BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

lundi 18 février 2013

PASTORALISME, pour en finir avec les contres vérités sur le LOUP


Pour faire face aux affirmations des écologistes « pro-loups » dans le « manifeste pour le loup », voici une réponse point par point, bien plus objective que la propagande discriminatoire et souvent en contradiction totale avec la législation Européenne, qu'ils étalent sans états d'âme
les textes en gras et soulignés sont copiés sur le manifeste



Un simple carnivore ordinaire
qui n'a aucun prédateur et dont contre lequel personne n'a le droit de se défendre, sous prétexte qu'il est une entité vulnérable, ce qui est totalement faux si on prend le raisonnement de l'UICN MONDE
sur lequel s'appuient pourtant les pro-loups pour le défendre



Un prédateur dépendant des proies sauvages
Mais qui en 2012 pour 250 loups en France a tué 5 848*  brebis, veaux, vaches,  ânes, chiens, chevaux, poneys *selon le ministère de l'environnement. A noter que les animaux disparus ne font pas partis du décompte.

Une espèce sociale et territoriale Chaque meute défend un territoire contre les autres meutes. Si les effectifs dépassent un seuil dans une meute, des individus partent coloniser de nouveaux territoires. Ainsi le nombre local de loups n’augmente pas.
Donc ils vont envahir tous les territoires ou ils pourront se nourrir et surtout ceux où les proies domestiques sont plus faciles à attraper que le gibier sauvage!

Une répartition réduite à presque rien
Et pour cause, aucun citadin ou banlieusard ne supporterait de cohabiter avec un tel prédateur, donc laissons les ruraux se débrouiller avec vos fantasmes!



Non, le loup n’a pas été réintroduit en France !
Après 400 000 ans de présence et 60 ans d’absence, le loup est revenu en France de façon spontanée, par recolonisation naturelle de son ancienne aire de répartition.
Mais on peut avoir des doutes surtout si on lit ceci  ou : Mais depuis 1997, les analyses scientifiques l'ont prouvé : le loup est bel et bien revenu en Auvergne. Ainsi le 9 octobre de cette année-là, (1997) une automobiliste percute un spécimen sur la RN122, à hauteur du plan d'eau de Laveissière. L'animal avait été filmé l'été précédent par un vidéaste amateur. D'où venait-il ? Des Alpes lointaines ? A-t-il été réintroduit par un homme ? Le canidé était en tout cas d'origine italienne. 
et aussi :  On ne peut que s’étonner en relevant que le loup ibérique n’a pas (encore ?) réussi à coloniser les Pyrénées où les seuls loups présents, dans la partie orientale du massif, des deux côtés de la frontière, sont de souche italienne et viennent de l’Arc alpin pourtant ( énormément )plus éloigné.( pourvu qu'on ne les ai pas accompagnés)
(source Évaluation du protocole technique d'intervention sur les spécimens de loups dans le cadre du plan d'action national sur le loup)
mais encore

"Lorsqu’un loup est tué à Aspres-les-Corps (Hautes-Alpes) en novembre 1992, Gilbert Simon(directeur de la direction de la protection de la nature et des paysages), alors directeur de la DNP, explique qu’il provient probablement d’un lâcher clandestin, lors d’un entretien avec une journaliste de Libération :
ou bien "Il est pour le moins surprenant que le ministère de l’environnement ait officiellement recensé des lâchers clandestins de loups (et d’autres espèces), opérations par définition illégales, sans s’inquiéter outre mesure des auteurs et des conditions de ces pratiques illégales. Peut-être faut il y voir un signe de l’anormale proximité entre la toute jeune administration de l’environnement et les milieux associatifs écologistes dont elle est en partie issue." en savoir plus 





Un nouveau venu… présent depuis 400 000 ans
Mais nouveau venu pour les générations d'acteurs ruraux qui se sont installés en connaissance de cause, et qu'on oblige à remettre tout en question sans aucune concertation. Que diriez-vous, braves gens, si on vous imposait du jour au lendemain la présence, par exemple, d'un aéroport, sans aucune concertation, sous prétexte que c'est d'utilité publique!

Le problème auquel est confronté l’Empire c’est que tous ces gens qui se sont installés là bas pour soutenir la resistance ont de plus poussé l’outrecuidance à vivre autrement, mieux, de manière autogérée plutôt que selon la loi du marché et pourraient donner l’exemple à la population alors que le plan serait plutôt de se la jouer à la grecque." Dixit un écolo

bizarre, les écolos n'ont pas le même raisonnement pour les gens qui habitent a Notre dame des Landes que pour nous, qui sommes pourtant solidaires de leurs préoccupations!

