BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

vendredi 17 octobre 2014

World Wide Fund, LA FACE CACHEE DU FOND pour LE MONDE SAUVAGE

VOICI COMMENT SE DÉFINIT LE W.W.F.

Adepte d'une philosophie basée sur le dialogue et le respect de l'autre, le WWF oeuvre quotidiennement pour que dans un avenir proche, le développement humain puisse se faire en harmonie avec la nature.

 WWF, partisans de l'action, sur la base du dialogue et du respect de l'autre

Le WWF a vocation à influencer toute décision publique intervenant dans sa sphère de compétences. Sans prise de position partisane, sinon celle de défenseur d’une planète vivante, il fait entendre sa voix tant au sein du débat national, qu’européen et international.

Depuis sa création, le WWF France s’engage auprès des acteurs pouvant contribuer à enrayer la dégradation des écosystèmes. Dans cette lutte, l’entreprise est un puissant levier de changement.


QUE TOUT CELA EST BEAU, MAIS QUE SE CACHE T'IL DERRIÈRE TOUS CES MERVEILLEUX DISCOURS  ?




Pandaleaks:"The dark side of the WWF" ("La face cachée du WWF" ) 
Disponible

CHAPITRE I

http://www.pandaleaks.org/operation-lock/ = traduction: 

Nous avons le plaisir et la fierté de vous annoncer la publication depuis longtemps attendue de « PandaLeaks The dark side of the WWF » (la face caché du WWF) Le livre controversé, écrit par le journaliste et réalisateur allemand récompensé Wilfried Huismann, est enfin disponible en anglais, sans coupe et mis à jour.

Pandaleaks est un tour de force journalistique révélant les sombres secrets derrière la bienveillante et souriante façade de du WWF. Le texte de Huissman est arrivé directement en tête des vente en Allemagne et ce malgré le fait que le WWF ait réussi à bloquer les ventes pendant plusieurs semaines avec une campagne massive de menace envers les libraires.

Une série de procès intentés par le WWF ont également échoué dans leur tentative de censurer le livre.
(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)

Le WWF ne peux réfuter les faits rassemblés par Wilfried Huismann durant ces deux ans de recherches aux quatre coins de « l'empire vert » : Le WWF une marque de protection de la nature reconnue mondialement est de mèche avec les plus gros pollueurs du globe. Le WWF « efface » les crimes écologiques liés aux affaires des compagnies qui détruisent actuellement les dernières forets vierges et habitats naturels restant sur notre planète, pendant que la fondation accepte leur argent.

Le WWF ne renonce même pas à collaborer avec le géant des OGM Monsanto. Le modèle économique de la fameuse organisation « écologique » fait finalement plus de mal que de bien a la nature.
(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)


Le journal Allemand « Süddeutsche Zeitung » a dit à propos de ce livre : «  il décrit l'image d'une organisation environnementale qui marche main dans la main avec les industries ; faisant des marchés avec les riches et les puissants, les compagnies pétrolières et les mafias des OGM , en oubliant ses buts et perdant même son identité au cours du processus » Huismann a également creusé profondément dans les origines de la plus grande, plus puissante et plus connue des organisations environnementales et trouvé plusieurs squelettes dans les placards : Le club secret et privé « the 1001 » ainsi qu'un commando militaire privé déployés en Afrique contre des braconniers mais aussi contre les mouvements de libération de l'Afrique Noire.(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)

Au nom de la protection de l'environnement le WWF a participé à la délocalisation et à l'extinction culturelle des peuples indigènes partout dans le monde. Plus de 20 millions de personnes partout sur la planète sont désormais considérées comme des « réfugiés de la conservation ».(rappel :  WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.) Le magasine Suisse Zeiptpunkt dit du livre de Huismann qu'il y a autant de suspense que dans un thriller. The journal Allemand Die Welt écrit : « les révélations de ce livre brisent la foi envers le panda en tant qu'organisation bénéfique »



