BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
Affichage des articles dont le libellé est biodiversité. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est biodiversité. Afficher tous les articles

dimanche 23 juin 2013

LE LOUP, UN ANIMAL MERVEILLEUX



en gras ce que les écolos oublient de dire aux écoliers quand ils font leur propagande.
Propagande digne de certaines pratiques des pages noires de l'histoire,
ou l'endoctrinement des populations débutait dés le plus
 jeune age, *car les enfants sont malléables*

*extrait d'une phrase utilisée par un intervenant sur le loup dans les écoles de nos jours!

en jaune, mes réflexions personnelles

«Il y a une hiérarchie dans la meute en captivité comme en pleine nature, explique Marc. A l’époque du rut au mois de mars, il y a au sein de la meute des bagarres sévères, les vainqueurs vont composer le couple dominant (appelé alpha), vient ensuite l’animal béta jusqu’au dernier, l’omega. C’est sur lui que va se déverser le trop plein d’agressivité des autres…



extrait du blog http://mathieuerny.unblog.fr/2013/08/24/le-loup-est-un-loup-pour-le-loup/
"C’est assez drôle de voir comment depuis des années on présente le loup comme un symbole de liberté tout en nous faisant savoir qu’il n’y a pas plus tyrannique et castrateur qu’une meute de loup". cela aurait il à voir avec la conception de la société que nous proposent les écologistes?


Un loup a besoin en moyenne de consommer chaque jour 17% de son poids en viande, soit 4 à 5 kg pour un loup européen. Et il n’hésite pas à consommer des fruits, sources de vitamines, et de l’herbe utilisée surtout comme purgatif.( dixit le site de l'état consacré au loup)Soit pour 250 loups fin 2011, 1 tonne de biodiversité par jour, sans compter les restes non consommés, soit entre 2 et 3 tonnes de biodiversité détruite chaque jour! A titre de comparaison . A voir cette vidéo sur la réintroduction des loups a yellostonne  Vous pourrez y constater que les restes sont conséquents et que le loup est une calaminté pour la biiodiversité!   En 2010, la population adulte (âgée de 18 ans et plus) consomme en moyenne
390 g/semaine (55 g/jour) de viande de boucherie.! 


Le loup prélèvera plus facilement des espèces dont les capacités de défense et de fuite sont limitées comme le mouflon dans la neige. 


Le loup gris aime particulièrement le Cerf élaphe, Chevreuil, Chamois et Isard, Mouflon, Bouquetin, plus rarement le jeune sanglier qui n'est pas une proie facile comme le prouve cette vidéo . Encore un revers pour ceux qui affirme que le loup pourra réguler la population de sanglier
 le loup, comme tous les prédateurs, frappe toujours le maillon faible de la chaîne alimentaire ; c’est pour ça que quelque soit le nombre d'ongulés sauvages, le loup préfère toujours les brebis, les chèvres, les chevaux et les bovins (quand ce ne sont pas les chiens)."
 Il s’attaque de préférence aux individus jeunes, âgés, malades ou les individus qui sont un peu gênés dans la neige pour se déplacer, les femelles en fin de gestation payent un lourd tribut et il sait aussi s’attaquer aux animaux en pleine santé. Donc exit l'endoctrinement selon lequel le loup ne mange que des proies malades ou âgées!


Il peut arriver qu'un loup vive seul -- exclu de la meute -- malade ou bien repoussé par le couple alpha.La place de loup oméga s'avère donc plus sécurisante car elle est garantit, à l'inverse de celle du loup exclu.


Bien que les loups ne chassent en général que le nombre de proies qui leur est nécessaire pour survivre,on observe dans certaines conditions un phénomène de surchasse appelé "surplus killing" ou "over-killing". C’est notamment le cas des hivers très enneigés pendant lesquels les ongulés ont du mal à s’échapper, leurs pattes s’enfonçant dans la neige. La majorité des cas de surplus killing sont cependant observés sur des troupeaux domestiques. Ils s’expliquent par le comportement de chasse inné du loup qui tue chaque fois que c’est possible, son taux de réussite étant très faible, de l’ordre de 10 à 15%. Lorsqu’il se met en chasse, il en résulte toute une série de comportements jusqu’à la mise à mort. En montagne, ces pertes peuvent encore être aggravées par la topographie escarpée qui est alors un facteur d’augmentation du nombre de victimes pendant une attaque

En fait les écologistes savent depuis toujours que le loup tue plus qu'il ne faut et tue tous les animaux : extrait d'un article paru en 1824 :" "Ce sont surtout les bêtes à laine qui étaient la proie des loups, mais aussi les jeunes bêtes à cornes et les chevaux. Salaberry signalait cet aspect au ministre, en 1824 : "le bétail à laine et les chèvres sont les plus exposés à ses ravages ; les porcs , les ânes, même les génisses et les bouvillons jusqu'à l'âge de deux ans sont de sa partie. Le cheval le plus fougueux se laisse surprendre par l'adresse : le loup, appuyé sur son derrière , le saisit au museau pendant qu'il le flaire et, à force de le faire tourner, il parvient à l'abattre et à en faire sa proie". A la différence des ours , les loups égorgent toute une partie des troupeaux sans vrai motif alimentaire et il peut se trouver cinquante à soixante brebis mortes."
en savoir plus sur le loup de nos ancêtres

 L’espèce majoritaire du régime alimentaire d’un loup est en général l’espèce la plus abondante de la région, à condition que sa prédation ne soit pas trop dangereuse.


Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur, l’abondance et l’accessibilité des proies, la probabilité de rencontres avec la proie, la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle, la probabilité de succès de la chasse, le risque de blessure, la profitabilité de la proie, les conditions environnementales. (donc adieu le mythe du loup qui se nourrit d’espèces sauvage. Quand il a goutté aux proies faciles plus rien ne le fera dévier)


La reproduction est réservée au couple alpha (et parfois au mâle bêta) : il est le seul à s’accoupler et produire des louveteaux afin de limiter les besoins énergétiques de la meute tout en assurant son avenir. Pour empêcher les autres femelles de se reproduire, la femelle alpha devient très agressive et effectue ainsi une véritable castration psychologique des autres femelles dont l’œstrus est alors bloqué. Qu'elle belle vie sociétale que les écolos rêvent de mettre en pratique sur les humains: « On ne devrait pas rendre facile et trop avantageux d'avoir des enfants, ce qui pousse à la multiplication des individus inférieurs. Avoir des enfants devrait être un privilège et non un mérite.

(Expansion et nature, op. cit.)

Selon des associations écologistes et de défense des grands carnivores, le loup tue pour manger et ne fait pas souffrir ses proies. En voyant ces images, issues d'attaques certifiées loup, comment peut-on y croire ?




Vidéo montrant 2 loups dévorant un cerf- mulet vivant (soufre t'il?)

à part le cheval, tout les autres animaux sont encore vivant.Le veau en bas a droite a perdu toute l'èpaule et la jambe (mais rassurez vous il ne souffre pas). Certains ont du être euthanasiés, d'autres, comme la brebis en haut a gauche, qui a été soignée par les enfants de l'éleveur qui n'ont pas accepté de s'en séparer et qui vient de mettre bas un petit agneau n'a pas reçut la fameuse indemnité. Prime dont les défenseurs du loup à tout prix nous précisent que l'éleveur est très content des attaques de loup, voire même qu'ils les organisent : reportage sur canal + ici


L’entraînement des jeunes à l’automne est en revanche la cause d’une augmentation des dégâts sur les troupeaux, notamment des blessés. (qui ne souffrent toujours pas)


Bien que l’importance des pertes dues au loup dans les troupeaux domestiques soit encore parfois contestée par certains, la prédation sur le cheptel domestique est bien réelle. Aux victimes directes lors des attaques (morts ou blessés) s’ajoutent des pertes indirectes parfois plus importantes (dérochements, animaux perdus, stress entraînant des pertes de poids ou des avortements, arrêt de la lactation…). Le nombre d’attaques est variable en fonction des régions et des saisons. Elles sont évidemment plus nombreuses en été lorsque les troupeaux sont présents sur les alpages.

Quand aux prétendu "le loup n'attaque pas l'homme:  à part un loup enragé,
le loup n'attaque pas un homme en bonne santé*" (hé oui, pour Moriceau, récemment - si l'homme est faible on peut excuser le loup ..(?!) ce qui nous ramène aux extrémistes écolos de race supérieure qui souhaitent "contrôler les naissances des gens de qualité inférieure (peut être la population rurale qui doit laisser sa place aux loups), supprimer les débiles mentaux et les drogués,...... EN SAVOIR PLUS


Nos enfants, comme les vôtres certainement, nous les avons élevés hors de la contrainte des temps anciens, comme celle de garder le troupeau pour le protéger du loup pendant que les parents vaquent à leurs occupations agricoles. Ils se sont épanouis dans une nature accueillante et ont appris à la respecter. Aujourd'hui nos petits enfants sont confrontés à la réalité de l'horreur des charniers causé par le loup, alors que les enfants, à qui l'on enseigne les bienfaits du loup, ne doivent surtout pas voir de telles abominations en photos! Comment  éviter les conflits entre ces deux visions du problème? (extrait de Mon témoignage)



CE QU'ILS NE MONTRERONT JAMAIS


Les contradictions des écolos pros loups a n'importe quel prix!

