« Océans, la voix des invisibles », un film édifiant
le film d’investigation Océans, la voix des invisibles, de Mathilde Jounot, montre les motivations troubles des ONG environnementalistes se positionnant pour la sauvegarde des océans et des poissons.
Ce documentaire montre que derrière des positions environnementalistes se cachent de grands enjeux financiers. En quelques clics sur internet et extraits de leurs discours, il ne faut pas chercher bien loin pour voir les liens directs entre les entreprises transnationales privées, les banques et les ONG.
Mais surtout, la réalisatrice met le doigt sur un gros déficit de démocratie. Des sociétés, des organisations internationales et des ONG sont désormais les acteurs de la gouvernance mondiale, au détriment des États. Ce n’est pas tant leur business qui choque, que l’absence de contrôle politique envers ces acteurs disant représenter la société civile.
A BON ENTENDEUR, SALUT.
L’Assemblée nationale a supprimé jeudi un article du projet de loi sur
la biodiversité introduit par le Sénat, qui entendait créer une action
de groupe dans le domaine environnemental, malgré l’avis défavorable du
gouvernement.
Lors de l’examen en seconde lecture du projet de loi, une série d’amendements portés par des députés Les Républicains et un socialiste ont été adoptés pour supprimer cet article introduit par des sénateurs socialistes lors de l’examen du texte à la chambre haute en janvier.
Il prévoyait de permettre à certaines associations, comme les associations agréées de protection de l’environnement, d’engager une action devant une juridiction civile ou administrative, notamment en vue d’obtenir la réparation de « dommages corporels et matériels résultant d’un dommage causé à l’environnement ». : " En quelques clics sur internet et extraits de leurs discours, il ne faut pas chercher bien loin pour voir les liens directs entre les entreprises transnationales privées, les banques et les ONG. "
Lors de l’examen en seconde lecture du projet de loi, une série d’amendements portés par des députés Les Républicains et un socialiste ont été adoptés pour supprimer cet article introduit par des sénateurs socialistes lors de l’examen du texte à la chambre haute en janvier.
Il prévoyait de permettre à certaines associations, comme les associations agréées de protection de l’environnement, d’engager une action devant une juridiction civile ou administrative, notamment en vue d’obtenir la réparation de « dommages corporels et matériels résultant d’un dommage causé à l’environnement ». : " En quelques clics sur internet et extraits de leurs discours, il ne faut pas chercher bien loin pour voir les liens directs entre les entreprises transnationales privées, les banques et les ONG. "
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