BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

lundi 15 juin 2015

LES LOUPS AUGMENTENT DE 20% PAR AN / L’ESPÈCE N'EST PAS EN DANGER? NOS PÂTURAGES SI

Préface:
 Article publié sur le plus du nouvel Obs, que je rapatrie et met à jour, sur mon site suite au refus systématique de ce journal de publier un droit de réponse aux insanités écrites à propos des ruraux par le vice président de Férus, et  l'écrivain Armand Farrachi dont la vindicte n'a d'égale que la haine qu'il voue à ceux qui travaillent pour rétablir la vérité!


Tout d'abord, mettons-nous dans le bain avec un rappel historique des publications officielles de la présence du loup en France.

En résumé, le chiffre officiel de l'augmentation de la population loup est passée de :

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés

À savoir que les rejets d'attaques de loup en augmentation en 2013, permettant à l'État de faire de substantielles économies... crise économique oblige !

Une estimation totalement invraisemblable

Aujourd'hui, la déclaration officielle de la moyenne de la population loup est de 301 spécimens.

Cette estimation entre 220 et 381 loups qui, si elle revêt un semblant de caractère de sérieux avec le chiffre de 301, n'en reste pas moins totalement invraisemblable et a pour but de minimiser l'impact du loup sur les problèmes de prédation.

À ce stade, le lecteur se fera sa propre idée sur les possibles dérives, intentionnelles ou non, suscitées par l'alignement de toutes ces contradictions.

Des attaques systématiques sur nos bêtes

Au jour le jour, je constate personnellement, dans mon vécu quotidien, l'augmentation de la population loup. Depuis trois ans, je n'ai plus jamais vu de cervidés avec mes chevaux à la pâture, alors qu'il ne se passait pas une semaine sans que j'en retrouve en leur compagnie.

Depuis trois ans, les pâturages d'hiver, qui se composent essentiellement de "l'herbe ronde", (filante de Montpellier) sont tellement fournis du fait de la disparition ou du déplacement des herbivores sauvages, qu'il faut veiller à ce que nos chevaux n'engraissent pas trop, car ils sont destinés au travail de la ferme et aux loisirs de nos visiteurs.

Pour ce qui est du vécu de mes des voisins, cela se concrétise par des attaques systématiques sur les ovins, caprins, bovins, équins et même sur les chiens de protection. Ce qui engendre la disparition des élevages de ceux qui ne peuvent plus supporter le stress et les conséquences des attaques à répétition.

Un mouton attaqué par un loup. (DR/Ouragan)

Cela se concrétise aussi par l'éclatement des familles, les bergers deviennent irascibles et dépressifs, trop accaparés par la protection de leurs animaux !

Déjections et pelouse dégradée

La mise en place de mesures de protection pour essayer de vivre la cohabitation s'avère aujourd’hui totalement inefficace, nécessitant des moyens humains insurmontables, impossibles à mettre en place dans certaines régions.

En effet, faire parcourir aux animaux des kilomètres pour aller du parc à la pâture et retour tous les soirs, engendre une diminution du rendement, du bien-être de l'animal ainsi qu'un piétinement de la pelouse qui s'en trouve terriblement dégradée.

Sans parler des accumulations de déjections à l’intérieur de ces parcs qui polluent la nappe phréatique et favorisent les maladies de pieds.


Enclos abîmés par les déjections et le passage des bêtes. (DR/Ouragan)

À savoir que ne sont aidés que les éleveurs ovins et caprins de plus de 49 animaux, rien pour les bovins, équins ou autre particulier !

Le retour de nombreuses maladies 

L’augmentation exponentielle de chiens de protection, qui pour être efficaces se doivent féroces et aguerris aux combats, pose de nombreux problèmes de cohabitation avec les usagers de la montagne.

Sans parler du retour constaté de maladies pratiquement disparues comme le tournis, causées par la prolifération de canidés, déposant les œufs du ténia présent dans leurs déjections (chiens et loups infectés) sur les pâturages. Maladies qui affectent aussi la faune sauvage.

Le berger remet son fusil à l'épaule

Et que dire du fusil que le berger doit porter à longueur de journée, souvent à l'encontre de ses convictions et de ses choix de vie, en plus du sac contenant l'eau, la nourriture et le nécessaire pour les soins des animaux ?

Fusil qu'il est obligé de poser à terre s'il doit courir rattraper un agneau qui boite afin de lui ôter une épine mal placée, fusil parfois difficile à retrouver et devenant un danger pour le public randonneur.

