BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

vendredi 5 décembre 2014

LOUP, LETTRE OUVERTE A MME LA MINISTRE SÉGOLÈNE ROYAL

Collectif "Pour la sauvegarde du pastoralisme"
Ouragan et les Associations cosignataires ci dessous(bas de page), à :

Madame la Ministre de l’Ecologie,
 du Développement durable et de l’Energie
Hôtel de Roquelaure,
246 Boulevard Saint-Germain,
 75007 PARIS
Les Prés, le 20 Novembre 2014


Le groupement des associations environnementales pour la protection du loup sollicite votre bienveillance . C’est son droit.  Avant de prendre votre décision, nous souhaiterions remettre à leur place certaines des affirmations émises par Cap Loup.

Analysons les demandes, en italiques dans le texte, de Cap Loup:

"
La protection des troupeaux domestiques ne justifie pas les nombreux arrêtés publiés, visant non pas à limiter la prédation sur le cheptel, mais bel et bien à réduire la population de loups en France. Y compris au cœur même d’un Parc National !"

A notre connaissance, aucune autorisation de tir ou de prélèvement n'a été donnée à l'intérieur d'un parc national, dont nous rappelons ici un des constituants de la charte, signée avec les populations qui y vivent et qui participent à l'épanouissement des principes fondamentaux qui régissent ces parcs:

L’activité pastorale d’altitude dans les parcs nationaux est bien vivante, menée par des éleveurs locaux ou transhumants. Elle a fortement évolué, s’est modernisée. La conservation de bon nombre de milieux et d’espèces est liée au maintien et à l’ajustement des pratiques agricoles et pastorales. Les premiers partenaires des parcs nationaux sont les éleveurs et les bergers, les gestionnaires d’alpages ou d’estives, les services pastoraux, agricoles et administratifs.
Le pastoralisme contribue à la structuration écologique et paysagère des territoires, à la constitution du patrimoine naturel et culturel des parcs nationaux et à sa gestion. Ainsi, les paysages d’alpages et d’estives offrent une biodiversité et un caractère remarquable, résultat des interactions complexes et dynamiques entre activités pastorales et milieux naturels, que les parcs visent à préserver."
(cf. charte des parcs nationaux)

"Le mouvement associatif s’est organisé en conséquence, et 26 associations de protection de la nature et du droit animalier se sont regroupées au sein du collectif CAP Loup."

Parmi les associations constituant ce groupement, la plupart ne cachent pas la véritable motivation qui les anime :
    • "5000 victimes dont la moitié est due aux chiens !" cf. journal de Marianne 28 sept 2013
    • en  octobre 2014 à Gap au cours d’une table ronde : "[...] la prédation reste quelque chose de minime sur le plan économique" 
    • et sur France Bleu "Le problème c'est la non-protection des troupeaux...."

    • "Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages " (cf aspas, pour le loup, 14 juillet 2014)
    • "Le loup, est une opportunité écotouristique, plus de 2 millions de touristes dans le parc des abruzzes »" (cf. campagne pour la connaissance et la protection du loup)

    • Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"
    • "Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage"
    • "Écologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons. Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour "entretenir" la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique." (cf.dépliant Loup, pour en finir avec les contrevérités sur le pastoralisme)

Comme vous pourrez le constater à travers ces affirmations, toutes ces associations  suggèrent de régler le problème du loup par la suppression du petit élevage traditionnel, et par la même, la disparition de la vie rurale respectueuse de son patrimoine, en pratiquant la désinformation, le mensonge, voire la diffamation.

  "[...] il peut être « chassé » dans 20 départements, et fait l’objet d’arrêtés de « tirs de prélèvement » réalisés à l’aide d’armes interdites en action de chasse, de jour comme de nuit, et même hors période de chasse." 
Comme prévu démocratiquement, le prélèvement des 24 puis éventuellement 36 loups doit se faire, si possible avec des armes sophistiquées, afin d’être sûr de réaliser un tir mortel, plutôt que de prendre le risque de blesser un animal.

"le sondage IFOP réalisé en septembre 2013 pour l’ASPAS et One Voice qui montre que 79% des Français sont favorables à sa présence dans notre pays, y compris les ruraux."
En réalité la question était :"  "Vous  personnellement, êtes-vous tout à fait, plutôt, plutôt pas ou pas du tout favorable à l’éradication totale du loup en France "… question à laquelle de nombreux bergers, éleveurs et moi-même, ont répondu par "pas du tout favorable".
Je vous propose de refaire le sondage en posant la véritable question :
 "Etes-vous pour le maintien d'une population de loup sur l'ensemble du territoire, sachant que chaque citoyen, en âge légal de le faire, devra participer à son épanouissement en offrant une heure quotidienne de travail bénévole, y compris les jours fériés et les weekends,  le loup n'étant pas assujetti au code du travail !"

