BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

lundi 27 juillet 2015

LOUP, LES ÉCOLOGISTES ONT TROUVÉE LA SOLUTION POUR L’ÉRADICATION DU PASTORALISME

Petit à petit, la finalité se précise.
Une finalité orchestrée de main de maître par les écologistes au service des multinationales qui vont pouvoir financiariser les terres abandonnées par les derniers  agriculteurs proposant des produits de qualité dans la proximité, la durabilité, la traçabilité et le respect.
Il est évident que sans l'aide des intégristes pros loups manipulés par des décideurs qui ont des vues sur nos terres et qui n'ont rien à voir avec la biodiversité, la tache serait plus ardue.

"L’écologie n’existe que par la finance. L’idéologie de l’UICN est que tout s’achète, tout se vend y compris la nature. Le syndicat agricole « La coordination rurale » n’entend pas se faire Acheter et le dit clairement"

Dans les pays ou les autochtones n'ont pas de titre de propriétés, la délocalisation tourne à plein régime:


Analysons donc ce que les fondamentalistes appellent le "BLABLA" des éleveurs:

Depuis le début de l’estive, le bilan s’alourdit pour les bergers de Valmeinier. Le troupeau d’Isabelle Dalbier diminue quotidiennement. En quelques jours, onze carcasses de brebis ont été retrouvées et deux sont encore disparues.
L’Office national de la chasse et de la faune sauvage a confirmé qu’il s’agit bien d’attaques de loups. Elles auraient eu lieu entre 4 heures et 6 heures du matin, à proximité des habitations du village.

Le maire, Philippe Baudin, déplore cette situation qui devient inquiétante pour les moutonniers. Ils seraient prêts à quitter Valmeinier pour éviter de trop grandes pertes.

C'est la plus importante attaque depuis le début de l'année dans la Drôme: 50 brebis tuées, blessées ou disparues à Lus-la-Croix-Haute. L'éleveur découragé redescend de la montagne. Le maire de la commune se dit désemparé.
L'éleveur n'en peut plus. Il va faire descendre son troupeau, il quitte l'estive. C'est aussi un coup dur pour la biodiversité. Des espaces qui ne sont plus pâturés par les moutons finissent par se refermer et se couvrir de forêt. Le maire de Lus-la-Croix-haute Alain Matheron partage le désarroi de l'éleveur, il en appelle à un arrêté préfectoral de prélèvement pour abattre un loup, même si ce serait une solution tardive. (et qui ne changera rien au problème! ndlr. Vouloir réintroduire des loups dans les zones d’élevage n'a rien à voir avec la protection de la nature! )
http://www.francebleu.fr/infos/drome/drome-cinquante-brebis-victimes-du-loup-lus-la-croix-haute-2503171

Trop, c'est trop! Après deux attaques consécutives attribuées aux loups sur ses brebis dans les alpages de la communes des Costes, René Galland a donc décidé de rentrer ses brebis. 540 brebis sont donc descendus de leurs alpages. Un véritable gâchis pour l'éleveur.
http://www.dici.fr/actu/2015/07/31/hautes-alpes-exaspere-loup-un-eleveur-descend-540-brebis-alpages-valgaudemar-624840
 
E.E.L.V. ne cache pas sa véritable vocation au service de l'ensauvagement et se distingue une fois de plus dans la propagande xénophobe envers les ruraux qui dérangent leurs plans pour l'ensauvagement aux cotés des requins de la finance:
"les grands prédateurs et les éleveurs, ce n’est pas nouveau. Il y a des pays d’Europe où cela se passe bien. Regardons où cela se passe bien car on ne va pas tuer tous les prédateurs pour aider nos éleveurs "
(d'autant plus qu'il est prévu de fortes restrictions à l’élevage pour que le pastoralisme ne gène pas les grands prédateurs! WWF, UICN, LCIE ndlr)

Regardons donc un peu chez nos voisins:

LOUP, EN ITALIE TOUT VA DE MIEUX EN MIEUX

LOUP, LA COHABITATION EN SUISSE (Valais - Abandon cette année de l'alpage de l'Inalpe en raison de la présence du loup (vidéo à voir à la minute 4) Une conséquence économique et écologique importante.)


Pour les illuminés responsables politiques de E.E.L.V. la biodiversité est représentée par cette image publiée pour leur campagne Européenne dans le plus grand mépris des électeurs auquel s'adresse le message:

Notre avenir, notre biodiversité, notre Europe


choisir une image émotionnelle, qui n'a rien à voir avec la réalité,  à des fins idéologiques, nous montre l'ampleur de la perte de libre arbitre des écologistes et leur mépris envers la population à laquelle s'adresse le message!