Voici un témoignage de Jacques Courron, éleveur de 400 brebis dans les Alpes-Maritimes, 34 ans : 

"J’ai des Patous, des parcs de nuit, plus rien n’y fait. Aujourd’hui, je n’ai plus de vie de famille, je suis tout le jour à garder mes brebis, chercher des cadavres, faire des constats… c’est usant cette vie avec le loup. On a l’impression de se faire cambrioler tous les jours. Pour vous dire, on est le 5 février, j’ai déjà eu quatre attaques depuis le début de l’année, six bêtes tuées, six autres disparues. Mais le pire, c’est quand je sors mes petits agneaux au printemps, le loup fait un massacre là-dedans. Il me mange 3 à 4 agneaux par semaine sans compter ceux que je ne retrouve jamais."

Le loup n'est pas une espèce menacée en France

Voici ma réponse à la question qui revient dans la bouche des défenseurs modérés du loup : comment peut-on lutter contre ses attaques tout en préservant l’espèce ?

- l'espèce n'est menacée ni au niveau mondial ni aux niveaux européens (Voir la liste de l'IUCN Monde, "Status and distribution of european mammals", page 29).

- ce dont on parle ici c'est d'une population : "ensemble d'individus d'une même espèce vivant en un même lieu", c'est cette population qui serait alors à préserver, cette population et non l’espèce.

- l'espèce, elle, n'est pas plus menacée aujourd'hui que lorsqu'il n'y avait pas de loup en France. Elle ne le serait pas davantage s'il n'y en avait pas ou plus !

- sa présence n'est même pas indicatrice de la qualité biologique des milieux qu'il fréquente. Dans la plaquette du projet UE LIFE-Coex, on y lit : "Les loups sont des prédateurs généralistes et opportunistes. [...] Ils vivent dans différents types de milieux et leur vaste distribution démontre l’adaptabilité de l’espèce aux conditions écologiques les plus diverses."

Et le site loup de l'ONCFS :


"Le loup est un carnivore opportuniste qui adapte son régime alimentaire à la région où il vit, à la saison, au type et à la densité des proies. [...] L’espèce majoritaire du régime alimentaire d’un loup est en général l’espèce la plus abondante de la région, à condition que sa prédation ne soit pas trop dangereuse. Le loup peut également se nourrir, selon les conditions, de carcasses, de fruits ou même de détritus."

- sa présence en France ne se justifie ni par une nécessité pour l'espèce ni par sa place ni son rôle dans la biodiversité générale

Exclure le loup des zones pastorales et habitées

La solution pour éviter les attaques est de l'exclure de toutes zones pastorales et habitées, ne serait-ce que par respect pour la population qui vit de l'élevage. En accord avec la nature, il faut conserver l'espèce dans les pays où il existe encore de vastes zones inhabitées. Pour comparaison :
France 117 h/km², Canada 4 h/km², Russie 8 h/km², Québec 5.8 h/km²....

Mais pour les extrémistes défenseurs du loup, la question ne se pose pas : 

"Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"

 

Or en France, à ma connaissance, il n'y a pour nous, ruraux, aucun endroit "difficile ou reculé", simplement des lieux ou s'épanouissent et vivent des femmes, des enfants et des hommes qui ont choisi en toute connaissance de cause, d'y développer leur passion, respectueuse de la nature et des animaux dont ils ont la charge, en accord avec les grands principes qui démontrent que le pastoralisme est indispensable au bien être de la biodiversité : 

"Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. […] Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). […]En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…)." (source : "Science et Décision" du CNRS)

dimanche 14 juin 2015

LOUP, UNE AUTRE VISION DU PRÉDATEUR



Dans cet exposé, nous allons proposer une autre vision des principaux thèmes utilisé par les défenseurs du loup, pour faire accepter l'inacceptable;


Chapitre 1, les chiens errants:


Une des grandes stratégies pour minimiser l'impact du aux loups

A- le site de l'état consacré aux loups: "Un chien errant est un chien retourné à l’état sauvage et n’ayant pas ou plus de maître. En France, il n’y a pour ainsi dire aucun chien errant."

B- D’abord le plus gros bateau mais non pas le moins diffusé, celui de 500 000 moutons tués annuellement par les chiens errants en France. C’est en fait approximativement le chiffre maxi de la fourchette concernant l'ensemble de la mortalité ovine toutes causes confondues.

