jeudi 31 octobre 2013

LA HAINE COMME SEUL GUIDE


La buvette des alpages, "Le site sur les brebis et tout ce qui tourne autour" parle de la sauvegarde de l'ours des Pyrénées, de la cohabitation entre le pastoralisme et les prédateurs, de la faune de montagne et de l'environnement .

Accrochez vous c'est sans commentaires!

Sans pastorâleurs, la montagne vivra bien, très bien, comme elle l'a fait avant l'arrivée des moutons. La forêt gagne partout où le pastoralisme recule et elle à son charme, sa vie, son intérêt, ses usages, sa diversité.
Il y a presque 2 Millions d'ovins en Midi-Pyrénées, 850.000 en région PACA, 8 millions en France. La consommation d'agneau dégringole, les jeunes n'aiment pas, "la viande d'agneau, ça pue". De plus l'agneau de Nouvelle-Zélande (ou irlandais), produit presque sans frais et avantagé par les facilités douanières du "Rainbow-warrior" arrivera toujours à des prix défiants toute concurrence (d'autant qu'il n'y a pas de prédateurs dans ces pays. Vous saisissez?  ndlr). L'ovin n'est pas une espèce menacée, ni mondialement, ni en France ou même dans les départements où il n'y a ni loups, ni ours, ni lynx, ni vautours, ni marmottes, ni phoques, ni que sais-je encore, le pastoralisme est en crise.
Consommacteurs
Et cette crise est structurelle! Il n'y a qu'à voir les comptes et bilan annuels de la filière ovine. Les prédateurs n'y sont pour rien! Il faut supprimer l'assistanat(*), les subsides, "pastoraloup" et les autres compromissions et arrêter d'acheter des produits ou services (viandes, fromages, nuitées) aux éleveurs qui ne respectent pas la nature et refusent de partager le territoire. Si le pastoralisme perd une partie de ses acteurs (comme il le fait chaque année) dans les zones les plus difficiles, il ne s'arrêtera pas pour autant. Il y aura toujours des centaines de milliers de moutons, des alpages, des estives et la biodiversité de ces millieux ne disparaîtra pas avec ceux qui gueulent le plus fort.
Les aides éventuelles doivent devenir conditionnelles! Les dédommagements devraient être pris en charge par des contrats d'assurances, comme pour tous les risques pour chacun des français, vous, moi. Le pastoralisme est assisté et ne tiens absolument pas compte des exigences de la société. Les français veulent garder du sauvage, une nature, des espèces clefs de voute, des prédateurs! Ils veulent que leurs enfants continuent à vivre dans un pays capable de respecter la Nature, sa nature, mettre fin au déclin de la biodiversité actuel.
Le pastoralisme vit en vase clos, dissimulant une activité déficitaire chronique derrière de fausses traditions touristiquo-folklorique (fête de la transhumance, fête de la côtelette...) où des touristes citadins s'extasient devant la folklorique tonte des moutons et le travail impressionant des chiens (qui descendent des loups et sélectionnés pour garder ou protéger les troupeaux), tout en faisant attention à ne pas mettre de crottes sur leurs souliers vernis ou du suint sur leurs vêtements avant de retourner manger de la tartiflette ou de la garbure dans le gîte loué à un éleveur pluri-actif local.
Le vase est perçé de toute part. Les françois doivent le remplir en continu, tout en se faisant injurier par ceux qui en profitent, éleveurs et politiciens locaux, comme dans un puit sans fond, en pure perte. Ca suffit! Il faut maintenant dire NON à la montagne moutonnière qui avec les écobuages, les tondeuses à pattes surpaturant et les comportements anti-nature des éleveurs, détruit la Nature qui nous reste.
Comme le dit bien Christian Bacqué dans un commentaire à la Buvette : "Le sauvage que l'homme retire à la Nature se retrouve ensuite dans la bestialité de la civilisation". Violences, menaces, intimidations, non respect des lois, remise en cause des jugements quand ceux-çi leur sont défavorables, communautarisation des amendes. Est-ce un modèle de comportement, de société? Le pastoralisme est malade, solidaire dans sa déchéance, mais en soins intensifs, presque en phase terminale. D'accord pour soutenir ceux qui acceptent le pact demandé par la société, mais plus les autres.
Baudouin de MENTEN
(*) Le terme d’assistanat désigne péjorativement un système de redistribution des richesses ou de solidarité, dont les effets pervers ruinent la fonction. Ce terme est utilisé principalement dans le discours politique libéral, souvent à droite. (Wikipédia) Voilà qui devrait être compréhensible dans une profession majoritairement à droite, et parfois encore plus (Quelle différence entre UMP et FN aujourd'hui?)
http://www.buvettedesalpages.be/2013/10/le-sauvage-que-l-homme-retire-a-la-nature-se-retrouve-dans-la-bestialite-de-la-civilisation.html


