Notre
avenir, notre biodiversité, notre Europe
Une
tribune de Sandrine Bélier, rapporteure sur le règlement de
transposition du protocole de Nagoya adopté en avril 2014 et
tête de liste Europe-Ecologie dans le Grand Est.
"C’est
le respect de l’équilibre écologique et le principe
de partage de nos territoires qui doivent guider nos décisions
de politiques publiques ou nous courrons le risque de reproduire
les erreurs funestes qui ont conduit à la disparition de tant
d’espèces précieuses."
Traduction : le principe de partage consiste à s'approprier les terres de nos ruraux qui ont su les préserver riches en biodiversité ou se développent encore des milliers d’espèces précieuses. Par contre nous n'avons rien à leur proposer en échange dans nos mégalopoles ou nos bureaucrates conçoivent "le nouveau respect de l'équilibre écologique" et aussi "des trains trop larges pour entrer en Gare".
Mais bon, tout cela n'est que discours politique à des fins électorales , car pour illustrer un sujet aussi complexe qu'important, il faudrait choisir autre chose que l'image d'un loup apprivoisé qui embrasse son maître, qui plus est sur la bouche!. Parler de la biodiversité en se servant démagogiquement d'une image qui n'a rien à voir avec la nature, mais qui au contraire en montre l'inverse, nous prouve une fois de plus que les écologistes entièrement coupés des réalités sont des ennemis pour les acteurs ruraux et se comportent comme des apprentis sorciers prêts à tout pour assouvir des fantasmes qui leur sont dictés par des lobbys beaucoup moins au fait de la protection de la nature:
choisir une image émotionnelle, qui n'a rien à voir avec la réalité, à des fins idéologiques, nous montre l'ampleur de la perte de libre arbitre des écologistes et leur mépris envers la population à laquelle s'adresse le message!