BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

vendredi 27 septembre 2013

LA RÉPONSE A MIDI LIBRE

Prenons le temps d'analyser l'article de midi libre: 

Aveyron : le loup, bouc émissaire idéal des éleveurs 


En jaune, les reprises de l'article d'un journaliste qui devrait consulter la charte du journalisme!

"Mais quand bien même. Il faut en effet savoir que, chaque année, en France, ce sont plus de cent mille brebis qui sont tuées par des chiens errants."
d'ou vient ce chiffre de cent milles brebis tuées par des chiens ERRANTS? (mot employé par les défenseurs du loups pour dire chiens divagants)  


les études montrent que le taux de prédation par les chiens est de l'ordre de 0,20% . De plus ces attaques sont essentiellement diurnes et les chiens sont repérés dans près de 89% des cas! D’où tenez vous ce chiffre de 100 000 brebis tués par des chiens chaque année? Des publications affirmant des niveaux de prédation par les chiens errants de l’ordre de 150 000 à 700 000 ovins par an,  un tel niveau de dégâts, représentant en moyenne une perte de 32 à 148 têtes chaque année pour un alpage de 2000 brebis, il devenait nécessaire de vérifier les sources utilisées par ces défenseurs du loup. Les résultats de cette vérification montrent qu’aucune de ces publications ne s’appuie sur une quelconque étude de terrain : Les chiffres   sont   avancés   sans   source   ni   référence   à   une   étude,   ou   bien   reprennent   les affirmations citées par d’autres auteurs en les majorant (2 fois et demi supérieur à la source citée dans un cas). 


Une étude approfondie a été réalisée sur 295 troupeaux et 143 000 ovins au pâturage. Les résultats   révèlent   une   fréquence   d’attaques   par   les   chiens   tous   les   cinq   ans   en moyenne pour un troupeau donné et   un très faible niveau de pertes au regard des chiffres cités plus haut, qui varie par région entre 0,1 et 0,4 % de l’effectif au pâturage chaque année, la moyenne  s’élevant  à 0,25 %. Cela équivaut  à un niveau de pertes inférieur  à 20 000 victimes par an pour un troupeau national de  7 920 000 ovins en 2008 : un résultat quatre à trente fois inférieur aux chiffres sans fondements qui circulent encore trop souvent en France, mais tout à fait comparable aux données anglaises  et italiennes. 
"
 "Et on n’oubliera pas de citer les ravages dus à la foudre, aux diverses épidémies...",
Un peu comme si on voulait minimiser les attaques de criminels sur les enfants en citant pour comparer et minimiser le problème, le nombre d'enfants victimes d'accident ménager.
"
" les problèmes des éleveurs seraient-ils pour autant résolus ? "
Bien évidemment non, mais pourquoi comparer deux choses différentes si ce n'est pour discréditer les éleveurs qui en tiennent compte dans la gestion de leur entreprises. Pourquoi leur rajouter un handicap sous prétexte de biodiversité, alors qu'ils sont les garants, reconnus par des organismes comme l'inra et bien d'autre, de la biodiversité de nos campagnes et de nos montagnes. Leurs troupeaux participent au maintient des paysages ouverts, a la prévention des incendies, a l'entretien des chemins d’accès....

"Mais si, d’aventure, les principes érigés par la convention de Berne, sur la protection de la vie sauvage, étaient battus en brèche, "

La convention de Berne n'est opposables ni aux individus, ni aux état, donc aucun problème!
par contre rien sur le code rural et de la péche maritime qui stipule:

Quand au concept de la biodiversité, c'est chez les ruraux qui vivent de et en accord avec la nature qu'elle est préservée, merci d'y penser. Merci de nous consulter avant de prendre des décisions quand à la préservation de la nature dans laquelle nous nous épanouissons, ayant refusé de rejoindre le troupeau des citadins et tout les "avantages humains sociaux et de loisirs et autres fariboles...." que procure la vie urbaine! 

Le loup ne peut pas être l'idole qui efface les erreurs humaines, dont la responsabilité incombe à nos civilisations,  et dont les écologistes intégristes ne peuvent pas se targuer d'être les élus choisis pour les corriger, au mépris des populations qui vivent de et en accord avec, cette nature!


jeudi 19 septembre 2013

LA MILICE ECOLOGISTE

Nous revoici a l'époque de Vichy, ou surveillance, espionnage, délation sont remis au gout du jour par les intégristes de "l'écologie profonde"

"FERUS lance un appel à tous les utilisateurs de la montagne sur les secteurs susceptibles d’être fréquentés par les ours : « soyez vigilants, attentifs et à la recherche de tout indice qui peut faire penser à une action de braconnage d’ours (carcasses, pots de miel remplis de verres pilés, agitation inquiétante sur un secteur de présence de l’ours…) ».
Amis utilisateurs de la montagne, vous pouvez nous remonter tout signe suspect ou autre à l’adresse vigie@ferus.org ou par téléphone 06 46 62 19 47.
Avant de partir en montagne, FERUS vous invite à vous munir des numéros d’appel d’urgence de la brigade de gendarmerie du secteur concerné et du service départemental de l’ONCFS. Si vous êtes en présence d’éléments précis et inquiétants ou douteux (cadavres inexpliqués), il est préférable de les appeler sans délai."
La porte ouverte à tous les abus, sans aucun état d’âme, juste pour assouvir leurs fantasmes!