Voici de quoi faire blêmir les fanatiques de l'ensauvagement:

Dans un avis paru au Journal officiel européen du jeudi 23 juillet, le Comité économique et social européen (Cese) revient sur le thème « L’accaparement des terres : une sonnette d’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale ».

Au niveau européen, les chiffres indiquent que « 1 % des entreprises agricoles contrôlent 20 % des terres agricoles de toute l’Union européenne, et 3 % contrôlent 50 % des terres agricoles ».ON PARIE COMBIEN QUE CES ENTREPRISES SONT POUR LE LOUP ET COPAINS  COPAINS  AVEC LES ÉCOLOS?

Ci dessous en italique quelques extraits à des millions d'années lumières des justificatifs utilisés pour la réintroduction des grands prédateurs et arranger les affaires des requins de la finance : (dans ces zones, il faut de fortes restrictions a l'élevage traditionnel pour ne pas déranger les grands carnivores../ .. Mais il faut aussi des territoires inadaptés à sa présence: "Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)

WWF, UICN, LCIE
3.4. L’on constate en Europe une corrélation entre la réduction du nombre des unités de production agricole et la baisse du nombre des personnes employées dans l’agriculture. Ainsi, entre 2005 et 2010 par exemple, dans les pays d’Europe orientale, en particulier dans les États baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie), le nombre d’unités de production s’est considérablement réduit et, parallèlement à cela, l’on a assisté aux plus fortes baisses du besoin en main-d’œuvre (de 8,9 % par an en Bulgarie et en Roumanie et de 8,3 % par an dans les États baltes). En Irlande et à Malte, au contraire, le nombre des exploitations agricoles a augmenté et, avec elles, la demande de main-d’œuvre dans le secteur agricole.

4.1. Dans les pays où se produisent la concentration et les acquisitions de terres, celles-ci provoquent un recul du modèle agricole européen caractérisé par l’exploitation agricole familiale au profit d’une production agricole industrielle à grande échelle.

4.3. L’accaparement des terres agricoles et la concentration de la propriété foncière aboutissent à l’éviction des exploitations agricoles qui utilisaient jusqu’à présent ces surfaces, ce qui se traduit par des pertes d’emploi et une diminution des possibilités de vie dans les zones rurales. Ce processus est généralement irréversible, sachant qu’il est très difficile pour les petits producteurs ou pour les nouvelles exploitations (et les jeunes agriculteurs) d’acquérir des terres et de prendre pied dans ce secteur économique lorsqu’ils ne disposent pas d’un capital suffisant.

4.4. Bien que la Banque mondiale se soit efforcée de mettre en avant les aspects positifs de l’accaparement des terres, tels que les gains d’efficacité, l’innovation et le développement, de nombreuses organisations et mouvements de la société civile critiquent ce phénomène. Elles estiment qu’il cause des dommages à l’environnement, une dégradation des terres et un dépeuplement des zones rurales, où se développe, en lieu et place d’une agriculture durable, une vaste industrie agricole fondée sur la monoculture.

4.6. Willis Peterson, chercheur à l’université du Minnesota, affirme d’ailleurs que les petites exploitations agricoles familiales sont au moins aussi efficaces que les grandes entreprises agricoles. L’affirmation selon laquelle une concentration des surfaces agricoles génère des récoltes plus importantes n’est pas non plus démontrée par les faits ( 4 ). Des données de la FAO indiquent le contraire, étant donné que, dans le monde, 90 % des exploitations agricoles sont des exploitations agricoles familiales, qui gèrent 75 % des terres agricoles et produisent 80 % des denrées alimentaires du monde entier.

5.1. Le CESE a constaté avec satisfaction que les Nations unies ont proclamé l’année 2014 «Année internationale de l’agriculture familiale». Il s’est en plusieurs occasions employé à souligner l’importance stratégique de l’agriculture familiale pour garantir la sécurité alimentaire et le développement rural, et à porter celle-ci davantage dans les débats de société.

5.3. La vie et le travail sur la terre et au sein du monde agricole qui reposent sur des entreprises familiales et sont socialement et écologiquement appropriés s’appuient, dans la plupart des régions de la Terre, sur une tradition vieille de milliers d’années. Là où il existe une sécurité juridique et une fiabilité politique, dans le monde entier, les exploitations relevant de l’agriculture familiale se sont révélées stables, voire supérieures, par rapport à d’autres systèmes agricoles.

5.4.1. Les exploitations agricoles familiales ainsi que les coopératives agricoles jouent un rôle actif dans les structures économiques des zones rurales. L’appartenance de ces exploitations à des organisations coopératives et professionnelles est d’une importance essentielle pour leur stabilité et leur flexibilité. Les exploitations agricoles préservent le patrimoine culturel et la vie rurale, contribuent à la densité de la vie sociale en milieu rural, génèrent des produits à forte valeur ajoutée, utilisent les ressources naturelles de manière durable et veillent à une large dispersion de la propriété dans les zones rurales.

