LAMENTABLE PRISE DE POSITION ANTI LOUP CONTRE LA CONFÉDÉRATION PAYSANNE
- commentaire issu de la part d'une organisation irresponsable, qui sous couvert de défense du droit des animaux, est prête à sacrifier l'élevage traditionnel extensif et respectueux, pratiqué par des éleveurs passionnés et proches de la nature, au profit de l'élevage industriel qui ne nuira pas au loup, mais qui avilira toute forme de vie animale dont il aura la charge et sera disposé a délocaliser en cas de pression des autorités pour l’application des lois protégeant les animaux!
On savait que José Bové avait envie de tirer sur des loups, il a fait école,
son syndicat a pris position contre les loups il y a quelques jours! AUCUNE
DIFFERENCE ENTRE EUX ET LES ULTRAS DE LA FNSEA!
lire ici la LAMENTABLE DECLARATION DE LA CONFEDERATION PAYSANNE SELON LES DÉFENSEURS DU LOUP
"Pour la Confédération paysanne, la présence voire la réintroduction de loups doit engager la responsabilité de l'Etat, qu'il s'agisse de protéger les troupeaux ou d'indemniser les éleveurs victimes d'attaques. Les paysans doivent être en droit défendre leur troupeau contre les prédateurs.
Les récents débats, quant à la place du loup dans la nature, posent la question de la coexistence entre les activités agricoles et les prédateurs, le loup n’en étant qu’un symbole plus chargé d’émotion.
La Confédération Paysanne estime que la vie pastorale n’est pas compatible avec la présence du loup. Les moyens de protection contre ce grand prédateur perturbent fortement les troupeaux et les éleveurs sont contraints à de nombreux compromis, engendrant un climat de crainte et des situations intenables pour les bergers.
Devant l’inefficacité des mesures de protection, une politique de régulation du loup est indispensable. L’Etat doit prendre ses responsabilités et ne pas se contenter de déléguer le travail aux éleveurs.
La Confédération Paysanne demande donc :
• L’élimination des loups en situation de prédation sur les troupeaux, et ce, tout au long de l’année. En effet, les attaques de loups ne se concentrent plus sur la période d’estive. Cette élimination doit être assurée par un corps spécialisé sous contrôle de l’Etat. La défense active contre les loups et leur élimination ne doit pas relever du travail des éleveurs et des bergers. Toutefois, les éleveurs doivent être en droit de tirer pour défendre leur troupeau comme l’a affirmé le parlementaire européen José Bové et nous les défendrons s’ils sont attaqués pour cela.
• Que soient revues la mise en œuvre des procédures de tirs de défense en s’inspirant des simplifications (décrites par l’arrêté du 7 mai 2012) déjà mises en place dans certaines unités d’action, et que ce zonage territorial soit élargi à des secteurs où la colonisation par ce grand prédateur est récente, mais confirmée tels que l’Ardèche, la Lozère, les Vosges…
• Le déclassement du loup de la liste des espèces strictement protégées dans le cadre de la Convention de Berne. La dynamique de la population de loups montre que l’espèce n’est pas en danger. L’obligation de résultats dans l’élimination des loups en situation de prédation conduit à supprimer l’existence de quota national restreint.
• Enfin, pour le Plan loup prévu pour 2013-2017, la Confédération Paysanne attend des pouvoirs publics qu’ils s’engagent clairement aux côtés des éleveurs pour soutenir les pratiques d’élevage qui sont conformes aux attentes sociétales."
Et d'un José bové n'a pas envie de tirer sur les loups. Il a juste précisé qu'il était du devoir du berger de protéger ses animaux!
Et de deux, Qui a t'il de lamentable dans ce manifeste empreint de lucidité et de bon sens.