CHAPITRE II

"Le côté obscur de la WWF (NB : UICN / LCIE même famille) et ses accords."
"WWF vend son âme aux corporations
"
WWF International, l’association de conservation la plus importante au niveau mondial, est accusée de “vendre son âme » en forgeant des alliances avec de puissantes entreprises qui détruisent la nature et utilisent le label WWF pour « verdir » leurs activités.
Ces dénonciations proviennent d’un livre explosif : « Le silence des pandas », bestseller en Allemagne en 2012 mais qui, suite à une série de procès, ne sort que la semaine prochaine en Angleterre, rebaptisé « Panda leaks ». Son auteur, Wilfried Huismann, prétend que l’association WWF International basée à Genève, a reçu des millions de dollars de la part de divers gouvernements et entreprises. Des multinationales telles que Coca-Cola, Shell, Monsanto, HSBC, Cargill, BP, Alcoa et Marine Harvest ont ainsi bénéficié du label WWF tout en poursuivant leurs activités à l’identique.
Huismann prétend qu’en mettant en place des « tables-rondes » d’industriels exploitant des matières premières stratégiques telles que l’huile de palme, le bois, le sucre, le soja, les biofuels et le cacao, WWF International est devenu un pouvoir politique trop proche de l’industrie et en phase de devenir dépendant de l’argent de ces compagnies.

D’après Huismann, « WWF est un prestataire des géants du secteur de l’alimentation et de l’énergie, leur offrant une image vertueuse et progressiste... D'un côté, il protège la forêt, d’un autre, il aide ces groupes à exploiter de nouvelles terres. WWF aide à vendre l’idée d’une relocalisation volontaire des populations autochtones. » (rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)

La philosophie de la conservation promue par WWF a considérablement changé au cours des 50 dernières années, mais jusqu’à récemment le discours dominant était que les hommes et la « vie sauvage » ne pouvaient pas cohabiter, ce qui a conduit WWF à être accusé de complicité d’éviction des peuples indigènes en Afrique et en Inde.(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)

Le livre prétend aussi que WWF, fondé en 1961 par les Princes Philip d'Angleterre et Bernhart des Pays-Bas, anime un club d’élite qui rassemble 1001 personnes parmi les plus riches du monde, dont les noms ne sont pas révélés. Industriels, philanthropes et ultra-conservateurs, naturalistes de la haute société, ils sont réputés pour former un réseau de « vieux garçons » qui influencent en sous-main les pouvoirs politiques et économiques.
Parmi les noms qui ont fuité au cours du temps, notons le Baron von Thyssen, le patron de Fiat Gianni Agnelli et Henry Ford, ainsi que des politiciens corrompus tels que Mobutu Sese Seko (Zaïre), l’ancien président du comité olympique Juan Samaranch, et le baron de la bière Alfred Heineken.
Huismann confie à l’observer que « ‘Le club des 1001’ joue toujours un rôle important pour le WWF, même s’il ne s’agit pas d’un comité central secret. Je déteste les théories du complot, mais je suis persuadé que le discret ‘club des 1001’ influence encore les décisions stratégiques du WWF, parce que nombre de ses membres sont des acteurs importants des puissantes multinationales industrielles et financières qui gouvernent la planète. »

PandaLeaks dénonce aussi les relations du WWF avec l’industrie de l’énergie. Son premier sponsor industriel a été Shell, dont l’un des présidents a également été président de WWF. L’organisation a récemment annoncé qu’elle n’accepterait plus de dons des compagnies pétrolières, mais en 2010 elle a été payée par Shell et BP pour étudier quelles forêts dans l’hémisphère sud devraient être conservées et où des coupes pourraient être réalisées pour l’activité industrielle.