5.4.5. Un grand nombre d’exploitations possède une valeur en soi dans la perspective de la survie de l’humanité, étant donné que celles-ci garantissent à un plus grand nombre de personnes des compétences et des connaissances relatives à la production de denrées alimentaires et, partant, assurent les bases nécessaires à la survie des qualifications et des connaissances requises, même en période de crise. Si l’on veut que l’agriculture familiale puisse constituer une alternative viable à l’agriculture industrielle et à l’accaparement des terres, qui est l’une de ses manifestations, il convient de prendre des mesures actives pour protéger les exploitations agricoles familiales, notamment des mesures destinées à promouvoir les organisations de producteurs et d’autres pour lutter contre les pratiques commerciales déloyales. Des actions politiques, tant à l’échelon de l’Union européenne qu’au niveau national, peuvent contribuer à rendre l’agriculture familiale plus durable et plus résistante ( 5 ).

6.16. Les communautés locales doivent être associées aux décisions relatives à l’utilisation des terres, ce qui signifie également qu’elles doivent se voir accorder davantage de droits et de possibilités.


6.14. La terre agricole est une ressource naturelle limitée; l’accaparement des terres représente donc une menace pour la mise en œuvre des objectifs formulés aux articles 39 et 191 du TFUE. Le CESE invite dès lors instamment la Commission européenne et le Parlement européen à s’engager activement dans la réglementation de la gouvernance foncière.

Avis du Comité économique et social européen sur le thème «L’accaparement des terres: une sonnetted’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale»

mardi 21 juillet 2015

CAP LOUP, NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN!

NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN!
Je cite Cap Loup:

"Le retour du loup est un signe de bonne santé de nos écosystèmes. Il pourrait être valorisé par un tourisme vert, comme le font l’Espagne et l’Italie où les loups sont 5 à 7 fois plus nombreux qu’en France et où des milliers de touristes français se rendent chaque année pour voir des loups. Au lieu de ça, l’État cède aux lobbies agricoles en menant une politique de tirs qui empêche toute cohabitation pérenne entre le loup et l’élevage."
(Faut pas avoir froid aux yeux!)

J'analyse:

  • "Le retour du loup est un signe de bonne santé de nos écosystèmes"

« Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). » (CNRS)
Merci les éleveurs à qui ont a rien demandé avant de réintroduire le loup!


  • "Il pourrait être valorisé par un tourisme vert, "

Ha, mais je croyais qu'il s'agissait de respecter la biodiversité et la faune sauvage!
J'ai tout faux?
 Ce qui compte c'est donc bien:
La délocalisation et la main mise sur les terres que nous avons su garder riches en biodiversité pour faire du tourisme de classe internationale?
 Contrecarrer le tourisme familial et accessible à tous, généré par le pastoralisme depuis des lustres pour en faire profiter les multinationales?

Petit extrait de la morale des écologistes: ""Dans cette étude, nous avons calculé non seulement le revenu par chasseurs, mais aussi par les activités découlant de la taxidermie, la gestion et l'entretien des lieux, la coordination des raids, la restauration ou l'occupation de places Hôtels par les chasseurs." sans commentaires! 

Voici une approche du tourisme vert en Inde:
Interviewé en 2012 par Survival International, le mouvement mondial pour les droits des peuples indigènes, Sukhdev déplorait : ‘Nous ne retrouverons jamais un endroit comme celui-là. Comment pourrions-nous nous installer ici? Comment allons-nous élever nos enfants? Nous avons besoin de nos champs et de nos maisons… Allons-nous mourir?’
Mais bon, puisque les tigres sont sauvés, que le WWF, qui ferme les yeux sur les expulsions des tribus comme celle de Sukhdev continue à engraisser CAP LOUP pour qu'il puisse distiller ses mensonges et sa propagande fondamentaliste, pas de quoi en faire un plat!
Lire ce communiqué en ligne: http://www.survivalfrance.org/actu/10855
Voir le reportage de Canal Plus (à partir de la 37ème minute).

  • "l’Espagne et l’Italie où les loups sont 5 à 7 fois plus nombreux qu’en France "
Chiffre officiel du nombre de loup en France et chiffres officiels des victimes loups:

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés
2015 = on nous annonce 282 loups alors que nous allons dépasser les 10 000 victimes et que le loup est signalé dans les Pyrénées!
QUI PEUT CROIRE A CETTE MASCARADE?

  • "l’État cède aux lobbies agricoles en menant une politique de tirs qui empêche toute cohabitation pérenne entre le loup et l’élevage."


