Un article intéressant paru dans le J;D;C;fr:
" Pour ou contre le retour du loup dans la Nièvre ? "
Pour la petite histoire, mon adresse IP est black listé sur le site AVES France: Your access to this site has been limited, c'est dire ce qui arriverai si ces écologistes prennent le pouvoir.
AVES: "Aujourd’hui, les chiffres du ministère font état de 270 loups, sur les 12.000 recensés en Europe."
(LIFE et la cohabitation de l’homme avec les grands carnivores) Luxembourg: Publications Office of the European Union, 2013 :Biélorussie, Ukraine et Russie non prises en compte l'UICN comptabilise entre 16000 et 17500 loups!
AVES : "les chiffres du ministère font état de 270 loups,"
le chiffre officiel en 2015 est de 282 loups!
Mais qui peut croire à ce chiffre sinon des associations peu regardantes?
Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes
2015 = 282 loups, 42 Zones de Présence Permanente (ZPP) contre 39 en 2014. 2440 constats, contre 2344 en 2014, "un taux de progression annuelle de 16% (8 à 27%), sans rupture de pente significative "sources ONCFS 2015.
AVES : "À l’instar de son retour, sa présence est, selon elle, naturelle"
Pour s'en convaincre ou se convaincre du contraire : "LOUP, RETOUR NATUREL OU RÉINTRODUCTION? A VOUS DE JUGER"
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2015/10/loup-retour-naturel-ou-reintroduction.html
AVES : « Non, les éleveurs ne sont pas désarmés. On ne nie pas que cela représente une charge supplémentaire."
Le travail supplémentaire pour le berger en zone d'alpage est estimé par le CERPAM et l’Institut de l’Élevage à 7h/jour, soit 210 heures pour 30 jours. Je suppose que les salariés adhérents chez AVES ont participé a contrecarrer la loi sur le travail en manifestant leurs désaccord?
Le travail supplémentaire pour le berger en zone d'alpage est estimé par le CERPAM et l’Institut de l’Élevage à 7h/jour, soit 210 heures pour 30 jours. Je suppose que les salariés adhérents chez AVES ont participé a contrecarrer la loi sur le travail en manifestant leurs désaccord?
AVES :" les attaques de loup ne représentent qu’une infirme partie du problème quant au nombre total de moutons qui décèdent."
Les éleveurs sont des entrepreneurs qui tiennent compte dans leur gestion de cette mortalité et luttent pour la réduire au minimum. Le loup lui met en péril les élevages traditionnels à l’herbe, car en plus des victimes directes, comment anticiper les avortements , ou le refus des chaleurs, le tarissement du lait, ou la perte de poids... sans oublier la perte du capital génétique lorsque la cible est le reproducteur mâle, ou si le nombre de victimes est très important?
De plus, les éleveurs concernés par un certain nombre d'AOC et de Labels, doivent respecter un cahier des charges, qui devient chimérique du fait de la présence du loup: « obligation de pâturage, allaitement sous la mère,…. »
La coop du Peccorino, en Italie fait le même constat: « 30% de pertes de production à cause du loup et la crainte de perdre l'AOC ». « Idem en Lozère pour la fromagerie le Fédou, mais également pour l'IGP agneau de Lozère ELOVEL, ou encore pour la coop de « L'agneau de Sisteron » qui n'arrive plus à satisfaire la demande. Idem pour le roquefort.
Ça c'est ce qu'on appelle de la propagande idéologique :
Selon l'ONCFS, "Opportuniste, le loup est un très mauvais indicateur de la biodiversité."
Par contre le pastoralisme lui est un excellent indicateur d'une "bonne et belle biodiversité"
En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air. CNRS
la disparition des systèmes traditionnels de pâturage tend à s’accompagner de pertes importantes de biodiversité. » FAO
le rapport du Plan des Natioins Unies pour l'Environnement:
constate que : « le pastoralisme durable dans les écosystèmes de grands pâturages libres / …/ préserve la fertilité des terres et le carbone présent dans sol, et contribue à la régulation de l'eau et à la conservation de la biodiversité. Les autres avantages qu'il présente se trouvent sous la forme de produits alimentaires de grande valeur.»
Ajoute : « qu'est important, l'autonomisation des éleveurs à travers le partage des connaissances et le respect de leur consentement préalable, libre et éclairé. »publié le 9/03/2015
AVES : « la question est de savoir ce que l’on veut ou pas »
Le problème reste insoluble. Certaines régions, pourront-elles être épargnées par le fléau?
Voici
ce que disent, dans
le cadre de l’ « Initiative
pour la conservation des grands carnivores en Europe »
(septembre
1997), le WWF( fond mondial pour le sauvage), LCIE,(Institut pour les
grands carnivores en Europe), l'UICN,(Union Internationale
Conservation de la Nature) :
« Dans
les zones ou évolueront les grands prédateurs, il faut de fortes
restrictions à l'élevage... »
« Dans
les territoires inadaptés à sa présence: Secteurs
du centre et de l’ouest de la France, particulièrement axés
sur l’élevage intensif où sa présence sera
inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le
loup inapte à son installation /…/.! »
Reste
à savoir :
1
- dans quelle zone se situera la Nièvre ?