WWF affirme que l’environnement ne peut être protégé que par le dialogue avec les acteurs engagés dans les industries extractives et polluantes. (rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)
« Pandaleaks est un livre basé sur un documentaire télévisé allemand discrédité, qui n’a pas respecté les normes de base du journalisme. Il n’est pas factuel et ne montre pas une image représentative de WFF », affirme un représentant.
« WWF aimerait bien avoir une influence politique dans l’intérêt de ses membres et de sa cause. Nous cherchons à rallier l’industrie de manière stratégique, car l’industrie génère des impacts environnementaux importants ».
« Nous ne pensons pas avoir vendu notre âme, mais il est vrai que nous sommes désormais plus regardants quant aux conflits d’intérêts avec nos donateurs et commanditaires. Nous sommes au stade final d’un projet de plusieurs années visant à mettre à jour nos normes de transparence et de comptabilité en ce qui concerne les partenariats avec des entreprises. » Le représentant défend également le bilan de l’organisation en lien avec les compagnies pétrolières comme Shell et avec la relocalisation des populations autochtones:

 « D’une manière générale, WWF a commencé à rompre ses relations avec les compagnies pétrolières il y a plus de 10 ans. En 2013, moins de 10% des revenus de l’organisation provient d’entreprises privées. Pour WWF International, la proportion de financements provenant des entreprises privées était de 6% en 2013. ‘Le club des 1001’ n’est qu’une des nombreuses sources de dons pour WWF International ».

« En Inde, il y a eu des relocalisations forcées, mais WWF-Inde s’y est toujours opposé et a veillé à ce que les peuples des forêts qui ont accepté des relocalisations volontaires ne soient pas privés de leurs droits ou lésés. »

Sous la présidence de Prince Bernhart, le WWF a été suspecté de vouloir créer un immense parc national de l’Afrique du Sud au Kenya. Le livre, s’appuyant sur une commission judiciaire sud-africaine de 1996, prétend qu’un vétéran des services secrets anglais a mené une équipe de mercenaires anglais en Afrique du Sud en 1989, pour former des unités anti-braconnage afin de lutter contre la trafic de rhinocéros. L’opération, qui a échoué, semble avoir été partiellement financée par le Prince Bernhart. D’après une investigation menée par le Prince Philip, les fonds du WWF n’ont pas été engagés dans cette opération.

Le livre documente aussi la façon dont le Prince Philip, premier président de WWF en Angleterre, a tué un tigre dans le parc Ranthambhore en Inde, peu avant que l’organisation ne soit créée. Dans une interview avec Huismann, Philip déclare :

 « Mise à part cette fois-ci en Inde, je n’ai jamais chassé le gros gibier. La meilleure façon d’être sûr d’avoir une population sauvage raisonnable et de s’assurer qu’elle est équilibrée. On ne peut pas juste laisser faire la nature ».




CONCLUSION

On ne peut pas juste laisser faire la nature ».
On ne peut pas juste laisser faire la nature ».
On ne peut pas juste laisser faire la nature ».
On ne peut pas juste laisser faire la nature ».


“The revelations of this book shatter faith in the panda as a force for good.”
"Les révélations de ce livre brisent la foi dans le panda comme une force au service du bien."

Sa collaboration avec Monsanto (Syngenta aussi)
et autres corporations ...
l'écoblanchiment de grands business
ses commandos militaires
le déplacement et l'extinction de peuples indigènes ..
(il manque juste la mort programmée du pastoralisme et la protection de ceux qui accepteront volontairement la délocalisation!)


ET POUR ENFONCER LE CLOU:

L'Organisation Survival International, mouvement mondial pour les droits des peuples indigènes, a révélé que de graves abus étaient commis à l’encontre des Pygmées baka du sud-est du Cameroun, aux mains des brigades anti-braconnage soutenues et financées par le WWF.
Le WWF est complice de violations des droits de l'homme au Cameroun.
(Survival désigne aussi dans son texte le WWF en des termes on ne peut plus clairs : Le géant de l'industrie de la conservation). 
a lire dans LE LOUP DES VOISINS

Ecrivez au directeur du WWF pour lui demander d’arrêter de financer les abus perpétrés au nom de la conservation au sud-est du Cameroun. (WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)

dans le même registre: http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2014/02/loup-la-face-cachee_9.html

La repentance est toujours possible mais s'engager dans la protection de l'environnement est il une forme de repentance ?

