"Les loups sont revenus d'Italie", mais le rapport d'autopsie qu'il a fallut attendre de nombreuses années, précise que le 1er loup abattu en 1987 prés de Fontan a été élevé dans un enclos bétonné! Cinq ans plus tard en 1992, un loup était abattu à Aspres-Les-Corps (Hautes-Alpes) alors même que l'on a pas encore annoncé le retour du loup à la frontière ItaloFrançaise!
Dans la foulée, ils ont proclamé, "Le loup est indispensable à la biodiversité", mais si personne ne conteste ce fait dans d'immenses régions désertiques, sans élevages, des pays à faible densité humaine, il sera difficile de convaincre ceux qui après plus d'un siècle d’absence de loups se retrouvent à vivre en France dans les 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " qui correspondent à des zones d'élevage en plein air (CNRS, UICN, FAO, INRA....)
Puis il nous informé, "vous verrez le loup s'attaque principalement à la faune sauvage, il y aura bien quelques dégâts mais nous serons à vos coté", mais leur seule préoccupation est de rendre coupable de ne pas savoir protéger les troupeaux, ceux qui sont victimes de la prédation.
Ensuite ils nous ont dit, "ce sont des chiens qui attaquent les troupeaux", mais dés que les loups sont arrivés, ils nous ont demandé de mettre en place des mesures de protections dont nous n'avions nul besoin avant.
Plus tard ils nous ont affirmé, "les loups ne tuent que ce qu'ils ont besoin pour se nourrir", mais la réalité biologique du canis Lupus est toute autre; le comportement de chasse inné du loup fait qu'il tue chaque fois que c’est possible, son taux de réussite étant très faible, de l’ordre de 10 à 15%. Lorsqu’il se met en chasse, il en résulte toute une série de comportements jusqu’à la mise à mort.
Un jour ils nous ont conseillés, "mettez des chiens Patous, nous pouvons vous en fournir!", mais avec prés de 3000 chiens en action, dont 2000 dans les alpes, en majorité des Bergers des Pyrénées ayant perdu leur aptitudes contre les loups depuis des décennies, ces patous se font submerger et se soumettent à la meute si les attaques sont fréquentes.
Ensuite ils ont enchaînés, "le loup a peur de l'homme", mais cette peur qu'il avait du temps de nos ancêtres, il l'a perdu avec son hyper protection et les attaques diurnes, les attaques à proximité immédiate des habitations, les attaques en présence des hommes et de leurs chiens attestent de cette évolution.
D'aventure ils nous suggéré "Prenez exemple sur l'Italie ou l'Espagne là ou la cohabitation se passe bien", mais dés le 1er loup braconné, ils nous ont reproché d'utiliser les méthodes Italiennes ou Espagnoles, les seules qui leur permettent de protéger leurs troupeaux. D'ailleurs les gouvernements de ces 2 pays se sont vu dans l'obligation de créer des brigades cynophiles pour la recherche de boulettes empoisonnées!
Ils ont même fait marche arrière, prétextant que "les grand troupeaux étaient devenu plus vulnérable", mais en réalité, les troupeaux de plus de 1200 animaux ont subit en 2013, toutes proportions gardées, seulement 21% des attaques, contre 40% pour les moins de 450!
Plus tard, en 2015, ils ont affirmé "quel Blabla pour seulement 282 loups et 2100 attaques et plus de 7300 victimes au 31 octobre ", mais le nombre d'attaques et le nombre de départements colonisés n'ont cessés d'augmenter depuis 2011 ou 250 loups étaient déjà responsables de 1620 attaques et plus de 4900 victimes. Alors que l'ensemble des associations relayent en coeur les chiffres en baisse de l'ONCFS, la commission Européenne a un tout autre avis sur la population loup en France: "De façon générale et d'après nos informations, la population de loup en France n'est pas menacée et sa tendance statistique demeure en augmentation."
Ce qui pour eux est du blabla, devient pour les éleveurs et bergers une terrible contrainte
Aujourd'hui à l'aube de l'année 2016, ils reprochent "aux clôtures en filets électrifiée de ne plus protéger," mais si au début cela a fonctionné, le loup a trouvé la parade, comme il l'a trouvé en présence du berger ou des chiens, ou de toute autre système de protection.
Le constat est qu'ils n’arrêterons jamais d'inventer des prétextes servant leur cause, sans aucune morale ni déontologie, car la finalité n'a rien à voir avec la protection de la nature, puisque la protection de la nature c'est le maintien du pastoralisme" le pastoralisme est considéré aujourd'hui comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte. "
Parmi les recommandations émises dans le rapport du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et de l'Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN),:
"Établir un cadre de développement global pour le pastoralisme durable
Ce cadre devrait renforcer les engagements internationaux, pallier les disparités de développement infranationaux existantes et trouver une solution à la sous-représentation actuelle du pastoralisme dans le discours mondial, tout en le protégeant contre les investissements nuisibles, tels que l'accaparement des terres pour la production de biocarburants." (ou l'écotourisme prôné par les défenseurs du loup. ndlr)
Chaque calomnie diffusée par les associations, filmée clandestinement ou écrite dans le but de stigmatiser une population qui n'a pas accès au rétablissement de la vérité, chacune de leurs affirmations est le reflet d'une idéologie aveugle et bornée. L'idéologie des dictatures ne tolérant aucune critique, et utilisant l'amalgame comme moyen de propagande et de communication avec leurs disciples.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Pour ceux qui veulent commenter mais qui n ont pas de compte, vous pouvez communiquer en tant qu'anonyme. Merci de mettre un pseudo en cas de conversation suivie.