"Malgré cette forte demande des Français, malgré le caractère encore fragile de l’espèce dans notre pays, et malgré l’intérêt de la présence du loup pour des secteurs économiques clefs en zone rurale que sont le tourisme et la sylviculture, vous avez décidé de faire chasser le loup".

Madame la Ministre, nous pensons tous, nous petits  éleveurs et bergers, que les Français, en particulier les citadins, doivent être véritablement informés sur la réalité des prédations lupines qui  conduisent  inexorablement à la disparition du pastoralisme traditionnel, garant depuis la nuit des temps de la protection de la biodiversité et de la nature qui nous accueille depuis des générations. Nous pensons tous que les Français seraient attachés à conserver le patrimoine intact, sans le déferlement d'un tourisme de masse, comme s'en félicitent certainement à tort, l'ensemble des associations.


Madame la Ministre, nous avons choisi de vivre et de faire vivre la ruralité dans le respect, la durabilité, en proposant des produits de qualité et en officiant, comme vous pourrez le constater en venant nous visiter dans la Drôme, par exemple, dans un cadre qui reste à de rares exceptions près, préservé, exceptionnel, ouvert et partagé.

Madame la ministre, nous ne voulons pas du loup car nous avons appris, en étant les seuls à participer à la cohabitation, que cette cohabitation est impossible. Il y aura toujours une faille, un défaut, un empêchement, une panne, un accident... qui feront que le loup trouve aujourd'hui et trouvera demain, la possibilité de s'en prendre à nos animaux. Le vécu dans les autres pays atteints de ce fléau nous montre qu’après les ovins, ce seront les bovins, les équins, les chiens.... . Car le loup une fois installé, doit impérativement trouver, les quatre à cinq kilos de viande qui sont nécessaires quotidiennement à son épanouissement.

Madame la ministre, faire croire que le loup fera venir des millions de touristes, comme le soutiennent à tort, les défenseurs du loup pour le parc des Abruzzes, est une hérésie. En effet, dans les Abruzzes, la quasi totalité des visiteurs sont des randonneurs, vététistes, joggeurs...ou plus simplement, des familles qui viennent s'y ressourcer indépendamment du loup, mais plus du fait de la proximité des métropoles. De même, nous pensons qu'il faut un équilibre en toutes choses, et par respect pour cette nature que nous avons su préserver pour les générations futures, des millions de visiteurs seraient néfastes pour la faune et pour la flore.
Actuellement, le pastoralisme est un vecteur important d'un tourisme familial et respectueux, comme vous pourrez le voir dans toutes les brochures des offices de tourisme, faisant vivre les autochtones qui ne veulent pas de structures industrielles pouvant  accueillir ces  millions  de touristes, si chers aux défenseurs du loup !

Madame la ministre, l'ensemble de la profession et des acteurs ruraux vous remercie de la position difficile que vous avez su prendre pour le maintien de la vie rurale. Laisser le loup s'installer durablement sur nos terres serait forcément la condamnation de l'agriculture familiale,  mise à l'honneur en cette année 2014, par les NATIONS UNIES.

Veuillez agréer Mme la Ministre de l'écologie, l’expression de notre reconnaissance ainsi que nos salutations respectueuses.


Cosignataires:
Association Éleveurs et Bergers du Vercors, Mme Annette Jouvent, secrétaire, 38680 Presles
Association Solidarité Pastorale, Jean Louis Fleury, 26460, Les Tonils
Fédération des Acteurs Ruraux, M. Christophe Gabert, 38850, Chirens
Association Le Cercle, Jean Claude Robert, 48150, Hures la Parade
Association, Éleveurs et Montagnes, Yves Louis Derbez, 04000, Dignes Les Bains
Association, Encore Éleveurs Demain, 55300 Troyon
Association pour l'Equilibre et le Développement du Massif Vosgien, Jean Marc Delcroix, 68610 Markstein
Association des Bergères et Bergers de Provence et des Alpes du Sud, Mathieu Erny, 04110 Aubenas-les-Alpes
Association des Amis de l'Aigoual,du Bougès et du Lozère, Gilda de Cumond, 48220, Le Pont de Monvert
Association Le Loup et les Indignés de l'Ubaye, Pierre Martin-Charpenel 04400 Barcelonnette
Association des Patres de Haute Montagne, Laurie Sixset, 09000 Loubières

lundi 1 décembre 2014

LOUP, MERCI Stéphane Blakowski et France Inter

UN PEU D'HUMOUR AU MILIEU DE LA DÉTRESSE DE CEUX QUI SUBISSENT LA PRÉDATION,
et pire, la vindicte d'une population qui n'accepte aucune des contraintes liées à la cause du loup!

version acoustiqueCE MATIN JE CRIE AU LOUP, SUR FRANCE INTER
3 petites minutes  pour comprendre avec humour et philosophie

Version littéraire:

Selon un sondage IPSOS de l'an dernier, 80 % des Français refusent qu'on tue des loups sous prétexte qu'ils bouffent les moutons. Quand un mouton se fait égorger, c'est le loup qui passe pour la victime. Autant dire que si La Fontaine avait écrit sa fable du "Loup et l'Agneau" à notre époque, c'est sans doute l'Agneau qui tiendrait aujourd'hui le rôle du salaud.