C'est la question que nous pourrions nous poser au sujet des deux co-fondateurs du WWF, le Prince Philip d'Angleterre et le prince Bernhard de Hollande, tous deux anciens sympathisants du nazisme des années 30. 

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Il est aussi surprenant de découvrir que le " WWF est l'héritier direct des chasses coloniales rassemblant une élite économique et politique partageant un intérêt commun pour la chasse et une idéologie commune de supériorité des pratiques occidentales dans les gestion des milieux naturels 
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Le WWF gére l’oasis par aimable concession de la Sacra et peut-être qu’il n’était pas utile au WWF de mécontenter les aristocrates et les riches actionnaires de la Sacra socialement affiliés à l'idéologie du WWF (né de princes-financiers comme Bernhard de Hollande). C’est ainsi que tout allait bien pour la plus grosse installation de biogaz de Capalbio. Comment a fini cette histoire est une chose connue : la centrale ne se fait pas parce que la Province et la Commune s’y sont opposées, mais la Sacra a engagé un recours civil pour des millions de dédommagement. Le WWF est resté silencieux tout au long de l'histoire du biogaz de Capalbio. Alors maintenant comment peut-il s'opposer à la centrale beaucoup plus petite de Alberese ? Il n’a pas la conscience tranquille, il a la conscience sale, il défend l’indéfendable et donc doit s'aligner avec les affairistes de Legambiente, qui n’ont pas l’intention de se limiter à la seule centrale de biogaz de Alberese.
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Ce n’est un secret pour personne : dans le monde, des millions d’autochtones ont été chassés de leurs terres pour laisser la place aux géants du pétrole, du métal, du bois et de l’agriculture. Mais peu de gens savent que la même chose se passe au nom d’une cause bien plus noble : la protection de l’environnement. Des chefs de tribu de presque tous les continents ont établi une liste des organisations responsables de la destruction de leurs cultures. Parmi celles-ci figurent non seulement Shell, Texaco, Freeport et Bechtel, mais également des noms bien plus surprenants, tels que les ONG Conservation International (CI), The Nature Conservancy (TNC), World Wildlife Fund (WWF) et Wildlife Conservation Society (WCS). Il est même possible que l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), pourtant plus sensible aux problèmes liés à la culture autochtone, y figure. 
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Le président d’honneur du WWF d’Espagne est le roi lui même. Récemment ce grand chasseur a vu son image quelque peu chahutée après avoir été rapatrié du Botswana ou il c’était blessé dans son bungalow . Il faisait discrètement dans ce pays un safari au rhinocéros d’une valeur de 30 000 euros. 
Extrait de : http://mathieuerny.unblog.fr/2013/02/04/les-indulgences-au-troisieme-millenaire/


Un nouveau rapport révèle la face cachée de la conservation

Plusieurs organisations de conservation parmi les plus importantes au monde, telles que leWWF et The Nature Conservancy sont impliquées dans ce scandale. Et United for Wildlife, l’organisation fondée par le prince William et le prince Harry, ignore les appels qui lui ont été lancés visant à garantir les droits des peuples indigènes à vivre sur leurs terres ancestrales et à y pratiquer la chasse de subsistance.
Dauqoo Xukuri, un Bushman de la Réserve naturelle du Kalahari central au Botswana a dit : ‘Je m’assois et regarde l’horizon autour de moi. Partout où il y a des Bushmen, il y a du gibier. Pourquoi? Parce que nous savons comment prendre soin de la faune’.
Mais rien n'y fait, la main mise sur des millions d'hectares à travers le monde est devenu l'unique préoccupation des défenseurs de la nature!