Voici les directives des associations regroupées chez Cap Loup pour la cohabitation pérenne:

Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.

Dans les Alpes du sud, la richesse floristique est parfois plus grande sur les pistes de skis que dans les pâturages !

Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal!

"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages !"



Inutile de dire que avec l'application des règles de cohabitations prônées par cette dictature au service de la financiarisation de la nature, il n'y aura plus de problème pour le loup ! Et ses défenseurs seront peut être grassement remerciés par les requins de la finance, ou peut être pas. Par contre les derniers hommes vivant de et avec la nature, proposant des produits de qualité, dans le respect, la proximité et la traçabilité auront bel et bien disparu ! 
"Dans les zones où évolueront les grands prédateurs il faut de fortes restrictions à l'élevage pour que le pastoralisme ne les dérange pas"
"Dans les zones destinées à l'élévage intensif (29 projets en cours (20 000 laitières, 63 000 porcs, 250 000 poulets...)) sa présence sera inappropriée renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/. ! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut ! ndlr) par UICN, WWF, LCIE organismes chapeautant et engraissant ses pions, en l'occurrence ici les associations environnementales
          
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !

LOUP, LA DISPARITION DE L'ELEVAGE A L'HERBE SE MET EN PLACE

Extrait du Communiqué de Mme Ségolène Royal, Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie.
Paris, le 18 juillet 2015

"Par   ailleurs,   Ségolène   Royal   engage   une   démarche   auprès   de   la   Commission
européenne et de la Convention de Berne pour que les modes de gestion du loup
soient adaptés en fonction de l’importance de sa présence sur le terrain, comme en
Espagne où deux modes de gestion du loup existent."


Tout cela a été prévu dés 1997 par les instances qui s'occupent de réensauvager des millions d'hectares en Europe

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS


 à des fins financières:
LOUP, LA FACE CACHÉE DES DÉFENSEURS DE LA NATURE

Quelques extraits de 

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS, TOME II


« Page 20 - L’Etat devrait pouvoir affirmer clairement que la population de loups a vocation à s’étendre sur le territoire français, mais pas nécessairement dans toutes les zones. 4.2.4 Déterminer des zones différenciées de colonisation:
     -Des territoires confortés, adaptés et soutenus face à la présence de loups. Ces espaces pourraient correspondent aux massifs montagnards colonisés actuellement (Alpes du Nord et du Sud) et en colonisation prévisionnelle (Jura, Vosges, Pyrénées) ! Dans ces zones (définies par les dirigeants sans aucune concertation avec la population concernée ndlr), sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »
  • Des territoires inadaptés à sa présence: Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?, je vais vous en parler plus bas. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)

Alors, vous commencez à comprendre pourquoi les biens pensants vous préconisent des mesures de protections aussi inefficaces les unes que les autres, ce n'est pas par hasard! Le petit élevage extensif est condamné au profit de l'élevage industriel et du tourisme de classe internationale.





lundi 20 juillet 2015

LOUP, DANS LE HAUT DIOIS ON SE MOBILISE

A l’occasion du passage du tour de France, les enfants en vacances à la ferme se sont mobilisés pour faire connaître leur solidarité, aux côtés de la population du Haut Diois, contrainte et forcée de subir la folie des défenseurs du loup!

























Et voilà le résultat





"« l’idée qu’un animal comme le loup puisse vivre librement dans les zones hyper urbanisées et cultivées de l’Europe centro-méridionale sans créer de problèmes pour la vie humaine, tant par les prédations sur le bétail et autres animaux domestiques que par le risque d’agression sur l’homme (...) ». est inadmissible pour n’importe quel être humain censé, d’autant plus inadmissible que cette personne censée ne sera jamais concerné par la prédation ! Encore plus inadmissible de la part des écologistes dont la seule participation à la cohabitation se borne à la stigmatisation des acteurs ruraux à qui ils ont imposés cette cohabitation !


Que le loup vive ! oui, au milieu de ses proies sauvages à chasser, en agissant pleinement selon sa nature. Mais bien loin des humbles brebis, parce que, quand il est à son tour dévoré par les affres de la faim, il est obligé de se transformer de merveilleux chasseur en misérable cambrioleur assassin qui pénètre dans les espaces où sont enfermées ses victimes, et - célébrant son rite de tuerie - il en vi-vi-sec-tion-ne des dizaines, dans le sens qu’il les dévore encore vivantes, sous les yeux des compagnes terrifiées qui ne peuvent s’enfuir.
Et il n’y a pas de réparations pour le dommage, la douleur et le stress des humains et des animaux, et pas non plus de dissuadeurs (rapidement ridiculisés par l’intelligence des prédateurs), de chiens de troupeau (dévorés) ou d’enclos avec des treillis soudés (franchis en creusant sous les bordures de béton enterrées) qui tiennent. L’impossible projet, sur ces terres, n’aurait même pas dû être une hypothèse, si sa faisabilité avait été évaluée avec une approche réaliste et une responsabilité de compétences. Lucia Morelli,psychosociologue


