BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.

jeudi 13 août 2015

LOUP, LA F.N.O REMET L'EDUCATION DU LOUP AU MENU!

Mais comment font ils les adhérents pour s'y retrouver?

"Mais comment ? En lui infligeant par exemple un souvenir cuisant qui lui servira d’expérience à transmettre."

Tous ceux qui ont étudié la question sont unanimes!

Mais à la FNO on a de la suite dans les idées:

"On donne à la société humaine l'illusion de contrôler une espèce sauvage, déplore Jean-David Abel, de FNE....." certainement une des rares déclaration de la FNE pleine de bon sens et qui a le mérite de dire ce que devra être la cohabitation:
"Dans les zones ou évolueront les grands prédateurs, " (définies par les dirigeants sans aucune concertation avec la population concernée ndlr), sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »"
 A chaque fois que la FNO ou quiconque d'autre fait semblant d'oublier  cette conclusion de l'étude « Systèmes européens de subventions à l’élevage, et propositions de réformes favorables à la conservation des grands carnivores » pour le WWF, UICN, LCIE, à chaque fois donc, il faut se poser la question du but recherché par ceux qui proposent "leurs solutions" au problème de la cohabitation impossible.

En attendant, voyons comment la FNO envisage cette éducation:

  "Nous avons réussi à inverser les habitudes comportementales de certains loups grâce à un conditionnement aversif utilisant des captures, des balles en caoutchouc ou des bombes au poivre, livre Daniel Stahler, biologiste en charge du projet loup à Yellowstone. Mais ce conditionnement doit intervenir au moment où le loup agit : la technique ne fonctionne pas si vous le capturez plusieurs jours après la prédation."
"En capturant les prédateurs près du bétail, vous pouvez les amener à rester à l'écart pendant un jour ou deux ; mais s'ils ont faim, ils reviendront, poursuit-il. Tant que les humains, le bétail et les loups cohabitent dans le même écosystème, il n'existe pas de méthode permettant d'éliminer toute prédation."( expérimenté  et  utilisé  depuis  20  ans  par  les  équipes  scientifiques  en  charge  de  la réintroduction du loup au Yellowstone )


La capture ne peut pas forcer l'animal à quitter un territoire sur lequel il s'est installé ni l'éduquer à ne pas attaquer un troupeau, confirme Carter Niemeyer,(coordinateur de l'Idaho récupération loup pour l'US Fish & Wildlife Service.) qui rappelle que dans le Wyoming, l'Idaho et le Montana, les éleveurs et chasseurs tuent les loups avec lesquels ils ne parviennent pas à cohabiter.


Éduquer les loups... Il n'y a que les "Frenchies" pour oser sortir un truc aussi énorme. Et la nouvelle a même franchi l'Atlantique! Elle est reprise par la chaîne américaine Fox News dans le genre "incroyable mais vrai", les Français veulent éduquer le loup...
Le journal de Fox News, pour ceux qui parlent anglais !

LA FEDERATION OVINE EST SATISFAITE



Revenons aux déclarations de la FNO:


Cela n'est pas tout aussi simple, car le loup vit en meute avec des règles de société très strictes, dictées par la génétique et par l'acquis. Suite à des tirs et des prélèvements, si la meute se sent menacée ou se destructure, des mécanismes automatiques peuvent s'enclencher dits "épi-génétiques" (provoqués par l'environnement, des facteurs extérieurs).
C'est alors que 2, voire 3, femelles d'une même meute peuvent mettre bas, saillies par un mâle dominant ou plusieurs mâles. C'est ce qu'on appelle une meute à portées multiples, comme celle photographiée récemment en Saxonie.


On en arriverait donc à une situation en France qui pourrait s'apparenter à celle des sangliers et cochongliers, que la chasse n'arrive pas du tout à contrôler, à la différence près que ce sont les prélèvements eux-mêmes qui deviendraient la cause d'hybridation et d'un surpeuplement et non le résultat d'anciens croisements ou de lâchers.

Pour exemple, dans tous les pays où la chasse aux loups est autorisée (chasse à quotas donc), la population se porte à merveille, les problèmes de cohabitation sont récurrents et les hybrides prolifèrent.

LOUP, DEVENIR CHASSABLE NE RÉGLERA RIEN !