Et pour enfoncer le clou, afin de vous donnez une idée de l'idéologie de ce qu'on pourrai appeler une secte (Vraiment très bonnes ces chroniques Frédéric. Merci aussi à Baudouin de rendre ça possible. Comme ça fait du bien !     J'ajouterais qu'on a besoin de vous, cher Ugatza! Ce que vous avez envie de dire, moi j'ai envie de l'entendre!)


2) J'énonce des faits matériels bruts.
Incontestablement, le pastoralisme a ouvert la voie à l'automobile et à l'urbanisation des vallées.
????????

Oui, on devrait être plus hargneux, les mordre aux fesses, les noyer sous la procédure, les asphyxier sous les plaintes à répétition, payer des encarts dans la Dépêche, tirer au mortier lourd, être moins didactiques et plus directs, voire simplistes!
Seulement voilà: les pubs coûtent cher, les tribunaux et les procédures aussi!



L'être humain est foncièrement peureux et stupide, et complètement irrationnel. On peut le regretter, mais les faits sont tétus!


Je suis pour l'attaque frontale, pour dénoncer, pour faire sortir le fumier des bergeries mentales. 

De cesser toute aide de type Pastoraloup, qui ne font que renforcer l'idée que oui, décidemment, les grands prédateurs posent des graves problèmes aux éleveurs et l'idée qu'ils ont un rôle socialement et écologiquement utile.


surtout pas de vague: on continue à "reconnaître" le pastoralisme comme socialement et même écologiquement utile. Alors que c'est faux.


Le pastoralisme est l'avant garde de l'urbanisation des montagnes.
?????


Je ne pense pas que "l'entretien" des paysages soit une bonne chose: c'est un mythe grotesque qui fait du berger l'égal d'un médecin et les Pyrénées n'ont pas vocation à être un jardin ou un parc à moutons.
On a vu ce que cet "entretien" donnait dans les vallées et même en plaine, il y a quelques semaines.
Ouvrons les yeux: ce sont des ennemis que nous avons. 
Et l'heure n'est pas à fumer ensemble le calumet de la paix.

La question n'est donc pas de se rapprocher de la nature ou d'y revenir d'une façon ou d'une autre, mais ce que nous y faisons aujourd'hui et où sont les limites.
L'éradication des bergers?
Pas d'éradication puisque pas de nécessité absolue.
La question de leur nombre est liée à celle des limites, et d'ailleurs je constate que les éleveurs s'éradiquent eux-mêmes.



La coexistence pacifique et raisonnée est impossible? Je n'ai jamais cru que l'homme évoluait par sagesse, mais toujours sous la contrainte. Eh bien organisons la coexistence contrainte!


Seulement je ne crois pas que le retour au monde naturel reviendra. Pas avec 8 milliards d'êtres humains qui consomment chaque jour un peu plus et continuent à se reproduire comme des rats!


Voila, à part l'introduction Accrochez vous c'est sans commentaires!
 et "Et pour enfoncer le clou, afin de vous donnez une idée de l'idéologie de ce qu'on pourrai appeler une secte", je n'ai rien dit, rien a dire, je reste pantois et triste.... Pourquoi tant de haine?.
Quand a ce qui a ouvert la voie a l'automobile et a l'urbanisation, je pensais plutôt au tourisme et aux stations de skis hiver/été........

Mieux comprendre le fonctionnement de la buvette de la haineJe regrette beaucoup que vous ayez effacé l’intégralité des publications  de Mathieu Erny.http://mathieuerny.unblog.fr/  Ce berger salarié, qui défend « le droit des brebis », proposait une réflexion apaisée dans ce monument de haine qu’est votre blog. Je ne peux que constater avec effroi que le militant du totalitarisme écologique que vous êtes n’accepte pas, et c’est logique, les divergences idéologiques. On jette au feu livres et écrits qui ne plaisent pas comme au temps de l’Inquisition ou des années noires qu’a connue l’Europe vers 1930-1940. Comportement regrettable à l’égard d’une de vos « plumes » qui, pour vous, n’avait pas plus de valeur qu’un simple faire valoir pastoral occasionnel à disposition de votre sectarisme.
Extrait de http://www.pyrenees-pireneus.com/Ecologistes-Ecologie/Buvette-Alpage/Loup-tue-Vaucluse-mail-adresse-au-Belge.html


