BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

vendredi 23 janvier 2015

LOUP ET ELUCUBRATION

Suite a l'attaque qui s'est produite dans le Toulois:
http://www.estrepublicain.fr/economie/2015/01/22/cinq-brebis-egorgees-dans-le-toulois

Le maire Christian Huin est plus circonspect : « Ma principale préoccupation est la sécurité des habitants. Si c’est un loup, les spécialistes disent qu’ils n’attaquent pas les hommes. Mais s’il s’agit d’un chien errant sauvage, c’est beaucoup plus dangereux pour l’homme ».

Que votre maire se rassure, ces mêmes spécialistes confirment qu'il n'y a pas de chiens ensauvagés en France : "Un chien errant est un chien retourné à l’état sauvage et n’ayant pas ou plus de maître. En France, il n’y a pour ainsi dire aucun chien errant". dixit  Le site de l'État consacré au loup.
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/04/chiens-divagants-ou-loups.html

En général, ce sont les écologistes farouches défenseurs du loup qui tiennent de tels propos!

D'ailleurs, je lui propose de lire l'article :

LOUP ET PRÉDATEURS, MOBILISATION DES ELUS


Et aussi  les avertissements que les élus et responsables outre atlantiques proposent à leur population:
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/06/le-camping-pour-proteger-le-troupeau.html

Ces mêmes écologistes qui ont proposé de protéger les hybrides chiens/ loups/chiens au même niveau, tout en sachant que ces hybrides sont plus dangereux et difficiles a gérer que les loups. Et tout en sachant aussi, qu'il n'y a plus de loup de souche pure depuis belle lurette, ceci expliquant cela.

http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2014/11/loup-hybrides-ou-en-est-on.html

http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/12/loup-hybrides-meme-statuts-hyper.html

http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2014/12/loup-hybrides-la-mobilisation-se-precise.html

lundi 19 janvier 2015

LOUP ET PRÉDATEURS, MOBILISATION DES ELUS

L'association Eleveurs et Montagnes mobilise depuis le mois de décembre les élus départementaux autour de la question du loup.
Ainsi, les maires, députés, conseillers généraux des Alpes de Haute Provence ont été appelés à se prononcer sur le texte suivant :

Texte a télécharger et a proposer a vos conseillers et élus



"Les élus de
Mobilisés autour des difficultés rencontrées par l'élevage de plein air face aux loups, et par conséquent inquiets de l'impact sur toute l'économie des territoires montagnards et ruraux, affirment leur pleine solidarité à l'élevage et à aux acteurs économiques de la ruralité ;
Convaincus que :
• L'élevage pastoral est nécessaire pour l'économie des territoires de montagne et ruraux,
• Le maintien du pâturage est le gage de l'entretien des paysages et de la préservation de la biodiversité,
• L'élevage pastoral répond aux nouvelles attentes des consommateurs en termes de proximité, qualité, lien au terroir, sécurité alimentaire et sanitaire.
Font le constat que :
• Les pertes directes et indirectes sur les troupeaux sont lourdes dans toutes les zones de présence du loup et deviennent inacceptables,
• Les moyens de protection sont de moins en moins efficaces face à des loups qui s'adaptent et ne craignent plus l'homme,
• Les chiens de protection, imposés en raison de la présence des loups, deviennent une contrainte majeure pour la fréquentation de la montagne et l'économie touristique, avec de forts conflits d'usage avec les autres activités.
Refusent :
• l'abandon et l'ensauvagement de leurs territoires
• que la responsabilité pénale des problèmes pouvant résulter des chiens de protection retombe sur les éleveurs
• Le principe de protection des hybrides du loup de souche italienne présent en France qui constituerait une menace pour la survie de l'élevage ;
Affirment :
• La nécessité de faire connaître la réalité du problème du loup et de la souffrance des éleveurs
• Notre choix pour des montagnes et des territoires ruraux vivants
Prenons note des nouvelles orientations affirmées par la Ministre de l'Ecologie facilitant les tirs de loups ;
Mais exigent :
• le respect du travail et de la vie de tous les éleveurs confrontés au loup
• aux pouvoirs publics de représenter les éleveurs et de protéger leur activité et la qualité de leurs produits
• une régulation opérationnelle du loup avec des moyens adaptés et obligation de résultat, avec une réactivité réelle des pouvoirs publics prenant en compte les situations de détresse locale. Ces décisions pourraient être prises au niveau local en mobilisant notamment les chasseurs, et appelées à se traduire en plan de chasse, et dont la charge ne repose pas sur les seuls éleveurs ;
• un déclassement du loup de la Convention de Berne et de la Directive Habitat, de façon à sécuriser le cadre juridique facilitant la régulation des loups."


dimanche 11 janvier 2015

ENCORE ÉLEVEUR DEMAIN ?

