VOICI COMMENT SE DÉFINIT LE W.W.F.
Adepte d'une philosophie basée sur le dialogue et le respect de l'autre, le WWF oeuvre quotidiennement pour que dans un avenir proche, le développement humain puisse se faire en harmonie avec la nature.
WWF, partisans de l'action, sur la base du dialogue et du respect de l'autre
Le WWF a vocation à influencer toute décision publique intervenant dans sa sphère de compétences. Sans prise de position partisane, sinon celle de défenseur d’une planète vivante, il fait entendre sa voix tant au sein du débat national, qu’européen et international.
Depuis sa création, le WWF France s’engage auprès des acteurs pouvant contribuer à enrayer la dégradation des écosystèmes. Dans cette lutte, l’entreprise est un puissant levier de changement.
QUE TOUT CELA EST BEAU, MAIS QUE SE CACHE T'IL DERRIÈRE TOUS CES MERVEILLEUX DISCOURS ?
Pandaleaks:"The dark side of the WWF" ("La face cachée
du WWF" )
Disponible
CHAPITRE I
http://www.pandaleaks.org/operation-lock/ = traduction:
Nous avons le plaisir et la fierté
de vous annoncer la publication depuis longtemps attendue de
« PandaLeaks The dark side of the WWF » (la
face caché du WWF) Le livre controversé, écrit par le
journaliste et réalisateur allemand récompensé
Wilfried Huismann, est enfin disponible en anglais, sans coupe et mis à jour.
Pandaleaks est un tour de force
journalistique révélant les sombres secrets derrière
la bienveillante et souriante façade de du WWF. Le texte de
Huissman est arrivé directement en tête des vente en
Allemagne et ce malgré le fait que le WWF ait réussi à bloquer les ventes pendant plusieurs semaines avec une campagne
massive de menace envers les libraires.
Une série de procès
intentés par le WWF ont également échoué dans leur tentative de censurer le livre.
(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)
Le WWF ne peux réfuter les faits
rassemblés par Wilfried Huismann durant ces deux ans de
recherches aux quatre coins de « l'empire vert » :
Le WWF une marque de protection de la nature reconnue mondialement
est de mèche avec les plus gros pollueurs du globe. Le WWF
« efface » les crimes écologiques liés
aux affaires des compagnies qui détruisent actuellement les
dernières forets vierges et habitats naturels restant sur
notre planète, pendant que la fondation accepte leur argent.
Le WWF ne renonce même pas à collaborer avec le géant des OGM Monsanto. Le modèle
économique de la fameuse organisation « écologique »
fait finalement plus de mal que de bien a la nature.
(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)
Le journal Allemand « Süddeutsche
Zeitung » a dit à propos de ce livre : «
il décrit l'image d'une organisation environnementale qui
marche main dans la main avec les industries ; faisant des
marchés avec les riches et les puissants, les compagnies
pétrolières et les mafias des OGM , en oubliant
ses buts et perdant même son identité au cours du
processus » Huismann a également creusé
profondément dans les origines de la plus grande, plus
puissante et plus connue des organisations environnementales et trouvé
plusieurs squelettes dans les placards : Le club secret et privé
« the 1001 » ainsi qu'un commando militaire
privé déployés en Afrique contre des
braconniers mais aussi contre les mouvements de libération de
l'Afrique Noire.(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)
Au nom de la protection de
l'environnement le WWF a participé à la délocalisation
et à l'extinction culturelle des peuples indigènes partout
dans le monde. Plus de 20 millions de personnes partout sur la
planète sont désormais considérées comme
des « réfugiés de la conservation ».(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.) Le magasine Suisse Zeiptpunkt dit du livre de Huismann qu'il y a
autant de suspense que dans un thriller. The journal Allemand Die
Welt écrit : « les révélations
de ce livre brisent la foi envers le panda en tant qu'organisation
bénéfique »
CHAPITRE II
"Le côté
obscur de la WWF (NB : UICN / LCIE même famille) et
ses accords."