La confédération paysanne a manifestement pris connaissance du dossier loup en toute objectivité et en tire les seules conclusions possibles pour éviter la disparition du pastoralisme qui a façonné nos paysage depuis plus de 6000 ans! Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard.(article L 113.1)
A lire aussi Vers un renforcement des mesures contre le loup en montagne et ailleurs
lire ici la LAMENTABLE DECLARATION DE LA CONFEDERATION PAYSANNE SELON LES DÉFENSEURS DU LOUP
"Pour la Confédération paysanne, la présence voire la réintroduction de loups doit engager la responsabilité de l'Etat, qu'il s'agisse de protéger les troupeaux ou d'indemniser les éleveurs victimes d'attaques. Les paysans doivent être en droit défendre leur troupeau contre les prédateurs.
Les récents débats, quant à la place du loup dans la nature, posent la question de la coexistence entre les activités agricoles et les prédateurs, le loup n’en étant qu’un symbole plus chargé d’émotion.
La Confédération Paysanne estime que la vie pastorale n’est pas compatible avec la présence du loup. Les moyens de protection contre ce grand prédateur perturbent fortement les troupeaux et les éleveurs sont contraints à de nombreux compromis, engendrant un climat de crainte et des situations intenables pour les bergers.
Devant l’inefficacité des mesures de protection, une politique de régulation du loup est indispensable. L’Etat doit prendre ses responsabilités et ne pas se contenter de déléguer le travail aux éleveurs.
La Confédération Paysanne demande donc :
• L’élimination des loups en situation de prédation sur les troupeaux, et ce, tout au long de l’année. En effet, les attaques de loups ne se concentrent plus sur la période d’estive. Cette élimination doit être assurée par un corps spécialisé sous contrôle de l’Etat. La défense active contre les loups et leur élimination ne doit pas relever du travail des éleveurs et des bergers. Toutefois, les éleveurs doivent être en droit de tirer pour défendre leur troupeau comme l’a affirmé le parlementaire européen José Bové et nous les défendrons s’ils sont attaqués pour cela.
• Que soient revues la mise en œuvre des procédures de tirs de défense en s’inspirant des simplifications (décrites par l’arrêté du 7 mai 2012) déjà mises en place dans certaines unités d’action, et que ce zonage territorial soit élargi à des secteurs où la colonisation par ce grand prédateur est récente, mais confirmée tels que l’Ardèche, la Lozère, les Vosges…
• Le déclassement du loup de la liste des espèces strictement protégées dans le cadre de la Convention de Berne. La dynamique de la population de loups montre que l’espèce n’est pas en danger. L’obligation de résultats dans l’élimination des loups en situation de prédation conduit à supprimer l’existence de quota national restreint.
• Enfin, pour le Plan loup prévu pour 2013-2017, la Confédération Paysanne attend des pouvoirs publics qu’ils s’engagent clairement aux côtés des éleveurs pour soutenir les pratiques d’élevage qui sont conformes aux attentes sociétales."
Et d'un José bové n'a pas envie de tirer sur les loups. Il a juste précisé qu'il était du devoir du berger de protéger ses animaux!
Et de deux, Qui a t'il de lamentable dans ce manifeste empreint de lucidité et de bon sens.
La confédération paysanne a manifestement pris connaissance du dossier loup en toute objectivité et en tire les seules conclusions possibles pour éviter la disparition du pastoralisme qui a façonné nos paysage depuis plus de 6000 ans! Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard.(article L 113.1)
Personne n'a rien contre le loup en tant que tel, mais comme le précise l'UICN monde, le loup n'est absolument pas en voie de disparition, ni vulnérable ( préoccupation mineure . L.C.) et donc ne justifie d'aucune mesure de protection spéciale! Au contraire, l'UICN précise que pour une espèce en danger dans le monde un pays qui possède moins de 1 % de cette population ne doit pas entreprendre de mesures de protections car trop coûteuse et trop aléatoire. Hors le loup en France représente moins de 0.01% d'une population Mondiale non menacée.
Voici donc 2 vérités, détournées par une
lamentable manipulation des défenseurs du loup, qui permettent de déclasser le loup de la liste des animaux protégés.!
en savoir plus sur l'uicnA lire aussi Vers un renforcement des mesures contre le loup en montagne et ailleurs