HÉ OUI, LE LOUP A DE BEAUX JOURS DEVANT LUI

C'EST A CEUX QUI VEULENT LA RÉINTRODUCTION DES PRÉDATEURS dans les zones d’élevage de pays à fortes densité humaine de faire en sorte que cela soit possible. 
Car si la seule possibilité qu'ils proposent c'est la restriction du petit élevage extensif à l'herbe, offrant des produits de qualité, dans le respect, la traçabilité, la proximité et la durabilité, alors qu'ils arrêtent de nous endormir avec des solutions qui ne servent que la cause du loup!

mercredi 5 août 2015

LOUPS, LES MERCENAIRES DU TOUT SAUVAGE FONT DES HEURES SUP!

URGENT – ALERTE : hurlements provoqués de loups ce soir en 06 et 04
L’ONCFS et le Parc National du Mercantour se lance une fois de plus dans une action en prévoyant ce soir à partir de 21h des hurlements provoqués de loups pour soi-disant les repérer notamment les jeunes à la tanière.
Sont concernées les communes suivantes :
  • Alpes-Maritimes : Dalluis
  • Alpes de Haute-Provence : Sausses, Castelet les Sausses, Le Fâ
Et notamment les secteurs pastoraux suivants : Pierre Grosse, Tête du travers et Sainte Honora

Selon les informations fournies, les hurlements seraient provoqués dans le 04. Les agents positionnés dans le 06 ne seraient là que pour compter.

Le risque est d’attirer des loups dans des secteurs qui, jusqu’ici, étaient préservés d’attaques notamment sur le 06 en bordure du 04.

Selon Louis Bernard, responsable de louveterie dans le 06, au "comportement double facette", contacté par un éleveur, il est trop tard pour arrêter le processus. Ce monsieur dit "prendre ses responsabilités". Facile pour un type qui ne paie pas et qui ne subit pas les prédations.

Une telle décision est la preuve que l’ONCFS comme le Parc National du Mercantour sont totalement ignorant des lieux où se trouvent les loups. Ce qui remet également en cause leur capacité à fournir les informations pour une évaluation sérieuse du nombre de loups.

A chacun d’évaluer son intérêt : laisser faire des fonctionnaires irresponsables attirer des loups vers les troupeaux ou les en empêcher par tous moyens.

Bon courage avec ces apprentis sorciers.

Message à faire circuler largement

samedi 1 août 2015

COLLECTIF DE PRÉSERVATION DES ACTIVITÉS AGROPASTORALES ET RURALES FACE A LA PRÉDATION DU LOUP

COLLECTIF DE PRÉSERVATION DES ACTIVITÉS AGROPASTORALES ET RURALES 
 FACE A LA PRÉDATION DU LOUP 


Association régie par les dispositions de la
loi du 1er juillet 1901 et du décret du 16 août 1901

 ARTICLE 1. – NOM

Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1
er juillet 1901 et le décret   du   16   août   1901,   ayant   pour   titre   :   « COLLECTIF   DE   PRÉSERVATION   DES   ACTIVITÉS AGROPASTORALES ET RURALES FACE A LA PRÉDATION DU LOUP ».

Le titre de cette association pourra être réduit au sigle « C.P.A.A.R.P.L. ».

ARTICLE 2. – OBJET

Cette association a pour objet la préservation des activités agropastorales et rurales face à la prédation du loup par tous les moyens légaux opportuns et notamment l’introduction d’action en justice.

ARTICLE 3. – SIÈGE SOCIAL

Le siège social est fixé au 3, Allée Piencourt – 48000 MENDE.

Il  pourra  être  transféré  par  simple  décision  du  conseil  d'administration  à  l’occasion  d’une  assemblée générale ordinaire ou extraordinaire.

ARTICLE 4. – DURÉE

La durée de l’association est illimitée.

ARTICLE 5. – COMPOSITION ET ADMISSION

L’association  est  ouverte  à  tous,  personne  physique  ou  personne  morale  représentée  par  son  Président, ainsi que toute collectivité locale et/ou territoriale représentée par son représentant légal, dès lors que le règlement de la cotisation annuelle a été acquitté.

ARTICLE 6. – MEMBRES ET COTISATIONS

Sont membres actifs ceux qui ont dûment réglé leur cotisation annuelle.

Le montant de la cotisation peut être révisé chaque année par le Conseil d’administration à l’occasion de l’assemblée générale.

ARTICLE 7. – RADIATIONS  

La qualité de membre se perd par :
a)   La démission;
b)  Le décès;
c)   La radiation prononcée par le conseil d'administration pour non-paiement de la cotisation.

 
ARTICLE 8. – RESSOURCES

Les ressources de l'association comprennent :
1° Le montant des cotisations ;
2° Les subventions de l’Union européenne, de l'Etat, des départements, des EPCI et des communes ;
3°   Toutes les ressources autorisées par les lois et règlements en vigueur.