ENCORE ÉLEVEURS DEMAIN

UNE ASSOCIATION

POUR LA DEFENSE DES ELEVEURS,
LA SAUVEGARDE DE L’ELEVAGE ET
L’EXPRESSION DE LA RURALITE





Que réflexion, réactivité et solidarité 
animent notre action en faveur 
des éleveurs, de l’élevage et de la ruralité 
en 2015 

Tous nos vœux pour vous et pour vos proches 

Pour ENCORE ÉLEVEURS DEMAIN 
Le conseil d’administration 

FACE AUX PREDATIONS

Depuis le 14 octobre 2013, la Meuse a connu :

-         58 attaques de prédateurs

-         28 éleveurs attaqués

-         138 ovins tués ou euthanasiés

-         144 ovins blessés

et plusieurs centaines de brebis ou agnelles stressées, affolées en période de reproduction
engendrant avortement précoces, infécondité ou retard de production

-         2 veaux charolais tués

-         2 mères allaitantes blessées

et la multiplication des divagations d’animaux

Triste bilan partagé avec les Vosges (montagne et plaine), la Haute-Marne,
 l’Aube, la Moselle et, plus récemment, la Meurthe et Moselle

Pour information, les deux dernières attaques ont eu lieu, en Meuse,
dans les nuits de dimanche 4 à lundi 5 et de lundi 5 à mardi 6 janvier
chez un jeune éleveur à Tremont sur Saulx (sud ouest de Bar le Duc)
dans un secteur jusqu’alors épargné.


Pour contacter l’association :

ENCORE ÉLEVEURS DEMAIN

encore-eleveurs-demain@orange.fr

samedi 3 janvier 2015

DÉFENSEURS DU LOUP ET BERGERS, ENTRE INCOMPRÉHENSION ET COLÈRE

DÉFENSEURS DU LOUPS ET BERGERS, ENTRE  INCOMPRÉHENSION ET COLÈRE

Une tout petit échantillon de l'état d'esprit des défenseurs du loup qu'on me reproche de citer, car politiquement incorrect, mais qu’aucune instance scientifique, politique ou associative ne condamne!


"Seulement je ne crois pas que le retour au monde naturel reviendra. Pas avec 8 milliards d'êtres humains qui consomment chaque jour un peu plus et continuent à se reproduire comme des rats!"
Ben perso je dis que si on doit mettre quelqu'un en cage, c'est l'homme.


Vous êtes des crétins. ...Si il fallait éradiquer une espèce, ce ne serait pas le loup, présent depuis bien plus longtemps qu'eux, qu'il faudrait viser. (Guanfei dans: 

http://www.laprovence.com/article/actualites/2483472/alpes-impuissants-face-au-loup-les-eleveurs-a-bout-de-nerfs.html




Le débat est tellement viscéral avec les éleveurs "anti-loups" gorgés de passion et d'obscurantisme que la teneur de ce document ne les tirera pas vers le haut.
signé: paysan naturaliste, éleveur, berger pro-loup,


les éleveurs crient aux loups car l'indemnisation fait partie maintenant de leurs revenus habituels
Je suis certain pour ma part que les 2/3 des 2 millions d'euros (!!) versés font suite à des arnaques 

"Pour toucher les subventions, le soir ils enferment les brebis dans les enclos, et mettent une bête malade, vieille dehors. Le loup vient naturellement tuer la brebis Le lendemain ils appellent pour établir la demande de subvention."

Monsieur, c'est vous et vos congénères humains qui n'avez rien à faire dans les campagnes car il ne faut pas oublier que c'est l'homme qui squatte le territoire du loup.....



tout ces propos ne servent qu'a stigmatiser la population, qui quoique'en disent les écologistes, est la seule à participer physiquement, financièrement et moralement à la cohabitation impossible!  


    Ce sont ces propos diffamatoires, blessants et inadmissibles qui, en 2012, m'ont décidé à entreprendre le rétablissement de la vérité : toute cette haine a été le détonateur qui m'a transformé en Ouragan!


   Toutes les diffamations, proférées au nom des prédateurs, renvoient à leur condition les éleveurs traditionnels qui ont été les seuls à essayer de vivre en harmonie avec la nature, abandonnés de toute la population qui à fui la campagne pour se réfugier dans le soit disant "confort des villes". Certes, les ruraux ont commis des erreurs, livrés à eux-mêmes, abandonnés des institutions, montrés du doigt par les bien-pensants. Ils se sont laissés quelquefois appâter par le miroir aux alouettes....