Etude sur la nature des mouvements écologistes et leurs véritables objectifs

Le prince philip, le WWF et la conspiration bénédictine



lundi 13 octobre 2014

ÉCOLOGISTES, LA THÉORIE DE L'ENSAUVAGEMENT MIS A MAL


LE RETOUR A LA RAISON

la théorie, si chère a nos association de protection des prédateurs, comme quoi le pastoralisme ne sert  rien:

Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage
Les moutons n’ont jamais créé la moindre espèce
Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.
Dans les Alpes du sud, la richesse floristique est parfois plus grande sur les pistes de skis que dans les pâturages !
Si nous faisons le choix de maintenir une activité pastorale partout, réadaptons les pratiques pastorales à la présence de prédateurs naturels et à la préservation de la biodiversité

Autant de mensonges propagandistes cosignés par toutes les associations dépassées, mis à mal par 34 scientifiques (INRA,IRD,IRSTEA,CNRS,ECOLES VETERINAIRE,   CERPAM, SCIENCE PO, EHESS, SUPAGRO, IAM, MNHM, FFP, UNIVERSITÉS;;;;;°

" Nos paysages emblématiques de montagnes, collines, bocages et marais sont constitués d’une mosaïque de milieux façonnés au fil des siècles par les pratiques paysannes. La vitalité de ces espaces, de plus en plus appréciés par nos sociétés urbanisées, se dégrade rapidement quand ils ne sont plus entretenus par le pâturage des troupeaux notamment. Or, en de nombreuses régions, les troupeaux subissent l’assaut des loups. Que faire ? La gravité de la situation plaide pour l’adoption de mesures d’urgence, sur le terrain comme dans le domaine réglementaire."

"Nos sociétés ont besoin d’écosystèmes et de paysages diversifiés. Nombre d’entre eux fonctionnent et se renouvellent grâce au méticuleux travail des bergers et éleveurs. La situation devenant pour eux intenable, un patrimoine majeur est en passe d’être sinistré par les loups. Une régulation s’impose. Il est bien tard. Peut-être n’est-il pas trop tard".

EN SAVOIR PLUS

M le magazine du Monde |  | 

Bêtes et méchants

LA CONCLUSION/
LE PASTORALISME LUI-MÊME EST EN DANGER
Cette pratique ancestrale fait vivre les montagnes, empêche la nature de s'embroussailler et préserve aussi des espèces domestiques menacées comme les brebis raïoles, brigasques et mourerous, les chèvres du Rove et du Poitou parmi d'autres. Avec leur disparition, ce serait la fin de l'agneau de Sisteron et du cabri des Hautes-Alpes, du brousse du Rove, de tous ces fromages fabriqués chaque jour dans les alpages après la traite du soir. La bataille qui se joue aux confins du Mercantour concerne toute une économie rurale de montagne dont la fin ne pourrait qu'enchanter les bétonneurs du tourisme de masse et les partisans de l'élevage industriel. Elle illustre la folie d'une époque où l'animal sera bientôt plus protégé que l'homme. Dans un pays où le président peut déclarer la guerre sans la permission du Parlement, mais où il faut un arrêté préfectoral pour "prélever" un loup qui égorge les brebis.

L'article en entier par JP GENE

Extrait de :

IbriWolf, MedWolf...: quand les tentatives de solution deviennent le problème

"il n'y a pas de réparations pour le dommage, la douleur et le stress des humains et des animaux, et pas non plus de dissuadeurs (rapidement ridiculisés par l'intelligence des prédateurs), de chiens de troupeau (dévorés) ou d'enclos avec des treillis soudés (surmontés en creusant sous les bordures de béton enterrées) qui tiennent. L'impossible projet, sur ces terres, n'aurait même pas dû être une hypothèse, si on en avait évalué la faisabilité avec une approche réaliste et une responsabilité compétente."

La version Italienne 

Plaidoyer pour des écosystèmes non désertés par les bergers

Et réponse, Michele Corti professeur a l'université de milan, directeur de la coordination nationale des pesticides "non merci", président de la coordination nationale "notre terre", a écrit ceci:

"La différence entre la France et l'Italie se manifeste bien dans l'appel en faveur des bergers devant faire face à une pression de prédation croissante des loups qui a été signé par 35 spécialistes de différentes sciences (agraires, biologiques et humaines). En Italie, combien auraient le courage de signer, en défiant la pensée unique du "beau loup"?
 Dire "le loup est beau" est devenu un dogme, indépendamment du fait que l'espèce soit en forte expansion et que  les bergers souffrent d'une pression de prédation toujours plus intenable. Grâce à la protection "absolue" et idéologique des grands prédateurs en dehors de toute logique environnementale, territoriale et sociale, la classe moyenne "urbaine" réaffirme sa supériorité sur les "vilains" (littéralement appelés ainsi par les animalistes "tombés" sur Pinzolo pour "venger" la mort de l'ourse Daniza). C'est typique du contexte de déclassement social et de crise. En réalité, la politique de la "wilderness", avec l'avancée de la forêt et des grands prédateurs, vise à désertifier les montagnes et les zones rurales "marginales" pour permettre aux intérêts économiques capitalistes d'exploiter les ressources naturelles sans les "ennuis" causés par la présence gênante des communautés locales."
On croirait entendre Ouragan!


vendredi 10 octobre 2014

MEUSE, COHABITATION ET MENSONGES

FERUS, FNE et les associations locales s'expriment au sujet du retour du loup en plaine. "On ne peut pas proclamer que toute cohabitation entre le loup et l’élevage ovin en Meuse est impossible avant d’avoir tout fait pour que cela devienne possible. Pastoralisme et écosystèmes naturels équilibrés ne sont pas incompatibles : nos associations ne veulent pas d’une Meuse sans éleveurs ni brebis. Elles ne veulent pas non plus la destruction du loup !"

Ces mêmes associations qui ont signés:

Le bétail tué par le loup est correctement indemnisé, 
mais ça vous le savez mieux que quiconque que c'est faux!

Les brebis meurent surtout d’autres causes, 
ça aussi vous le maîtrisez dans la gestion de vos entreprises!

Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage, 
vous commencez a comprendre?

Les moutons n’ont jamais créé la moindre espèce, 
ça ce précise?

Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique. 
Vous commencez a comprendre ou ils veulent en venir?

Si nous faisons le choix de maintenir une activité pastorale partout, réadaptons les pratiques pastorales à la présence de prédateurs naturels et à la préservation de la biodiversité, 
et voilà, tout est dit!
a lire dans : 


Dans les alpes Maritimes, après 20 ans de cohabitation:
bilan au 30 septembre 2014
574 constats dont 516 indemnisés pour 2052 victimes dont 1868 indemnisées du 1 janvier au 30 septembre 2014
85% des troupeaux attaqués avaient mis en place les mesures de protection et 100 % dans le Mercantour. source DDT06

Désormais, le loup attaque de jour, en présence des chiens et des bergers

En Italie, les éleveurs qui ont remplacé les brebis par des bovins se font attaquer pareillement!


Dans le cadre de l’ « Initiative pour la conservation des grands carnivores en Europe », le WWF (Association mondiale dédiée à la faune sauvage) finance une étude intitulée: «  Systèmes européens de subventions à l’élevage, et propositions de réformes favorables à la conservation des grands carnivores » menée par l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la nature). Toutes ces associations participent au programme européen Life Coex qui prétend gérer la « cohabitation » entre grands carnivores et territoires habités.

Tout est dit page 103 : « des réserves naturelles de faune sauvage limitées ne sont pas suffisantes pour les grands carnivores. c’est la totalité du paysage qui doit être incluse dans les plans de gestion. »
 Férus, FNE et les autres associations vont certainement oublier de vous faire connaitre les conclusions de cette étude:

Dans cette zone sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ 

Les associations en partenariat avec rewilding europe, je cite : "se  concentrent  en  particulier  sur  la  transformation  des  problèmes causés  par  l'actuel abandon des  terres à grande échelle en opportunités pour l'homme et la nature, offrant ainsi  une possibilité réaliste de rentabilisation de la nature sauvage en Europe. À côté de nombreuses autres façons de rentabiliser l'état  sauvage  (1),  plusieurs  régions  ont  le  potentiel  pour  proposer  à  partir  de  la  faune  des  attractions  touristiques de classe internationale. Nous allons travailler dur pour en faire une réalité."