ARTICLE 9. – ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE

L'assemblée générale ordinaire comprend tous les membres de l'association à quelque titre qu'ils soient.

Elle se réunit une fois par an.

Sept  jours  au  moins  avant  la  date  fixée,  les  membres  de  l'association  sont  convoqués  par  les  soins  du secrétaire. L'ordre du jour figure sur les convocations.
Le président, assisté des membres du conseil, préside l'assemblée et expose la situation morale ou l’activité de l'association.
Le trésorier rend compte de sa gestion et soumet les comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe) à l'approbation de l'assemblée.
Ne peuvent être abordés que les points inscrits à l'ordre du jour.

Les décisions sont prises à la majorité des voix des membres présents ou représentés.

Toutes les délibérations sont prises à main levée, excepté l’élection des membres du conseil.
Les décisions des assemblées générales s’imposent à tous les membres, y compris absents ou représentés.

ARTICLE 10. – ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE

Si besoin est, ou sur la demande de la moitié plus un des membres inscrits, le président peut convoquer
une assemblée générale extraordinaire, suivant les modalités prévues aux présents statuts et uniquement
pour modification des statuts ou la dissolution.

Les modalités de convocation sont les mêmes que pour l’assemblée générale ordinaire.
Les délibérations sont prises à la majorité des deux tiers des membres présents.

ARTICLE 11. – CONSEIL D'ADMINISTRATION

L'association  est  dirigée  par  un  conseil  de  5  membres,  élus  pour  3  années  par  l'assemblée  générale.  Les membres sont rééligibles.

En cas de vacances, le conseil pourvoit provisoirement au remplacement de ses membres. Il est procédé à leur remplacement définitif par la plus prochaine assemblée générale. Les pouvoirs des membres ainsi élus prennent fin à l'expiration le mandat des membres remplacés.

Le  conseil  d'administration  se  réunit  au  moins  une  fois  par  an,  sur  convocation  du  président,  ou  à  la demande du quart de ses membres.

Les décisions sont prises à la majorité des voix; en cas de partage, la voix du président est prépondérante.

Tout membre du conseil qui, sans excuse, n'aura pas assisté à trois réunions consécutives sera considéré comme démissionnaire.


ARTICLE 12. - RÈGLEMENT INTÉRIEUR

Un  règlement  intérieur  peut  être  établi  par  le  conseil  d'administration,  qui  le  fait  alors  approuver  par l'assemblée générale.

Ce règlement éventuel est destiné à fixer les divers points non prévus par les présents statuts, notamment ceux qui ont trait à l'administration interne de l'association.


ARTICLE 13. – DISSOLUTION

En cas de dissolution prononcée selon les modalités prévues à l’article 12, un ou plusieurs liquidateurs sont nommés,  et  l'actif,  s'il  y  a  lieu,  est  dévolu  conformément  aux  décisions  de  l’assemblée  générale extraordinaire qui statue sur la dissolution .

jeudi 30 juillet 2015

LOUP, LES ÉCOLOGISTES RÉCIDIVENT SANS ÉTAT D'ÂME

Et pourtant bien de l'eau a coulé sous les ponts depuis la publication de cette propagande mensongère ou tout est sinon inventé, pour le moins largement dépassé par la réalité!


1 er DOCUMENT RÉALISE EN 2013 POUR RÉTABLIR LA VERITE

PASTORALISME, pour en finir avec les contre-vérités sur le LOUP





Voici quelques mises à jour concernant les affirmations plus que fantaisistes du document d'origine ( en gras soulignées sur fon jaune) qui seront complétées au fur et à mesure des événements ! 

§ - Un prédateur dépendant des proies sauvages
Conclusions d'un  travail de scientifiques au Portugal:
entre  2011 et 2014, 295 excréments analysés.
Régime du loup qui ne dépend aucunement des proies sauvages:
Chèvres domestiques 62%, bovins 20%, ovins 13%

§ - Non, le loup n’a pas été réintroduit en France !
Et pourtant on peut singulièrement en douter

§ - Une réinstallation plus lente que nature
Qui pourra y croire? une colonisation des départements chaque année plus importante et des victimes sans cesse plus nombreuses
Chiffre officiel du nombre de loups en France et chiffres officiels des victimes  (ovins, caprins, bovins, équins, chiens...):
Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés

§ - … Mais la cohabitation avec le loup est possible
Mais alors pourquoi les instances européennes qui promeuvent le loup se sentent elles obligées de dire: "dans les zones ou évolueront les grands prédateurs,  sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »? WWF, UICN, LCIE
" Il est vrai toutefois que le loup a été, et est toujours dans certains cas, un prédateur important pour le bétail domestique et pour les espèces sauvages. " UICN

§ - Des aides importantes qui permettent le gardiennage des troupeaux
Voici les conclusion de la DDT 26, ONCFS et DREAL rhone alpe:
"Les attaques se produisent de jour comme de nuit depuis trois-quatre ans. La proportion d’attaques en pleine journée ne cesse de croître. Des attaques qui se produisent malgré la présence de bergers et de chiens de protection."

§ - Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage
Cosigné entre autre par la LPO qui demande des subventions dans l'Aude pour acheter des brebis afin d'entretenir le paysage!

§ - Les moutons n’ont jamais créé la moindre espèce
Une meilleure gestion des secteurs négligés stimulerait la réglementation et les politiques en matière d'eau ainsi que la biodiversité et pourrait séquestrer jusqu'à 9,8 % des émissions de carbone anthropique
Selon un nouveau rapport publié (9 mars 2015) par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et l'Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d'énormes avantages à l'humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte.

§ - Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.
Selon un nouveau rapport publié (9 mars 2015) par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et l'Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN),
Les lois et la gouvernance liées aux ressources des grands pâturages libres devraient être améliorées à l'aide du renforcement des capacités et de la sensibilisation en vue d'une meilleure application des lois nationales (notamment l'alinéa 8 du code rural Français: "l'état s'engage a protéger les troupeaux des attaques de loup et de l'ours dans les territoires exposés a ce risque.ndlr), la création d'institutions de gestion des ressources naturelles, et l'autonomisation des éleveurs à travers le partage des connaissances et le respect de leur consentement préalable, libre et éclairé.

Le rapport constate que le pastoralisme durable dans les écosystèmes de grands pâturages libres tels que les prairies désertiques, les forêts et les steppes préserve la fertilité des terres et le carbone présent dans sol et contribue à la régulation de l'eau et à la conservation de la biodiversité. Les autres avantages qu'il présente se trouvent sous la forme de produits alimentaires de grande valeur.

§ - Si les éleveurs ont des difficultés à cause d’un contexte économique défavorable, aidons les éleveurs et n’instrumentalisons pas le loup
Le loup ne s'attaque qu'aux petits élevages qui s'en sortent plutôt bien en proposant des produits de qualité dans la proximité, la durabilité et la traçabilité, produits qui ne couvrent pas la demande:
""L’agneau de Sisteron se porte bien. Tellement bien, que la progression continue,  ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."

§ - Si nous faisons le choix de maintenir une activité pastorale partout, réadaptons les pratiques pastorales à la présence de prédateurs naturels et à la préservation de la biodiversité
Ou est le problème avec le pastoralisme et la biodiversité?
En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air" (CNRS)
Réadaptons les pratiques pastorales à la présence des grands prédateurs : "dans les zones ou évolueront les grands prédateurs sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »? (WWF, UICN?LCIE) La voilà la seule réadaptation prévue!

§Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal
Tout ce travail de propagande mensongère et d'inventions pour en arriver là?
A des millions d'années lumière de ce que préconisent les études relatives au pastoralisme et à la biodiversité!
La séquestration du carbone fournit un bon exemple de la façon dont le pastoralisme peut contribuer à l'économie verte. Les pâturages recouvrent cinq milliards d'hectares dans le monde et séquestrent entre 200-500 kg de carbone par hectare et par an, jouant un rôle de premier plan dans l'atténuation du changement climatique. 
le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d'énormes avantages à l'humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte. (PNUE et UICN)

Le pastoralisme constitue un exemple de secteur d’investissement au sein duquel le double objectif de développement et de conservation de la biodiversité peut être atteint par la reconnaissance de la contribution importante de ce système aux cultures, traditions, moyens d’existence et services des écosystèmes. (convention sur la diversité biologique)



Le pastoralisme est vital pour conserver les grandes zones d’habitat naturel et semi naturel. Ce faisant l’abandon du pastoralisme constitue une menace pour la biodiversité. (UICN) http://www.iucn.org/fr/wisp/portail_des_eleveurs_/diversite_biologique_/

Les pratiques pastorales ancestrales participent à une forme d’équilibre et à la diversité des milieux de montagne que l’on connaît actuellement.
 (cemagref)

Le pastoralisme est aujourd'hui considéré comme une solution durable a l'entretien des milieux en faveur de la biodiversité. Il est également un outil de préservations des milieux contre les incendies. Par ses multiples vocations, le pastoralisme est donc présent dans de nombreux documents de planification territoriale comme les documents d'objectif des sites Natura 2000 mais également les plans départementaux de défense de la forêts contre les incendies.