mercredi 15 juillet 2015

ÉCOLOGISTES, LES ADEPTES DU BLABLA VONT POUVOIR EN RAJOUTER

13 JUILLET 2015, dans le haut diois, feu d'artifice pour le loup:

Valdrôme, 21 heure, le troupeau se présente pour rentrer dans le parc de nuit.
 Une aberration par ces temps de canicule où les animaux ont du mal à se nourrir pendant la journée.  Mais l’implacable logique imposé par des écologistes vivant sur une autre planète, fait que nous devons travailler à contre sens de la raison. Travailler de telle sorte que la branche de la filière ovine, respectueuse envers les animaux et la nature, proposant des produits de qualité labellisés, dans la proximité et la traçabilité se voit contrainte d'appliquer des normes d'élevage se rapprochant de plus en plus de l'élevage industriel confiné et nourrit artificiellement.

21 heure donc, au moment ou la bergère doit rester vigilante pour que tout le monde se mette à l'abri, le loup qui a épié le troupeau toute la journée en attendant le moment propice, se jette sur une agnelle en queue du peloton.
Que faire, courir, hurler après le prédateur, ce qui est fortement déconseillé et très risqué, mais ce qui n'a pas empêché le loup d'égorger sa victime, avant finalement de fuir face à la détermination de l'inconsciente mais courageuse bergère qui n'a pas respectées les consignes dictées par l'ONCFS:
 "Ne jamais empêcher le loup d'accomplir son forfait car les risques encourus sont très importants"

Au 26 juin 2015, avant la montée en Alpage, dans la Drôme, nous déplorons 86 ovins, 1 caprin, 1 bovin et 1 équin. Un chiffre en bonne voie pour être multiplié par deux ce mois ci !

Le nombre de bêtes attaquées par les loups a augmenté de 30% en 2014, ce qui n’empêche pas les écologistes d’affirmer que la population des prédateurs est en forte baisse! 

 la journée du 13 juillet autour de chez nous  (liste non exhaustive!)

Hautes-Alpes : c'est le troupeau de Vincent Briançon, au hameau de Glaise, au dessus de Veynes, qui a été la cible d'une attaque attribuée au loup dans la nuit de lundi à mardi.Quinze brebis ont été tuées et quinze autres sont blessées.
Drôme : Treschenu Creyers une attaque sur un troupeau d'Ovins, je n'ai pas le détail des victimes
Bouvante , un veau, Valdôme une agnelle

Sud Isère : Deux chiens de berger ont attaqué et blessé sérieusement une randonneuse , un dégât collatéral du aux exigences des écologistes qui n'hésitent pas à porter plainte après nous avoir contraint à posséder des chiens qui deviennent incontrôlable après quelques attaques. Une manière de bien affirmer qu'ils ne veulent subir aucune des contraintes liées à la présences des loups.



Quel blabla pour cette journée du 13 juillet!

samedi 11 juillet 2015

LOUP, POUR L' A.S.P.A.S. AUCUNE MORALE, AUCUNE ETHIQUE, RIEN!

Un tout petit extrait des "déclarations de l'ASPAS pour la masturbation intellectuelle de ses adeptes:"

Les « tirs de défense » (tuer un loup près du bétail) peuvent être autorisés pour un troupeau qui n’a jamais été attaqué. Les « tirs de prélèvement » (tuer un loup loin du bétail) se font au hasard, sur des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail. Ces animaux protégés sont donc détruits de la même manière que les « nuisibles », et sans justification de défense des brebis ! Or, les efforts devraient porter sur la protection des activités agricoles, et non sur la destruction de la faune.

Autre jour autre, autre "fallacité":
Le loup y est traité de façon pire qu’une espèce « nuisible », avec l’abattage organisé de 36 individus pour la saison 2015-2016, jusqu’en cœur de parc national, et sans encourager les éleveurs à protéger leur bétail.

Les « tirs de défense » (tuer un loup près du bétail) peuvent être autorisés pour un troupeau qui n’a jamais été attaqué.

Les défenseurs du loup, avait proposé le droit de tir de défense a condition:
-Que les attaques soit récurrentes et
- Que les dégâts soient importants;

Traduction: "il faut que la meute s'habitue à s'en prendre aux animaux domestiques, et pour affaiblir le pastoralisme, il faut que les dégâts soient importants avant de commencer à se défendre, en espérant que l'élevage soit anéanti avant que l'éleveur puisse réagir!"