affiche du gouvernement de vichy, car les resistants etaient considérés comme des terroristes par des gens qui voulaient le bien de la population!
A lire aussi Les vigies écologistes

mardi 17 septembre 2013

MERCI A LA CONFÉDÉRATION PAYSANNE

LAMENTABLE PRISE DE POSITION ANTI LOUP CONTRE LA CONFÉDÉRATION PAYSANNE

  • commentaire issu de la part d'une organisation irresponsable, qui sous couvert de défense du droit des animaux, est prête à sacrifier l'élevage traditionnel extensif et respectueux, pratiqué par des éleveurs passionnés et proches de la nature, au profit de l'élevage industriel qui ne nuira pas au loup, mais qui avilira toute forme de vie animale dont il aura la charge et sera disposé a délocaliser en cas de pression des autorités pour l’application des lois protégeant les animaux!
On savait que José Bové avait envie de tirer sur des loups, il a fait école, son syndicat a pris position contre les loups il y a quelques jours! AUCUNE DIFFERENCE ENTRE EUX ET LES ULTRAS DE LA FNSEA!
lire ici la LAMENTABLE DECLARATION DE LA CONFEDERATION PAYSANNE SELON LES DÉFENSEURS DU LOUP

"Pour la Confédération paysanne, la présence voire la réintroduction de loups doit engager la responsabilité de l'Etat, qu'il s'agisse de protéger les troupeaux ou d'indemniser les éleveurs victimes d'attaques. Les paysans doivent être en droit défendre leur troupeau contre les prédateurs. 
Les récents débats, quant à la place du loup dans la nature, posent la question de la coexistence entre les activités agricoles et les prédateurs, le loup n’en étant qu’un symbole plus chargé d’émotion.
La Confédération Paysanne estime que la vie pastorale n’est pas compatible avec la présence du loup. Les moyens de protection contre ce grand prédateur perturbent fortement les troupeaux et les éleveurs sont contraints à de nombreux compromis, engendrant un climat de crainte et des situations intenables pour les bergers.
Devant l’inefficacité des mesures de protection, une politique de régulation du loup est indispensable. L’Etat doit prendre ses responsabilités et ne pas se contenter de déléguer le travail aux éleveurs.
La Confédération Paysanne demande donc :
• L’élimination des loups en situation de prédation sur les troupeaux, et ce, tout au long de l’année. En effet, les attaques de loups ne se concentrent plus sur la période d’estive. Cette élimination doit être assurée par un corps spécialisé sous contrôle de l’Etat. La défense active contre les loups et leur élimination ne doit pas relever du travail des éleveurs et des bergers. Toutefois, les éleveurs doivent être en droit de tirer pour défendre leur troupeau comme l’a affirmé le parlementaire européen José Bové et nous les défendrons s’ils sont attaqués pour cela.
• Que soient revues la mise en œuvre des procédures de tirs de défense en s’inspirant des simplifications (décrites par l’arrêté du 7 mai 2012) déjà mises en place dans certaines unités d’action, et que ce zonage territorial soit élargi à des secteurs où la colonisation par ce grand prédateur est récente, mais confirmée tels que l’Ardèche, la Lozère, les Vosges…
• Le déclassement du loup de la liste des espèces strictement protégées dans le cadre de la Convention de Berne. La dynamique de la population de loups montre que l’espèce n’est pas en danger. L’obligation de résultats dans l’élimination des loups en situation de prédation conduit à supprimer l’existence de quota national restreint.
• Enfin, pour le Plan loup prévu pour 2013-2017, la Confédération Paysanne attend des pouvoirs publics qu’ils s’engagent clairement aux côtés des éleveurs pour soutenir les pratiques d’élevage qui sont conformes aux attentes sociétales."

Et d'un José bové n'a pas envie de tirer sur les loups. Il a juste précisé qu'il était du devoir du berger de protéger ses animaux!

Et de deux, Qui a t'il de lamentable dans ce manifeste empreint de lucidité et de bon sens.
    La confédération paysanne a manifestement pris connaissance du dossier loup en toute objectivité et en tire les seules conclusions possibles pour éviter la disparition du pastoralisme qui a façonné nos paysage depuis plus de 6000 ans! Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard.(article L 113.1)
Personne n'a rien contre le loup en tant que tel, mais comme le précise l'UICN monde, le loup n'est absolument pas en voie de disparition, ni vulnérable ( préoccupation mineure . L.C.) et donc ne justifie d'aucune mesure de protection spéciale! Au contraire, l'UICN précise que pour une espèce en danger dans le monde un pays qui possède moins de 1 % de cette population ne doit pas entreprendre de mesures de protections car trop coûteuse et trop aléatoire. Hors le loup en France représente moins de 0.01% d'une population Mondiale non menacée.
 Voici donc 2 vérités, détournées par une   
  lamentable manipulation des défenseurs du loup, qui permettent de déclasser le loup de la liste des animaux protégés.!   
en savoir plus sur l'uicn

