le problème des "apprentis sorciers" étant aujourd'hui que : c'est cette base génétique issue de loups vivant dans un espace restreint et dont le niveau d'hybridation était considérée comme le premier facteur de risque sur l'avenir de l’espèce pure, qui a donné la totalité des loups de France, de Suisse et d'Italie, que nous connaissons actuellement.
Qu'à cela ne tienne, il s'agit maintenant de renier tout ce qui était les uniques raisons de la protection de la souche pure de l'espèce, histoire de continuer de faire joujou avec le loup, mais aussi avec les subventions.
Majorant de fait la pression exercée sur le pastoralisme et le maintien de la vie rurale, par, disons-le maintenant, des loups hybrides, voire des chiens hybrides!
La finalité, en contradiction totale avec les précédents alinéas de la convention de Berne et incompréhensible sur le plan biologique, étant de changer cette convention de Berne, afin de sur protéger, à l'identique du loup, une entité qui a fortement contribué à faire accepter la protection du loup. Une entité dont les textes aujourd'hui, et jusqu'au changement demandé, ordonnent d’éviter son existence et d'assurer son élimination. Une finalité pour convaincre les militants manipulés de protéger, non plus le loup, mais les multiples hybrides. Reste à savoir dans quel but? Question que ne se poseront pas les futurs défenseurs des chiens hybrides, habitués qu'ils sont à relayer la bonne parole de leurs gourous, sans se poser la question, la seule et véritable question: DANS QUEL BUT?
Bref, on ouvre une nouvelle polémique en prônant la protection des Hybrides. Risque se voulant aujourd'hui inexistant, alors qu'il a été la première marche de la mise en place de la vertueuse protection des loups de souche pure, en argumentant qu'il était impératif d’éviter cette hybridation.
En conclusion, il serait équitable de réhabiliter tous ceux qui ont été condamné pour avoir tué des hybrides, car il s'avère aujourd'hui que la défense du loup sauvage n'a jamais eu lieu d'être.
EXEMPLE TYPE DE CE QUI LEUR FAIT PEUR :
EXEMPLE TYPE DE CE QUI LEUR FAIT PEUR :
Après une instruction qui a duré plus de 15 jours, le procès des 15 chasseurs s'ouvre en Finlande.
Les chasseurs sont accusés d'avoir tué 3 loups.
La défense prétend que les canidés tués n'étaient pas des loups mais bien des hybrides et donc pas davantage protégés qu'un chat haret (!)
Cette semaine le procureur présente les témoins à charge et leurs preuves du 17 au 20 nov.La semaine prochaine ce sera le tour de la défense.
D'après les experts sollicités par la défense, on ne peut pas se fier aux 400 échantillons ADN dont disposent les autorités.
Le Procureur déclare que les données de comparaison d'ADN sont fiables et qu'elles correspondent bien à l'ADN des animaux tués.
Mais les avocats des prévenus ont demandé des informations complètes sur les échantillons (ex :phénotypes correspondants) et les autorités ont annoncé qu'elles ne disposent pas de telles données !
Depuis l'instruction, à la grande surprise, le procureur demande des peines bien moins lourdes que celles requises au départ - emprisonnement avec sursis (au lieu de 5, 6 ans de prison ferme), des amendes et 6 années d'interdiction de chasser.
La défense s'efforcera d'obtenir des peines encore plus clémentes.
2 articles de presse d'aujourd'hui.
http://online.vasabladet.fi/Artikel/Visa/45013
http://svenska.yle.fi/artikel/2014/11/17/jagade-de-varg-eller-hundvarg
Quel avenir pour le loup-chien d'Europe ?
"... L'hybridation entre différentes espèces, ou entre individus appartenant à des sous-espèces de la même espèce, se produit dans la nature depuis des temps immémoriaux. Quand elle est causée par l'intervention de l'homme, l'hybridation peut produire des individus susceptibles d'avoir un impact sur les animaux sauvages correspondants ou sur les activités humaines qui se déroulent en milieu anthropisé. C'est le cas de l'hybridation entre loup et chien.
Face à la prolifération des loups, essentiellement hybrides, en Europe, les apprentis sorciers tentent de de couvrir leurs méfaits ayant conduit à la prolifération incontrolable de ce prédateur. Compte tenu du développement de la contestation des populations humaines hostiles au loup dans pratiquement tous les pays d’Europe et d’une volonté d’éliminer ces loups dont, dans de nombreux cas, les origines proviennent d’élevages prévus à la recommandation n°17 de la Convention de Berne non reprise dans le projet de recommandation de conservation des hybrides, certains fanatiques de l’ensauvagement des territoires tentent de renforcer leurs actions par une nouvelle recommandation de la Convention de Berne qui constituerait un arrêt de nombreuses activités humaines. Mais à quel coût humain, social, économique et environnemental ? Quel avenir pour la notion de développement durable ? Est-ce vraiment compatible avec les objectifs d'origine prévus dans cette convention notamment son article 2 ?
Refus du classement des Bâtards
5) l'administration semble avoir été au courant dès le début car il suffit de lire la convention de berne pour s'en douter, la collaboration avec le corpo forestale et les équipe de Boitani semble accréditer les certitudes sur une connaissance il y a plus de 20 ans par l'administration française de la pollution des populations de loup par des batards, pour la ligné italienne, mais aussi pour d'autres qui ne sont donc pas protéger.
Nous sommes consternés d'apprendre les propositions visant à clarifier les dispositions et obligations de la Convention de Berne (art. 6) et à accorder, dans les législations nationales, un niveau de protection aux "hybrides du loup et du chien" équivalent à celui du loup.
A savoir ; le projet de classer les hybrides en protection stricte pour la majorité des pays signataires.
A savoir ; le projet de classer les hybrides en protection stricte pour la majorité des pays signataires.
Encore une fois, les propositions ont été réalisées avec la collaboration des spécialistes partiaux du LCIE qui, jusque-là, ont pourtant montré toute leur incompétence à gérer l'impossible cohabitation entre loups et élevages extensifs, y compris le problème incontournable d'hybrides en zones pastorales.
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