Pourchassé jusqu’à disparaître dans les années 1930
Non pas pour le plaisir, mais pour rendre possible la vie rurale à une époque ou le « tout industriel » prenait le dessus. On peut dire merci a ceux qui ont lutté pour préserver ce mode de vie, qui, sait-on jamais, crise ou autre conflit oblige, pourrait se révéler tout à coup très apprécié par certains détracteurs.

Une réinstallation plus lente que nature
Facile de mettre la faute sur le braconnage, alors que l'on sait que pour tuer n'importe quel ongulé il faut être en possession d'un bracelet délivré par l'ONCFS, que le risque si on se fait prendre est « puni de 15 000€ d'amende et d'un an d'emprisonnement confiscation du fusil et annulation du permis de chasse », et que la plupart des bergers ne sont pas armés.

Oui, la prédation sur certains troupeaux domestiques est une réalité
Rien a dire !

… Mais la cohabitation avec le loup est possible
Cette année les 5 848*  brebis, veaux, vaches,  ânes, chiens, chevaux, poneys, sont issues d'élevages ayant mis en place les mesures de protections préconisées par l'état, sinon pas d'indemnités, donc pas de décompte!
*selon le ministère de l'environnement

c'est sans équivoque, voici le sigle des adorateurs du loup! Du sang de brebis ? innocence ou provoquation?, ou ....?


Le bétail tué par le loup est correctement indemnisé
Faux, l'indemnisation pour le moment ne tient pas compte du fait que les animaux en gestation subissent de nombreux avortements, jusqu' 40% dans certains cas. Ne tient pas compte du fait qu'introduire des brebis de remplacement au sein d'un troupeau pose d'énormes problèmes d'intégration. Ne tient pas compte du fait que l'éleveur se retrouve désemparé, voire extrêmement choqué et qu'il est donc beaucoup moins efficace dans son travail, qu'il est obligé de continuer coûte que coûte (pas de congé maladie pour dépression ou autre dans ce métier)

  Voir la réaction de la Mutualité Sociale Agricole:


Les brebis meurent surtout d’autres causes
Mais les brebis mortes et indemnisées par l'état sont bien mortes à cause du loup. L'éleveur n'a pas pour vocation de nourrir le loup, même s' il le fait indirectement ; car la plupart du gibier sauvage se nourrit presque exclusivement sur les pâtures ou dans les champs, bien plus riches en flore végétale que le sous-bois, surtout celui des résineux dont l'acidité stérilise le sol.

Les difficultés des éleveurs étaient présentes avant le retour du loup
Quelqu'un peut-il me citer un domaine qui se porte bien en France, hormis les associations écologiques qui ont vu, en Rhône alpes, leur budget de subventions augmenter de 13,5%, alors que toutes les autres subventions aux associations caritatives ou autres sont en baisse ?
Et pourquoi, si le secteur est en crise, lui rajouter des difficultés!



L’élevage ovin-viande en France, une filière en difficulté
Plutôt que de faire de la promotion pour le loup, pourquoi ne pas en faire pour l'agneau. Sachant que chaque agriculteur induit 7 emplois indirects, et que chaque jour on  comptabilise 1000 chômeurs de plus!

Mais le mouton résiste mieux dans l’arc alpin où le loup est installé
Dans le Poitou-Charente,(Viande ovine 13 % de la production nationale) comme faussement cité dans le manifeste, ou dans d'autres régions, les éleveurs, ayant le choix de se diriger vers d'autres activités plus lucratives, le font. Ce qui favorise, de par leur orientation différente, l'élevage de montagne qui ne peut être remplacé par rien d'autre et qui en produisant des agneaux de qualité tire son épingle du jeu, car l'offre d'agneaux labellisé, est inférieure à la demande. Seuls les élevages respectueux et de qualité subissent la prédation, et aucun écologistes ne s'en inquiète, aveuglé par une passion qui bien que légitime, devrait retrouver le sens des réalités!

Des aides importantes qui permettent le gardiennage des troupeaux

mais rien encore pour les élevage équins et bovins qui commencent a subir des attaques reconnues
En profitera t-on pour restaurer l'habitat précaire des bergers qui ne se prête absolument pas à la cohabitation? Surtout pour des apprentis bergers souvent peu expérimentés, munis des dernières techniques électroniques et qui se retrouvent désemparés sans réseau de communications! Cela engendre de toute façon un surcoût, qui, ajouté aux frais de protections et à la faiblesse des indemnités, finit par être intolérable. Comme est intolérable pour n'importe quel chef d'entreprise, de recevoir des conseils de personnes qui ne sont absolument pas impliquées et qui défendent juste leur point de vue de manière très orientée !

Quand bien même seraient éliminés tous les loups en France, ne serait
résolu aucun des problèmes de l’élevage et du pastoralisme.
Une espèce protégée ne peut pas servir de caution pour faire oublier
les difficultés de fond d’une filière agricole !
Toutes les professions ne sont pas concernées par les grands prédateurs. Mais au moins, ici, pour les écologistes, faire état des difficultés de la profession évite de parler du fond des problèmes liés aux prédateurs.