A lire aussi Vers un renforcement des mesures contre le loup en montagne et ailleurs 

dimanche 15 septembre 2013

LES PIRES DIFFAMATIONS PROFEREES PAR LES PIRES INTEGRISTES

Après les affirmations des associations pros loups sur fr3 et  sur canal + : 

" les bergers s'organisent pour favoriser les attaques afin de toucher la prime qui serait plus importante que la valeur en boucherie."
 Pour cet exemple dans le reportage de fr3, ils s’appuient sur une somme de 90 euros pour une agnelle de 6 mois qui a été sélectionnée pour ses aptitudes génétiques et son adaptation au milieu dans lequel elle est destinée a vivre. 

Alors voilà le prix du marché:

 Vds agnelles Corses 5 mois, de plein air en AB. Prix : 80 € chaque. 
Tél. : 04
Cède 4 agnelles Rava de 6 mois. 30 à 35 kg. Prix : 100 € pièce. 
Tél. : 06 88 2
- Vds 40 agnelles Rava, début 2013. Prix : 100 €.
Tél. : 06 04
Vds 2 agnelles de race Solognot, nées en 2013, ind. brucellose, prophylaxie OK. Boucles électroniques selon la réglementation obligatoire depuis 2013. Factures, bons de transport fournis. Issus de parents inscrits au groupement de la race. Prix : 120 €. 
Tél. : 02 48 

Après minimum une journée de perdu avec les voisins, non indemnisée, pour retrouver le maximum d'animaux, les disparues passent a la trappe, encore une demi journée de perdu non indemnisé, avec les agents pour les constats, puis il faut se débarrasser des cadavres, soigner les blessées, déstresser les survivantes.......On a du mal a croire que le berger prenne le temps pour organiser les attaques afin d' être indemnisé. Seul des association intégriste dont le travail consiste a endoctriner la population afin de pouvoir arriver a leur fin sont capable de proférer de telles diffamations envers des éleveurs  Et ça marche, car beaucoup de gens dont le libre arbitre semble avoir disparu après le lavage de cerveaux organisé par des associations comme l'ASPAS er FERUS , nous disent "mais puisque vous êtes indemnisé; On pourrait leur répondre:

"C'est vrai quoi, si un voleur rentre chez vous, viole votre intimité, prend ce dont il a besoin et aussi ce dont il n'a pas besoin, on ne comprend pas pourquoi vous sous sentez mal, déprimé, inquiet, spolié atteint dasn votre intègrité, puisque vous serez indemnisé et de toute manière malgré le renforcement de vos protections, si il le veut il reviendra"

Pensez y comme nous pensons que le loup reviendra se servir envers et contre toutes protections, et pensez aussi que nous n'aurions jamais choisi ce métier pour nourrir le loup, mais par passion et parce qu'il fait parti des activités vitales pour l’indépendance d'un pays et l'entretien des paysages ouverts que nous partageons avec vous!

vendredi 23 août 2013

LOUP 20 ANS APRES SA RÉINTRODUCTION?



Une autre analyse ainsi que les vidéos sont disponibles depuis:
Retour naturel ou réintroduction des loups ? A vous de juger !

La première observation de loup en France illustrant le
retour de l’espèce remonte à 1987 avec l’abattage d’un
individu sur la Commune de Fontan dans les Alpes-
Maritimes. Le rapport d’autopsie de cet animal, au-
jourd’hui disponible, documente que ce loup a été élevé
dans un enclos bétonné et n’est dons pas issu d’un retour
naturel




L'affaire des loups dit de "Castérino" : Quatre années de secret, pourquoi ?

le compte rendu officiel de la présence cachée des loups de castèrino:




Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l’Europe
Manifeste et directives sur la conservation du loup du Groupe d’experts sur le loup de l’Union internationale pour la conservation de la nature et des ressources naturelles

3. Les populations de loups se sont peu à peu différencées en sous-espèces qui sont génétiquement adaptées aux différents types d’environnement. Il est capital que ces populations locales soient maintenues à l’état sauvage dans leur milieu naturel. Le respect de la pureté génétique des races localement adaptées incombe aussi bien aux organismes qui envisagent de réintroduire les loups dans la nature qu’aux jardins zoologiques qui pourvoient à ces réintroductions. 

10. La société peut être amenée à supporter le coût éventuel du maintien des loups dans certaines régions et à indemniser par exemple la perte de bétail ; inversement, dans les régions à vocation essentiellement agricole, il n’est pas souhaitable de maintenir des loups ou de chercher à les réintroduire. 

12. Il convient de prendre en compte l’ensemble des facteurs socio-économiques, écologiques et politiques, et de trouver des solutions avant de réintroduire le loup dans les régions biologiquement adaptées d'où il a disparu.  ça vous pouvez être certain que les écologoistes s'en sont abstenus!