   Lorsque je me suis installé en Septembre 1975, dans le Haut Diois, dès le printemps, le voisin, ancien immigré Italien, ayant fui Mussolini, ayant été jusqu’à cacher des armes pour les partisans au péril de sa vie et de celle de sa famille, ayant perdu un enfant dans la misère et l'abandon de la population locale méfiante envers "l'ennemi italien", ce voisin donc, est venu chez moi avec un sac de 50 kg de patates et m'a dit "tu me rendras la semence".

 Paix à ton âme, Voisin, l'émotion me serre le cœur en y repensant.

     Aujourd'hui, que devrais-je dire à ses 2 fils, tous deux revenus à la ferme avec leurs parents, dans les années 70, après leurs études?  Ils subissent fréquemment des attaques.
    L'aîné a jeté l'éponge en 2013, après que sa compagne se soit vue dans l’obligation de passer le permis de chasse pour la garde armée du troupeau! Un de ses neveux a passé les trois mois d'été dans sa voiture, fusil à l'épaule, pour protéger ses brebis.

    Aujourd'hui on me demande de ne pas instrumentaliser le problème du loup?


    Que dois-je dire à ceux qui subissent les prédations dans le mépris de ceux qui savent
?
    Qu'ils ont tout faux?, que la biodiversité c'est désormais l'affaire d'écologistes qui se réveillent en se prenant pour le "peuple élu", chargé de réparer les erreurs humaines? Que leurs terres conviennent à un ensauvagement propice à l'épanouissement du loup et de l'ours? Que tout le travail pour maintenir une activité reconnue d’intérêt général par le parlement Européen devient obsolète car le loup était là avant eux?
    L’Europe est en train de leur interdire la distillation de la lavande qu'ils assument eux-mêmes, en complément de l'élevage.

    Que dois-je leur dire? 

    Que dois-je dire à leurs enfants qui se jettent en pleurs dans mes bras lors de rassemblements solidaires après les attaques?
 

"Késauvé", brebis que les enfants de l'éleveur n'ont pas voulu euthanasier suite a une attaque en novembre 2012.  Elle a mis bas d'un beau petit agneau malgré sa boiterie!

    Que dois-je dire aux épouses qui trouvent la force de lutter en tremblant pour leur progéniture? Et à celle qui partent, car la vie devient impossible?


   Sinon me battre pour qu'ils puissent continuer, eux, à s'épanouir sur leurs fermes et  leurs terres!

   Me battre car je n'ai pas d'autre choix, ma conscience ne me le permettrait pas. Me battre contre ces fous qui n'ont jamais abordé la question de la cohabitation, de la détresse, du désespoir qu'engendrent leurs fantasmes!
   Me battre contre les instances, scientifiques, politiques ou environnementales, qui sous couvert de biodiversité, délocalisent dans le monde entier des autochtones   pour s'approprier leurs territoires parce qu'ils ont su les conserver riches en biodiversités.


Eleveur spécialisé dans la chèvre alpaga en France, dans le diois, il a pris sa femme et ses enfants pour vivre une autre vie après des attaques à répétitions et ce malgré la mise en place des mesures de protection. 

    Moi-même,  j'ai débuté avec 40 chèvres traites à la main pendant des années. J'ai hérité d'une ferme sans fenêtre, ni eau, ni électricité, de champs abandonnés depuis plus de 20 ans, que les pins avaient plus que commencé à envahir, qu'il a fallu défricher, remettre en état...



 J'avoue que j'aurais du mal à être obligé de partir pour laisser la place au loup! Aujourd'hui à la retraite, la structure caprine et fromages en commercialisation demi gros, chez des fromagers du 06 d'où je suis originaire a été transmise à des jeunes du village voisin qui tremblent pour leurs avenir, car une attaque pourrait compromettre l'ensemble de l'activité en cas de perte de lactation due au stress.
   Actuellement, il me reste des poneys de trait avec lesquels je fais mon maraîchage et divers petit travaux de ferme. Poneys qui ne peuvent plus rester en liberté après la journée de travail car victimes des loups !



      Je n'ai jamais adhéré à aucun syndicat (qui soit dit en passant ont pris le train en marche depuis peu par rapport au loup) et ne suis sûrement pas doué pour dépassionner les débats alimentés par la haine des associations pro-loup, dont vous trouverez de nombreux exemples sur mon blog!