"Les « tirs de prélèvement » (tuer un loup loin du bétail) se font au hasard, sur des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail."

Ah bon, alors que les défenseurs pleurnichent sur la rareté des loups (utilisant le mensonge de 282) qui ont fait plus de 9000 victimes en 2014, sans compter les disparues non comptabilisés, ni les victimes de particuliers non classés éleveurs, ni les victimes isolées non déclarées pour éviter les pertes de temps, on aurait donc la chance de trouver "des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail?" en France.
L'ASPAS n'a vraiment peur de rien, mais il est vrai que pour embobiner les adeptes de l'idéologie fondamentaliste, il n'y a pas de gros efforts à fournir. La quasi totalité d'entre eux étant pré-conditionnés dés le plus jeune age par des intervenants à la solde de ceux qui ont des intérêts financiers dans l'abandon des terres pour l'ensauvagement. Nous en avons la preuve dans notre petite commune!

La plupart des grands journaux n'hésitent pas à renoncer aux aussi à toute déontologie pour faire de l'idéologie. Nous en avons une démonstartion ici.

Mais retournons à nos moutons, si le loup nous en laisse le loisir:
"Or, les efforts devraient porter sur la protection des activités agricoles, et non sur la destruction de la faune."
"... et sans encourager les éleveurs à protéger leur bétail." (plus de 12 millions d'euro pour des mesures de protections  rapidement ridiculisés par l’intelligence des prédateurs)

Voici les propositions de l'ASPAS pour la protection des activités agricoles qui dérangent le loup:

"Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique."

"Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"

"L'ASPAS demande le retrait des moutons dans les parcs nationaux"

"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, (les propriétés des éleveurs et bergers. ndlr) et non les animaux sauvages !"

Une fois tout cela mis en place il n'y aura effectivement plus de conflit avec le prédateur. Mais ont ils pensé qu'un de leur principal partenaire, Rewilding Europe, n'aura plus besoin de l'ASPAS pour réaliser son chiffre d'affaire et fera donc des économies de sponsorisations?

Rewilding Europe? L'ASPAS condamne le pastoralisme mais se félicite du partenariat avec :
Rewilding Europe / = réensauvager l’Europe/ est une initiative du WWF des Pays Bas, des organisations ARK nature, Wild Wonders of Europe et de Conservation Capital, visant à réensauvager des zones entières de l’Europe.  l’une des organisation fondatrice.
 Conservation Capital est un praticien spécialisé leader dans le domaine émergent des
entreprises de conservation et le financement de l'investissement commercial connexe. Collectivement, notre équipe a structuré les opérations de développement et de conservation dans plus de 20 pays à travers l'Afrique et l'Europe d'une valeur globale de plus de 200 millions de dollars US, générant des revenus annuels de plus de 25 millions de dollars US. » http://www.conservation-

En conclusion l'ASPAS ne craint pas plus le ridicule que l'ensembles des associations de défense du loup, je cite:
"Madame Royal promeut sans rire la « démocratisation du dialogue environnemental » mais refuse de recevoir les associations de CAP Loup* qui l’interpellent depuis un an, tandis qu’elle accueille, dans le même temps et à bras ouverts, les extrémistes anti-loups dès qu’ils le demandent et s’empresse de satisfaire leurs doléances."

je réponds:
"quelle est la différence entre un extrémiste qui défend ses idées* parce "qu'il culpabilise de s'apercevoir qu'il ignore sa condition de vie dans son rapport réel avec les choses qui la fondent et qui ne s'aperçoit pas qu'en somme il n'existe pas", et un extrémiste qui défend "sa vie en contact étroit avec la nature et pour qui il n'est pas loisible de se contredire et de la** contredire, car il en mourrait"!

*complètement abstraites
** la nature
Gavino Ledda (padre padone II)

Dans le même chapitre, la LPO condamne le pastoralisme mais se félicite du partenariat avec AREA!


jeudi 9 juillet 2015

LOUP, QUAND L'AFFECTIF "DÉVORE" LA RAISON

« Ouragan, le loup est un magnifique, vous entendez, MAGNIFIQUE, animal »










Un cri de détresse de la part d'un adorateur du loup adressé à ceux qui restent seuls face à leurs animaux massacrés, pire, qui sont devenu les parias de cette société qu’ils ont choisie d’éviter en restant ou en retournant à la terre pour en être le plus proche et le moins nuisible possible. 