Directives 
Nous recommandons les directives suivantes pour les actions de conservation du loup. 

A. Généralités:

2. Chaque pays définira dans son territoire des régions adaptées à l’existence des loups et adoptera en conséquence une législation permettant de maintenir les populations de loups et de faciliter la réintroduction de cette espèce. .....

venons en aux faits: 
Le cas échéant, l’intérêt général du public devra être stimulé grâce à la promotion d’activités touristiques liées aux loups.

Nous pouvons constater que l'élevage et la réintroduction sont possibles et que les accusations portées par certains quant à l'arrivée du loup dans le Mercantour comme dans les Pyrénées-Orientales restent une option tout à fait réaliste. D'autant plus réaliste que dans ce domaine comme celui de l'ours les associations environnementalistes se confortent dans de multiples mensonges, manipulations et actions de lobbying depuis de nombreuses années.





http://www.natuerlich-jagd.de/index.php?option=com_content&view=article&id=563&Itemid=1
Un camion a été arrêté à la frontière Allemagne / Pologne.A bord ? ... un transport clandestin de loups et de lynx.Depuis quelque temps des rumeurs couraient en Allemagne, comme partout, sur des lâchers de loups illégaux ....


CE QUI SE PASSE EN ITALIE VAS DANS LE MÊME SENS

dernière minute : Italie : 37 spécimens hybrides de 1ère génération - chiens loups tchèque (chien à la mode) X loups sauvages - saisis dans 8 provinces  d'Italie.
Les loups proviendraient des Carpates, de l'Amérique du Nord et des Appenins (ce qui en dit long sur la circulation illégale des loups).
Hybridation interdite déjà en république tchèque, car pouvant générer des individus très agressifs.

Voila qui en dit long sur la possibilité pour n'importe qui de relâcher des loups, que ce soit en France, en Italie tout prêt de la frontière par exemple! Loups acheté par des associations avec des fonds public par exemple?
Recommandations de la convention de Berne à l'Italie :
1. De mettre en oeuvre une stratégie nationale de conservation de l’espèce ;
2. De faire respecter l’interdiction de posséder en captivité des individus de toute sous-espèce de Canis lupus et de les libérer dans la nature ;

3. De poursuivre et d’améliorer le programme de reproduction en captivité actuellement en cours



TU AVAIS ENVOYÉ UN NOUVEAU DOCUMENT DE ZUNINO AFFIRMANT QUE LES LOUPS NE VENAIT PAS d'Italie mais de France ,c'est exact . Ils ont été lâché près de chez moi en 1991. et les commanditaires sont notamment JL Bianco et M. Vauzelle

En effet, s'il est plausible que des populations de loups survivantes des Abruzzes aient colonisé   de  nouveaux  territoires   des  Apennins   en  profitant  de  l'abandon   progressif   de  la montagne, il semble au contraire invraisemblable qu'en seulement l'espace de trente ans, sans interventions extérieures sur les dynamiques naturelles, elles aient réussi à occuper subitement de vastes zones des Alpes occidentales, en s'étendant au delà des Alpes sur une bonne partie de la Provence (les dommages causés aux bergers de la Drôme ces dernières années sont significatifs)   et   aujourd'hui   il   y   a   déjà   des   signalements   sur   les   montagnes   Lombardes, 
Trentines, Vicentines, en général à l'intérieur de zones protégées (Parcs, SIC, ZPS), quasi comme  si ces populations de loups connaissaient la route pour rejoindre les slovènes...
Source  https://drive.google.com/file/d/0B9HT6mzNQ__VQm5tX2lHeS1SLWs/edit?usp=sharing


En Italie, On démantèle http://www.ruralpini.it/Commenti31.12.13-La-fabbrica-dei-lupi.html

"Les grandes usines à loup"
La lupophilie et lupomania sont des faits de société (aussi bien chez des universitaires que chez les agents de l'Etat et les défenseurs de l'environnement).
Au sein des autorités et organismes, c'est un secret pour personne, qu'il y ait des employés qui s'y engagent pour des raisons idéologiques. Ils jouent le rôle de "police verte" et œuvrent non seulement pour la protection absolue de l'espèce mais également pour sa prolifération.
La fin justifie les moyens
http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/Loups/Etudes-Reflexions/2013-12-31-Extremistes-ecologistes-lupomania-fabrique-usine-loups-parcs-animaliers-Italie.html



QUELQUES FAITS MARQUANTS

La lettre de François hollande:

"ll s'agit d'une part des mesures qui ont permis la réintroduction puis le maintien du loup "
http://www.pyrenees-pireneus.com/Ecologistes-Ecologie/FERUS/2012-04-16-Ferus-reponse-F-Hollande-lettre-loup.pdf