Qui te rend si hardi de fouler mon pâturage ?
Dirait l'agnelet plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.

- Sire, répondrait le Loup, que votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vais promenant,
Discrètement,
Plus de vingt pas au-dessous d'Elle,
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne fais de tort aux moutons

Évidemment, on imagine la réponse du mouton : « Si ce n'est toi, c'est donc ton frère », et Bam ! Il collerait une balle dans la tête du Loup sans autre forme de procès.
Dans le conflit ancestral qui oppose le loup aux moutons, les Français ont désormais pris le parti du loup. Faut reconnaître que c'est plus valorisant de s'identifier à un grand prédateur  plutôt qu'à un animal aussi grégaire, docile et inoffensif que le mouton.
Pourtant, nos vies ressemblent bien plus à celles des moutons qu'à celles des loups. Tous les matins, on part en troupeau jusqu'au boulot. Bien serrés les uns contre les autres dans le métro, ou collés pare-chocs contre pare-chocs dans les bouchons. Au bureau, on accomplit docilement notre tâche et le soir on rumine, on rumine, on rumine sans relâche nos soucis avant de s'endormir. Si on ajoute qu'une fois par trimestre on se fait tondre par les impôts, faut admettre que la vie de l'homme moderne est très proche de celle du mouton.

Sacré mouton ! Même s'il a la réputation d'être très con, on est tout de même étonné d'entendre bêler tout le troupeau pour prendre la défense de son ennemi héréditaire.
Faut dire qu'aujourd'hui, plus personne n'a peur du loup. Dans les histoires qu'on raconte aux enfants, les loups rêvent de devenir végétariens pour ne pas manger leurs copains les lapins.

La seule occasion de voir un loup en vrai, c'est quand on est vautré dans son canapé. À force de zapper, on tombe parfois sur un documentaire animalier où l'on voit une meute de loups qui dévore un cerf ou une biche. Dans ces cas-là, on frissonne un peu et puis on se lève pour aller prendre un yaourt dans le frigo. Parce que nous aussi on est des grands fauves, nous aussi, on a faim.
En fait, les grands prédateurs, on les adore à la télé. Sauf qu'en vrai, c'est une autre histoire. L'autre jour en Seine-et-Marne, il a suffi d'un gros chat pour semer la panique dans tout le département. Pour traquer le fauve, on a mobilisé une centaine de gendarmes, un hélicoptère, les enfants n'avaient plus le droit d'aller à l'école et les médias nationaux ont fait leur gros titres avec cette histoire. Mais quand près de 300 loups se baladent en France et tuent plus d'un millier de moutons par an (déjà plus de 8000 pour 2014 ndlr), on conseille aux bergers de garder leur sang-froid et de ne pas s'énerver pour si peu. Alors du coup, quitte à me mettre à dos 80% du troupeau, j'ai une pensée pour les bergers désemparés face aux attaques des loups.
Stéphane Blakowski
Une brebis rescapée et son berger



LOUP, HYBRIDES, LA MOBILISATION SE PRÉCISE

De plus en plus de pays se mobilisent ....
La Suède rejoint la France, la Suisse et l'Italie contre la protection des hybrides du loup et du chien.

18 000 personnes : "Folkaktionen Ny Rovdjurspolitiken Suède.

Une association apolitique de 18 000 membres qui regroupe sur toute la Suède : éleveurs, chasseurs, associations de propriétaires de chiens, agriculteurs et populations rurales.

D'autres pays vont venir grossir les rangs ....

Se joint également à cette requête : "L' Association des Pâtres de Haute Montagnede l'Ariège, France.
D'autres associations devraient rejoindre le mouvement.
- - - - - NON ! à la protection des bâtards du loup et du chien !!!!!

Pour la première fois, 
la France, la Suède, l'Italie et la Suisse protestent ensemble auprès des instances européennes.

D'autres pays vont suivre ...
Des éleveurs de la France, de la Suède, de la Suisse et d'Italie, soutenus par des scientifiques pastoralistes, des élus, des citoyens, des chasseurs et des avocats, se sont groupés pour envoyer une protestation aux instances européennes.
D'autres pays et collectifs vont se joindre au mouvement.
- - - - - - -
NON ! à la protection des bâtards du loup et du chien, qui sera proposée du 2-5 décembre prochains au comité permanent de Berne, Strasbourg.
Proposée par qui ? le LCIE ! (les "conseillers" aux instances européennes)

Attention !!!
 La France sera présente.