Quel secteur n'est pas en difficulté en France
Dans la nature tout ce qui est inadapté disparaît ou s'adapte. Les intégristes citadins peuvent logiquement admettre la disparition des bergers et des paysans français trouvant facilement dans leurs supermarchés préférés (construits sur les meilleures terres maraîchaires!) les victuailles à bon marché importées au grand dam de l'énergie grise gaspillée, victuailles produites à grands coups de pesticides par des esclaves de pays à bas coût... Peu importe on ne sait pas on ne voit pas.  en savoir plus

Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage
Voici ce que dit le code rural et de la pêche maritime au chapitre agriculture:Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard.
En conformité avec les dispositions des traités instituant la Communauté économique européenne, le Gouvernement, reconnaissant ces rôles fondamentaux de l'agriculture, du pastoralisme et de la forêt de montagne, s'attache à :
notament article 8: 8° «  Assurer la pérennité des exploitations agricoles et le maintien du pastoralisme, en particulier en protégeant les troupeaux des attaques du loup et de l'ours dans les territoires exposés à ce risque ».
Alors qui décide, les partenaires Européens élus par le peuple ou une association d'écologistes irresponsables?

Les moutons n’ont jamais créé la moindre espèce
Les écolos affirmant que dans nos forêts montagneuses, composées presque exclusivement de résineux, la flore et la faune sont plus importantes que dans les alpages, sont des gens qui n'ont jamais mis les pieds dans cette forêt. La morille élevée pousse sous les résineux en particulier les pins sylvestres qui fournissent un terrain pratiquement dépourvu de végétation. Ensuite, quel est le berger qui va sur pâturer pour ne rien avoir l'année suivante ?
 Peut être un bobo écolo qui se lance dans l'élevage! 
 Certainement pas la bergère sur la photo qui conduit son troupeau sur un site natura 2000 

Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.
A voir le nombre de contrats que proposent les collectivités territoriales, pour faire pâturer leurs domaines ET AUSSI NATURA 2000– aux fins de garder le paysage ouvert et de prévenir les incendies - ,
A voir aussi l'introduction (voir plus haut) du code rural pour le chapitre agriculture,
On se demande qui a faux! Et dernière minute, une déclaration de Didier Galop. Chargé de recherche au CNRS :  « la conservation de la biodiversité passe par des activités socio-économiques, comme l'agriculture et l'élevage ». 
ET AUSSI:  Désolé mais je ne peux pas toutes les mettre!

Dans les Alpes du sud, la richesse floristique est parfois plus grande sur les pistes de skis que dans les pâturages !
Et oui puisque les stations de ski, après avoir ensemencées et fertilisées avec de l'engrais les pistes, sont les plus grandes demandeuses de brebis tondeuses, pour les entretenir et éviter les avalanches!

"Dans les environs de l’Alpe d’Huez se trouvent les villages d’Auris-en-Oisans, d’Huez-en-Oisans, de La Garde, d’Oz-en-Oisans, de Vaujany, et de Villard Reculas. Ils sauront occuper les visiteurs après le ski grâce à la grande variété des activités qu’ils proposent : activités culturelles, sportives, ou de détente.
Ces villages ont gardé leurs traditions et pratiquent encore aujourd’hui la transhumance avec 370 vaches et plus de 2000 moutons qui pâturent les 10 000 hectares de la station et évitent par la même, l’amas d’herbes qui causent les avalanches."

Pour la partie chasse , je laisse le soins aux gens concernés de se défendre car je ne connais suffisamment pas le sujet!

Pour les conclusions:
S’il y a un problème de l’élevage ovin en France, le loup ne doit pas en être le bouc-émissaire
Aucun éleveur ne tient ce discours. Je dis bien aucun. Simplement il dit ne pas vouloir supporter cette catastrophe que représente le loup.

Si les éleveurs ont des difficultés à cause d’un contexte économique défavorable, aidons les éleveurs et n’instrumentalisons pas le loup
Que proposez-vous qui ne soit pas une contrainte supplémentaire que ne supporterait aucun corps de métier sans se mettre immédiatement en grève! Et dites nous quels sont les corps de métier qui n'ont pas de problème aujourd'hui. Ça ira plus vite que de citer ceux qui ont des problèmes!

Si nous faisons le choix de maintenir une activité pastorale partout, réadaptons les pratiques pastorales à la présence de prédateurs naturels et à la préservation de la biodiversité
Que proposez vous qui ne soit pas une contrainte supplémentaire pour des gens qui travaillent déjà plus de 270 heures par mois, sans RTT, ni congés payés, ni droit au chômage, le tout sans se plaindre et qui sont reconnus d'intérêt général pour la sauvegarde de la biodiversité par les élus Européens, des scientifiques, la plupart des habitants ruraux, des amoureux de la nature.....


Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal

NOUS, MAIS QUI NOUS , les gens concernés ? Ou les adorateurs d'un animal qui reste pour eux absolument abstraitQui doit décider de qui doit vivre là ou non! Doit-on dans nos campagnes décider de ne pas maintenir la population citadine car elle est source de destruction de la biodiversité????? pour ceux qui ont choisit d'y vivre, il n'y a pas d'endroits reculé ou difficile d’accès!

Il NE S'AGIT PAS DE DIRE NON AU LOUP, MAIS DE DIRE NON A LA DICTATURE DES ÉCOLOGISTES!!!

"quelle est la différence entre un extrémiste qui défend ses idées* parce "qu'il culpabilise de s'apercevoir qu'il ignore sa condition de vie dans son rapport réel avec les choses qui la fondent et qui ne s'aperçoit pas qu'en somme il n'existe pas", et un extrémiste qui défend "sa vie en contact étroit avec la nature et pour qui il n'est pas loisible de se contredire et de la** contredire, car il en mourrait"!

*complétement abstraites
** la nature
Gavino Ledda (padre padone II)

A voir une vidéo d'un débat entre deux scientifiques qui devrait mettre tout les gens honnêtes d'accord des deux côtés. J'ai dit HONNÊTES!!!

POUR MEMOIRE:
Dans le parc de Yellowstone, souvent cité par les pro-loups, dans lequel nous n’y trouvons ni ville ni village comme ils s'en trouvent dans nos montagnes et parcs français, le loup a été réintroduit pour, entre autre, diminuer la faune sauvage en pleine expansion, puisque les indiens natifs du pays, qui de part leur mode de vie reconnu pour la préservation de la nature et de la biodiversité, ayant été chassés de leur terres, ne faisaient plus office de régulateurs. Aux Étars-Unis, il a fallu dix ans de discussions  avant  d'opérer la réintroduction  du
Loup  dans  1e parc de Yellowstone  ( en france aucune concertation, seulement la dictature de la deep écologie). Le parc de Yellowstone donc, dont seulement 4 départements en France atteignent ou dépassent la superficie de 8983 km² , sans aucune activité agricole interne, se retrouve aujourd'hui confronté au problème qui consiste a empêcher les loups de sortir pour s'en prendre aux élevages limitrophes, à tel point que les états voisins ont autorisé les tirs de prélèvement au quota de 220 pour le Montana et illimité pour l' Idaho!
Nos écologistes, s'ils prenaient le pouvoir, rêvent d'un endroit similaire en France, dans lequel ils sont prêts à déplacer de force et sans aucune concertation les populations humaines. Mais la France n'a ni la superficie, ni le budget nécessaire pour une telle opération qui a coûté des millions de dollars aux USA..La France a certainement bien d'autre problèmes à régler, qu'a déplacer ses citoyens pour pouvoir bénéficier de la satisfaction du devoir accompli envers le loup, qui je le rappelle n'est absolument pas en voie de disparition, ni vulnérable.


Le résultat de la réintroduction du loup dans le parc de Yellostone


Les U.S.A. 17 fois la superficie de la France, Yellowstone, la superficie de la corse, mais je déconseille aux amis du loup de déplacer les Corses pour y mettre leurs idoles!
 Si on respecte le rapport superficie, budget, des 2 pays, notre parc devrait avoir une superficie de 528 km² soit le plus petit département de France, territoire de Belfort avec  quand même 143 000 personnes a déplacer! Mais cela ne suffira pas aux écolos qui, passez moi l'expression, "veulent vivre au dessus de leurs moyens" , a l'époque ou 1000 chômeurs de plus s'inscrivent tout les jours a l'A.N.P.E.

"cette fascination, ressentie par des gens civilisés et le plus souvent coupés de la nature dans leur vie propre, en proie aux contraintes sociales diverses et fantasmant naïvement sur ce faux symbole de la Liberté.
Faux symbole, car les études d’éthologie le montrent abondamment, dans la réalité cet animal est très lié à des rituels et hiérarchies rigides.
Mais surtout faux symbole car si le loup est emblématique, c’est surtout de l'injustice, que ce soit du temps d'Esope ou du nôtre, comme symbole du fascisme (le plus bel exemple est le mouvement d’extrème-droite turc « Les loups gris »...)."


"Les ranchers ont repris leurs fusils. Les loups du parc de Yellowstone, dans le nord-ouest des Etats-Unis, ont été retirés de la liste des espèces en voie de disparition. On peut désormais les chasser. Une victoire pour les éleveurs de bétail de la région, une décision scandaleuse pour les écologistes."