Le 13 décembre 2013, l'ONCFS déclare a l’occasion du comité loup hautes alpes : "23 ans de présence du loup dans le 05 depuis la découverte d'un braconnage à Aspres les Corps, en 1992."
Donc en 1992 " Bienvenue au loup ! Il est de retour en France », s’exclame la revue naturaliste, terre sauvage,  alors que en même temps un loup braconné est trouvé dans le 05 


http://geotheque.org/tag/montagne/ :Leur but est la protection de milieux relativement « sauvages » et d’espèces animales au végétal. Ainsi le parc du Mercantour a joué un rôle dans la réintroduction du loup dans les Alpes à partir de meutes italiennes 
 Mais depuis 1997, les analyses scientifiques l'ont prouvé : le loup est bel et bien revenu en Auvergne. Ainsi le 9 octobre de cette année-là, (1997, alors que hormis les alpes maritimes on n'en parle pratiquement pas, voici qu'un loup aurait couru jusqu'en Auvergne?) une automobiliste percute un spécimen sur la RN122, à hauteur du plan d'eau de Laveissière. L'animal avait été filmé l'été précédent par un vidéaste amateur. D'où venait-il ? Des Alpes lointaines ? A-t-il été réintroduit par un homme ? Le canidé était en tout cas d'origine italienne. 



Quelle est selon vous l'espèce la plus inattendue trouvée à Paris ? Un loup ! C'était en 1972 dans le parc Monceau. Un cabaretier avait acheté un "chien" pendant ses vacances puis au bout de quelques mois le "chien" s'est échappé et s'est retrouvé dans le parc. Comme il était agressif, il a été capturé et le vétérinaire de la SPA a vu que c'était en fait un loup.


Discussion a l'Assemblée Nationale : La conviction de votre rapporteur, et, semble-t-il d'une majorité de la commission, est que la vérité se situe probablement entre les deux : au vu des connaissances scientifiques actuellement disponibles, un retour naturel du loup d'Italie (et non des Abruzzes, point sur lequel nous reviendrons) est tout à fait possible et les analyses génétiques effectuées depuis 1996 confirment cette possibilité, sans bien sur la prouver. De même, il est probable que des lâchers clandestins de loups ont eu lieu mais, encore une fois, sans qu'il soit possible de le prouver.
En tout état de cause, ces lâchers n'ont sans doute pas fait l'objet d'un complot impliquant le parc national du Mercantour et la direction de la nature et des paysages (DNP) du ministère de l'environnement. Ces lâchers ont probablement été le fait de particuliers passionnés de la nature et particulièrement irresponsables (...)

Nota : Toutes les auditions de la commission parlementaire française (Assemblée Nationale) sur l'arrivée du loup en France font état d'introductions possibles et/ou clandestines. Mais personne n'affirme. Au pire, les personnes auditionnées tentent de minimiser le phénomène. Curieusement le rapport parlementaire ne conclu rien. Pourquoi ?
De nombreux textes écrits à la fin des années 80 et au début des années 90 évoquent des lâchers clandestins de loups. En premier lieu, une enquête réalisée en 1990 par la direction de la nature et des paysages (DNP) recense 42 opérations « d'introductions, réintroductions et renforcement de populations » en France entre 1950 et 1989, concernant diverses espèces, dont des lâchers clandestins de loups ...
Après son enquête, la commission de l’Assemblée nationale penche pour une « non contradiction entre les deux thèses » : les loups arrivés en France seraient bien venus d’Italie, mais parallèlement, il serait « probable » que des lâchers clandestins de loups aient eu lieu — lâchers qui pourraient être « le fait de particuliers passionnés de la nature et particulièrement irresponsables » [3]
La rumeur de lâchers clandestins de loups commence au début des années 1980. La réintroduction d’espèces sauvages a alors le vent en poupe. Lorsque le lynx est officiellement réintroduit en 1983 dans les Vosges, des photos (lynx exotique, animal bagué, etc...) [2] prouvent une réintroduction parallèle illégale. Une enquête réalisée en 1990 par la Direction de la nature et des paysages (DNP) évoque quant à elle des lâchers clandestins de loups, sans pourtant s’en émouvoir — ce qui fait bondir la commission d’enquête : « Il est pour le moins surprenant que le ministère de l’Environnement ait officiellement recensé des lâchers clandestins de loups (et d’autres espèces), opérations par définition illégales, sans s’inquiéter outre mesure des auteurs et des conditions de ces pratiques illégales. Peut-être faut-il y voir un signe de l’anormale proximité entre la toute jeune administration de l’Environnement et les milieux associatifs écologistes dont elle est en partie issue. » [2] Voilà qui est dit. 
De fait, les amis du loup semblent bien organisés. Personne n’en parle, mais « on sait » que des lâchers clandestins ont lieu. Lorsqu’un loup est tué dans les Hautes-Alpes en 1992, le directeur de la DNP explique ainsi : « Un fugueur peut-être, mais il existe aujourd’hui une catégorie de nostalgiques qui font de la provocation et lâchent clandestinement des animaux sauvages. » [4] Un défenseur du loup semble également bien informé [5] : « Ça et là en Europe, des loups captifs auraient déjà été discrètement relâchés, dans quelques sites tenus secrets... Ces tentatives marginales suffiront-elles à rendre à Canis Lupis la place qui était la sienne ? » Et un autre : « Ceux qui rêvent de la réintroduction du loup en France risquent fort de ne pas être entendus. [...] Alors, faudra-t-il réintroduire les loups subrepticement ? En réalité quelques tentatives ont déjà eu lieu en France, à ma connaissance du moins, elles n’ont pas connu le succès » [6]. L’ensemble de ces faits ne prouve pas que le couple de loups du Mercantour provienne d’un lâcher clandestin. Mais elles témoignent tacitement d’une réalité : le lâcher de prédateurs, par les milieux écologistes, dans les années 1980, « et qui a conduit avec certitude à lâcher des ours et des lynx » [2]... Ce dont le ministère de l’Environnement se garde bien de parler. 
source http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/ours/France/Rapports-Etudes-Reflexions/Au-Loup-a-l-Ours-Gens-des-Villes-Gens-des-Champs-Montagne.html