L’agro-pastoralisme au cœur du dispositif Natura 2000un outil pour ouvrir ou préserver les paysages et leur biodiversité


lundi 27 juillet 2015

LOUP, LES ÉCOLOGISTES ONT TROUVÉE LA SOLUTION POUR L’ÉRADICATION DU PASTORALISME

Petit à petit, la finalité se précise.
Une finalité orchestrée de main de maître par les écologistes au service des multinationales qui vont pouvoir financiariser les terres abandonnées par les derniers  agriculteurs proposant des produits de qualité dans la proximité, la durabilité, la traçabilité et le respect.
Il est évident que sans l'aide des intégristes pros loups manipulés par des décideurs qui ont des vues sur nos terres et qui n'ont rien à voir avec la biodiversité, la tache serait plus ardue.

"L’écologie n’existe que par la finance. L’idéologie de l’UICN est que tout s’achète, tout se vend y compris la nature. Le syndicat agricole « La coordination rurale » n’entend pas se faire Acheter et le dit clairement"

Dans les pays ou les autochtones n'ont pas de titre de propriétés, la délocalisation tourne à plein régime:


Analysons donc ce que les fondamentalistes appellent le "BLABLA" des éleveurs:

Depuis le début de l’estive, le bilan s’alourdit pour les bergers de Valmeinier. Le troupeau d’Isabelle Dalbier diminue quotidiennement. En quelques jours, onze carcasses de brebis ont été retrouvées et deux sont encore disparues.
L’Office national de la chasse et de la faune sauvage a confirmé qu’il s’agit bien d’attaques de loups. Elles auraient eu lieu entre 4 heures et 6 heures du matin, à proximité des habitations du village.

Le maire, Philippe Baudin, déplore cette situation qui devient inquiétante pour les moutonniers. Ils seraient prêts à quitter Valmeinier pour éviter de trop grandes pertes.

C'est la plus importante attaque depuis le début de l'année dans la Drôme: 50 brebis tuées, blessées ou disparues à Lus-la-Croix-Haute. L'éleveur découragé redescend de la montagne. Le maire de la commune se dit désemparé.
L'éleveur n'en peut plus. Il va faire descendre son troupeau, il quitte l'estive. C'est aussi un coup dur pour la biodiversité. Des espaces qui ne sont plus pâturés par les moutons finissent par se refermer et se couvrir de forêt. Le maire de Lus-la-Croix-haute Alain Matheron partage le désarroi de l'éleveur, il en appelle à un arrêté préfectoral de prélèvement pour abattre un loup, même si ce serait une solution tardive. (et qui ne changera rien au problème! ndlr. Vouloir réintroduire des loups dans les zones d’élevage n'a rien à voir avec la protection de la nature! )
http://www.francebleu.fr/infos/drome/drome-cinquante-brebis-victimes-du-loup-lus-la-croix-haute-2503171

Trop, c'est trop! Après deux attaques consécutives attribuées aux loups sur ses brebis dans les alpages de la communes des Costes, René Galland a donc décidé de rentrer ses brebis. 540 brebis sont donc descendus de leurs alpages. Un véritable gâchis pour l'éleveur.
http://www.dici.fr/actu/2015/07/31/hautes-alpes-exaspere-loup-un-eleveur-descend-540-brebis-alpages-valgaudemar-624840
 
E.E.L.V. ne cache pas sa véritable vocation au service de l'ensauvagement et se distingue une fois de plus dans la propagande xénophobe envers les ruraux qui dérangent leurs plans pour l'ensauvagement aux cotés des requins de la finance:
"les grands prédateurs et les éleveurs, ce n’est pas nouveau. Il y a des pays d’Europe où cela se passe bien. Regardons où cela se passe bien car on ne va pas tuer tous les prédateurs pour aider nos éleveurs "
(d'autant plus qu'il est prévu de fortes restrictions à l’élevage pour que le pastoralisme ne gène pas les grands prédateurs! WWF, UICN, LCIE ndlr)

Regardons donc un peu chez nos voisins:

LOUP, EN ITALIE TOUT VA DE MIEUX EN MIEUX

LOUP, LA COHABITATION EN SUISSE (Valais - Abandon cette année de l'alpage de l'Inalpe en raison de la présence du loup (vidéo à voir à la minute 4) Une conséquence économique et écologique importante.)