Une fois de plus, la Buvette des Alpages étale ses deux spécialités : ignorance de la réalité pastorale pyrénéenne et manipulation. Le 22 septembre, sous le titre « Descente prématurée », à propos d’une bergère qui a failli accoucher sur une estive couserannaises son rédacteur reproduit deux articles en les opposant et rédige ce chapeau :
Extrait de http://www.pyrenees-pireneus.com/Ecologistes-Ecologie/Buvette-Alpage/2012-09-24-Ignorance-Manipulation-ours-Brebis-bergere-enceinte.html

dernière minute . Fréderic Vigne, promoteur de la cohabitation prédateurs élevage:
"Les moutons sont redescendus des estives, donc s'il en crève désormais, il sera difficile d'imputer ça au loup où à l'ours. Mais comme nos éleveurs grassement subventionnés nous disent eux-mêmes que perdre un mouton c'est comme perdre un membre de la famille (en empochant l'assurance-vie à chaque fois, quand même, ça aide à sécher les larmes), on peut aisément gager qu'aucun mouton dans l'Hexagone ne mourra cet hiver autrement que de vieillesse. C'est vrai, la famille, on veille dessus! Enfin en estive, pas trop, néanmoins. Mais on ne va pas revenir là-dessus, c'est bientôt Noël, je veux rester un gentil garçon."
"L'année prochaine, si tout va bien, des voix dissonantes se feront entendre de plus en plus fort, y compris dans leur profession, contre les exactions, le racket, les mensonges, les méthodes de racaille de banlieue des Talibans du Moutonistan. Le fer doit être porté dans cet abcès purulent, et le plus tôt sera le mieux. "

Une autre approche de la haine vomie par ces "défenseurs du loup"

Et aussi http://mathieuerny.unblog.fr/2013/08/06/science-sans-conscience/

http://mathieuerny.unblog.fr/2011/11/10/les-dix-strategies-de-manipulation-de-masses/


Et pour changer, sortir de la haine de la délation et du mensonge:
Une vidéo exemplaire, sans haine, ni violence  a partir de 4mn 30(a part pour les animaux victimes du loup) :


mercredi 30 octobre 2013

FERUS PERSISTE ET SIGNE LE MENSONGE

Ils ne peuvent pas s’empêcher de mentir pour faire de la propagande:
En effet le préfet autorise les prélèvements par les chasseurs dans le cadre légal des
tirs de loups autorisés à l’occasion de battues de chasse au gibier. Les battues au
loup ne sont en aucun cas autorisées, mais pour endoctriner la population, les écologistes
n'hésitent pas à en rajouter

lundi 28 octobre 2013

VUE D'ENSEMBLE

"Campagne pour la connaissance et la protection du loup",
éditer par l'association pour la protection des animaux sauvages
voici une réponse point par point, bien plus objective que la propagande discriminatoire et souvent diffamatoire, qu'ils étalent sans états d'âme


Les textes en gras sur fonds jaune et soulignés sont copiés sur le manifeste



En réponse aux propos de Jean François DARMSTAEDTER, dans le journal "Marianne" du 28 septembre 2013, article "NON AUX BATTUES AUX LOUPS....."page 52, je tiens à remettre les choses à leur place, et uniquement à leur place!
Premier mensonge dans le titre, les loups ont été prélevés par les chasseurs dans le cadre légal des tirs de loups autorisés à l’occasion de battues de chasse au gibier. Les battues au loup ne sont en aucun cas autorisées, mais pour endoctriner la population, les écologistes n'hésitent pas a mentir


A la question   "Vous  personnel

Sondage effectué sur 1000 personnes. 

lement, êtes-vous tout à fait, plutôt, plutôt pas ou pas du tout favorable à l’éradication totale du loup en France ?"Ma réponse personnelle et celle de je pense 80 % des éleveurs est NON a l’éradication du loup!



Prenons le temps d'analyser l'article de midi libre: 

Aveyron : le loup, bouc émissaire idéal des éleveurs 


En jaune, les reprises de l'article d'un journaliste qui devrait consulter la charte du journalisme!