Publié en 2002: WWF- Chris-Martin BAHR "il est connu que 150 000 à 500 000 moutons sont tués en France pour diverses raisons, notamment par des attaques de chiens errants , la brucellose, autre maladies ou accidents variés."

Devient en 2004:"Dans le domaine économique, certains estiment à environ 500 000 par an le nombre de moutons tués tous les ans, en France, par chiens.soit 5% du cheptel" Extrait de Panda Mag N° 99 12/2004 

Pourtant l’INRA ou l’AFSSA utilisent le chiffre de 2% de mortalité annuelle des ovins adultes, toutes causes confondues, dans leurs études démographiques, sanitaires ou économiques, ce qui correspond à environ 200 000 animaux../.

 Les chiens responsables de ces attaques sont le plus souvent des animaux de compagnie, mais qui font une fugue, car il n’existe probablement pas de chiens errants vivant totalement libres en France. CF Société Française pour l’Etude et la Protection des Mammifères. Préface de L. Boitani

C- les conclusions d'une étude dans les Alpes, le Massif central, le Jura par:
(1) UR-EPR (soutenue par l'INRA), Enita Clermont, BP 35, 63370 Lempdes
(2) SUAMME, 35 av. Vincent d'Indy, 30100 Alès
(3) CRA Franche-Comté, Valparc, Espace Valentin Est, 25048 Besançon cedex
(4) CERPAM, Route de la Durance, 04100 Manosque

"Pour un troupeau, La fréquence d'attaques de chiens est en moyenne de 0.20, soit une attaque tous les 5 ans. Le taux annuel de prédations s'établit en moyenne à 0.26%, soit 1 victime par an pour un troupeau de 400 têtes. Ces attaques sont essentiellement diurnes et les chiens sont repérés et identifiés dans près de 89% des cas."

Rien à voir avec les chiffres fantaisistes qui circulent çà et là et dont les sources ne sont jamais citées puisqu’elles n’existent pas ; les dégâts dus aux loups sont sans commune mesure avec ceux des chiens.

D- Pourquoi n'avions nous pas besoin de mesures de protections avant l'arrivée du loup?
Les défenseurs du loup exigent que les éleveurs mobilisent sans délai tous les moyens de défense des troupeaux des l’arrivée des prédateurs, reconnaissant ainsi que leur irruption se traduit toujours par une multiplication des attaques!
Plus simplement : personne ne nie la prédation faite par les chiens. Dans une région, avant que le loup ne soit signalé, cela représente quelques %, mais dés la présence du loup officielle et malgré les mesures de protections mises en place, le pourcentage d'attaque peu grimper au dessus de 60 % selon l'importance de la colonisation !
Lorsque le loup est présent, les chiens disparaissent, car le loup ne tolère pas de concurrence dans son territoire!



Chapitre 2, les mesures de protections permettent elles la cohabitation?


Les défenseurs du loup s'efforcent de faire croire que les troupeaux attaqués  ne sont pas protégés!

A- rapport d'une étude sur l’évolution de la prédation dans le Drôme:
Voici un document construit à partir des données fournies par les services de l’Etat : ONCFS, DREAL RH, DDT 26
"Avec le déplacement des attaques des estives vers les parcours, la proportion de demandes pour protéger les petits troupeaux est croissante. ...., ce sont ces surfaces pastorales les plus difficiles à protéger, malgré la proximité des habitations."
"Les attaques se produisent de jour comme de nuit .... La proportion d’attaques en pleine journée ne cesse de croître. Des attaques qui se produisent malgré la présence de bergers et de chiens de protection."
"..., il est indéniable de constater que le nombre d’attaques augmente chaque année, même si l’on peut imaginer que les pertes d’animaux seraient encore pire sans les mesures de protection."

B- témoignage de berger ayant mis en place les mesures de protections:
Un ou plusieurs loups ont attaqué la semaine dernière les chiens (des patous notamment) d'un berger du Val d'Entraunes, dans le nord du département. Sur les sept chiens, six ont été mis hors d'état de protéger son troupeau qui a également subi quelques pertes.
Metronews  


C-discussion au Groupement National loup de janvier 2013
Extrait du compte rendu, remarques sur le bilan :
SOLDAT : Il faut faire un prorata temporis sur les données et vous verrez que les chiffres que vous nous donnez ne sont pas réalistes.
VERNAY: est ce qu'on peut avoir un pourcentage des troupeaux attaqués et qui sont protégés
DDT 06 : 100% des troupeaux attaqués sont protégés

