Extraits "Entre guillemets en gris ou rouge"
"l’existence d’une culture négative du loup profondément ancrée chez certains éleveurs",
" La surestimation du nombre de victimes du loup en raison des difficultés techniques a distinguer clairement les attaques de celui-ci de celles de chiens errants ou divagants."
Alors que la majorité des éleveurs et bergers était pour la cohabitation, ils ont été tenu à l'écart du retour du loup par ses défenseurs , permettant de mettre en place la légende des chiens errants:
"alors qu'un loup a déjà été tué par erreur au cours d'une battue en 1987," les gardiens du parc ne disent mot face aux éleveurs qui se plaignent d'attaques de chiens . L'administration se justifiera plus tard :" Nous avions pris la décision de ne pas officialiser cette présence de loups avant d'avoir définitivement écarté l'hypothèse qu'il s'agissait de chiens errants ensauvages" Donc pas de chiens errants à cette époque et pas plus maintenant, car tout le monde sait que le loup ne tolère pas de concurrence sur son territoire!"
" Il faut savoir que le nombre d’attaques de chiens (tous types confondus) sur les brebis a été estimé entre 200 000 et 500 000 par an, selon les études"
500 000 attaques par an et nous n'avions pas besoin de mesures de protections. Personne, aucun éleveur ni berger ne s'est mobilisé pour la perte de plus d'un million d'animaux (1 attaque faisant souvent plusieurs victimes). Les troupeaux pouvaient se nourrir la nuit en alpage pendant les périodes de fortes chaleurs, sur nos terres et nos locations, sans chien de protection, ni clôture électrique!
Selon les études qui ont été faites par Par BRUNSCHWIG G. (1), BROSSE-GENEVET E. (2), DUMONTIER A. (3), GARDE L. (4), Pour un troupeau, La fréquence d'attaques de chiens est en moyenne de 0.20, soit une attaque tous les 5 ans. Le taux annuel de prédations s'établit en moyenne à 0.26%, soit 1 victime par an pour un troupeau de 400 têtes.Ces attaques sont essentiellement diurnes et les chiens sont repérés et identifiés dans près de 89% des cas. Etudes qui corroborent les chiffres des études faites dans d'autres pays et notamment l'Angleterre ou il n'y a pas de loup!
Jusqu'à aujourd'hui, personne n'avait osé aller aussi loin! La démarche est claire, la propagande essaie de faire passer l'idéologie d'irresponsables qui n'ont jamais été confrontés à la prédation,ni jamais approché un mouton et encore moins un loup, par la négation du travail d'expertises faites par des professionnels formés et expérimentés. En effet, mis à part l'année 2013 ( rejet de 30%), les autres années, on considère que les chiffres des rejets correspondent aux chiffres des études sur la prédation par les chiens. Evidemment, comme toujours, aucune source relative aux "études" n'est citée
"L’impact psychologique des cadavres d'ovins mutilés.."
photo illustrant les propos de l'auteur (l'impact psychologique des cadavres) dans sa lettre diffamatoire adressée à Mme Royal |
"Par ailleurs, les deux derniers facteurs suscitent une impression de "pullulement" des loups qui ne concorde pourtant pas avec la réalité démographie et la distribution spatiale."
Encore une fois la négation du travail des experts et de la réalité, par des "spécialistes autoproclamés", alors que nous savons tous que les chiffres sont sous-estimés dans tous les pays, et que les instances européennes viennent de classer les hybrides protégés au même titre que le loup!
"De plus, les effectifs des population de loups n'explosent pas mais s'équilibrent en fonction de la disponibilité en proies ...."
Tant qu'il y aura du pastoralisme extensif respectueux et garant d'une biodiversité riche et abondante, les loups proliféreront et mettront en danger ce type d'élevage au profit du tout industriel! Les résultats d'une étude pour le retour des grands carnivores sont clairs: "Tout est dit page 103 : « des réserves naturelles de faune sauvage limitées ne sont pas suffisantes pour les grands carnivores. c’est la totalité du paysage qui doit être incluse dans les plans de gestion.Dans cette zone sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/"
"....et des pressions humaines."
La contradiction idéologique et la reconnaissance, MME LA MINISTRE, que votre engagement est primordial pour la survie de la vie sociale dans nos ruralités!
voici un commentaire tiré de la Fédération des Acteurs Ruraux, qui illustre parfaitement cet article:
Consengin de merde imcapable de bouger de leurs ferme et de leurs village pour aller se reproduire . L'air des brebis cest fini tous le monde sen branle de vos petit elevage a la con qui dailleurs nest utile a personne sauf a vous biensur. Arreter vos propagande a la con tous et pretexte pour les tuer cest affolent ... Un loup en vos mille comme vous , pas besoin detre un défenseur de la nature pour sen rendre comte .
Revenons sur terre, à lire aussi:
LOUP, LETTRE OUVERTE A MME LA MINISTRE SÉGOLÈNE ROYAL
A suivre, bientôt dans ce blog, l'attitude des associations subventionnées par l'Etat et dont le travail est la désinformation par la négation, le mensonge et la censure de la vérité!
Moi je suis content si les associations écologistes ont écris ces énormité au sujet des chiens errants, parce que la ministre a les informations sur le sujet, il ne faut pas croire que ce sont les militants qui vont lui apprendre quelque chose. L'étude de L Garde sert de référence pour le cite officiel de l'état Français sur le loup. Que ces associations continuent à se ridiculiser ainsi, je ne les en empêcherais pas.
RépondreSupprimer