En conclusion de cette affaire, aux souffrances atroces qui peuvent et doivent être épargnées aux hommes comme aux animaux, nous pouvons dire que n’importe qui peut se réjouir à l’idée que le mythique loup vive libre, à coté de nous ....
Que le loup vive ! oui, au milieu de ses proies sauvages à chasser, en agissant pleinement selon sa nature. Mais bien loin des humbles brebis, parce que, quand il est à son tour dévoré par les affres de la faim, il est obligé de se transformer de merveilleux chasseur en misérable cambrioleur assassin qui pénètre dans les espaces où sont enfermées ses victimes, et - célébrant son rite de tuerie - il en vi-vi-sec-tion-ne des dizaines, dans le sens qu’il les dévore encore vivantes, sous les yeux des compagnes terrifiées qui ne peuvent s’enfuir.
Et il n’y a pas de réparations pour le dommage, la douleur et le stress des humains et des animaux, et pas non plus de dissuadeurs (rapidement ridiculisés par l’intelligence des prédateurs), de chiens de troupeau (dévorés) ou d’enclos avec des treillis soudés (franchis en creusant sous les bordures de béton enterrées) qui tiennent. L’impossible projet, sur ces terres, n’aurait même pas dû être une hypothèse, si sa faisabilité avait été évaluée avec une approche réaliste et une responsabilité de compétences. Lucia Morelli,psychosociologue




"« l’idée qu’un animal comme le loup puisse vivre librement dans les zones hyper urbanisées et cultivées de l’Europe centro-méridionale sans créer de problèmes pour la vie humaine, tant par les prédations sur le bétail et autres animaux domestiques que par le risque d’agression sur l’homme (...) ». est inadmissible pour n’importe quel être humain censé, d’autant plus inadmissible quand ces personnes qui promeuvent le loup ne seront jamais concernées par la prédation ! Encore plus inadmissible de la part des écologistes dont la seule participation à la cohabitation se borne à la stigmatisation des acteurs ruraux à qui ils ont imposés cette cohabitation !


Ceux qui en sont les promoteurs ont des préoccupations autre que la biodiversité   (il faut de fortes restrictions aux élevages à l’herbe)    et utilisent des pions qui auront des comptes à rendre aux génération futures. Contrairement aux minorités vivant de et avec la nature, stigmatisées par ces évangélistes à qui ont fait miroiter le Paradis en leur faisant croire qu’ils sont les élus qui doivent réparer les exactions de nos sociétés !

LOUP, ESPAGNE ET COHABITATION


Février 2015, un bilan européen des attaques de loups en Espagne : situation dramatique pour les bovins 
Extraits de l'analyse et la traduction de Bruno Besche Commenge. ASPAP/ADIP

En février 2015, la Commission européenne a publié un document en espagnol intitulé « Prédation du
loup sur les bovins – Caractérisation du conflit et propositions pour le réduire »  Les travaux préparatoires se sont déroulés en 2013-14 sous la coordination de l’Institut d’Écologie Appliquée (Luigi Boitani président depuis 1987) et la supervision de la LCIE, Initiative Européenne pour les Grands Carnivores (c’est à dire encore et toujours Luigi Boitani ).


En mettant en parallèle l’augmentation du cheptel bovin dans ces zones à loup et la même augmentation dans les autres régions de la péninsule, l’auteur « oublie » un élément essentiel. En effet, sur tout l’arc Nord-Portugal, Galice, Asturies, Cantabrie, très impacté par le loup, les éleveurs ont modifié la proportion gros et petit bétail de leur cheptel justement à cause de l’impact des loups sur chèvres et brebis. Dans les Asturies, cela a eu des conséquences dramatiques sur la fabrication fromagère. 

Mais les loups se sont adaptés et attaquent bovins et équins ce qui entraîne une autre conséquence tout
aussi dramatique : la baisse du nombre de bovins en estive, c’est ce qui se passe par exemple depuis plusieurs années dans le parc des Picos de Europa (Asturies) avec deux conséquences tout aussi dramatiques :
- un embroussaillement (le « matoral ») générateur d’incendies et de dégradation du milieu ;
- l’abandon par de nombreux éleveurs des races locales adaptées à ce milieu, et leur passage à
un élevage en stabulation avec des races dites améliorées.


Quant aux équins, dans les Asturies ce sont les « Asturcones » qui sont menacés : race locale d’origine
celte-ibère et très ancienne puisqu'elle fournissait une partie de leurs montures aux armées romaines. Intimement lié à sa sauvegarde, le parcours permanent en toutes saisons dans les sierras côtières et en toute liberté est un élément essentiel des caractéristiques de la race et je connais personnellement des éleveurs qui en arrivent à ce paradoxe, pour eux un déchirement, de ne plus mener leurs plus belles bêtes dans ces sierras et les garder en clôture dans leurs près dans la banlieue d’Oviedo, capitale des Asturies, pour ne pas les livrer en pâture aux loups !