D-Les Patous ne font pas tout:
"les chiens de protections sont efficaces si ils sont là pour rappeler au prédateur qu'il ne peut s'approcher sans risques; celà ne fonctionne plus si loups et Patous se côtoient toutes les nuits autour du troupeau. " Le patou nourrit aux croquettes, n'ayant pas pas la même motivation que loup pour qui la réussite est vitale, se laisse dominer après quelques   affrontements sévères.
avec l'autorisation de l’élevage des hauts de malforêt

Chapitre 3, la cohabitation chez nos voisins


La sérénité chez nos voisins est une des affirmations la plus utilisée pour stigmatiser les bergers Français

A- Italie
Depuis qu'ils ont tous signé (des Communes et la Région) la charte du loup, nous et nos brebis sommes enfermés dans des camps de concentrations, dans des cellules d'isolement, derrière des treillis en acier soudé, avec les chiens autour et les loups qui courent dehors. Et ce n'est pas tout. Malgré les attaques, nous devons continuer à payer toutes les taxes du monde, en dépit des manques à gagner et des pertes subies. http://iltirreno.gelocal.it/grosseto/cronaca/2015/02/19/news/stragi-di-pecore-alle-porte-di-grosseto-1.10896386?&ref=fbftigr

B-Espagne: 
"A partir des années 90 les loups envahirent tout le reste du versant asturien des Picos. Après une longue et stérile polémique entre bergers et Administration sur lévriers ou chien de chasse - et loups par ci, et chiens par là - on permit aux loups de continuer leur implacable travail et de s’organiser en meutes stables sur le versant océanique des Picos. /.....- on finit par permettre tacitement aux loups de détruire en quelques années un complexe système pastoral adapté et bien réglé qu’il avait fallu des millénaires pour construire."
Asturies -­ Déclaration du groupe « Avec le Loup, pas de Paradis » ­ 

  
C-Suisse: 
Samedi 16 mars (2013) « l'association pour un territoire sans grands prédateurs » (ATsenzaGP), est née à Poschiavo, événement qui sera retenu comme historique.
"/..., grâce aussi aux contacts avec des groupes suisses et italiens opposés aux grands prédateurs, on sait très bien que la stratégie des animalistes-écologistes et de la technocratie "verte" consiste à tenir caché jusqu’au bout la présence de ces grands prédateurs pour empêcher une réaction organisée. Et quand leur établissement est devenu évident et que les éleveurs subissent de graves pertes, ils comptent sur la passivité et la résignation en divisant les éleveurs /...../« L’Association (ATsenzaGP) se constitue avec l’objectif de protéger les intérêts de tous les citoyens et habitants de Val Poschiavo concernant la problématique, aussi bien présente que future, des grands prédateurs »."


D- Pas de problèmes chez nos voisins?
"Mais le problème ne se pose pas qu’en France. En Allemagne, le loup est réapparu dans les plaines peu peuplées du Brandebourg qui entourent la capitale du pays. La nouvelle a été reprise même par The Economist sous le titre choc «Les loups s’approchent de Berlin ». En Suisse, à partir du Canton des Grisons, des initiatives populaires se multiplient pour obtenir une révision de la convention de Berne qui interdit strictement la chasse aux loups pour le protéger. Aujourd’hui ceux qui demandent cette révision, observent à juste titre, que ce ne sont plus les loups qui sont menacés d’extinction mais les bergers et les éleveurs.


Chapitre 4, les attaques sur l'homme


Un sujet tabou, occulté par l'ensemble de ceux qui sont chargés de diffuser la bonne parole pour rassurer la population.

A-l'écrivain Armand Farrachi, grand défenseur des loups et pourfendeur de la gente rurale,  se faisant le porte parole de l'ensemble des environnementalistes, n'hésite pas à affirmer:
 " Il faut rappeler que les loups n'attaquent pas l'homme, " tout en surenchérissant en parlant de Jean Marc Moriceau :" La crédibilité de M. Moriceau est égale à zéro." 