Loup - La Rumeur de réintroduction

http://www.assemblee-nationale.fr/12/rap-enq/r0825.asp
Signe de la fascination que peut exercer le loup sur certains, cet animal est parfois gardé en captivité par des particuliers comme animal de compagnie. Malheureusement, la détention de ces animaux, outre qu'elle est contraire à la convention de Berne, fait naître de lourdes suspicions quant à de possibles lâchers dans la nature.


OU:



  On ne peut que s’étonner en relevant que le loup ibérique n’a pas (encore ?) réussi à coloniser les Pyrénées où les seuls loups présents, dans la partie orientale du massif, des deux côtés de la frontière, sont de souche italienne et viennent de l’Arc alpin pourtant ( énormément )plus éloigné.( pourvu qu'on ne les ai pas accompagnés)

"Avec les écologistes toutes les folies sont possibles lorsqu'il s'agit de grands prédateurs notamment de loups. Gilbert Simon avait bien reconnu en 2003 devant une commission parlementaire que des lâchers clandestins (néanmoins connus de lui.... curieux !) avaient été réalisés dans les années 1980 dans les Landes"

LES GEORGIQUES:
 Le premier Loup signalé  dans le Mercantour et trouvé mort en 1992, présentait les stigmates évidents d'un collier. 

EN ITALIE MÊME SON DE CLOCHE:


Voilà, les loups sont revenus, ont écrit les journaux du savonese, fin octobre 2010. Mais les loups n'étaient pas en train de revenir, ils étaient et sont juste en train de devenir plus en plus nombreux...

Et ils ne proviennent pas des Apennins mais des Alpes, c'est à dire de la souche à partir de laquelle la population s'est constituée après les libérations répétées faites sur le versant français de la part des amoureux de cet animal, qui pour l'avoir n'ont pas hésité à libérer ceux qu'ils détenaient dans leurs propres enclos d'au-delà des Alpes, sans faire dans la finesse quant à leur pureté génétique et à la provenance géographique, comme l'a montré une Commission d'enquête du gouvernement français datant de quelques années (avec un rapport documenté de trois volumes pour un total de presque 1000 pages, dont tout le monde ici en Italie ignore l'existence, ou fait semblant de l'ignorer).
Car en Italie, coté mercantour, on a entendu parler du retour du loup en France, sans y avoir jamais été confronté!
Par Franco Zunino, naturaliste, secrétaire général de l'AIW (association pour l'ensauvagement en Italie), partenaire WWF, consultant UICN



Si les écologistes prennent les gens pour des benêts, les éleveurs ne sont pas dupe, pour éviter toute consanguinité les choses ont certainement été arrangées à la sauce "sans foi ni loi"


Une analyse complète ainsi que les vidéos sont disponibles depuis:






mercredi 21 août 2013

RETOURNONS FAIRE UN PETIT TOUR DU COTÉ DE L'IUCN

C’est  bien  une  contradiction  que  révèle  le  document  de  référence  publié  conjointement  par  l’UICN  et l’UE  en  2007.  Ni  endémiques,  ni  menacés  à  quelque  niveau  que  l’on  envisage  l’Europe,  ours  bruns  et  loups occupent dans les programmes LIFE-Europe consacrés aux mammifères une place inverse à leur réalité, alors que  d’autres  espèces,  elles  en  péril  et  pour  certaines  endémiques,  sont  beaucoup  moins  valorisées,  voire totalement oubliées. 
Si  l’objectif  était  vraiment  de  sauver  la  biodiversité  et  les  espèces  menacées,  une  telle  contradiction 
n’existerait pas. Il faut alors se demander pourquoi existe ce processus très sélectif et peu cohérent avec les deux objectifs premiers des programmes LIFE :  

Non, ce ne serait quand même pas pour spolier les terres des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature :
 (Par exemple, le site « Science et Décision » du CNRS + Université d’Ivry propose une synthèse des connaissances scientifiques qui confirme cette analyse (http://documents.irevues.inist.fr/handle/2042/31155):
« Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air(Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). »)



dimanche 18 août 2013

LES ÉCOLOGISTES RECRUTENT

"Alors, le choix est simple.
Ou vous combattez le monde entier et, à mon avis, l’issue ne fait aucun doute.