Ne lâchons pas la pression ...

vendredi 28 novembre 2014

LOUP, FERUS A BOUT D'ARGUMENTS

comme d'habitude, les plus intransigeants défenseurs du loup a tout prix sont a bouts d'arguments!

Remettons les pendules à l'heure, ad vitam eternam:

"Le loup n’est pas responsable des difficultés économiques"
Hors le loup s'attaque uniquement aux petits élevages respectueux , proposant des produits de qualité, dans le respect et la durabilité, souvent en commercialisation directe.
"L’agneau de Sisteron se porte bien. Tellement bien, que la progression continue,  ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."
Et oui, le loup participe au développement de l'élevage industriel!


"La France doit protéger le loup"
alors que l'union internationale pour la conservation de la nature, stipule que le loup en Europe et dans le monde est "least concern" moins préoccupante, 
En France, la population est classée "viable", donc "moins préoccupante" (LC) en principe ! mais le LCIE a inclut la population française dans une population Alpine qu'il classe "EN" (espèce en danger). pourquoi? Dans quel But?   passer outre le principe de subsidiarité?  de mélanger les populations?
source:
Bien que le loup gris soit toujours confronté à des menaces, son espèce est relativement répandue. La tendance à la stabilité de la population signifie que les espèces, au niveau mondial, ne répondent pas à l'un des critères pour les catégories menacées. Par conséquent, il est évalué comme Préoccupation mineure (LC) . 
Cependant, au niveau régional, plusieurs populations de loups sont gravement menacés. En Amérique du Nord, certaines des populations réintroduites sont toujours menacées; 
et en Europe    http://www.iucnredlist.org/details/3746/1 , http://www.iucnredlist.org/details/3746/3 , l'espèce est classée comme LC globalement  mais plusieurs populations régionales, telles que la population de l'Ouest-Alpes centrales, sont classées comme menacées d'extinction  ( http://www.lcie.org/ ). 


"Les citoyens ont leur mot à dire"
Mais lorsqu'ils aperçoivent un gros chat, il faut fermer les écoles, réquisitionner les hélicos, mettre l'armée sur le pied de guerre et trouver normal que les ruraux se débrouille seuls avec le loup, pieds et poings liés par les lois qui protègent les prédateurs!
Refaisons le sondage sans manipulations ""Etes-vous pour le maintien d'une population de loup sur l'ensemble du territoire, sachant que chaque citoyen, en âge légal de le faire, devra participer à son épanouissement en offrant une heure quotidienne de travail bénévole, y compris les jours fériés et les weekends,  le loup n'étant pas assujetti au code du travail !"
sondage IFOP septembre 2013 pour l’ASPAS et One Voice

Ce que les citoyens sont en droit de faire c'est d'exiger l'application de l'alinéa 8 de l'article L113-1 du code rural:
Par leur contribution à la production, à l'emploi, à l'entretien des sols, à la protection des paysages, à la gestion et au développement de la biodiversité, l'agriculture, le pastoralisme et la forêt de montagne sont reconnus d'intérêt général comme activités de base de la vie montagnarde et comme gestionnaires centraux de l'espace montagnard.
En conformité avec les dispositions des traités instituant la Communauté économique européenne, le Gouvernement, reconnaissant ces rôles fondamentaux de l'agriculture, du pastoralisme et de la forêt de montagne, s'attache à :
Assurer la pérennité des exploitations agricoles et le maintien du pastoralisme, en particulier en protégeant les troupeaux des attaques du loup et de l'ours dans les territoires exposés à ce risque.

En fait, au vue de toutes ces catastrophes qui assaillent le pays, les écologistes s'en donnent a cœur joie en stigmatisant la seule population qui impacte très peu la nature:
Elevage extensifs, en liberté, sans engrais, ni produits chimiques, mécanisation réduite au minimum, proposant des produits de qualité, dans la durabilité, la proximité et le respect, facilement traçable, souvent en commercialisation directe, créateur d'activité touristique familiale et raisonnable ne nécessitant pas de structures industrielle....
Contribuable écologistes, consolez vous, finalement vos impôts qui nous subventionnent, sont certainement mieux placés chez nous que dans n'importe quelle autre activité. Les autres contribuables le savent évidemment déjà, comme il est précisé dans le grenelle de l'environnement:
" Enfin, l’agriculture de montagne, avec un certain nombre de spécialités parmi les plus réputées, contribue au renom de la production agricole et alimentaire française et à la richesse nationale. 
Nul ne conteste l’intervention de l’Etat, puis celle de l’Europe depuis plus de 30 ans. L’approfondissement de la politique de développement durable apporte une nouvelle légitimité aux aides à la montagne, qui « rémunèrent » les externalités positives de l’entretien de la nature, de la biodiversité et des paysages par l’agriculture ..."