Qui est donc cet historien, qui cause tant de soucis aux défenseurs du loup? :
 Jean Marc Moriceau, professeur d’histoire moderne à l’université de Caen, membre de l’Institut universitaire de France, responsable du traitement de la base de données des attaques de loups sur l'homme à destination du  Centre de Recherche en Histoire Quantitative (UMR CNRS 6583) et du Pôle rural de la Maison de la recherche en sciences humaines de l’université de Caen Basse-Normandie (USR CNRS 3486) 

Je vous propose d'écouter "ce zéro", (durée 11mn)
B- Une étude faite par 18 scientifiques et 93 correspondants qui ont rédigé un « recueil d'attaques de loups sur des humains », (65 pages) financé par le ministère de l'Environnement Norvégien – systématiquement occulté, voire critiqué !
En voici quelques extraits:
«Les résultats de ce recueil qui atteste que les loups peuvent présenter des risques pour la sécurité des personnes sous certaines conditions devraient, espérons-le, faire avancer la réconciliation entre les connaissances profanes et scientifiques sur ce sujet » (p.42)
« quand les loups perdent leur crainte de l'homme, par exemple dans certaines zones protégées, il y a un risque plus élevé d'attaques sur les humains. » (p.5
« Un loup est un loup. Nous ne pouvons pas nous attendre à ce que cette espèce ne mange pas des humains (une proie facile et abondante) par principe.
Le mythe du loup inoffensif - bâti de toutes pièces à partir de circonstances particulières qu'ont rencontrées les biologistes à l'époque - a été délibérément entretenu par ceux qui craignaient qu'une information valide concernant les dangers du loup n'entrave les projets de réintroduction et de protection. (p.2)
« La grande majorité des loups ne regardent pas les humains comme étant une proie. Néanmoins, nous avons trouvé un nombre d'incidents où des attaques de prédation se sont produites » (p.5)
Il ressort aussi que 90% de ces cas de prédation de loups non-enragés, ont eu lieu sur des enfants – surtout de moins de 10 ans. "
A ce stade du texte, est il utile de préciser que ce recueil traduit de l'anglais par des écologistes, comporte de nombreux oublis,  altérations, omission et autre annotations personnelles?

C- Une déclaration du Large Carnivore Institution of Europe:
 "Les Grands Carnivores ont le potentiel d'avoir localement de graves répercussions sur ...le fait qu'en de rares occasions, les loups et les ours peuvent représenter une menace pour la sécurité humaine en s'attaquant à des humains ... »


Chapitre 5, le nombre de loup


A- Chiffre officiel du nombre de loup en France et chiffres officiels des victimes  (ovins, caprins, bovins, équins, chiens...):

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes
2015 = 282 loups, 42 Zones de Présence Permanente (ZPP) contre 39 en 2014.  2440 constats, contre 2344 en 2014, "un taux de progression annuelle de 16% (8 à 27%), sans rupture de pente significative "sources ONCFS 2015.

B- En complément, dans le plus DU NOUVEL OBShttp://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2015/06/les-loups-augmentent-de-20-par-lespece.html

C- Qui pourra croire à cette mascarade face aux nombres d’attaques et de départements en forte expansion!
"Eh bien moi je dis que lorsqu’on ne sait pas  combien il y a d’animaux sur un territoire, une région ou un pays, alors on estime au moins si ceux-ci sont peu ou trop, et on le fait à travers le constat des dommages qu’ils créent; et si il y a trop de dommages de loups  (on parle de millions d’euros chaque année) cela signifie qu’il sont certainement trop nombreux."

D- Les défenseurs du loup citent volontiers le nombre de loup important en Italie pour discréditer les éleveurs Français:
Luigi Boitani, reconnu comme étant le "pape du loup" par l'ensemble des associations et militants en Europe affirme :""Il n'y a aucune estimation officielle et il n'y a pas de suivi réalisé avec une stratégie nationale seulement. Il y a d'excellentes estimations locales, mais rien à l'échelle nationale..."

Chapitre 6, conclusion:


Le Large Carnivore Institution of Europe a toujours parlé d'un challenge unique - un pari ( Guidelines for population level management plans for large carnivores ). LCIE 2008 - 6.4 p.27 ..
«Comme nous l'avons vu, les grands carnivores, comme groupe d'espèces, représentent un nombre de challenges uniques quand nous essayons de les conserver dans des écosystèmes densément peuplés, à dominante humaine et fortement modifiés, comme ceux en Europe » ...