POUR MEMOIRE BIS:
« MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE, DE L’ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE
Arrêté du 27 mai 2009 modifiant l’arrêté du 9 juillet 1999 fixant la liste des espèces de vertébrés protégées menacées d’extinction en France et dont l’aire de répartition excède le territoire d’un département
Le ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire, le ministre de l’agriculture et de la pêche et la secrétaire d’Etat chargée de l’écologie,
Vu le livre IV du code de l’environnement relatif à la faune et à la flore, et notamment ses articles L. 411-1, L. 411-2, R. 411-6 à R. 411-14 ;
Vu l’arrêté du 9 juillet 1999 fixant la liste des espèces de vertébrés protégées menacées d’extinction en France et dont l’aire de répartition excède le territoire d’un département ;
Vu l’avis du Conseil national de la protection de la nature du 24 avril 2009,

Arrêtent :
Art. 1 A l’article 1er de l’arrêté du 9 juillet 1999 susvisé, les mots : « Loup » et « Canis lupus » sont supprimés
Art. 2. −Le directeur général de l’aménagement, du logement et de la nature et le directeur général des politiques agricole, agro-alimentaire et des territoires sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 27 mai 2009. »


Et cerise sur le gâteau, voici une des positions complètement irresponsable de la F.N.E.

Toutes les interventions sur le loup doivent respecter les trois dispositions obligatoires : ne pas porter atteinte à l’état de conservation de l’espèce, les dommages aux troupeaux doivent être importants et récurrents, et l'État doit s’assurer qu’il n’y a pas d’autres solutions satisfaisantes que celle d’intervenir sur l’individu

Importants: combien?
Récurrents: touts les jours?

Avec ce raisonnement, pas besoin d'abattre les loups incriminés, l’éleveur condamné a cesser son activité (il n'aura même pas le temps de remplacer les victimes entre deux attaques), donc plus de raison d'abattre le loup!

très rare, un écolo responsable?
réflexion d’un militant écologiste, homme de terrain , conseiller régional Vert, Vice président d’un parc naturel  (délégation à la biodiversité) en 1999.

« Sur la question de la bio-diversité, je m'interroge. En effet, si la présence du loup conduisait à stopper les transhumances dans la réserve, nous aurions un envahissement par les pins à crochets et une disparition de la pelouse d'altitude qui est aussi un réservoir de bio-diversité (idem plus bas pour les prairies de pente et donc leurs orées). Question aussi vis à vis des coqs de bruyères (dérangement et attaques pendant l'hiver).

Finalement les défenseurs acharnés du loup ne sont-ils pas en train de faire un choix emblématique parmi diverses configurations possibles de biodiversité ? »




samedi 16 février 2013

Que dit l'UNION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DE LA NATURE

Pour l'IUCN le loup dans le monde et sur notre continent n'est pas classé en voie de disparition, ou vulnérable
D'autre part l'IUCN considère que dans un pays, si la population d'un animal classé vulnérable dans le monde ou sur un continent est inférieure a 1 ou 2% selon la superficie, on ne doit pas entreprendre de mesures de protection car inutiles est trop coûteuses.
D'une part le loup n'étant pas protégé au niveau mondial et Européen, et d'autre part représentant en France moins de 0,01 % de la population mondiale, voilà 2 raisons pour lesquelles on ne peut pas se recommander des mesures de l'IUCN pour la protection du Loup en France. Après, que l'IUCN ait tord ou raison c'est un autre débat! Mais en touts les cas,  l'état ou les associations ne doivent pas se servir de quelque chose qui n'existe pas quand ils disent: « est classé "vulnérable" sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). »
Bon ça change pas grand chose ! mais quand même on est en droit d'avoir des informations juste venant de l'état

pour comprendre les manipulations faite par l'UICN France c'est ici

Manipulations de l’UICN
Union Internationale de Conservation de la Nature (UICN) organisme mondial ayant des sections dans chaque pays du monde

La protection des loups, ours, lynx, vautours… se base sur la liste rouge de l’UICN dont les listes européenne et française sont non conformes aux règles de l’UICN monde. 
  • le pourcentage de la population mondiale d’ours, loups, lynx, vautours présente en France, pourtant obligatoire, n’est pas exprimé.
  • les listes européennes et françaises ne tiennent pas compte du classement des espèces au niveau MONDIAL ce qui est obligatoire!
  • Il est recommandé au niveau mondial de concentrer les efforts (humains et financiers) sur les espèces vraiment présentes dans le pays,« il faut au moins 1% de la population mondiale pour commencer à mettre des moyens pour la protection »
  • Le classement par l’UICN des ours, loups, lynx, vautours, sangliers… est « LC » c’est « Least Concern » : « non concerné » très très peu vulnérable, pas de dangers…
Alors que la population de loup en France ne représente que 0,1 % de la population mondiale, celle d’ours 0,oooooo1% 
….. C’est cette liste mensongère qui sert de référence aux sénateurs et députés pour décider des espèces à protéger en France ! 

