Un tout petit extrait des "déclarations de l'ASPAS pour la masturbation intellectuelle de ses adeptes:"
Les « tirs de défense » (tuer un loup près du bétail) peuvent être autorisés pour un troupeau qui n’a jamais été attaqué. Les « tirs de prélèvement » (tuer un loup loin du bétail) se font au hasard, sur des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail. Ces animaux protégés sont donc détruits de la même manière que les « nuisibles », et sans justification de défense des brebis ! Or, les efforts devraient porter sur la protection des activités agricoles, et non sur la destruction de la faune.Autre jour autre, autre "fallacité":
Le loup y est traité de façon pire qu’une espèce « nuisible », avec l’abattage organisé de 36 individus pour la saison 2015-2016, jusqu’en cœur de parc national, et sans encourager les éleveurs à protéger leur bétail.
Les « tirs de défense » (tuer un loup près du bétail) peuvent être autorisés pour un troupeau qui n’a jamais été attaqué.
Les défenseurs du loup, avait proposé le droit de tir de défense a condition:
-Que les attaques soit récurrentes et
- Que les dégâts soient importants;
Traduction: "il faut que la meute s'habitue à s'en prendre aux animaux domestiques, et pour affaiblir le pastoralisme, il faut que les dégâts soient importants avant de commencer à se défendre, en espérant que l'élevage soit anéanti avant que l'éleveur puisse réagir!"
"Les « tirs de prélèvement » (tuer un loup loin du bétail) se font au hasard, sur des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail."
Ah bon, alors que les défenseurs pleurnichent sur la rareté des loups (utilisant le mensonge de 282) qui ont fait plus de 9000 victimes en 2014, sans compter les disparues non comptabilisés, ni les victimes de particuliers non classés éleveurs, ni les victimes isolées non déclarées pour éviter les pertes de temps, on aurait donc la chance de trouver "des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail?" en France.
L'ASPAS n'a vraiment peur de rien, mais il est vrai que pour embobiner les adeptes de l'idéologie fondamentaliste, il n'y a pas de gros efforts à fournir. La quasi totalité d'entre eux étant pré-conditionnés dés le plus jeune age par des intervenants à la solde de ceux qui ont des intérêts financiers dans l'abandon des terres pour l'ensauvagement. Nous en avons la preuve dans notre petite commune!
La plupart des grands journaux n'hésitent pas à renoncer aux aussi à toute déontologie pour faire de l'idéologie. Nous en avons une démonstartion ici.
Mais retournons à nos moutons, si le loup nous en laisse le loisir:
"Or, les efforts devraient porter sur la protection des activités agricoles, et non sur la destruction de la faune."
Voici les propositions de l'ASPAS pour la protection des activités agricoles qui dérangent le loup:
"Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique."
"Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"
"L'ASPAS demande le retrait des moutons dans les parcs nationaux"
"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, (les propriétés des éleveurs et bergers. ndlr) et non les animaux sauvages !"
Traduction: "il faut que la meute s'habitue à s'en prendre aux animaux domestiques, et pour affaiblir le pastoralisme, il faut que les dégâts soient importants avant de commencer à se défendre, en espérant que l'élevage soit anéanti avant que l'éleveur puisse réagir!"
"Les « tirs de prélèvement » (tuer un loup loin du bétail) se font au hasard, sur des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail."
Ah bon, alors que les défenseurs pleurnichent sur la rareté des loups (utilisant le mensonge de 282) qui ont fait plus de 9000 victimes en 2014, sans compter les disparues non comptabilisés, ni les victimes de particuliers non classés éleveurs, ni les victimes isolées non déclarées pour éviter les pertes de temps, on aurait donc la chance de trouver "des loups possiblement sans rapport avec la prédation sur le bétail?" en France.
L'ASPAS n'a vraiment peur de rien, mais il est vrai que pour embobiner les adeptes de l'idéologie fondamentaliste, il n'y a pas de gros efforts à fournir. La quasi totalité d'entre eux étant pré-conditionnés dés le plus jeune age par des intervenants à la solde de ceux qui ont des intérêts financiers dans l'abandon des terres pour l'ensauvagement. Nous en avons la preuve dans notre petite commune!
La plupart des grands journaux n'hésitent pas à renoncer aux aussi à toute déontologie pour faire de l'idéologie. Nous en avons une démonstartion ici.
Mais retournons à nos moutons, si le loup nous en laisse le loisir:
"Or, les efforts devraient porter sur la protection des activités agricoles, et non sur la destruction de la faune."
"... et sans encourager les éleveurs à protéger leur bétail." (plus de 12 millions d'euro pour des mesures de protections rapidement ridiculisés par l’intelligence des prédateurs)
Voici les propositions de l'ASPAS pour la protection des activités agricoles qui dérangent le loup:
"Ecologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique."
"Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"
"L'ASPAS demande le retrait des moutons dans les parcs nationaux"
"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, (les propriétés des éleveurs et bergers. ndlr) et non les animaux sauvages !"
Une fois tout cela mis en place il n'y aura effectivement plus de conflit avec le prédateur. Mais ont ils pensé qu'un de leur principal partenaire, Rewilding Europe, n'aura plus besoin de l'ASPAS pour réaliser son chiffre d'affaire et fera donc des économies de sponsorisations?
Rewilding Europe? L'ASPAS condamne le pastoralisme mais se félicite du partenariat avec :
Rewilding Europe / = réensauvager l’Europe/ est une initiative du WWF des Pays Bas, des organisations ARK nature, Wild Wonders of Europe et de Conservation Capital, visant à réensauvager des zones entières de l’Europe. l’une des organisation fondatrice.
Conservation Capital est un praticien spécialisé leader dans le domaine émergent des
entreprises de conservation et le financement de l'investissement commercial connexe. Collectivement, notre équipe a structuré les opérations de développement et de conservation dans plus de 20 pays à travers l'Afrique et l'Europe d'une valeur globale de plus de 200 millions de dollars US, générant des revenus annuels de plus de 25 millions de dollars US. » http://www.conservation-
En conclusion l'ASPAS ne craint pas plus le ridicule que l'ensembles des associations de défense du loup, je cite:
"Madame Royal promeut sans rire la « démocratisation du dialogue environnemental » mais refuse de recevoir les associations de CAP Loup* qui l’interpellent depuis un an, tandis qu’elle accueille, dans le même temps et à bras ouverts, les extrémistes anti-loups dès qu’ils le demandent et s’empresse de satisfaire leurs doléances."
je réponds:
"Madame Royal promeut sans rire la « démocratisation du dialogue environnemental » mais refuse de recevoir les associations de CAP Loup* qui l’interpellent depuis un an, tandis qu’elle accueille, dans le même temps et à bras ouverts, les extrémistes anti-loups dès qu’ils le demandent et s’empresse de satisfaire leurs doléances."
je réponds:
"quelle est la différence entre un extrémiste qui défend ses idées* parce "qu'il culpabilise de s'apercevoir qu'il ignore sa condition de vie dans son rapport réel avec les choses qui la fondent et qui ne s'aperçoit pas qu'en somme il n'existe pas", et un extrémiste qui défend "sa vie en contact étroit avec la nature et pour qui il n'est pas loisible de se contredire et de la** contredire, car il en mourrait"!
*complètement abstraites
** la nature
*complètement abstraites
** la nature
Gavino Ledda (padre padone II)
Dans le même chapitre, la LPO condamne le pastoralisme mais se félicite du partenariat avec AREA!