… « Ces challenges ont le potentiel d'avoir localement de graves répercussions sur ...
1) le cheptel …sujet traité dans le chapitre 2
2) les proies sauvages qui représentent des ressources de grande valeur pour les chasseurs …non traité
3) la peur qu'ils induisent chez de nombreuses personnes .. traité et expliqué dans l’interview de Moriceau dans le chapitre 4
4) leur association à une large gamme de conflits sociaux …..évoqué dans tous les chapitres conflits attisés par les  mensonges diffusés par le mouvement de défense des prédateurs !
5) le fait qu'en de rares occasions, les loups et les ours peuvent représenter une menace pour la sécurité humaine en s'attaquant à des humains ... » traité pour les loups dans le chapitre 4 


Chapitre 7, une note d'optimisme:

Elles sont parties en estive avec impatience et dans la joie.....


mardi 9 juin 2015

LOUP, FERUS N'A PAS FROID AUX YEUX

Ferus ne craint toujours pas le ridicule, je cite:
« La Provence » n’a pas fait dans la demi-mesure et a montré un acharnement médiatique indigne du quotidien d’information objectif qu’il prétend être. Jusqu’où est capable d’aller ce quotidien pour « vendre » ses éditions ?

ET JUSQU'OÙ EST CAPABLE D'ALLER FERUS POUR DISTILLER SA PROPAGANDE MENSONGÈRE???


LOUP, FÉRUS, LE RIDICULE NE TUE toujours PAS!


FERUS, LA TURPITUDE A SON PLUS HAUT NIVEAU

mais que cherche donc férus?"


Le comportement du mouflon a aujourd'hui changé, il s'est adapté à ce prédateur qu'il ne connaissait pas et ses effectifs se sont stabilisés en zones à loup.""






vendredi 5 juin 2015

LOUP, TOUR DE FRANCE, DE GENTILLES COMMUNICATIONS SONT PRÉVUES!



A l'occasion de manifestations cyclistes (Critérium du Dauphiné et Tour de France) qui auront lieu dans les Alpes-de-Haute-Provence, la Maison Régionale de l’Élevage propose de coordonner une opération de communication d'opposition à la présence du loup en accord avec les organisateurs de ces événements. Son souhait est de rassembler tout le monde autour de cette opération.
Nous souhaitons que la présence auprès de cette opération soient le plus large possible et nous vous invitons tous à venir participer.

Le 11 juin, à l'occasion du passage du Critérium à Pra Loup, nous vous proposons une première opération de préparation à la manifestions qui aura lieu à 22 juillet pour le Tour de France. Nous invitons tous les éleveurs à venir participer sans représentation syndicaliste et sans drapeau. Un lieu de rendez vous vous sera communiqué très rapidement.
- Contact administratif Rémi Leconte : 04 92 72 24 63
- Contact professionnel Yves Derbez : 06 71 30 41 18

Nous vous contacterons très prochainement pour l'organisation de la grande manifestation qui aura lieu le 22 juillet.

Merci de faire circuler dans vos réseaux cette information et nous nous tenons à votre disposition.


LOUP, LA F.N.E. PAREE POUR L'ENDOCTRINEMENT DE VOS "P'TITS LOUP"

Comme le disent les instructeurs, "il faut intervenir dés le plus jeune age car les enfants sont malléable!"                                                       


"Aurez-vous le courage d'entrer dans la gueule du loup pour découvrir le monde des prédateurs et démonter les peurs et idées reçues ? "


Je suis prêt à vous parier qu'il ne montreront pas la réalité que vivent nos enfants, non pas par photos interposées, mais bien en découvrant la réalité de la prédation sur leurs animaux!


























Pas plus qu'ils ne parleront des conclusions d'une étude faites par 18 scientifiques  européens et 93 correspondants qui ont rédigé un « recueil d’attaques de loups sur  des humains », (65 pages) financé par le ministère de l’Environnement Norvégien. 
Etude traduite par des écologistes qui ont occulté ou falsifié ce qui ne les arrangeaient pas.
Néanmoins, on peut y lire :
« Les résultats de ce recueil qui atteste que les loups peuvent présenter des risques pour la sécurité des personnes sous certaines conditions devraient, espérons-le, faire avancer la réconciliation entre les connaissances profanes et scientifiques sur ce sujet » (p.42) (certainement pas avec ceux qui ont définitivement perdu toute possibilité de raisonner ndlr)
 »« La grande majorité des loups ne regardent pas les humains comme étant une proie. Néanmoins, nous avons trouvé un nombre d’incidents où des attaques de prédation se sont produites » (p.5) 
Il ressort aussi que 90% de ces cas de prédation de loups non-enragés, ont eu lieu sur des enfants – surtout de moins de 10 ans. "

lundi 1 juin 2015

LOUP, 30 ANS APRES SA REINTRODUCTION

Parler de la réintroduction du loup en France est un tabou dérangeant!