    J'ai cru moi aussi à la cohabitation, mais plus aujourd'hui, après 20 ans de mensonges, de diffamations et d'animosité dirigée contre le monde rural à qui on n'a jamais demandé son avis. Non, aujourd'hui, ce ne sera plus possible. Le pire étant les sous-entendus relatifs aux dédommagements, sous entendus qui nous poussent à vouloir l'éradication du loup afin de faire cesser cette ignominie. Car sachez-le : nous culpabilisons à l'idée de toucher cette indemnité. Nous culpabilisons une fois parce que nous n'avons pas su protéger nos animaux, nous culpabilisons une deuxième fois de toucher de l'argent qui serait mieux employé ailleurs, et nous culpabilisons une troisième fois car cet argent ne nous sauvera pas de cette idée du tout sauvage qui anime les écologistes desquels beaucoup d'entre nous étions proches, au Larzac ou à Malville....Cet argent qui sert à acheter la cohabitation!


photo confédération paysanne http://rhone.confederationpaysanne.fr/gerer-le-foncier-autrement_409.php

    Aujourd’hui, ils prônent de dépassionner les débats, mais cette phrase, qui n'a besoin d’être reliée à aucun contexte pour dire ce qu'elle veut dire:
 "Le débat est tellement viscéral avec les éleveurs "anti-loups" gorgés de passion et d'obscurantisme que la teneur de ce document* ne les tirera pas vers le haut."
   Cette phrase, et tous les commentaires ci-dessus, reflètent la réalité de la confrontation avec des écologistes, partisans de la pensée unique, coupés de la réalité, se trompant d'ennemi en stigmatisant les derniers hommes qui vivent de et en accord avec la nature.

Ouragan 

*voir le document de propagande idéologique en rien scientifique 

" Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"
 
Et pourtantEn France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air. cnrs
80% des zones riches en biodiversité de la planète sont les territoires de communautés autochtones! 

la propagande scientifique:

PRÉDATION, POURQUOI LES GRANDS CARNIVORES FONT L’UNANIMITÉ DES MÉDIAS ?


La propagande associative:

La propagande politique:
https://workspaces.acrobat.com/app.html#d=*sBgkrdTyWOi30Bm*aEmtQ

World Wide Fund, LA FACE CACHEE DU FOND pour LE MONDE SAUVAGE









dimanche 21 décembre 2014

PRÉDATION, POURQUOI LES GRANDS CARNIVORES FONT L’UNANIMITÉ DES MÉDIAS ?

 L'ENSEMBLE DES MÉDIAS SE PRÉCIPITE POUR DIFFUSER TOUS EN MÊME  TEMPS  UN ARTICLE ECRIT PAR LES "SCIENTIFIQUES ENSAUVAGEURS!"



Personne ne se pose la question de savoir pourquoi?

Personne ne se demande comment cela est il possible?

Quelles sont les raisons d'une telle solidarité de la presse ennemie?

A noter toutefois que en fonction de leur tendance, chacun y met sa propre nuance, mais tous le monde se garde bien de publier la vérité!

"La présence de cerfs et de sangliers, dont ils se nourrissent, a favorisé le renforcement de la chaîne alimentaire, évitant ainsi aux prédateurs de s'attaquer aux cheptels"  sur l'express

"Plusieurs facteurs peuvent expliquer ce regain de vitalité des grands carnivores européens. Les politiques de conservation, en premier lieu, mais également le repeuplement des cervidés. Les cerfs, sangliers et autres daims sont, en effet, plus nombreux. Cela a deux effets : plus de nourriture pour les carnivores, qui dès lors s’attaquent moins aux cheptels."  sur RFI

 «Les grands prédateurs peuvent être des voisins assez dérangeants. Ce n’est pas toujours une coexistence à l’eau de rose.» «En Europe le loup vit dans des régions avec une densité humaine moyenne de 37 habitants au km²», explique Guillaume Chapron. Les grands prédateurs ne vivent pas forcément dans des zones désertiques, «ils s’installent s’ils trouvent des proies sauvages et ne sont pas persécutés». sur Libération

"La restauration des populations d'ongulés sauvages – cerf, chevreuil, daim, mais aussi sanglier, chamois ou bouquetin – qu'ils se mettent sous la dent bien davantage que les cheptels domestiques." sur le monde


Ont ils publiés sous la contrainte? Ou les fonds pour la propagande du tout sauvage sont ils illimités? 


attaques sur les troupeaux domestiques (ovins, caprins, bovins, équins, chiens...)

 le loup, comme tous les prédateurs, frappe toujours le maillon faible de la chaîne alimentaire ; c’est pour ça que quelque soit le nombre d'ongulés sauvages et surtout de sangliers dont il a peur, le loup préfère toujours les brebis, les chèvres, les chevaux et les bovins (quand ce ne sont pas les chiens).