L'avis d'Ouragan

Dans cet exposé, nous touchons la réalité de l'impact du loup en Espagne, mais pas avec la propagande des écologistes fondamentaux. Simplement à partir d'un rapport de l'Europe:

"Les défenseurs du loup auront du mal à ne pas accepter les conclusions de ce rapport, il convient de savoir que Boitani, grand pape du loup, siège dans la plupart des commissions européennes et nationales pour son protégé.


Comment la propagande va t'elle justifier cette merveilleuse cohabitation en Espagne dés lors que l'Europe se sent obligé d'intervenir tellement la situation est critique" 

 "Les mêmes conséquences dues aux prédateurs induisant tous les jours les mêmes constatations en Franceen Italie et ailleurs, pour le plus grand bonheur de l'industrie agroalimentaire et des requins de la finance qui investissent dans la biodiversité avec l'aide des écologistes pervertis! "

"Au fur et à mesure que les éleveurs caprins et ovins se recyclent, on voit la part des attaques se déporter vers les bovins:
Exemple en  Panéda Gérês  
en 1996:
- les caprins absorbent 37% des attaques                   contre 27% en 2012
-les ovins absorbent 27%des attaques                         contre 17% en 2012
-les équins absorbent 22% des attaques                      contre 21% en 2012
-les bovins absorbent 14% des attaques                      contre 35% en 2012
Cette caractéristique de l'adaptation des loups est constante dans toutes les régions étudiées avec des variations selon les provinces." cf tableaux ci dessus
                    
"Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur, l’abondance et l’accessibilité des proies, la probabilité de rencontres avec la proie, la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle, la probabilité de succès de la chasse, le risque de blessure, la profitabilité de la proie, les conditions environnementales. (donc adieu le mythe du loup qui se nourrit d’espèces sauvage. Quand il a goutté aux proies faciles plus rien ne le fera dévier)
le loup un animal merveilleux


"Voilà une fois de plus les mensonges des écologistes mis à bas. Cette fois ci sous la tutelle du pape du loup."

Voici démonté le mensonge sur la paisible cohabitation en Espagne

Un autre avis tout aussi percutant:

Contrairement au titre, ce rapport n’apporte aucune solution aux éleveurs (Caractérisation du conflit et propositions pour le réduire) il ne fait que répéter des mesures existantes pour les ovins. Rien de plus. L’objectif n’est pas de sauver l’élevage bovin mais de le faire disparaître comme l’élevage ovin tout en excluant les paysans des territoires de montagne et appliquer les objectifs de "re-wilding" actés en 1997 : Promouvoir des espaces vierges.

Ce rapport n’est qu’une manipulation idéologique. Il est sans intérêt mais présente un gros danger pour les espagnols et les autres pays si l'Espagne sert de référence aux illusionnistes de l'écologie.

 Autre analyse: En France, une élue écologiste de la région PACA préconisait de changer de type d’élevage pour répondre à la problématique des prédations de loups : passer de l’élevage d’ovins et caprins à l’élevage de bovins. Pour une élue, c’est faire preuve d’une profonde méconnaissance de la répartition des prédations en France et se voiler les yeux sur ce qui se passe dans les autres Pays à travers le monde.

Pour les puristes voici le document officiel en Espagnol:
Pour les autres, voici  une traduction partielle et son l'analyse en attendant mieux"
 PAR Bruno Besche Commenge Ex-Enseignant et chercheur (retraité) au centre de linguistique et de dialectique de Toulouse. Spécialiste de l'histoire des techniques agropastorales;
  • "Le savoir des bergers de Casabède" - Textes gascons pastoraux du Haut Salat (Ariège-Pyrénées)
    Edition : Toulouse : Université de Toulouse-le-Mirail, 1977. - 150 p
    Collection : Travaux de l'Institut d'études méridionales / Centre de Ressources Occitanes et Méridionales
  • " De la notion de race au concept de population - Les concours bovins en Ariège depuis 1823 ", Ethnozootechnie n° 28, pp. 59-74.- 1981
  • " Le concept de race - Mythe rationaliste ou pratique socio-économique ", Ethnozootechnie n° 29, pp. 43-59.- 1982
  • " La mère du bétail n'est pas encore morte. Culture technique et pensée symbolique : évolution et permanence dans les Pyrénées (1787-1987) ", Histoire et animal. Colloque Homme-Animal-Société. Sources, travaux historiques - 1988
  • Publications dans Les Cahiers d'Études Romanes (Toulouse)
    • "Un carnet de saillie" - N° 1 (1979)
    • "Le maïs mange, les brebis sont en sève ou les maîtres de l'herbe. Analyse sémantique du "glap" et du "reish", 8 mai 1980 - N° 2 (1981)