LOUP, HYBRIDES? OU EN EST ON?

Voici une petite récapitulation de ce qui se fait en France et en Europe pour contrer la folie des financiers qui se cachent derrière la protection de la nature!

DANS L'ORDRE DE PUBLICATION/ sauf erreur de ma part? avec des extraits de chaque publication:

LE LOUP DES VOISINS
"... L'hybridation entre différentes espèces, ou entre individus appartenant à des sous-espèces de la même espèce, se produit dans la nature depuis des temps immémoriaux. Quand elle est causée par l'intervention de l'homme, l'hybridation peut produire des individus susceptibles d'avoir un impact sur les animaux sauvages correspondants ou sur les activités humaines qui se déroulent en milieu anthropisé. C'est le cas de l'hybridation entre loup et chien.

LE LOUP DANS LE HAUT DIOIS:
Les apprentis sorciers s'apercevant qu'ils ne maîtrisent rien, essayent aujourd'hui de réparer leurs incompétences par le biais de la modification de la convention de BERNE, sur le dos du pastoralisme, comme il se doit, mais aussi sur celui de la biologie et de la sécurité publique. Mais, comme dit le proverbe, quand on aime on ne compte pas!

Si cette modification est adoptée, elle devient transposable immédiatement dans la directive habitat et ne pourra plus être retirée.  5 mois après la signature pour la cohabitation par les syndicats qui s'engagent à respecter et appliquer cette directive habitat!

LE MONDE DES PYRÉNÉES/ 
Face à la prolifération des loups, essentiellement hybrides, en Europe, les apprentis sorciers tentent de de couvrir leurs méfaits ayant conduit à la prolifération incontrolable de ce prédateur. Compte tenu du développement de la contestation des populations humaines hostiles au loup dans pratiquement tous les pays d’Europe et d’une volonté d’éliminer ces loups dont, dans de nombreux cas, les origines proviennent d’élevages prévus à larecommandation n°17 de la Convention de Berne non reprise dans le projet de recommandation de conservation des hybrides, certains fanatiques de l’ensauvagement des territoires tentent de renforcer leurs actions par une nouvelle recommandation de la Convention de Berne qui constituerait un arrêt de nombreuses activités humaines. Mais à quel coût humain, social, économique et environnemental ? Quel avenir pour la notion de développement durable ? Est-ce vraiment compatible avec les objectifs d'origine prévus dans cette convention notamment son article 2 ?

FÉDÉRATION DES ACTEURS RURAUX/
5) l'administration semble avoir été au courant dès le début car il suffit de lire la convention de berne pour s'en douter, la collaboration avec le corpo forestale et les équipe de Boitani semble accréditer les certitudes sur une connaissance il y a plus de 20 ans par l'administration française de la pollution des populations de loup par des batards, pour la ligné italienne, mais aussi pour d'autres qui ne sont donc pas protéger.

ÉLEVEURS ET BERGERS DU VERCORS/
Nous sommes consternés d'apprendre les propositions visant à clarifier les dispositions et obligations de la Convention de Berne (art. 6) et à accorder, dans les législations nationales, un niveau de protection aux "hybrides du loup et du chien" équivalent à celui du loup.

A savoir ; le projet de classer les hybrides en protection stricte pour la majorité des pays signataires

Encore une fois, les propositions ont été réalisées avec la collaboration des spécialistes partiaux du LCIE qui, jusque-là, ont pourtant montré toute leur incompétence à gérer l'impossible cohabitation entre loups et élevages extensifs, y compris le problème incontournable d'hybrides en zones pastorales.

L’Union internationale de conservation de la nature (UICN) et le lobby européen en faveur des grands carnivores (LCIE) veulent étendre la protection du loup aux hybrides, autrement dit aux loups chiens et chiens loups.  Comment y parvenir ? Tout simplement en modifiant  la Convention de Berne portant sur la protection des espèces sauvages. Un projet de modification écrit sous leur dictée sera en effet présenté au Comité permanent de la Convention de Berne, qui doit se réunir du 2 au 5 décembre prochain à Strasbourg.
L’affaire serait passée inaperçue sans la vigilance du réseau des éleveurs
Pourquoi une telle précipitation ? Parce que l’imposture commence à être dévoilée : les loups qui recolonisent l’Europe ne sont pas sauvages, mais de vulgaires hybrides. Non pas issus du croisement entre espèces naturelles (comme le coyote et le loup donnant le loup rouge aux Etats-Unis), mais du croisement entre une espèce sauvage et une espèce domestique.  Ces hybrides sont donc pollués génétiquement, comme l’est le « cochonglier »  issu d’un porc domestique et d’un sanglier. 