A moins d'actions musclées, d'une solidarité née du désespoir, d'une désobéissance ... éleveurs et bergers sont condamnés, et par la même tous les ruraux !
 Dans les documents que nous venons de recevoir (des centaines de pages en anglais) qui accompagnent le projet de la plateforme, il n'est question que de cohabitation et de conservation de l'espèce,

.. Mais il est aussi question de pistes de ski, de pastoralisme, de tourisme, d'activités sociales... qui gênent,
et de création de corridors comme il a été fait chez les bushmen .





Au "Groupe National Loup" le 7 mai 2014 ...
Pour la première fois, le gouvernement a envisagé de mettre en place des 
« aides à la reconversion »... / ...  "A-t-il déjà entériné le fait que la plupart des éleveurs sont condamnés à disparaître pour oser évoquer pareil dispositif ? "' ... (" Éleveurs et Montagnes ") ..Loup, compte rendu GNL

Amis Meusien, ne vous laissez pas berner, les écologistes font de l'élevage de prédateurs sur nos terres et la finalité est déjà écrite:
Sur nos terres," il faut de forte restriction à l'élevage pour que le pastoralisme ne gène pas les grands prédateurs "


Mieux connaitre Férus qui en 2012 affirmait 5000 victimes dont la moitié par des chiens (chiffre officiel indemnisé: 5779 ovins, 264 caprins, 49 bovins, 9 équins et 5 chiens! ça vous la coupe?)

mais aussi:

FERUS ET LE WWF, NE MANQUENT PAS DE CULOT




ET SI IL FALLAIT UNE PREUVE LA VOICI:
 "Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages !" 
Extrait du communiqué de l'ASPAS publié le 14 juillet, qui nous amène tout droit à la délocalisation, puisque les espaces naturel de l'aspas et de ses acolytes, sont nos terres en propriété ou en location, que nous avons sues garder naturelles!

Au moins, les choses sont claires, si on avait eu le moindre doute, voilà comment on tire un trait sur des millénaires de pastoralisme...c'est le WWF qui doit être content





jeudi 9 octobre 2014

PASTORALISME, PLÉBISCITÉ PAR LE PEUPLE

Un troupeau de moutons sur la Piazza del Duomo de Milan : la nouvelle a fait le tour du monde, du Washington Post au Liberal en Argentine. Elle constitue aussi la scène conclusive du premier long métrage de Marco Bonfanti, L'Ultimo Pastore [+], qui raconte l'histoire incroyable de Renato Zucchelli, le dernier berger nomade dans une métropole, une position conquise par la seule force de son imagination.
L'avant-première mondiale du documentaire a eu lieu au Festival de Tokyo, où le film a réalisé des entrées-records et où il a été qualifié par la presse orientale de "joyau du festival". Il a aussi été sélectionné au Festival de Dubai dans la section Cinéma du monde en tant que seul film italien avec le film de Bernardo Bertolucci Io e te [+], et présenté en novembre au Festival de Turin.

jeudi 25 septembre 2014

PETITION POUR EN TERMINER AVEC LE MASSACRE DE NOS TROUPEAUX ET DE NOS VIES




PETITION..............Aujourd'hui Jeudi 25, 6 heures.
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Presque 800 signatures de gens qui ont "les pieds sur terre"
Nous pouvons sûrement faire mieux .
En espérant que les autorités sauront faire la part des choses entre nous et ces armées d'utopistes.



vendredi 19 septembre 2014

LOUP, REALITE ET TEMOIGNAGE

« Le loup attaque la nuit comme le jour, parfois on se lève plusieurs fois par nuits … Bergers: 
une vie bouleversée par l’arrivée des loupsloup 1

EXTRAIT DE http://mediascitoyens-diois.info/2014/09/apres-la-7-eme-attaque-de-loup-en-drome/

Ces mesures (regroupement nocturne, filets électrifiés, chiens de garde, présence d’un berger) ont une certaine efficacité, mais «elles n’empêchent pas totalement les attaques», explique Thomas Vernay, ex-éleveur, chargé du dossier à la Confédération paysanne.