Les écologistes arméniens en colère 
Cette initiative a été dénoncée par des écologistes arméniens. "On tue illégalement des mammifères qui servent de nourriture aux loups. Alors, ces derniers deviennent plus agressifs et viennent chercher de la nourriture dans des villages, en attaquant des chevaux, des vaches et des moutons", explique le « Fonds pour la protection de l'environnement ».

La face cachée des intégristes pros loup

mercredi 5 juin 2013

LE LOUP ET LA PAUVRETÉ DE LA BIODIVERSITE

En effet la biodiversité c’est pas du tout ce qu’ils disent, c’est même le contraire et c’est au nom de la biodiversité qu’on peut combattre loups et ours. Comme je l’ai dit à la réunion de Caille, les milieux où nous vivons ne sont pas « naturels » mais « semi naturels », le Grenelle de l’Environnement l’a fortement souligné à propos justement de la biodiversité : «  tous les paysages, réputés naturels ou non, sont le fruit d'une coévolution du travail de la nature et de l'homme ». C’est à dire qu’ils sont le fruit de ce que permet la nature et de ce que le travail de l’homme y a fait. Pour le pastoralisme dans nos montagnes on sait que ce travail a commencé au néolithique, il y a 5000 ans. Leur biodiversité ne serait pas ce qu’elle est sans le pastoralisme. S’il disparaît, disparaît aussi cette biodiversité exceptionnelle qu’on veut préserver !

En supprimant peu à peu les grands prédateurs parce qu’ils étaient incompatibles avec le pastoralisme, c’est pas Tchernobyl que les éleveurs ont créé. Au contraire c’est un milieu d’une très grande richesse parce que le passage du bétail a peu à peu contribué à le modifier dans le sens d’une biodiversité remarquable. Se battre contre l’ensauvagement de ce milieu, ce qui est le programme réel avec loups et ours, c’est se battre pour préserver cette richesse reconnue scientifiquement.

Par exemple, le site « Science et Décision » du CNRS + Université d’Ivry propose une synthèse des connaissances scientifiques qui confirme cette analyse (http://documents.irevues.inist.fr/handle/2042/31155):
« Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). »

La Société espagnole d'étude des pâturages rassemble des spécialistes de l’élevage et des milieux. 2008, conclusion du colloque scientifique de Cordoue :
 « L'immense majorité de la biodiversité qu'il est indispensable de conserver (paysages, habitats, espèces, biodiversités génétique, culturelle) est l'effet d'une influence anthropique /= de l’homme/ très forte. Pour la conserver il faut la gérer. Un pastoralisme adéquat permet de maintenir et même d'augmenter la biodiversité végétale.  »
Même analyse au niveau planétaire. FAO 2009. Livestock keepers – guardians of biodiversity. ( = Éleveurs – gardiens de biodiversité) In Animal Production and Health Paper. No. 167. Rome
« Les paysages créés par la coévolution de l'élevage et de la végétation ressemblent souvent à des zones sauvages pour les étrangers /alors que/ la disparition des systèmes traditionnels de pâturage tend à s’accompagner de pertes importantes de biodiversité. »
(en anglais, télécharger à http://www.fao.org/docrep/012/i1034e/i1034e00.htm, page 11, §2)

B. Besche-Commenge ASPAP/ADDIP - 20 mai 2013

a voir aussi ce que disent

Programme Life Nature , cher aux écolos
réferentiel technique et économique sur le redéploiement du pastoralisme...

Le pastoralisme est aujourd'hui considéré comme une solution durable a l'entretien des milieux en faveur de la biodiversité. Il est également un outil de préservations des milieux contre les incendies. Par ses multiples vocations, le pastoralisme est donc présent dans de nombreux documents de planification territoriales comme les documents d'objectif des sites Natura 2000 mais également les plans départementaux de défense de la forêts contre les incendies.

CNRS ,: conférence Vaches, brebis et chevaux, acteurs de la préservation de la biodiversité des prairies

Au Royaume-Uni, la NSA met en garde contre les risques de sous-pâturage et rappelle que, grâce au pâturage, les ovins permettent de maintenir la biodiversité.

Au cours des 20 dernières années, le gouvernement australien a acheté plus de 11 000 hectares de terres agricoles dans le nord de l’État de Victoria, afin d’arrêter le pâturage des moutons. Ils se sont aperçus que la biodiversité a été mise à mal, avec par exemple la baisse inquiétante des effectifs de certaines espèces animales comme le « Plains-wanderer », une espèce d’oiseau proche de la caille et certaines espèces végétales qui ne peuvent pas rivaliser avec des graminées dominantes et envahissantes. Ils ont donc fait machine arrière, encourageant le retour des ovins.