Pour les illuminés responsables politiques de E.E.L.V. la biodiversité est représentée par cette image publiée pour leur campagne Européenne dans le plus grand mépris des électeurs auquel s'adresse le message:

Notre avenir, notre biodiversité, notre Europe


choisir une image émotionnelle, qui n'a rien à voir avec la réalité,  à des fins idéologiques, nous montre l'ampleur de la perte de libre arbitre des écologistes et leur mépris envers la population à laquelle s'adresse le message!

Voici de quoi faire blêmir les fanatiques de l'ensauvagement:

Dans un avis paru au Journal officiel européen du jeudi 23 juillet, le Comité économique et social européen (Cese) revient sur le thème « L’accaparement des terres : une sonnette d’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale ».

Au niveau européen, les chiffres indiquent que « 1 % des entreprises agricoles contrôlent 20 % des terres agricoles de toute l’Union européenne, et 3 % contrôlent 50 % des terres agricoles ».ON PARIE COMBIEN QUE CES ENTREPRISES SONT POUR LE LOUP ET COPAINS  COPAINS  AVEC LES ÉCOLOS?

Ci dessous en italique quelques extraits à des millions d'années lumières des justificatifs utilisés pour la réintroduction des grands prédateurs et arranger les affaires des requins de la finance : (dans ces zones, il faut de fortes restrictions a l'élevage traditionnel pour ne pas déranger les grands carnivores../ .. Mais il faut aussi des territoires inadaptés à sa présence: "Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)

WWF, UICN, LCIE
3.4. L’on constate en Europe une corrélation entre la réduction du nombre des unités de production agricole et la baisse du nombre des personnes employées dans l’agriculture. Ainsi, entre 2005 et 2010 par exemple, dans les pays d’Europe orientale, en particulier dans les États baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie), le nombre d’unités de production s’est considérablement réduit et, parallèlement à cela, l’on a assisté aux plus fortes baisses du besoin en main-d’œuvre (de 8,9 % par an en Bulgarie et en Roumanie et de 8,3 % par an dans les États baltes). En Irlande et à Malte, au contraire, le nombre des exploitations agricoles a augmenté et, avec elles, la demande de main-d’œuvre dans le secteur agricole.

4.1. Dans les pays où se produisent la concentration et les acquisitions de terres, celles-ci provoquent un recul du modèle agricole européen caractérisé par l’exploitation agricole familiale au profit d’une production agricole industrielle à grande échelle.

4.3. L’accaparement des terres agricoles et la concentration de la propriété foncière aboutissent à l’éviction des exploitations agricoles qui utilisaient jusqu’à présent ces surfaces, ce qui se traduit par des pertes d’emploi et une diminution des possibilités de vie dans les zones rurales. Ce processus est généralement irréversible, sachant qu’il est très difficile pour les petits producteurs ou pour les nouvelles exploitations (et les jeunes agriculteurs) d’acquérir des terres et de prendre pied dans ce secteur économique lorsqu’ils ne disposent pas d’un capital suffisant.

4.4. Bien que la Banque mondiale se soit efforcée de mettre en avant les aspects positifs de l’accaparement des terres, tels que les gains d’efficacité, l’innovation et le développement, de nombreuses organisations et mouvements de la société civile critiquent ce phénomène. Elles estiment qu’il cause des dommages à l’environnement, une dégradation des terres et un dépeuplement des zones rurales, où se développe, en lieu et place d’une agriculture durable, une vaste industrie agricole fondée sur la monoculture.

4.6. Willis Peterson, chercheur à l’université du Minnesota, affirme d’ailleurs que les petites exploitations agricoles familiales sont au moins aussi efficaces que les grandes entreprises agricoles. L’affirmation selon laquelle une concentration des surfaces agricoles génère des récoltes plus importantes n’est pas non plus démontrée par les faits ( 4 ). Des données de la FAO indiquent le contraire, étant donné que, dans le monde, 90 % des exploitations agricoles sont des exploitations agricoles familiales, qui gèrent 75 % des terres agricoles et produisent 80 % des denrées alimentaires du monde entier.

5.1. Le CESE a constaté avec satisfaction que les Nations unies ont proclamé l’année 2014 «Année internationale de l’agriculture familiale». Il s’est en plusieurs occasions employé à souligner l’importance stratégique de l’agriculture familiale pour garantir la sécurité alimentaire et le développement rural, et à porter celle-ci davantage dans les débats de société.