2
– quelle sera la solidarité des éleveurs des zones inadaptées
envers les éleveurs condamnés
sur
l'autel du loup
3
– qu'elle est le véritable nombre de victimes causés par le
loup ? Officiellement 9068 en 2015. Les
travaux de référence permettent d’évaluer qu’il y a une bête
manquante pour 2 bêtes indemnisées.
a voir dans le reportage de 7 a 8 le loup prélevé pèse bien plus de 30kg
C’est a 11.25mn
En France, les meutes comportent rarement plus de 8 individus lu sur le site même de férus et sur tous les sites officiels.
Son mode de vie social lui permet de vivre n’importe ou: Même si, actuellement en France et en Europe nous trouvons le loup en montagne, il n’est pas un animal de montagne et son habitat n’est pas uniquement en montagne. En fait, l’habitat du loup est très varié, à la lumière de son caractère opportuniste. On le retrouve aussi bien dans la forêt boréale et la forêt subarctique, mais aussi dans les forêts mélangées et même dans la toundra. Rien d’étonnant si nous le trouvons dans les forêts des Alpes, Pyrénées, Vosges, Jura et même en Bourgogne, Massif Central, etc….
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/11/loup-les-apprentis-sorciers-essayent-de.html
La on entre dans le vif du sujet de la propagande si chère a férus:
Source officielle:
Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes
2015 = 282 loups, 42 Zones de Présence Permanente (ZPP) contre 39 en 2014. 2440 constats, contre 2344 en 2014, « un taux de progression annuelle de 16% (8 à 27%), sans rupture de pente significative « sources ONCFS 2015.
Conseil de férus pour le comptage des loups: « ne transmettez plus aucune de vos données à l’ONCFS et donc au gouvernement. Détruisez tous les indices de présence du loup (recouvrement des pistes de loup dans la neige, enlèvement des crottes trouvées sur les chemins etc.). » (cf. site Internet de FERUS).
En réalité, un petit groupe de fonctionnaires et de militants (gageons que férus en éttait?) savait bien avant 1992 que le loup était là!« Bienvenue au loup ! Il est de retour en France », s’exclame la revue naturaliste, terre sauvage, qui admet avoir « gardé le secret aussi longtemps que cela serait nécessaire à la sécurité des loups ». Et ce, avec la bénédiction et des « responsables du parc du Mercantour et ceux du ministère de l’Environnement » ! Et tant pis pour le pastoralisme déclaré d’intérêt général par le parlement européen
alors qu’un loup a déjà été tué par erreur au cours d’une battue en 1987, » les gardiens du parc ne disent mot face aux éleveurs qui se plaignent d’attaques de chiens . L’administration se justifiera plus tard : » Nous avions pris la décision de ne pas officialiser cette présence de loups avant d’avoir définitivement écarté l’hypothèse qu’il s’agissait de chiens errants ensauvages »
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/10/les-mensonges-de-ferus.html
« un taux de progression annuelle de 16% (8 à 27%), sans rupture de pente significative « sources ONCFS 2015.
Petit rappel pour le comptage « ne transmettez plus aucune de vos données à l’ONCFS et donc au gouvernement. Détruisez tous les indices de présence du loup (recouvrement des pistes de loup dans la neige, enlèvement des crottes trouvées sur les chemins etc.). » (cf. site Internet de FERUS).
Il ne s’agit donc pas de protéger une espèce mais une population dans les zones ‘élevage de pays à forte densité humaine. Le tout au détriment d’autres espèces en danger mais moins emblématique: Reste à savoir pourquoi?
Ici on mesure toute la portée du discours idéologique:
« J’ai creusé dans les textes anciens qui ont été publié par de nombreux auteurs et j’ai
fait une découverte surprenante, ou plutôt j’ai pu mettre en évidence ce que
commencent à exprimer avec prudence nombre d’historiens et d’ethnologues. Avec
prudence, tant ils ont conscience de ramer à contre-courant. J’ai découvert que la
peur du loup n’avait jamais existé dans les campagnes françaises. Et ce pour une
raison simple : nos anciens, loin d’être des imbéciles, étaient des très bons
observateurs de leur environnement, et ils savaient très bien que le loup,
généralement, n’était pas un danger pour l’homme. On retrouve ce savoir
tranquillement acquis dans tous les textes qui vont de la fin du Moyen-âge jusqu’à la
fin du 19 ème siècle et qui restituent directement les connaissances des ruraux.
Non, l’explication rationnelle est toujours plus simple et plus logique, donc bien plus
probable, que le recours à l’irrationnel. Surtout quand l’absence de peur du loup
s’appuie sur les textes de l’époque ! Les affaires de loups tueurs d’homme étaient
trop rares pour créer une peur constante. Si le loup a été éradiqué, c’est bien parce
qu’il décimait les troupeaux et uniquement pour cette raison.
Laurent Garde écologue au CERPAM Thèse soutenue par les historiens
Exemple le parc du Gévaudan qui ne connaît pas le nombre de loup en captivité et qui n’a jamais tenu de registre de naissance ou de mortalité! La aussi reste a savoir dans quel but?
A ce jour aucune trace de braconnage n’a été trouvée en France. Alors que férus qui nous parle de la formidable cohabitation en Italie oublie de préciser que ce sont 300 loups braconné par an cf WWF