Notre finalité étant de fournir des produits de qualité, dans le respect, la traçabilité et la proximité en suivant un cahier des charges qui permet de correspondre à la demande du consommateur. Or, pour atteindre cette finalité, ce n'est certainement pas en appliquant les consignes des écologistes que nous y arriverons, mais bien en appliquant ce que nous a enseignée l'expérience et le retour de cette expérience.
Pour que l'activité pastorale soit durable, il faut entre autre, assurer la vente, et le prix juste: " Mais il faut surtout que l'élevage se fassent sans les contraintes insupportables liées aux prédateurs, dans le calme, la sérénité, le respect... Loin de l’agitation des chiens de protections qui nuisent à la tranquillité des animaux. Sans les obligations d'aller et retour vers les parcs de nuits qui favorisent les maladies et la pollution toit en détruisant la flore piétinée. Loin du stress des attaques qui grévent la qualité, contrarient le développement, tarissent les allaitantes, déclenchent des avortements, ruinent les acquis génétiques obtenu pour une parfaite intégration au milieu, causent la dépression chez le berger, participent à l'abandon des terres et finissent par éteindre la vie sociale dans nos campagnes...
Toutes ces occupations nous astreignent à ne pas pouvoir nous éloigner de nos fermes. C'est donc le moment propice pour les conférences qui vantent les bienfaits du loup dans la nature puisque nous ne pourrons pas être là pour rétablir la vérité.
Nous voyons donc apparaître de nombreuses invitations au public destinées à lui fournir le "béa ba de la cohabitation sereine entre loup et pastoralisme", ou plus simplement "les formidables bienfaits du loup sur la biodiversité" chez nous, dans nos fermes et nos pays que nous sommes les seuls à avoir su conserver riches en hautes valeurs naturelles. Toutes ces conférences permettrons au intéressés de se déculpabiliser à moindre frais et de profiter des "bienfaits de la société" puisque ce sont les acteurs ruraux qui devront en payer le prix fort :
- 7 heures de travail supplémentaires par jour selon une étude faite par le CERPAM et L’Institut de l'Élevage,
- la prise en charge de nombreux chiens de protections dangereux pour le tourisme et pour la faune sauvage,
- le stress et le harcèlement due aux attaques et aux diffamations des écologistes,
- la crainte de ne pouvoir être à la hauteur ou de tomber malade,
- la hantise de devenir coupable de tout les maux environnementaux de la planète puisque le pastoralisme, incompatible avec les grands prédateurs, devient la cible des écologistes fondamentaux. Ceux dont le but est l'ensauvagement de nos terres en partenariat avec Rewilding Europe pour le tourisme et avec les banques pour la création d'actions de compensations environnementales.
Tout un programme, digne des manifestions contre la "loi du travail" générées par des Français qui défendent leurs acquis sociaux et dont 80% seraient pour le retour du loup dans les zones d"élevage; Si l'on en croit les fantasmes de quelques inconscients qui eux ne subiront jamais de contrainte liée à la prédation.
Alors, Conférenciers écologistes, peu regardant sur la réalité, vous pourrez y clamer haut et fort, entre autres mensonges ou forfanteries: " «Écologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai...." cf Cap Loup représentant les associations de défense du loup.
photo participant au concours "paysage pastoraux" sous le N° 11 pour laquelle vous pouvez voter en votre âme et conscience. |
Nous ne serons pas là pour vous répondre : "La démarcation actuelle entre forêt et alpage (en gros, 1800 à 2200 m) est entièrement due à l’action de déboisement de l’homme. Tout l’étage subalpin est potentiellement susceptible d’être occupé par la forêt, ce dont témoignent les accrus de pins et mélèze qu’on y observe. C’est encore plus vrai, plus bas, des alpages de l’étage montagnard (comme le Vercors, massif très original en ce sens). C’est seulement l’étage alpin qui est « naturellement » sans arbre, il commence à une altitude variant entre 2200 et 2500 m selon la latitude et l’orientation : les arbres peuvent monter beaucoup plus haut dans les Alpes-Maritimes qu’en Savoie, en adret qu’en ubac. Pour faire simple, seuls les vrais quartiers d’août ne se boiseraient pas à terme.
Ceci est en mouvement : avec le réchauffement climatique, on « gagne » 0,5 °C par décennie, c’est-à-dire l’équivalent de 80 m de dénivelé. C’est considérable : sur les 3 dernières décennies (période qui a déjà subi le réchauffement), les limites altitudinales de végétation ont gagné 250 m !
On peut donc en conclure que les alpages ont besoin des moutons et ceci est encore plus vrai avec le réchauffement.
Que la faune sauvage a besoin des alpages entretenu par les moutons car dans le sous bois il n'y a pas grand chose a manger.
Le contraire de ce que vous affirmez à un public révérencieux envers la nature.