Cela vous expose aux foudres des écologistes qui savent, mais surtout aux foudres des écologistes qui ne savent rien, mais qui récitent la leçon par cœur:


"NON LE LOUP N'A PAS ÉTÉ RÉINTRODUIT!"

Voilà qu'un éleveur passionné par le sujet a fait son enquête et nous propose aujourd'hui la bande annonce de son film, qui va sortir prochainement!

Je connais bien Bruno, qui, pour faire ce film documentaire, a repris point par point l’enquête parlementaire de 2003 dans laquelle  285 personnes ont été interrogées et que vous pouvez retrouver sur le net.  Un pavé de plus de 1000 pages. 

Ensuite, Bruno a enquêté dans divers lieux du sud de la France, pour interviewer des personnes étrangères à l’enquête parlementaire, mais qui apportent de nombreux éléments supplémentaires.
 Puis, il s'est rendu jusque dans les Abruzzes, l'origine affirmée des loups en France.

Une enquête aboutie après plusieurs milliers de kms parcourus, plus d'une centaine d'heures d'enregistrement, des jours de recherches, l'analyse de documents par dizaines...
Puis il a fallu recouper toutes les informations..., faire le montage, peaufiner les réglages.... pour arriver à un véritable film soumis à votre jugement!


Le résultat? Bruno me l'a montré... tout est concentré dans les films qui sortiront au fur et à mesure de leurs achèvements. 

Un documentaire très complet qui a nécessité sa restructuration en 3 sujets différents .

Un document, qui sera toujours aussi pédagogique, et démonstratif, reflétant deux des qualités de son auteur!
Bruno l'a bien précisé: "tout est basé sur des documents officiels. Vous y verrez des incohérences et des oublis, parfois volontaires, de la part des intervenants. Tout le monde va découvrir de nouveaux éléments dont certains sont récents!"

Voici donc la bande annonce du film prochainement sur vos écrans!

 En attendant, pour une meilleure compréhension des documentaires à venir,  il est fortement conseillé à ceux qu'ils soient pour ou contre le retour des prédateurs dans les zones d'élevages de pays à forte densité humaine,  de trouver une petite heure pour visionner le premier film de Bruno Lecomte
 LES LOURDES CONSÉQUENCES DU RETOUR DU LOUP


mercredi 27 mai 2015

SOLIDARITÉ AVEC LA MEUSE

Résumé de l'audience au sujet du piège pour capturer la bête qui massacre son troupeau:

L'audience s'est déroulée en présence d'une vingtaine d'éleveurs et à durée près de deux heures. 
La présidente a eu à coeur, par ses questions, de se faire une opinion, malgré une certaine lassitude visible lors de la plaidoirie de l'avocat de la défense. Deux témoins ont été auditionnés (DDT et ONCFS).

Le réquisitoire du procureur de la République a porté sur la présence du loup (1500 € (Stéphane) et 1000 € (Frédéric "complice") d'amende requis). La plaidoirie a porté sur la présence de chiens, (si cher aux défenseurs du loup ndlr) et non de loups. (Compte rendu plus complet ultérieurement).

L'affaire a été mise en délibéré. Le verdict sera rendu le 7 juillet prochain.


A noter que l'ASPAS s'était portée partie civile  mais n'était pas représentée à l'audience (1300 € de dommages et intérêts demandés).
Fin du résumé

Position de l'ASPAS face au pastoralisme: 
"L’ASPAS demande le retrait des troupeaux dans les Parcs "
"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages !" 

A noter que les associations, se sont portés partie civile jusqu'à la cassation contre un berger à qui ont avais certifié qu'il subissait des attaques de chiens, voire même de ses chiens, et qui a tué ce chien qui s'est avéré être un loup!


Des gens normaux se seraient excusé auprès de ce berger de l'avoir induit en erreur!

Pourquoi jusqu'à la cassation? Parce que détruire les éleveurs et bergers et toucher le maximum de fric est une des faces cachées du loup pour mettre la main sur les territoires. En Afrique et dans les pays ou la population n'a pas de titre de propriété, la solution est plus radicale. 
Les mouvements environnementaux sont responsable de la délocalisation de plus de 20 millions de personnes!
Des autochtones qui vivent pourtant dans les 80% des zones riches en biodiversité de la planète qui sont les territoires de communautés indigènes qui, depuis des millénaires, ont trouvé des moyens ingénieux de subvenir à leurs besoins tout en maintenant l’équilibre écologique de leur environnement.
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2015/02/uicn-wwf-quand-la-nature-nest-quun.html
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/10/world-wide-fund-la-face-cachee-du-fond.html