5.3. La vie et le travail sur la terre et au sein du monde agricole qui reposent sur des entreprises familiales et sont socialement et écologiquement appropriés s’appuient, dans la plupart des régions de la Terre, sur une tradition vieille de milliers d’années. Là où il existe une sécurité juridique et une fiabilité politique, dans le monde entier, les exploitations relevant de l’agriculture familiale se sont révélées stables, voire supérieures, par rapport à d’autres systèmes agricoles.

5.4.1. Les exploitations agricoles familiales ainsi que les coopératives agricoles jouent un rôle actif dans les structures économiques des zones rurales. L’appartenance de ces exploitations à des organisations coopératives et professionnelles est d’une importance essentielle pour leur stabilité et leur flexibilité. Les exploitations agricoles préservent le patrimoine culturel et la vie rurale, contribuent à la densité de la vie sociale en milieu rural, génèrent des produits à forte valeur ajoutée, utilisent les ressources naturelles de manière durable et veillent à une large dispersion de la propriété dans les zones rurales.

5.4.5. Un grand nombre d’exploitations possède une valeur en soi dans la perspective de la survie de l’humanité, étant donné que celles-ci garantissent à un plus grand nombre de personnes des compétences et des connaissances relatives à la production de denrées alimentaires et, partant, assurent les bases nécessaires à la survie des qualifications et des connaissances requises, même en période de crise. Si l’on veut que l’agriculture familiale puisse constituer une alternative viable à l’agriculture industrielle et à l’accaparement des terres, qui est l’une de ses manifestations, il convient de prendre des mesures actives pour protéger les exploitations agricoles familiales, notamment des mesures destinées à promouvoir les organisations de producteurs et d’autres pour lutter contre les pratiques commerciales déloyales. Des actions politiques, tant à l’échelon de l’Union européenne qu’au niveau national, peuvent contribuer à rendre l’agriculture familiale plus durable et plus résistante ( 5 ).

6.16. Les communautés locales doivent être associées aux décisions relatives à l’utilisation des terres, ce qui signifie également qu’elles doivent se voir accorder davantage de droits et de possibilités.


6.14. La terre agricole est une ressource naturelle limitée; l’accaparement des terres représente donc une menace pour la mise en œuvre des objectifs formulés aux articles 39 et 191 du TFUE. Le CESE invite dès lors instamment la Commission européenne et le Parlement européen à s’engager activement dans la réglementation de la gouvernance foncière.

Avis du Comité économique et social européen sur le thème «L’accaparement des terres: une sonnetted’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale»

mardi 21 juillet 2015

CAP LOUP, NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN!

NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN!
Je cite Cap Loup:

"Le retour du loup est un signe de bonne santé de nos écosystèmes. Il pourrait être valorisé par un tourisme vert, comme le font l’Espagne et l’Italie où les loups sont 5 à 7 fois plus nombreux qu’en France et où des milliers de touristes français se rendent chaque année pour voir des loups. Au lieu de ça, l’État cède aux lobbies agricoles en menant une politique de tirs qui empêche toute cohabitation pérenne entre le loup et l’élevage."
(Faut pas avoir froid aux yeux!)

J'analyse:

  • "Le retour du loup est un signe de bonne santé de nos écosystèmes"

« Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). » (CNRS)
Merci les éleveurs à qui ont a rien demandé avant de réintroduire le loup!


  • "Il pourrait être valorisé par un tourisme vert, "

Ha, mais je croyais qu'il s'agissait de respecter la biodiversité et la faune sauvage!
J'ai tout faux?
 Ce qui compte c'est donc bien:
La délocalisation et la main mise sur les terres que nous avons su garder riches en biodiversité pour faire du tourisme de classe internationale?
 Contrecarrer le tourisme familial et accessible à tous, généré par le pastoralisme depuis des lustres pour en faire profiter les multinationales?

Petit extrait de la morale des écologistes: ""Dans cette étude, nous avons calculé non seulement le revenu par chasseurs, mais aussi par les activités découlant de la taxidermie, la gestion et l'entretien des lieux, la coordination des raids, la restauration ou l'occupation de places Hôtels par les chasseurs." sans commentaires! 

Voici une approche du tourisme vert en Inde:
Interviewé en 2012 par Survival International, le mouvement mondial pour les droits des peuples indigènes, Sukhdev déplorait : ‘Nous ne retrouverons jamais un endroit comme celui-là. Comment pourrions-nous nous installer ici? Comment allons-nous élever nos enfants? Nous avons besoin de nos champs et de nos maisons… Allons-nous mourir?’
Mais bon, puisque les tigres sont sauvés, que le WWF, qui ferme les yeux sur les expulsions des tribus comme celle de Sukhdev continue à engraisser CAP LOUP pour qu'il puisse distiller ses mensonges et sa propagande fondamentaliste, pas de quoi en faire un plat!
Lire ce communiqué en ligne: http://www.survivalfrance.org/actu/10855
Voir le reportage de Canal Plus (à partir de la 37ème minute).