Ou vous acceptez de laisser une place au sauvage et vous ne serez plus seul car une entente sera possible avec ces écologistes que vous haïssez présentement à tort."
l'appel au recrutement est sur la F.A.R

Voici ce que me propose ci dessus une association de protection des prédateur qui ce dit proche des éleveurs

voici ma réponse:
(sur fond blanc et entre parenthèses mes réflexions spontanées)

vous me proposez donc de rejoindre ces gens qui disent:
"De cesser toute aide de type Pastoraloup, qui ne font que renforcer l'idée que oui, décidément, les grands prédateurs posent des graves problèmes aux éleveurs et l'idée qu'ils ont un rôle socialement et écologiquement utile.
Socialement Ils ont le droit d'exister, mais ils ne sont ni utiles, ni inutiles.
Tous les moyens matériels de chacune des assos doivent être utilisés dans le but de construire ce rapport de forces."

ou
"en revanche: on est TOUJOURS gentils, Oui, on devrait être plus hargneux, les mordre aux fesses, les noyer sous la procédure, les asphyxier sous les plaintes à répétition, payer des encarts dans la Dépêche, tirer au mortier lourd, être moins didactiques et plus directs, voire simplistes!
Seulement voilà: les pubs coûtent cher, les tribunaux et les procédures aussi!"( et les subventions des contribuables qui nous font vivre grassement ne sont pas suffisantes) 

ou
"Ugatza, c'est avec cette réalité qu'il faut dealer. Ca ne me plaît pas plus qu'à vous, mais je ne peux pas en faire abstraction. L'être humain est foncièrement peureux et stupide, et complètement irrationnel. On peut le regretter, mais les faits sont tétus!
J'ajouterais qu'on a besoin de vous, cher Ugatza! Ce que vous avez envie de dire, moi j'ai envie de l'entendre!" (la on s'aperçoit que le libre arbitre a disparu! cela ressemble aux louanges de certains pendant les années noires a la recherche d'un dictateur pour imposer leurs idées. 
Voir aussi http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/04/le-loup-et-les-extremistes.html )

ou
"discuter, persuader LES ELEVEURS.
-aider (financièrement, matériellement) : indemnisations, subventions, héliportage, aide au gardiennage (Pastoraloup).
-lobbying auprès de l'Etat (devenu après Artus moins efficace que celui des anti-nature), dans l'attente de relâchers ou des subventions attribuées aux associations "reconnues d'utilité publique".
-surtout pas de vague: on continue à "reconnaître" le pastoralisme comme socialement et même écologiquement utile. Alors que c'est faux". (voir l'introduction du code rural et de la péche maritime qui dit:
"Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard". Mais ça c'est décidé démocratiquement par le parlement européen donc les écolos n'en tiennent, pas compte. A voir aussi les nombreuses études qui prouvent le contraire!)

ou
"L'éradication des bergers?
Pas d'éradication puisque pas de nécessité absolue.
La question de leur nombre est liée à celle des limites, et d'ailleurs je constate que les éleveurs s'éradiquent eux-mêmes."( alors que vient de paraitre un article dans palnete sans visa sur " Adresse aux éradicateurs de loups et d'ours (à propos de subventions)" alors double peine, d'une part on reproche aux éleveurs de toucher des primes en cas d'attaque, donc pour prouver notre bonne foi "nous ne voulons pas nourrir le loup même avec des primes", vous nous obliger à être pour l'éradication, car tant qu' a être critiqué, autant que ce soit utile!)
ou
" Je suis pour l'attaque frontale, pour dénoncer, pour faire sortir le fumier des bergeries mentales. Mais après, il faut quand même s'asseoir et parler. La coexistence pacifique et raisonnée est impossible? Je n'ai jamais cru que l'homme évoluait par sagesse, mais toujours sous la contrainte. Eh bien organisons la coexistence contrainte! Seulement je ne crois pas que le retour au monde naturel reviendra. Pas avec 8 milliards d'êtres humains qui consomment chaque jour un peu plus et continuent à se reproduire comme des rats! fait du berger l'égal d'un médecin et les Pyrénées n'ont pas vocation à être un jardin ou un parc à moutons.
On a vu ce que cet "entretien" donnait dans les vallées et même en plaine, il y a quelques semaines.
Ouvrons les yeux: ce sont des ennemis que nous avons.
Et l'heure n'est pas à fumer ensemble le calumet de la paix."

La conclusion vous est adressée "Merci aussi à Baudouin de rendre ça possible. "

je pourrai aussi citer vos collégues:

si je comprends bien, vous me proposez de rejoindre le rang des écologistes, comme Férus qui en conclusion du reportage de canal + sur la détresse des éleveurs
http://www.eleveursetmontagnes.org/documents/videos/730-ecolos-contre-bergers-qui-gagnera-la-guerre-du-loup
laisse sous entendre clairement que les bergers et éleveurs font exprès de se laisser attaquer pour toucher la prime.