A LIRE SUR LE SUJET/PIÈGES  POUR LA PROTECTION DU TROUPEAU
http://federationdesacteursruraux.blogspot.fr/2015/05/loup-ou-pas.html
http://federationdesacteursruraux.blogspot.fr/2015/05/bar-le-duc-solidarite-pastorale-et-la.html
http://federationdesacteursruraux.blogspot.fr/2015/05/piege-loup-soutien-lelevage-dans-la.html
http://estivesdespyrenees.blogspot.fr/2015/05/piege-loup-soutien-lelevage-dans-la.html




mardi 26 mai 2015

LOUP, DÉCIDÉMENT FERUS NOUS LES FERA TOUTES

Aujourd’hui, FERUS souhaite sensibiliser un public plus large et lance une nouvelle action d’éco-bénévolat : Parole de Loup.
Parole de loup, programme d’information et de sensibilisation, vise à délivrer une information approfondie sur l’animal, à expliquer le choix de sa protection/.../L’objectif est de rappeler que sa cohabitation avec l’homme est possible.
"dans les zones ou évolue le loup, il faut de fortes restrictions à l'élevage pour que le pastoralisme ne gène pas les grands prédateurs" WWF, LCIE, UICN. Extrait de :   http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2015/02/loup-la-face-cachee-des-predateurs-tome.html
Le plus intéressant c'est que cette formation va se faire dans le massif des Monges (Alpes-de-Haute-Provence) et périphérie,  sur le territoire d'une ancienne militante de férus qui est passée de l'abstrait au concret:
"Quand  Caroline  arrive  dans  le hameau d’Esparron la Bâtie, au cœur du massif des Monges, à 1 200 m, dans les Alpes de Haute- Provence, c’est l’été. Elle a 20 ans.Cette étudiante en biologie à Bordeaux a décidé de passer quelques temps sur les estives de la famille Ailhaud au titre d’éco volontaire du Groupe Loup France (aujourd’hui  FERUS). La problématique du loup l’intéresse ; elle veut comprendre et se rend donc sur le terrain avec la foi du charbonnier.
Dix ans, ont passé. Foin des utopies, des envolées pour une nature ensauvagée. « La vie ici est un enfer » lance t-elle, l’œil noir.
« Je n’ai plus de vie de famille, nous sommes épuisés et je tremble chaque jour pour mes deux enfants que je ne peux tout de même empêcher de sortir de la maison. Financièrement, c’est la catastrophe. Mon espoir de m’installer à mon tour est parti en fumée. Pire : je songe sérieusement à partir ». Ils subissent deux à trois attaques par semaine. Les loups ne sont plus des fantômes, ce territoire leur appartient et ils en sont les maîtres."






 l'agneau ci dessous est celui qui a été élevé par la fille de Caroline


la suite du témoignage de Caroline:  TÉMOIGNAGE: passage de l'abstrait vers le concret

Reste à savoir comment Ferus s'y prend pour s'accaparer du mental de ses militants et les rendre totalement inaptes au raisonnements les plus simplistes?
En effet, comment peut on gober une propagande aussi lénifiante, qui n'est autre qu'un ramassis de mensonges et de contre vérité!


La réalité est celle qui a été écrite par les défenseurs du tout sauvage, WWF, UICN, Large Carnivore Institution of Europe et qui est connue par l'ensemble des associations: "Dans les zones ou évoluent les grands carnivore(définies par les dirigeants sans aucune concertation avec la population concernée ndlr), sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »

La réalité est que férus et bien d'autres savaient bien avant 1992 que c'étaient des loups et non des chiens qui attaquaient les troupeaux dans le Mercantour!

La réalité c'est qu'ils ont préféré cacher ce "retour" quitte a favoriser l’adaptation du loup pour la chasse aux brebis en maintenant que c'étaient des chiens!

Tout le reste n'est que BLA bla destiné à accentuer la fracture sociale "super héros défenseurs de la nature" contre "acteurs ruraux qui sont les seuls à avoir conservé leur patrimoine nature"


PENDANT CE TEMPS: La propriété industrielle menace le droit à l’alimentation

Frédéric PRAT, mai 2015
Lien permanent | |Selon un rapport récent de plusieurs ONG [1], la généralisation au monde entier du système de protection des variétés végétales dans le cadre de l’UPOV (Union pour la protection des obtentions végétales), dans sa version la plus récente (de 1991), génèrerait une insécurité alimentaire.