Vendredi 28 novembre, à 17h, les éleveurs et bergers tiennent une conférence de presse exceptionnelle réunissant en urgence et pour la première fois tous leurs représentants à la Maison Régionale de l'Elevage;
Du 2 au 5 décembre, sera étudié à Strasbourg un projet d'extension du statut de protection de la Convention de Berne aux hybrides du loup. Les éleveurs demandent l'abandon immédiat de ce projet mené sans concertation, dans le plus total déni démocratique. Contraire à la défense de la biodiversité, il constitue une menace inacceptable pour l'élevage. On sait que ces hybrides attaquent davantage les élevages et peuvent même être dangereux pour l'homme.

je constate tout d’abord que cette recommandation est en totale contradiction avec l’annexe de la recommandation 17 de la Convention de Berne : « les populations de loups se sont peu à peu différenciées en sous-espèces qui sont génétiquement adaptées aux différents types d’environnement. Il est capital que ces populations locales soient maintenues à l’état sauvage dans leur milieu naturel. »
L’Italie, où l’hybridation est déjà bien présente, a constaté des comportements de prédateurs déviants et encore plus agressifs que les loups purs. Il sera par ailleurs concrètement impossible de déterminer et donc de surveiller un degré de croisement entre les espèces. Cette modification reviendra donc à terme à protéger également les loups et les chiens errants.
ÉLEVEURS ET MONTAGNES/
Vendredi 28 novembre, les éleveurs ont tenu une conférence de presse exceptionnelle, en présence des organisations et associations suivantes :
Association Eleveurs et Montagnes, Fédération Nationale Ovine, Fédération Régionale Ovine Sud-Est, Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles, Jeunes Agriculteurs PACA, Confédération paysanne, Coordination rurale, Associations des Bergers de Provence et des Alpes du Sud, Chambre régionale d'agriculture PACA, Maison régionale de l'élevage et avec le soutien total de ceux qui sont trop loin pour être présents: le CNRH, l'Association Le Cercle, Jean Lassalle, président de « Des racines et des Hommes » et José Bové, député européen EELV. 

Nous demandons la mise à disposition publique des analyses génétiques et de toutes les données scientifiques permettant de justifier qu'il s'agit de loup ou non. Nous demandons la transparence totale sur l'analyse de référence permettant de prétendre qu'il s'agit d'un loup italien.
Nous exigeons la même transparence sur le loup italien. Nous demandons la réhabilitation des chasseurs et des éleveurs qui, dans le passé, ont été condamnés.


HAUTES PROVENCE/
"Aujourd'hui le loup est dans toute la France, et les éleveurs, sont tous solidaires, car si cela continue il n'y aura plus de mouton, plus de berger, et toute une filière va disparaître", a expliqué Francis Soldaprésident de la FROSE (Fédération Régionale Ovine Sud-est).  Leur crainte va au-delà aujourd'hui et un texte européen pourrait accroître leurs problèmes.
En effet, le Comité Permanent de la Convention de Berne qui se tiendra à Strasbourg du 2 au 5 décembre, étudiera un projet d'extension de la convention sur les croisements entre les loups sauvages et les chiens, les loups hybrides. C'est-à-dire que les loups hybrides seraientprotégés, au même titre que les loups sauvages.

FEDERATION DES ACTEURS RURAUX/
Il est donc évident que si ce texte est adopté, il n'y aura qu'un seul et unique article qui sera applicable, l'article 4, qui donnera aux « croisés » une protection égale à celle du loup aujourd'hui. Ce sera une épine de plus dans le pied des éleveurs et des bergers, qui n'auront désormais plus le droit de se défendre contre les attaques de canidés qui ne sont pas des loups, de peur que après analyses, on puisse déceler un « gène  »qui les classeraient immédiatement: hybrides protégés .

A SUIVRE



lundi 24 novembre 2014

LOUP, AU CANADA COMMENT ÇA SE PASSE?

Samedi dernier, à la poste, j'ai entendu des gens bien informés, dire que la cohabitation avec le loup était exemplaire au Canada, qui je le précise ne compte que 4 h au KM². Ceci pourrait expliquer cela!

Mais il en est tout autrement, quoiqu’en disent les colporteurs de la bonne parole, dans le but de discréditer les éleveurs et bergers Français confrontés a la prédation


"Depuis 2005, dans le nord-ouest de la province, des loups ont été tués en masse pour protéger les quelque 70 caribous de la harde de Little Smoky qui ont survécu au développement forestier et pétrolier de la région. En 2012, 841 loups ont été empoisonnés ou abattus d'un hélicoptère.