Pour en savoir plus…. 
Et plus spécialement : 
Ce document a été réalisé par la Fédération des Acteurs Ruraux en collaboration avec Bruno Besche Commenge de la coordination pyrénéenne ADDIP

"

Merci a Louis Dollo d'avoir pris le temps de présenter et de mettre en page l'ensemble de cet article...


vendredi 15 février 2013

IL FAUT LE VIVRE POUR LE COMPRENDRE




11/02/2011



mercredi 13 février 2013


Bonjour à tous les amis des chevaux et autres animaux qui sont nos compagnons ou qui nous font rêver.
Voilà: dans notre région de moyenne montagne, malheureusement souvent désertifiée car la vie n'y est pas facile, sévit actuellement le Loup. Jusqu'à présent, celui-ci s'attaquait aux troupeaux de brebis ou de chèvres. Toutes les communes limitrophes ainsi que la notre ont subi des attaques qui se sont soldées par d'horribles carnages (tous les troupeaux ayant essuyé une agression ont eu à peu prés 40% d'avortements). Mais maintenant que les ovins et caprins se retrouvent enfermés dans la bergerie pour y passer l'hiver, souvent rude dans nos montagnes, le prédateur s'en prend aux chevaux! Tous les « pro-loups » vous diront que ce n'est pas possible, mais ils ont besoin de se rassurer eux-mêmes aux dépend de la sécurité de nos amis. Devant l'évidence de la réalité, il ne reste plus qu'à espérer que le discours selon lequel l'animal ne s'attaque pas à l'homme ne soit pas de la même veine!
Après une attaque dans les Hautes-Alpes sur un troupeau de Mérens (un poulain déchiqueté et sa mère blessée en le défendant qu'il a fallu abattre),un poulain dans les Vosges, idem en Lozère, et je ne suis pas au courant de tout, voici une nouvelle attaque dans la Drôme a 6 km de notre lieu de vie!
A la « Ferme des Ganaos » nous avons trois gros poneys de traits (bientôt 4 car Galipette attend un poulain pour le mois de mai) avec lesquels nous travaillons la terre, pratiquons l'attelage en simple et en paire, ainsi que la monte pour des promenades pour le plus grand plaisir des enfants. Ils se prêtent volontiers au plaisir du dressage (« va chercher ton licol », « défais ton noeud », « couché », ou « monte sur le tabouret », etc.). Depuis toujours ils sont rentrés le soir dans un enclos avec abri, qui a été renforcé depuis les premières attaques, mais tous les soirs en fin de journée, je pars, la peur au ventre, les récupérer à la pâture!
C'est pourquoi, avec le collectif des éleveurs en montagne du Haut-Diois, je vous demande de signer la pétition qui sera envoyée aux membres du gouvernement qui doivent statuer au printemps sur la conduite à tenir à propos des loups. http://www.petitions24.net/les_eleveurs_en_montagne
Pour les personnes averties, vous pouvez visionner les photos du massacre du poney sur:
Si rien n'est fait, mes chevaux sont condamnés à subir le sort de cette jument qui a défendu ses 4 autres congénères qui ont échappé à la mort mais en sont sortis complètement traumatisés.
Voilà, pour la continuité de nos régions les plus reculées et les plus pauvres, celles qui regroupent les gens les plus attachés à leur pays malgré et à cause de la rudesse de la vie, qui se cramponnent à des valeurs profondes de développement durable et écologique, bien avant que ce n'en soit la mode, des régions qui sont souvent abandonnées par l'administration (fermeture d'écoles, inexistence des transports, moyens de communication sous-développés, etc.) je demande à chacun d'agir en son âme et conscience, mais de glisser dans son jugement une pensée pour nous. Le loup ou la vie dans nos campagnes?
Merci de votre attention et merci de bien vouloir diffuser ce message a vos partenaires