"WWF vend son
âme aux corporations"
WWF International, l’association de
conservation la plus importante au niveau mondial, est accusée
de “vendre son âme » en forgeant des alliances
avec de puissantes entreprises qui détruisent la nature et
utilisent le label WWF pour « verdir » leurs
activités.
Ces dénonciations proviennent
d’un livre explosif : « Le silence des pandas »,
bestseller en Allemagne en 2012 mais qui, suite à une série
de procès, ne sort que la semaine prochaine en Angleterre,
rebaptisé « Panda leaks ». Son auteur,
Wilfried Huismann, prétend que l’association WWF
International basée à Genève, a reçu des
millions de dollars de la part de divers gouvernements et
entreprises. Des multinationales telles que Coca-Cola, Shell,
Monsanto, HSBC, Cargill, BP, Alcoa et Marine Harvest ont ainsi
bénéficié du label WWF tout en poursuivant leurs
activités à l’identique.
Huismann prétend qu’en mettant
en place des « tables-rondes » d’industriels
exploitant des matières premières stratégiques
telles que l’huile de palme, le bois, le sucre, le soja, les
biofuels et le cacao, WWF International est devenu un pouvoir
politique trop proche de l’industrie et en phase de devenir dépendant
de l’argent de ces compagnies.
D’après
Huismann, « WWF est un prestataire des géants du
secteur de l’alimentation et de l’énergie, leur offrant
une image vertueuse et progressiste... D'un côté,
il protège la forêt, d’un autre, il
aide ces groupes à exploiter de nouvelles terres. WWF
aide à vendre l’idée d’une relocalisation
volontaire des populations autochtones. » (rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)
La
philosophie de la conservation promue par WWF a considérablement
changé au cours des 50 dernières années, mais
jusqu’à récemment le discours dominant était
que les hommes et la « vie sauvage » ne
pouvaient pas cohabiter,
ce qui a conduit WWF à être accusé de complicité
d’éviction des peuples indigènes en Afrique et en
Inde.(rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)
Le livre prétend aussi que WWF,
fondé en 1961 par les Princes Philip d'Angleterre et Bernhart des Pays-Bas,
anime un club d’élite qui rassemble 1001 personnes parmi les
plus riches du monde, dont les noms ne sont pas révélés.
Industriels, philanthropes et ultra-conservateurs, naturalistes de la
haute société, ils sont réputés pour
former un réseau de « vieux garçons »
qui influencent en sous-main les pouvoirs politiques et économiques.
Parmi les noms qui ont fuité au
cours du temps, notons le Baron von Thyssen, le patron de Fiat Gianni
Agnelli et Henry Ford, ainsi que des politiciens corrompus tels que
Mobutu Sese Seko (Zaïre), l’ancien président du comité
olympique Juan Samaranch, et le baron de la bière Alfred
Heineken.
Huismann confie à l’observer
que « ‘Le club des 1001’ joue toujours un rôle
important pour le WWF, même s’il ne s’agit pas d’un
comité central secret. Je déteste les théories
du complot, mais je suis persuadé que le discret ‘club des
1001’ influence encore les décisions stratégiques du
WWF, parce que nombre de ses membres sont des acteurs importants des
puissantes multinationales industrielles et financières qui
gouvernent la planète. »
PandaLeaks
dénonce aussi les relations du WWF avec l’industrie de
l’énergie. Son premier sponsor industriel a été
Shell, dont
l’un des présidents a également été
président de WWF. L’organisation
a récemment annoncé qu’elle n’accepterait plus de
dons des compagnies pétrolières, mais en 2010 elle a
été payée par Shell et BP pour étudier
quelles forêts dans l’hémisphère sud devraient
être conservées et où des coupes pourraient être
réalisées pour l’activité industrielle.