Dave Hervieux, un des auteurs de l'étude, estime toutefois que sans cet abattage sélectif des loups, les hardes de caribous seraient sûrement disparues depuis longtemps. Il précise que la restauration de leur habitat pourrait prendre jusqu'à 30 ans."
http://www.lapresse.ca/environnement/especes-en-danger/201411/23/01-4821764-tuer-des-loups-ne-protegera-pas-les-caribous-a-long-terme.php

L’Alberta a tué environ 1000 loups depuis 2006 à Little Smoky, le territoire d’un troupeau de caribous dans le centre-ouest de la province. Environ 95% de l’habitat de ce troupeau a été perturbé par des activités industrielles, ce qui expose l’animal aux attaques des loups.
Selon les scientifiques, plusieurs générations seront nécessaires pour repeupler ces aires de répartition. Le seul moyen d’y parvenir est d’empoisonner les loups ou de les abattre par hélicoptère.
http://journalmetro.com/actualites/national/698017/sus-aux-loups-en-alberta-dit-une-note-interne/

Au canada des environnementalistes qui ont le's pieds sur terre:
Le groupe environnementaliste et de protection de la faune Wildsight appuie un controversé projet d'abattage de loups dans les montagnes de South Selkirk et dans la région de South Peace, en Colombie-Britannique.
http://ici.radio-canada.ca/regions/colombie-britannique/2015/01/26/002-loups-projet-abattage-caribous-montagnes-kootenay.shtml

Le territoire en question est l'objet d'une forte industrialisation qui finira certainement par détruire aussi les caribous, mais en attendant les autorités ont choisit des les protéger aux dépends du loup, contrairement à l'état Français, aidés par les écologistes, qui ont choisit de sacrifier le pastoralisme sur l'autel du loup!
Que ce soit dans n'importe quel pays, la cohabitation pose des problèmes dés que les activités humaines sont nécessaires, alors que dire de la cohabitation en France ou la densité de la population est  30 fois supérieure à celle du Canada!


mercredi 19 novembre 2014

LOUP, LES APPRENTIS SORCIERS ESSAYENT DE CORRIGER LEURS ERREURS



Les apprentis sorciers s'apercevant qu'ils ne maîtrisent rien, essayent aujourd'hui de réparer leurs incompétences par le biais de la modification de la convention de BERNE, sur le dos du pastoralisme, comme il se doit, mais aussi sur celui de la biologie et de la sécurité publique. Mais, comme dit le proverbe, quand on aime on ne compte pas!

Extrait de : Hybrid project
4 - [...] d’accorder dans la législation nationale aux hybrides du loup et du chien présents dans la nature, là où le loup bénéficie d’une protection spéciale en vertu de l’Article 6 de la Convention, un
niveau de protection équivalent à celui du loup contre les abattages, la capture et les autres
agissements interdits par l’Article 6, indépendamment de l’élimination prudente, sous le contrôle
du gouvernement, de tels hybrides qui vivraient dans les populations sauvages du loup.

Si cette modification est adoptée, elle devient transposable immédiatement dans la directive habitat et ne pourra plus être retirée.  5 mois après la signature pour la cohabitation par les syndicats qui s'engagent à respecter et appliquer cette directive habitat!

En effet, tous ces gens bien intentionnés, s'aperçoivent qu'ils ne possèdent pas la base génétique permettant d'identifier un loup de race pure!

Ceci s’explique par le fait que la base génétique a été extraite de la centaine de loups peuplant le sud italien, à l'époque fortement infestée de chiens errants, et donc soumise à l'hybridation. Cette soi-disant référence génétique pour différencier un hybride d'un loup "pur", est en fait à coup sûr, comme l'indique "monsieur loup", L.Boitani, une référence tronquée, comprenant déjà des gènes d'hybridation. Le problème des "apprentis sorciers" étant aujourd'hui que : c'est cette base génétique issue de loups vivant dans un espace restreint et dont le niveau d'hybridation était considérée comme le premier facteur de risque sur l'avenir de l’espèce pure, qui a donné la totalité des loups de France, de Suisse et d'Italie, que nous connaissons actuellement.

Qu'à cela ne tienne, il s'agit maintenant de renier tout ce qui était les uniques raisons de la protection de la souche pure de l'espèce, histoire de continuer de faire joujou avec le loup, mais aussi avec les subventions.
Majorant de fait la pression exercée sur le pastoralisme et le maintien de la vie rurale, par, disons-le maintenant, des loups hybrides, voire des chiens hybrides!

La finalité, en contradiction totale avec les précédents alinéas de la convention de Berne et incompréhensible sur le plan biologique, étant de changer cette convention de Berne, afin de sur protéger, à l'identique du loup, une entité qui a fortement contribué à faire accepter la protection du loup. Une entité dont les textes  aujourd'hui,   et jusqu'au changement demandé, ordonnent d’éviter son existence et d'assurer son élimination. Une finalité pour convaincre les militants manipulés de protéger, non plus le loup, mais les multiples hybrides. Reste à savoir dans quel but? Question que ne se poseront pas les futurs défenseurs des chiens hybrides, habitués qu'ils sont à relayer la bonne parole de leurs gourous, sans se poser la question, la seule et véritable question: DANS QUEL BUT?

