"Saviez-vous que chaque année en France..Les brebis de réforme sont achetées aux éleveurs pour acquérir des agnelles de renouvellement. Ces vieilles brebis sont envoyées directement à l’équarrissage. Leur chiffre est de l’ordre d’un demi-million par an" cf férus/gazette des gds prédateurs n° 54 (novembre 2014), par François Moutou, docteur vétérinaire.
Faux : les brebis de réformes passent toutes par le circuit boucherie ou alimentation animale. Pour être incinéré un animal doit être mort.
L'état ne subventionne absolument pas le remplacement des animaux de réforme.
"Il ressort des éléments qui viennent d’être rapportés que la
filière ovine doit faire face à des priorités autrement plus
importantes que la présence du loup. Il serait donc
regrettable et mal venu de cacher ces urgences derrière le
loup et les grands prédateurs en général. Le contribuable
pourrait ne pas comprendre" Chapron, Moutou, Boitani.
Mais si M. Moutou, le contribuable comprend très bien: si une filière a des difficultés, lui en rajouter n'est pas très bon pour sa pérennité. Cependant, la branche de cette filière qui subit la prédation est celle qui se porte le mieux et que les dégâts du aux retour des loups dans les zones d'élevages sont en train de fragiliser:
"L’agneau de Sisteron se porte bien. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs." cf coop Sisteron.
Idem en Lozère pour la fromagerie le Fédou, mais également pour l'IGP agneau de Lozère ELOVEL qui subit 25% à 30% de pertes de production, au même titre que l'ensemble des agneaux labellisés ou des productions fromagères dans les régions impactées par le loup.
Le loup est désormais en Aveyron et impacte les producteurs du Roquefort; fleuron des produits à "haute valeur ajoutée" dans l'image de la France!
Il menace les A.O.C. dont le cahier des charges exige une obligation de pâturage, comme en Italie et en Espagne.
M. Moutou, les éleveurs et bergers n'ont pas besoins de vos conseils orientés pour stigmatiser une minorité qui se déplace dans les zones les mieux conservées de notre planète. Vous pouvez les réserver à ceux qui ont intérêt à voir disparaître les petits éleveurs et qui trouvent en vous un porte parole de choix, à défaut d’être convaincant.
Férus a eu la mauvaise idée, mais quand ont ils eu une bonne idée? de publier votre "ode au retour du loup". Les réseaux sociaux ont tranché " François Moutou n'est plus à une ânerie prés ..."
"L’agneau de Sisteron se porte bien. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs." cf coop Sisteron.
Idem en Lozère pour la fromagerie le Fédou, mais également pour l'IGP agneau de Lozère ELOVEL qui subit 25% à 30% de pertes de production, au même titre que l'ensemble des agneaux labellisés ou des productions fromagères dans les régions impactées par le loup.
Le loup est désormais en Aveyron et impacte les producteurs du Roquefort; fleuron des produits à "haute valeur ajoutée" dans l'image de la France!
Il menace les A.O.C. dont le cahier des charges exige une obligation de pâturage, comme en Italie et en Espagne.
M. Moutou, les éleveurs et bergers n'ont pas besoins de vos conseils orientés pour stigmatiser une minorité qui se déplace dans les zones les mieux conservées de notre planète. Vous pouvez les réserver à ceux qui ont intérêt à voir disparaître les petits éleveurs et qui trouvent en vous un porte parole de choix, à défaut d’être convaincant.
Férus a eu la mauvaise idée, mais quand ont ils eu une bonne idée? de publier votre "ode au retour du loup". Les réseaux sociaux ont tranché " François Moutou n'est plus à une ânerie prés ..."