 Ou alors a l'issue du reportage sur FR3 dans l'ardèche, ou le seul argument du représentant de la Frappna, suite aux 15 attaques successives du troupeau, est que:" les chiens sont les plus grand prédateurs de brebis".. alors que toute les études et le vécu des ruraux prouvent le contraire! 
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/07/du-nouveau-dans-chiens-errants-ou-loups.html



Vous n'avez pas bien cerné le personnage d' Ouragan et le régime de vichy ou nous avions le choix entre la trahison, la délation et l’enrôlement dans la milice, n'est plus d'actualité. Je préfère me battre contre les intégristes, au milieu d'une nature dont le coté sauvage n'a pas été détruit par les ruraux qui y vivent, mais par le résultat de choix de société qui s'avèrent dévastateurs et contre lesquels nous résistons depuis toujours!

Car,  loup pas loup, sauvage ou non, bientôt l'espace sera libre de tout ruraux, pour l'exploitation du gaz de schistes, l'exploitation du tourisme de masse (style yellowstonne ou les indiens ont été viré une fois de plus pour y construire des complexes hôteliers), ou tout autre forme d'activité économique comme par exemple l'ONF qui loue ses terres acquises par l'expropriation des ruraux sous prétexte de protection contre l'érosion, qui loue ses terres donc, aux chasseurs les plus fortunés, excluant de fait les autochtones au budget tout a fait modeste!

Dans le même ordre d'idée: REENSAUVAGER L'EUROPE ET REMPLIR LE TIROIR CAISSE§


vendredi 16 août 2013

APPEL A MANIFESTER




Appel à la mobilisation

Les  départements  de  l’Ardèche,  de  la  Haute-Loire  et  de  la  Lozère  sont  des  départements  connus  pour  leurs élevages ovins. Depuis maintenant deux ans, les agriculteurs de ces départements sont menacés par la présence du  prédateur  Canis  lupus.  En  effet,  le  loup  est  de  retour  sur  nos  territoires,  et  menace  au  plus  haut  point  nos élevages. Nos systèmes de production ont évolué pour répondre aux exigences du marché, de la mondialisation et rester compétitifs malgré les handicaps naturels imposés par les températures et le relief. Quant au climat de prédation concernant le loup, il a toujours été incompatible avec l’activité agricole.

En tant que véritables artisans du paysage de nos départements, en tant que producteurs d’aliments de qualité, en tant que garant de la biodiversité des milieux ouverts, et en tant qu’acteur indispensable au maintien d’une activité  socio-économique  dans  de  nombreux  territoires,  nous  nous  mobilisons  aujourd’hui  pour  dire  NON  au prédateur  qui  menace  la  pérennité  de  nos  exploitations  agricoles.  Nos  ancêtres  ne  pouvaient  pas  auparavant supporter cette menace, nous ne le pouvons pas plus aujourd’hui!

La  force  de  nos  territoires  réside  dans  l’unité  de  ses  acteurs.  Nos  activités  socio-économiques  sont  en  effet interdépendantes les unes des autres. Nous ne pouvons pas survivre si l’un d’entre nous disparaît. Quand l’un est menacé, ce sont tous les autres qui le sont aussi. De ce fait, nous faisons appel à toutes ces personnes pour venir témoigner avec nous de la menace que représente le loup dans nos terres.

Après  quelques  recherches,  il  s’avère  que  le  Canis  lupus  ne  fait  pas  partie  des  espèces  obligatoirement protégeables en France. L’État, sous la pression de certains lobbyings, fait le choix d’inclure cette espèce dans sa liste rouge de l’UICN (Union International pour la Conservation de la Nature). La règlementation mondiale précise pourtant clairement que : « Il faut au moins 1% de la population mondiale pour commencer à mettre des moyens pour  la  protection ».  Or,  la  population  Française  de  loups  ne  représente  que  0,1%  de  la  population  mondiale.
C’est pourquoi les mesures de protection qui sont actuellement mises en place  restent encore à justifier, et ne traduisent en aucun cas une obligation règlementaire, mais seulement une volonté politique. Une politique non légitime qui nous coûte d’ailleurs cher à tous, puisque la protection de cette espèce coûtait 6,3 millions d’euros en 2006, et atteignait les 12 millions en 2012.

Par  conséquent,  pour  que  l’État  Français  et  ses  représentants  entendent  la  voix  du  terrain.  Pour  que  chacun d’entre nous puisse exprimer son désaveu concernant la gestion de ce dossier. Et enfin, pour que l’État Français prenne  ses  responsabilités,  les  Responsables  syndicaux  FDSEA  et  Jeunes  Agriculteurs  des  départements  de l’Ardèche, de la Haute-Loire et de la Lozère appellent à la manifestation :

Rendez vous le VENDREDI 23 AOUT 2013
À LANGOGNE dès 15h, au quartier du pont d’allier

Vous qui œuvrez tous les jours pour nos départements, qui vous investissez pour le développement
de ces territoires, vous qu’on peut qualifier d’ambassadeur de nos chers départements, ne restez pas
insensibles à cet appel.
Parce que nos avenirs sont liés, soyez des nôtres pour dire NON au retour du loup sur notre terre !