Comme indiqué dans toutes les observations et en contradiction totale avec ce que veulent nous faire croire les défenseurs du loup: "Nous nous sommes ainsi rendu compte en étudiant l'impact du loup sur les mouflons que ce dernier était particulièrement sensible à la prédation du loup, contrairement aux autres ongulés de montagne[...]Nous avons remarqué que les mouflons peuvent rester vingt minutes la tête dans l'herbe à brouter sans regarder autour d'eux. Il est donc bien plus facile à un loup de s'en approcher et de les capturer que cela ne l'est dans le cas du chamois qui, lui, relève la tête régulièrement pour surveiller les alentours." Les mouflons sont issu d'un croisement avec le mouton[....]le nombre de mouflons a fortement baissé,[....], nous avons constaté certaines années une absence quasi totale de survie des jeunes.Il est vrai que, d'un point de vue biologique, le mouflon est une espèce introduite et n'est pas très bien adaptée aux prédateurs. » Comme l'explique M. Benoît Lequette, chef du service scientifique du parc national du Mercantour . Voilà de quoi faire réfléchir ceux qui maintiennent que le loup s'en prend plus facilement aux cerf, chamois, chevreuil, sanglier, plutôt que aux cheptels domestiques!
Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur (meutes en zone d'élevage), l’abondance et l’accessibilité des proies(troupeaux en alpage), la probabilité de rencontres avec la proie (tout les jours au même endroit), la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle (animaux domestiques présent en fonction de la disponibilité de cette biomasse gérée par ceux qui en sont devenus les propriétaires par location ou achat) , la probabilité de succès de la chasse (quoi de plus facile que le domestique), le risque de blessure (néant, renforcé par l'hyper protection dont il bénéficie), la profitabilité de la proie (agneaux de 1ere qualité), les conditions environnementales. (donc adieu le mythe du loup qui se nourrit d’espèces  sauvage. Quand il a goutté aux proies faciles plus rien ne le fera dévier)

Et pour infirmer les affirmations de nos scientifiques au service de la dictature verte, relayées par la presse sans scrupule, nous passons de 6102 victimes domestiques en 2013, a 8226 en 2014!
Faire le parallèle avec les 250 loups en 2013 et les 301 loups en 2014! Cherchez les erreurs


MAIS CONTINUONS L' ANALYSE :

« Nous ne disons pas que cette cohabitation n'engendre pas de conflits. Mais les faits montrent qu'elle est possible », répond Guillaume Chapron. sur le monde

"Les scientifiques y voient la confirmation que l'homme et ces animaux peuvent vivre ensemble sur des espaces restreints."  sur 20MN

"«Le principal débat autour de la conservation de ces grands carnivores, c'est de savoir s'il existe suffisamment d'espaces pour eux», soulignent les chercheurs" sur Le Figaro

Vous commencez à saisir!

 Ce qu'ils ont oublié de publier :
 "« des réserves naturelles de faune sauvage limitées ne sont pas suffisantes pour les grands carnivores. c’est la totalité du paysage qui doit être incluse dans les plans de gestion. »«Dans cette zone sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/"

En démocratie on aurait dit "afin que les carnivores ne perturbent  pas l'élevage"

"Le modèle alternatif est celui qui permet aux humains et aux prédateurs de vivre ensemble. «C'est ce modèle de coexistence qui a été choisi par l'Europe."sur Le Figaro

Traduction: 
Les promoteurs du tout sauvage, qui ne subiront jamais l'ombre d'une contrainte liées à leur retour, ont choisis de cohabiter avec les prédateurs vivant sur nos terres réquisitionnées!

Ensuite, l'industrie alimentaire pourra choisir entre l'élevage industriel ou  la nourriture à partir de cellules souches pour mettre le joug sur la population ébaudie par la faune sauvage.
 La régulation sera réservée à un minorité dominante qui se délectera de la chasse aux grands carnivores, comme le font certains responsables du WWF par exemple! Car plus aucun carnivore ne pourra se réguler ou réguler qui que ce soit dans un monde antropophisé et sous tutelle! 

(le Prince Philip, premier président de WWF en Angleterre, a tué un tigre dans le parc Ranthambhore en Inde, peu avant que l’organisation ne soit créée. Dans une interview avec Huismann, Philip déclare :
 « Mise à part cette fois-ci en Inde, je n’ai jamais chassé le gros gibier. La meilleure façon d’être sûr d’avoir une population sauvage raisonnable et de s’assurer qu’elle est équilibrée. On ne peut pas juste laisser faire la nature ».)