LE BERGER PHOTOGRAPHIE LES LOUPS

En plein jour, ce berger a pu photographier les loups qui encercle le troupeau
Hautes-Alpes : sept loups attaquent un troupeau en plein jour en présence du berger et 
des chiens.
Laurent Garde – CERPAM – 23-12-2010
Le 6 novembre 2010, Philippe Lemoine, le berger de la montagne de Céuze dans les Hautes-Alpes, 
garde son troupeau. Il fait beau, c’est le début de l’après-midi.  Sur ce bas d’alpage, le terrain est 
dégagé, facile à garder, facile à surveiller dans ce massif où les loups ont fait leur apparition depuis 
deux ou trois ans.  Il reste 700 brebis en fin de saison, les autres sont déjà redescendues. Auprès du 
troupeau veille avec le berger ses trois chiens de conduite, l’un de ses deux chiens de protection, et 
un âne sur lequel il compte pour donner l’alerte et impressionner les loups.
C’est alors qu’il voit sortir des buissons, à  une centaine de mètres, un, deux, trois, sept loups qui 
commencent à encercler son troupeau en longeant un sentier en contre-haut. Il est saisi de stupeur. 
Certes, l’année dernière, il a déjà vu un loup dans les mêmes circonstances. Mais sept loups en 
même temps ! Il sort son appareil photo et il parvient à en fixer six sur le cliché. Il est 14 h.
A ce moment déboule une randonneuse avec son chien face aux loups. Stupeur et affolement de la 
dame. Les loups repassent la crête. Le berger, inquiet, rassemble son troupeau serré et redescend 
vers les prés. Précaution inutile. C’est deux heures après que les loups attaquent. En plein jour, par 
un beau soleil, un temps calme, sur un terrain parfaitement dégagé, près d’un hameau et d’une route 
goudronnée, en présence du berger, de quatre chiens et d’un âne utilisé comme animal de 
protection. Ils sont deux sur une brebis, l’un à la gorge, l’autre lui déchire les entrailles. Le chien de 
protection, une jeune femelle qui a aboyé toute la nuit face aux loups  ne bouge pas, comme
tétanisée. Il faut que le berger arrive sur les loups à moins de 30 m pour leur faire lâcher prise. La 
brebis est encore vivante…
Traumatisé, le berger ramène ses bêtes au parc de nuit et appelle les éleveurs  ainsi que
l’administration pour le constat. On est samedi, les gardes monteront le lundi, d’ici là il faut préserver 
la carcasse des charognards pour pouvoir être constatée, le berger amène sa remorque et la 
retourne sur la brebis morte.
Le lendemain, jour de brouillard. L’un des éleveurs est monté soutenir le berger. Inquiets, les deux 
hommes sortent le troupeau à proximité immédiate des chalets, sur d’anciens prés de fauche pour 
mieux surveiller les bêtes à un endroit où il passe du monde. Cette fois, les deux chiens de protection 
sont présents avec les trois chiens de conduite. Ce qui n’empêche pas les loups d’attaquer à 
nouveau. La veille ils ont été privés de leur proie. Ce jour ils changent de tactique, et malgré  les deux 
hommes et les cinq chiens courant, hurlant, aboyant, ils coursent une brebis à l’écart vers les bois et 
les ravins pour la consommer tranquillement. La carcasse ne sera pas retrouvée.
C’en est trop. La coupe est pleine. Les éleveurs enferment leurs bêtes et décident de les rapatrier à 
l’abri, deux semaines avant la date prévue. En urgence, il faut les trier. Les compter. Renoncer au 
camion qui avait été réservé et multiplier les voyages avec la petite bétaillère de l’un des éleveurs. 
Organiser l’accueil des bêtes sur le site de transhumance hivernale où les brebis n’étaient attendues 
que 15 jours après, dans les Bouches-du-Rhône. Le 9 novembre, le démontagnage est terminé après 
trois jours de travail d’urgence qui désorganise le planning des éleveurs et des gestionnaires.
Le berger a 54 ans. Il est très expérimenté. C’est sa cinquième saison de garde sur la montagne. Il 
accompagne les brebis en permanence tout au long des heures de pâturage. Depuis l’arrivée des 
loups, il rajoute des heures de surveillance au moment où les bêtes chôment aux heures chaudes de 
la journée. La nuit, il double l’enclos en grillage d’un parc en filets pour que les loups n’affolent pas 
les bêtes « Ce n’est plus une vie. Maintenant, c’est 300 à 400 heures de travail par mois. Tu n’as plus le temps de rien, de faire ta vaisselle, de voir des gens. Le stress, je prends des cachets pour dormir. 
L’aide-berger, ça n’est pas possible, on le loge où, la cabane est petite, à mon âge, c’est pas évident 
de cohabiter avec quelqu’un avec qui t’as pas forcément d’affinités. »
Sur cette montagne, le groupement pastoral s’était engagé sur un contrat agri-environnemental
pour la gestion des habitats remarquables de ce site Natura 2000.
Que faut-il faire désormais face à des loups qui ignorent toute crainte ? Que faut-il faire de plus dans 
les alpages quand la quasi-totalité des troupeaux disposent déjà d’un berger permanent et, bien 
souvent, d’un aide-berger ? Que faut-il faire de plus dans un contexte où la grande majorité des 
troupeaux attaqués par des loups sont surveillés par des chiens de protection ? Que faut-il faire de 
plus alors que la moitié des attaques de loups se produit désormais en plein jour dans les Alpes du 
Sud et que ni la présence des hommes, ni celle des chiens ne les découragent ?




 POUR VOIR LES LOUPS QUI ENCERCLE LE TROUPEAU?
Vous devez sélectionner l'image et l'enregistrer dans un de vos fichiers photos, puis l'ouvrir et vous servir du zoom. 