Voici ce que dit le code rural et de la pêche maritime au chapitre agriculture:Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard.
En conformité avec les dispositions des traités instituant la Communauté économique européenne, le Gouvernement, reconnaissant ces rôles fondamentaux de l'agriculture, du pastoralisme et de la forêt de montagne, s'attache à : Lire les alinéas 

Didier Galop. Chargé de recherche au CNRS :  « la conservation de la biodiversité passe par des activités socio-économiques, comme l'agriculture et l'élevage ». 

dans biosphére L'élevage est à l'origine d'une grande diversité de races domestiques et de produits typiques, et a une grande capacité d'entretien de vastes surfaces d'espaces naturels. Il peut ainsi participer au maintien de prairies humides, de pelouses sèches ou de prairies d'altitude. Il peut aussi être efficace dans la prévention des incendies de forêt. Le MAB France encourage donc le développement d'activités d'élevage basées sur la conservation de races locales, sur l'élaboration de produits issus d'un savoir-faire spécifique, et sur des pratiques favorables à l'amélioration de l'environnement. voir quelques articles de mab


L'IMPOSSIBLE RÉALITÉ DE LA SURVIE NATURELLE DU LOUP

L'inéxorable déclin de la population de loups finlandaise

Loup finlandais © Pascal Etienne
Une étude publiée le 24 mai vient de mettre la lumière sur l’inexorable déclin qui touche la population de loups finlandaise depuis plusieurs années.
Après avoir augmenté, passant de 95 individus en 1998, à plus de 185 en 2004, et finalement culminer à 250 individus en 2006, la population de loups finlandaise s’est mise à décliner, petit à petit : en 2010, d’après l’Institut Finlandais pour la Pêche et la Chasse, la population de loup chute à 180 (150 pour la fourchette basse) et à l’heure actuelle, on ne compterait plus qu’entre 120 et 135 individus.
Plusieurs explication à ce déclin :
- la chasse (autorisée) : en 2010, 22 loups ont pu être tués par des chasseurs. Des permis de chasse sont attribués à la demande des éleveurs de rennes (en 2011, le gouvernement a versé 1,3 million d’euros de dédommagements aux éleveurs) ;
- le braconnage : d’après le chercheur Samuli Heikkinen, une douzaine de loups seraient tués illégalement chaque année (source).
L’appauvrissement génétique menace durablement la population de loups finlandaise
Deux raisons à cet affaiblissement génétique :
  • Du fait du faible nombre de loups, les accouplements entre individus de premier ou deuxième degré de parenté se multiplient et engendrent des problèmes de consanguinité (malformations osseuses et la baisse de la fertilité) qui vont eux-mêmes fragiliser la population : plus de mortalité et moins de naissances.
  • finlande carélieEn plus de cela, l’apport de sang neuf venant de loups russes se fait de plus en plus rare. La chasse intensive de loups en Russie (en particulier en Carélie) compromet fortement les échanges génétiques avec la population finlandaise.
Selon Erkki Pulliainen, chercheur et défenseur des loups depuis un cinquantaine d’années, la nouvelle étude révèle une situation très triste. « Cela a pris des décennies d’efforts pour arriver a rétablir la population de loups en Finlande, et maintenant les choses sont en train de dérailler complètement », a-t-il déploré à l’AFP.
Le loup est classé en Finlande comme une espèce menacée d’extinction.

Voilà qui prouve que les écologistes partisans "du loup à tout prix", ne maîtrisent rien. Ils se prennent pour Dieu, persuadés que le Loup peut coloniser les territoires Français qui ne sont plus ensauvagés, mais où s’épanouissent au contraire des femmes, des hommes et des enfants qui vivent de et en accord avec la Nature.
galipette ramène du bois pour l'hiver
              Nature Rurale, qui a été façonnée, au même titre mais sans excès, qu'a été façonnée la vie urbaine et périurbaine, pour pouvoir être accessible à la majorité des populations qui éprouvent le besoin de communier avec elle.
communion entre ville et campagne
        Nature Rurale qui a été préservée par ces femmes, ces hommes et ces enfants qui y vivent en la respectant!
la collecte des doryphores sans insecticides
        Nature Rurale que veulent s'approprier les écologistes qui culpabilisent sur les erreurs et les exactions commises par nos sociétés, et dont ils se targuent d’être le peuple élu qui doit réparer les fautes, quitte à sacrifier une catégorie de la population !



Comme le recommande l'UICN monde : alors que les budgets dans chaque pays ne sont pas extensibles, il est important de les utiliser pour sauver des espèces vraiment menacées mondialement, et le loup n'est menacé ni dans le monde ni en Europe. L'argent engouffré là serait bien mieux utilisé pour les vraies espèces en péril.



"protéger la biodiversité c'est normal et nécessaire mais avec le loup on est complètement à côté de la plaque et c'est même contre productif pour la biodiversité puisque l'argent engouffré là n'est pas utilisé pour ce qu'il faudrait vraiment faire".(bruno besche commenge)