Bref, on ouvre une nouvelle polémique en prônant la protection des Hybrides. Risque se voulant aujourd'hui inexistant, alors qu'il a été la première marche de la mise en place de la vertueuse protection des loups de souche pure, en argumentant qu'il était impératif d’éviter cette hybridation.

En conclusion, il serait équitable de réhabiliter tous ceux qui ont été condamné pour avoir tué des hybrides, car il s'avère aujourd'hui que la défense du loup sauvage n'a jamais eu lieu d'être.

EXEMPLE TYPE DE CE QUI LEUR FAIT PEUR :

Après une instruction qui a duré plus de 15 jours, le procès des 15 chasseurs s'ouvre en Finlande.
Les chasseurs sont accusés d'avoir tué 3 loups.

La défense prétend que les canidés tués n'étaient pas des loups mais bien des hybrides et donc pas davantage protégés qu'un chat haret (!)

Cette semaine le procureur présente les témoins à charge et leurs preuves du 17 au 20 nov.La semaine prochaine ce sera le tour de la défense.
D'après les experts sollicités par la défense, on ne peut pas se fier aux 400 échantillons ADN dont disposent les autorités.

Le Procureur déclare que les données de comparaison d'ADN sont fiables et qu'elles correspondent bien à l'ADN des animaux tués.
Mais les avocats des prévenus ont demandé des informations complètes sur les échantillons (ex :phénotypes correspondants) et les autorités ont annoncé qu'elles ne disposent pas de telles données !

Depuis l'instruction, à la grande surprise, le procureur demande des peines bien moins lourdes que celles requises au départ - emprisonnement avec sursis (au lieu de 5, 6 ans de prison ferme), des amendes et 6 années d'interdiction de chasser.

La défense s'efforcera d'obtenir des peines encore plus clémentes.

2 articles de presse d'aujourd'hui.

http://online.vasabladet.fi/Artikel/Visa/45013

http://svenska.yle.fi/artikel/2014/11/17/jagade-de-varg-eller-hundvarg



Quel avenir pour le loup-chien d'Europe ?

"... L'hybridation entre différentes espèces, ou entre individus appartenant à des sous-espèces de la même espèce, se produit dans la nature depuis des temps immémoriaux. Quand elle est causée par l'intervention de l'homme, l'hybridation peut produire des individus susceptibles d'avoir un impact sur les animaux sauvages correspondants ou sur les activités humaines qui se déroulent en milieu anthropisé. C'est le cas de l'hybridation entre loup et chien.



Face à la prolifération des loups, essentiellement hybrides, en Europe, les apprentis sorciers tentent de de couvrir leurs méfaits ayant conduit à la prolifération incontrolable de ce prédateur. Compte tenu du développement de la contestation des populations humaines hostiles au loup dans pratiquement tous les pays d’Europe et d’une volonté d’éliminer ces loups dont, dans de nombreux cas, les origines proviennent d’élevages prévus à la recommandation n°17 de la Convention de Berne non reprise dans le projet de recommandation de conservation des hybrides, certains fanatiques de l’ensauvagement des territoires tentent de renforcer leurs actions par une nouvelle recommandation de la Convention de Berne qui constituerait un arrêt de nombreuses activités humaines. Mais à quel coût humain, social, économique et environnemental ? Quel avenir pour la notion de développement durable ? Est-ce vraiment compatible avec les objectifs d'origine prévus dans cette convention notamment son article 2 ?

Refus du classement des Bâtards

5) l'administration semble avoir été au courant dès le début car il suffit de lire la convention de berne pour s'en douter, la collaboration avec le corpo forestale et les équipe de Boitani semble accréditer les certitudes sur une connaissance il y a plus de 20 ans par l'administration française de la pollution des populations de loup par des batards, pour la ligné italienne, mais aussi pour d'autres qui ne sont donc pas protéger.



Nous sommes consternés d'apprendre les propositions visant à clarifier les dispositions et obligations de la Convention de Berne (art. 6) et à accorder, dans les législations nationales, un niveau de protection aux "hybrides du loup et du chien" équivalent à celui du loup.

A savoir ; le projet de classer les hybrides en protection stricte pour la majorité des pays signataires

Encore une fois, les propositions ont été réalisées avec la collaboration des spécialistes partiaux du LCIE qui, jusque-là, ont pourtant montré toute leur incompétence à gérer l'impossible cohabitation entre loups et élevages extensifs, y compris le problème incontournable d'hybrides en zones pastorales.