"Mais quand bien même. Il faut en effet savoir que, chaque année, en France, ce sont plus de cent mille brebis qui sont tuées par des chiens errants."
d'ou vient ce chiffre de cent milles brebis tuées par des chiens ERRANTS? (mot employé par les défenseurs du loups pour dire chiens divagants)  


Nous revoici a l'époque de Vichy, ou surveillance, espionnage, délation sont remis au gout du jour par les intégristes de "l'écologie profonde"

"FERUS lance un appel à tous les utilisateurs de la montagne sur les secteurs susceptibles d’être fréquentés par les ours : « soyez vigilants, attentifs et à la recherche de tout indice qui peut faire penser à une action de braconnage d’ours (carcasses, pots de miel remplis de verres pilés, agitation inquiétante sur un secteur de présence de l’ours…) ».


LAMENTABLE PRISE DE POSITION ANTI LOUP CONTRE LA CONFEDERATION PAYSANNE

  • commentaire issu de la part d'une organisation irresponsable, qui sous couvert de défense du droit des animaux, est prête à sacrifier l'élevage traditionnel extensif et respectueux, pratiqué par des éleveurs passionnés et proches de la nature, au profit de l'élevage industriel qui ne nuira pas au loup, mais qui avilira toute forme de vie animale dont il aura la charge et sera disposé a délocaliser en cas de pression des autorités pour l’application des lois protégeant les animaux!

LOUP 20 ANS APRES SA REINTRODUCTION
  On ne peut que s’étonner en relevant que le loup ibérique n’a pas (encore ?) réussi à coloniser les Pyrénées où les seuls loups présents, dans la partie orientale du massif, des deux côtés de la frontière, sont de souche italienne et viennent de l’Arc alpin pourtant ( énormément )plus éloigné.( pourvu qu'on ne les ai pas accompagnés)


"Alors, le choix est simple.
Ou vous combattez le monde entier et, à mon avis, l’issue ne fait aucun doute.

Ou vous acceptez de laisser une place au sauvage et vous ne serez plus seul car une entente sera possible avec ces écologistes que vous haïssez présentement à tort."
l'appel au recrutement est sur la F.A.R

Voici ce que me propose ci dessus une association de protection des prédateur qui ce dit proche des éleveurs

voici ma réponse:
(sur fond blanc et entre parenthèses mes réflexions spontanées)



Dégâts de chiens divagants et de prédateurs sauvages hors zone à loups

Résultats d'enquêtes sur 7 territoires d'élevage

Par BRUNSCHWIG G. (1), BROSSE-GENEVET E. (2), DUMONTIER A. (3), GARDE L. (4)
(1) UR-EPR (soutenue par l'INRA), Enita Clermont, BP 35, 63370 Lempdes
(2) SUAMME, 35 av. Vincent d'Indy, 30100 Alès
(3) CRA Franche-Comté, Valparc, Espace Valentin Est, 25048 Besançon cedex
(4) CERPAM, Route de la Durance, 04100 Manosque




pourquoi ce courier maintenant:
la meute de cette louve alpha, qui compte entre 5 et 8 loups selon les dires de l'état sur le site consacré au loup, a donc un potentiel de reproduction de 60%, et pourtant le grand expert M. Pioppa, qui se sert du chiffre très largement minimisé de l'ONCFS (240 loups en France, avec un taux de reproduction de 20%), nous annonce 25 loups (seulement) dans le 06.
Contrairement aux chiffres annoncé par l'ONCFS, qui donne 95% des loups dans les alpes, avec une moyenne d'attaque de 5,9 % par loup (dans les alpes). Ce grand spécialiste nous annonce donc une moyenne pour le 06,  de 30 attaques par loups en 2012 (740 attaques / par 20 loups, les 5 louveteaux n'étant pas encore nés).En savoir + et de conclure que les bergers sont des bons a rien!




Disparu de France en 1910, le loup y a fait son retour dans les années 1990. Il est désormais présent dans toutes les Alpes, notamment en Isère. Selon l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la présence de groupes de loups sédentarisés est ainsi attestée dans l'Oisans, le nord de Belledonne, le Vercors et le Taillefer. «On ne peut donner qu'un nombre minimum d'animaux détectés car on suit les empreintes et ils marchent parfois dans les mêmes traces, explique Eric Marboutin, chef de projet du Réseau loup de l'ONCFS. 250 loups sont aujourd'hui recensés en France, dont 95 % dans les Alpes. On a environ 20 % d'accroissement annuel mais c'est plutôt stable dans la région.» Même stabilité en Rhône-Alpes pour le nombre d'attaques de troupeaux, passé de 297 en 2011 (dont 59 en Isère) à 319 en 2012 (dont 46 en Isère). En revanche, «il y a eu une forte hausse au niveau national, avec 1874 attaques en 2012, contre 1416 en 2011», souligne Eric Marboutin. Une augmentation due en partie aux Alpes-Maritimes qui, avec 764 attaques indemnisées l'an passé, représentent 40 % du total national. M. P.