LES CLÔTURES CONTRE LE LOUP!


Les partisans “du loup a n'importe quel prix” nous suggèrent de clôturer nos terres!

Prenons l'exemple de notre petite commune, ou 4 éleveurs, dont je fais partie, se partagent les terres en propriété et en bail agricole, (environ 800 ha, beaucoup de landes très pauvres, des bois, des prairies, un peu de terre labourable et beaucoup de cailloux) le reste uniquement des bois a 90% pour l' ONF et 10% pour le communal (environ 400 ha) ce qui représente a peu près 1/3 de la superficie totale, en plusieurs parcelles non attenantes.

Après concertation nous pourrions décider de clôturer nos terres, afin d'espérer être tranquille contre les attaques de loup. Je dis espérer car dans de nombreux cas, le loup ayant trouver la faille, les bêtes ne pouvant s'échapper de part la clôture,  le massacre est encore bien plus important. ( a ce propos j'ai une astuce pour limiter la casse, que je veux bien partager avec ceux qui sont intéressés). Mais là n'est pas le sujet.

Une fois toutes nos terres clôturées, il reste les îlots de l'onf et de la commune, qui se retrouvent de fait eux aussi enfermés et non communiquant, car leur chemin d'accès ne se rencontrent que par le réseau d'autres chemins, qui de part le fait du relief, peuvent, pour des parcelles distantes à vol d'oiseau de quelques dizaines de m, atteindre plusieurs km.

Une fois les clôtures terminées, les portails fermés, toute la faune sauvage qui aura quittée les lieux pendant les travaux, ne pourra plus réintégrer son habitat. Sans parler des touristes randonneurs et autre amoureux de la nature, ils seront cantonnés sur le seul chemin et sur la seule route, traversant de part en part la commune. Pour le reste, tout aboutira a des parcs, des bois et des fermes, enceints de grillage et de fils électriques. Les pêcheurs devront suivre les ruisseaux et rivières ceinturés, a partir des points ou ils communiquent avec les deux seul chemins ouverts, sans pouvoir jamais en sortir autrement que par les entrées. Les chiens patou veillant a ce qu'il n'y ait aucun débordement!

Imaginons que suite a cette orgie de clôtures, les autres communes nous emboîtent le pas, le tout bien subventionné par l'état. Elle sera où la biodiversité que nous favorisons en laissant les espaces ouverts, en laissant la faune sauvage et les promeneurs avoir accès à nos pâtures et à nos champs!
A ceux qui préconisent de clore le monde rural, je réponds que ce n'est pas la solution, car dans ce monde fermé, ne pourra survivre que nos animaux domestiques gardés par des vigiles hommes détenteurs d'armes et du permis officiel de se défendre contre le prédateur, ou chien de défense, souvent rendu dangereux après avoir subit une attaque ou pire avoir été blessé par le loup.

 Ce n'est pas cette existence, ni ce partage de de nos terre, que nous souhaitons! Si nous sommes emmenés à le faire, ce sera uniquement contraint et forcé:
Extrait de la buvette des alpages, qui se targue de concilier" le loup et le pastoralisme"
"La coexistence pacifique et raisonnée est impossible? Je n'ai jamais cru que l'homme évoluait par sagesse, mais toujours sous la contrainte. Eh bien organisons la coexistence contrainte!"


Voilà, pour ceux qui veulent agir, je demande à chacun en son âme et conscience, de glisser dans son jugement, une pensée pour les ruraux, et de bien vouloir lire la pétition qui sera envoyée aux membres du gouvernement qui doivent statuer au printemps sur la conduite à tenir à propos des loups. En savoir plus.




mardi 12 février 2013

PASTORALISME, pour en finir avec les contres vérités sur le LOUP


Pour faire face aux affirmations des écologistes « pro-loups » dans le « manifeste pour le loup », voici une réponse point par point, bien plus objective que la propagande discriminatoire et souvent en contradiction totale avec la législation Européenne, qu'ils étalent sans états d'âme
les textes en gras et soulignés sont copiés sur le manifeste



PARLONS UN PEU DU LOUP DANS LE HAUT DIOIS



Depuis quelques années, des attaques sur les troupeaux en alpage ont éveillés les soupçons des éleveurs, sans que la panique ne s'empare de la vie pastorale.
Mais depuis l'automne 2012, nous voilà en présence de nombreuses prédations sur les communes de Les Prés, Val Maravel, Charens, Valdrome, Boulc,

Au total + de 280 brebis, un poney, 1 chien patou de protection mort au combat, un veau,  2 chiens de chasse....


L'arrivée prochaine du printemps et la mise a l'herbe des brebis et de leurs agneaux, sont dorénavant deux épreuves, autrefois pleines de promesses, aujourd'hui redoutées par les éleveurs

http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/01/presentation.html