Ce trentenaire s’est installé en 2005 à Glandage, au dessus de Die, avec un troupeau de 150 chèvres cachemire. Avec deux autres éleveurs, il a connu une première attaque en 2010. Malgré les parcs nocturnes et des chiens de protection, «la meute ne nous a plus lâchés», assure le jeune homme qui revendique une sensibilité écolo.
« on ne voulait plus vivre ça »
L’organisation des journées a changé. Regrouper les animaux, qui pâturent parfois loin des villages, s’est fait «au détriment des foins, de la culture de céréales, de la vente directe», détaille-t-il.
Compter les bêtes est devenu pour lui une obsession. Certaines réussissaient parfois à sortir de l’enclos nocturne. Puis le loup a peu à peu appris à franchir les clôtures. «Après une attaque, on s’épuisait à chercher les bêtes, vivantes ou mortes, car on a que 48 heures pour faire la déclaration et de toute façon, les vautours arrivent rapidement», raconte-t-il.
Les attaques se sont renouvelées, parfois à 200 mètres du village. En 2012, Thomas et sa compagne ont finalement lâché l’affaire: «on ne voulait plus vivre ça et on s’est dit qu’on n’était pas là pour nourrir le loup».

L’intégralité de l'article dans : "MEDIAS CYTOYEN DIOIS"

jeudi 18 septembre 2014

TÉMOIGNAGE BIO

Bonjour, je suis éleveur en montagne en bio, je pense être écolo et je suis pour la sauvegarde de la biodiversité, j'ai une petite ferme avec diversifiée avec 150 brebis. Il y a quelques années je pensais comme beaucoup que la question du loup était un faux débats, que de toute façon les éleveurs recevait des gros dédommagement etc etc... Puis j'ai été directement confronté au problème, première attaque 25 bêtes sur le carreau et 8 de blessées (qui ne s'en remettront pas) et seulement 1 de mangé entièrement. Donc je prend des chiens de protection, je renforce mes clôtures et les attaques continues. Les chiens ont une certaine efficacité puisque pour les autres attaques que j'ai subi, il n'y avait pas plus de 4-5 bêtes de tuées en moyenne. Par contre l'effet contraire c'est que, pour que ce soit plus facile, les loups dispersaient mes brebis. J'avais effectivement droit à des aides pour acheter des chiens et des croquettes, des aides pour des clôtures renforcées et 150€ par brebis trouvé tuée, mais je n'avait pas d'aide pour embaucher (troupeau trop petit). Donc bilan des opérations: -je me suis retrouvé avec des molosses qu'il a fallut éduquer (une vingtaine d'agneau tué par les chiens) puis nourrir (transporter des tonnes de croquettes à 2000m d'altitude). Sans compter les dangers avec les randonneurs, je suis le seul responsable de mes molosses si ils mordent quelqu'un je suis coupable au yeux de la justice. - je me suis retrouvé a passé des journées, en compagnie de quelques personnes solidaires, à courir la montagne pour essayer de retrouver mes bêtes (vivantes et mortes) parfois dans la pluie le brouillard et le vent. -je me suis retrouvé a faire l'équarrisseur, ramassage de cadavres mangés ou pas, puis à les transporter (puisque c'est interdit de les laisser tels quels) alors que je n'avait que très peu de pertes auparavant et que le ramassage de cadavres n'était pas ma spécialité. -je me suis retrouvé avec un troupeau stressé, qui mange mal, qui dort mal et qui du coup est beaucoup plus sensible. -Je me suis retrouvé stressé moi même ne sachant jamais comment j'allais retrouvé mon troupeau et avec une impossibilité d'organiser mon travail correctement ne sachant pas prédire une attaque sans parler de ce qu'on pourrait appeler ma vie privée. A la fin une attaque tout les deux jours... Puis je me suis retrouvé sans brebis avec des terrains désormais inexploité et avec la profonde conviction que la cohabitation élevage/loup n'est pas compatible.

SUR http://www.franceinter.fr/emission-le-zoom-de-la-redaction-loup-en-liberte-eleveurs-en-danger