sur http://www.20minutes.fr/ledirect/1186557/nombre-attaques-stable-rhone-alpes

 cherchez la 1ere erreur




Après le reportage sur FR3 qui nous explique que en Italie, les bergers se débrouillent mieux que nous.... Sur l’interview de l’éleveur italien on apprend qu'il embauche un esclave roumain qui reste 24 h /24 7j/7 avec le troupeau pour la somme de mille euros par mois!!!!! Les écolos rêvent de créer une caste de travailleurs inférieurs qui n'auront pas besoin d'avantages sociaux, ni de retraite, pourvu que cela permette la survie de leur idole ! Actuellement les éleveurs bergers Français travaillent plus de 70 h par semaine sans rtt, ni congés payés, ni droit au chômage.... mais cela ne leur suffit pas, le loup et l'ours sont au-dessus de toute considération sociale ou humaine.

Après les affirmations des endoctrinés qui n'ont plus leur libre arbitre:





en gras ce que les écolos oublie de dire aux écoliers quand ils font leur propagande.
Propagande digne de certaines pratiques des pages noires de l'histoire,
ou l'endoctrinement des populations débutait dés le plus
 jeune age, *car les enfants sont malléables*

*extrait d'une phrase utilisée par un intervenant sur le loup dans les écoles de nos jours!




DECRYPTAGE – Pour les associations de défense du loup, la coupe est pleine, alors que 24 loups pourraient être tirés en France. Et ce toute l’année, de jour comme de nuit, en montagne comme dans les vallées, à proximité ou non des troupeaux… Une spécificité bien française.
(les textes entre parenthèses sur fond vert clair et les liens sont d'Ouragan!)




En effet la biodiversité c’est pas du tout ce qu’ils disent, c’est même le contraire et c’est au nom de la biodiversité qu’on peut combattre loups et ours. Comme je l’ai dit à la réunion de Caille, les milieux où nous vivons ne sont pas « naturels » mais « semi naturels », le Grenelle de l’Environnement l’a fortement souligné à propos justement de la biodiversité : «  tous les paysages, réputés naturels ou non, sont le fruit d'une coévolution du travail de la nature et de l'homme ». C’est à dire qu’ils sont le fruit de ce que permet la nature et de ce que le travail de l’homme y a fait. Pour le pastoralisme dans nos montagnes on sait que ce travail a commencé au néolithique, il y a 5000 ans. Leur biodiversité ne serait pas ce qu’elle est sans le pastoralisme. S’il disparaît, disparaît aussi cette biodiversité exceptionnelle qu’on veut préserver !



L'inéxorable déclin de la population de loupsfinlandaise

Loup finlandais © Pascal Etienne
Une étude publiée le 24 mai vient de mettre la lumière sur l’inexorable déclin qui touche la population de loups finlandaise depuis plusieurs années.
Après avoir augmenté, passant de 95 individus en 1998, à plus de 185 en 2004, et finalement culminer à 250 individus en 2006, la population de loups finlandaise s’est mise à décliner, petit à petit : en 2010, d’après l’Institut Finlandais pour la Pêche et la Chasse, la population de loup chute à 180 (150 pour la fourchette basse) et à l’heure actuelle, on ne compterait plus qu’entre 120 et 135 individus.
Plusieurs explication à ce déclin :



LE LOUP EN ESPAGNE? EN ITALIE? ET AILLEURS?

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, ET DE L'ÉNERGIE
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE,DE L'AGROALIMENTAIRE ET DE LA PÊCHE
CONSEIL GÉNÉRAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE 
CONSEIL GÉNÉRAL DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DES ESPACES RURAUX
N° CGEDD 008338­01 N° CGAAER 12076

Dans les Alpes italiennes par contre la situation 
serait comparable à celle des Alpes françaises. 



MON TEMOIGNAGE A PROPOS DU MÉTIER DE BERGER

Ma mère a été louée dès l'age de 7 ans, dans les fermes éloignées du causse Méjean pour protéger les troupeaux de fermiers plus aisés qui, eux, envoyaient leur progéniture à l'école. Elle y restait toute la saison d'estive. C'est à dire 6 mois sans voir ses parents, et elle ne nous a jamais parlé de comment elle a été traitée !