  • "l’Espagne et l’Italie où les loups sont 5 à 7 fois plus nombreux qu’en France "
Chiffre officiel du nombre de loup en France et chiffres officiels des victimes loups:

Fin 2011 = 250 loups dans 13 départements pour 4913 victimes (8,5% de refus) soit 5354 constatés
Fin 2012 = 250 loups dans 15 départements pour 6021 victimes (8,5% de refus) soit 6667 constatés
2013 = 250 loups dans 22 départements pour 6195 victimes (9% de refus) soit 6786 constatés
2014 = 301 loups dans 31 départements pour 8226 victimes ( 9% de refus) soit 9033 constatés
2015 = on nous annonce 282 loups alors que nous allons dépasser les 10 000 victimes et que le loup est signalé dans les Pyrénées!
QUI PEUT CROIRE A CETTE MASCARADE?

  • "l’État cède aux lobbies agricoles en menant une politique de tirs qui empêche toute cohabitation pérenne entre le loup et l’élevage."


Voici les directives des associations regroupées chez Cap Loup pour la cohabitation pérenne:

Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.

Dans les Alpes du sud, la richesse floristique est parfois plus grande sur les pistes de skis que dans les pâturages !

Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal!

"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages !"



Inutile de dire que avec l'application des règles de cohabitations prônées par cette dictature au service de la financiarisation de la nature, il n'y aura plus de problème pour le loup ! Et ses défenseurs seront peut être grassement remerciés par les requins de la finance, ou peut être pas. Par contre les derniers hommes vivant de et avec la nature, proposant des produits de qualité, dans le respect, la proximité et la traçabilité auront bel et bien disparu ! 
"Dans les zones où évolueront les grands prédateurs il faut de fortes restrictions à l'élevage pour que le pastoralisme ne les dérange pas"
"Dans les zones destinées à l'élévage intensif (29 projets en cours (20 000 laitières, 63 000 porcs, 250 000 poulets...)) sa présence sera inappropriée renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/. ! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut ! ndlr) par UICN, WWF, LCIE organismes chapeautant et engraissant ses pions, en l'occurrence ici les associations environnementales
          
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !
NI DÉONTOLOGIE, NI MORALE, RIEN !

LOUP, LA DISPARITION DE L'ELEVAGE A L'HERBE SE MET EN PLACE

Extrait du Communiqué de Mme Ségolène Royal, Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie.
Paris, le 18 juillet 2015

"Par   ailleurs,   Ségolène   Royal   engage   une   démarche   auprès   de   la   Commission
européenne et de la Convention de Berne pour que les modes de gestion du loup
soient adaptés en fonction de l’importance de sa présence sur le terrain, comme en
Espagne où deux modes de gestion du loup existent."


Tout cela a été prévu dés 1997 par les instances qui s'occupent de réensauvager des millions d'hectares en Europe

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS


 à des fins financières:
LOUP, LA FACE CACHÉE DES DÉFENSEURS DE LA NATURE

Quelques extraits de 

LOUP, LA FACE CACHÉE DES PRÉDATEURS, TOME II


« Page 20 - L’Etat devrait pouvoir affirmer clairement que la population de loups a vocation à s’étendre sur le territoire français, mais pas nécessairement dans toutes les zones. 4.2.4 Déterminer des zones différenciées de colonisation:
     -Des territoires confortés, adaptés et soutenus face à la présence de loups. Ces espaces pourraient correspondent aux massifs montagnards colonisés actuellement (Alpes du Nord et du Sud) et en colonisation prévisionnelle (Jura, Vosges, Pyrénées) ! Dans ces zones (définies par les dirigeants sans aucune concertation avec la population concernée ndlr), sont inclus les secteurs où doivent être établies de fortes restrictions à l’élevage, en accord avec les réalités locales, afin que l’élevage ne perturbe pas les carnivores. /…/ »
  • Des territoires inadaptés à sa présence: Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?, je vais vous en parler plus bas. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)

Alors, vous commencez à comprendre pourquoi les biens pensants vous préconisent des mesures de protections aussi inefficaces les unes que les autres, ce n'est pas par hasard! Le petit élevage extensif est condamné au profit de l'élevage industriel et du tourisme de classe internationale.