Révérencieux surtout si cela ne lui apporte aucune contrainte, car sinon gare aux grèves et aux manifestations!
a voir dans le reportage de 7 a 8 le loup prélevé pèse bien plus de 30kg
C’est a 11.25mn
En France, les meutes comportent rarement plus de 8 individus lu sur le site même de férus et sur tous les sites officiels.
Son mode de vie social lui permet de vivre n’importe ou: Même si, actuellement en France et en Europe nous trouvons le loup en montagne, il n’est pas un animal de montagne et son habitat n’est pas uniquement en montagne. En fait, l’habitat du loup est très varié, à la lumière de son caractère opportuniste. On le retrouve aussi bien dans la forêt boréale et la forêt subarctique, mais aussi dans les forêts mélangées et même dans la toundra. Rien d’étonnant si nous le trouvons dans les forêts des Alpes, Pyrénées, Vosges, Jura et même en Bourgogne, Massif Central, etc….
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.com/2014/11/loup-les-apprentis-sorciers-essayent-de.html
La on entre dans le vif du sujet de la propagande si chère a férus:
Source officielle:
Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes
2015 = 282 loups, 42 Zones de Présence Permanente (ZPP) contre 39 en 2014. 2440 constats, contre 2344 en 2014, « un taux de progression annuelle de 16% (8 à 27%), sans rupture de pente significative « sources ONCFS 2015.
Conseil de férus pour le comptage des loups: « ne transmettez plus aucune de vos données à l’ONCFS et donc au gouvernement. Détruisez tous les indices de présence du loup (recouvrement des pistes de loup dans la neige, enlèvement des crottes trouvées sur les chemins etc.). » (cf. site Internet de FERUS).
En réalité, un petit groupe de fonctionnaires et de militants (gageons que férus en éttait?) savait bien avant 1992 que le loup était là!« Bienvenue au loup ! Il est de retour en France », s’exclame la revue naturaliste, terre sauvage, qui admet avoir « gardé le secret aussi longtemps que cela serait nécessaire à la sécurité des loups ». Et ce, avec la bénédiction et des « responsables du parc du Mercantour et ceux du ministère de l’Environnement » ! Et tant pis pour le pastoralisme déclaré d’intérêt général par le parlement européen
alors qu’un loup a déjà été tué par erreur au cours d’une battue en 1987, » les gardiens du parc ne disent mot face aux éleveurs qui se plaignent d’attaques de chiens . L’administration se justifiera plus tard : » Nous avions pris la décision de ne pas officialiser cette présence de loups avant d’avoir définitivement écarté l’hypothèse qu’il s’agissait de chiens errants ensauvages »
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/10/les-mensonges-de-ferus.html
« un taux de progression annuelle de 16% (8 à 27%), sans rupture de pente significative « sources ONCFS 2015.
Petit rappel pour le comptage « ne transmettez plus aucune de vos données à l’ONCFS et donc au gouvernement. Détruisez tous les indices de présence du loup (recouvrement des pistes de loup dans la neige, enlèvement des crottes trouvées sur les chemins etc.). » (cf. site Internet de FERUS).
Il ne s’agit donc pas de protéger une espèce mais une population dans les zones ‘élevage de pays à forte densité humaine. Le tout au détriment d’autres espèces en danger mais moins emblématique: Reste à savoir pourquoi?
Ici on mesure toute la portée du discours idéologique:
« J’ai creusé dans les textes anciens qui ont été publié par de nombreux auteurs et j’ai
fait une découverte surprenante, ou plutôt j’ai pu mettre en évidence ce que
commencent à exprimer avec prudence nombre d’historiens et d’ethnologues. Avec
prudence, tant ils ont conscience de ramer à contre-courant. J’ai découvert que la
peur du loup n’avait jamais existé dans les campagnes françaises. Et ce pour une
raison simple : nos anciens, loin d’être des imbéciles, étaient des très bons
observateurs de leur environnement, et ils savaient très bien que le loup,
généralement, n’était pas un danger pour l’homme. On retrouve ce savoir
tranquillement acquis dans tous les textes qui vont de la fin du Moyen-âge jusqu’à la
fin du 19 ème siècle et qui restituent directement les connaissances des ruraux.
Non, l’explication rationnelle est toujours plus simple et plus logique, donc bien plus
probable, que le recours à l’irrationnel. Surtout quand l’absence de peur du loup
s’appuie sur les textes de l’époque ! Les affaires de loups tueurs d’homme étaient
trop rares pour créer une peur constante. Si le loup a été éradiqué, c’est bien parce
qu’il décimait les troupeaux et uniquement pour cette raison.
Laurent Garde écologue au CERPAM Thèse soutenue par les historiens
Exemple le parc du Gévaudan qui ne connaît pas le nombre de loup en captivité et qui n’a jamais tenu de registre de naissance ou de mortalité! La aussi reste a savoir dans quel but?
A ce jour aucune trace de braconnage n’a été trouvée en France. Alors que férus qui nous parle de la formidable cohabitation en Italie oublie de préciser que ce sont 300 loups braconné par an cf WWF