WWF affirme que l’environnement ne
peut être protégé que par le dialogue avec les
acteurs engagés dans les industries extractives et polluantes. (rappel : WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)
« Pandaleaks est un
livre basé sur un documentaire télévisé
allemand discrédité, qui n’a pas respecté les
normes de base du journalisme. Il n’est pas factuel et ne montre
pas une image représentative de WFF », affirme un
représentant.
« WWF aimerait bien avoir
une influence politique dans l’intérêt de ses membres
et de sa cause. Nous cherchons à rallier l’industrie de
manière stratégique, car l’industrie génère
des impacts environnementaux importants ».
« Nous
ne pensons pas avoir vendu notre âme, mais il est vrai que nous
sommes désormais plus regardants quant aux conflits d’intérêts
avec nos donateurs et commanditaires.
Nous sommes au stade final d’un projet de plusieurs années
visant à mettre à jour nos normes de transparence et de
comptabilité en ce qui concerne les partenariats avec des
entreprises. » Le représentant défend
également le bilan de l’organisation en lien avec les
compagnies pétrolières comme Shell et avec la
relocalisation des populations autochtones:
« D’une
manière générale, WWF a commencé à
rompre ses relations avec les compagnies pétrolières il
y a plus de 10 ans. En 2013, moins de 10% des revenus de
l’organisation provient d’entreprises privées. Pour WWF
International, la proportion de financements provenant des
entreprises privées était de 6% en 2013. ‘Le club des
1001’ n’est qu’une des nombreuses sources de dons pour WWF
International ».
« En
Inde, il y a eu des relocalisations forcées, mais WWF-Inde
s’y est toujours opposé et a veillé à ce que
les peuples des forêts qui ont accepté des
relocalisations
volontaires ne
soient pas privés de leurs droits ou lésés. »
Sous la présidence de Prince
Bernhart, le WWF a été suspecté de vouloir créer
un immense parc national de l’Afrique du Sud au Kenya. Le livre,
s’appuyant sur une commission judiciaire sud-africaine de 1996,
prétend qu’un vétéran des services secrets
anglais a mené une équipe de mercenaires anglais en
Afrique du Sud en 1989, pour former des unités anti-braconnage
afin de lutter contre la trafic de rhinocéros. L’opération,
qui a échoué, semble avoir été
partiellement financée par le Prince Bernhart. D’après
une investigation menée par le Prince Philip, les fonds du WWF
n’ont pas été engagés dans cette opération.
Le
livre documente aussi la façon dont le Prince Philip, premier
président de WWF en Angleterre, a tué un tigre dans le
parc Ranthambhore en Inde, peu avant que l’organisation ne soit
créée. Dans une interview avec Huismann, Philip
déclare :
« Mise à part cette fois-ci
en Inde, je n’ai jamais chassé le gros gibier. La meilleure
façon d’être sûr d’avoir une population
sauvage raisonnable et de s’assurer qu’elle est équilibrée.
On
ne peut pas juste laisser faire la nature ».
CONCLUSION
On ne peut pas juste laisser faire la nature ».
On ne peut pas juste laisser faire la nature ».
On ne peut pas juste laisser faire la nature ».
On ne peut pas juste laisser faire la nature ».
“The revelations of this book shatter faith in the panda as a force for good.”
"Les révélations de ce livre brisent la foi dans le panda comme une force au service du bien."
Sa collaboration avec Monsanto (Syngenta aussi)
et autres corporations ...
l'écoblanchiment de grands business
ses commandos militaires
le déplacement et l'extinction de peuples indigènes ..
(il manque juste la mort programmée du pastoralisme et la protection de ceux qui accepteront volontairement la délocalisation!)
ET POUR ENFONCER LE CLOU:
L'Organisation Survival International, mouvement mondial pour les droits des peuples indigènes, a révélé que de graves abus étaient commis à l’encontre des Pygmées baka du sud-est du Cameroun, aux mains des brigades anti-braconnage soutenues et financées par le WWF.
Le WWF est complice de violations des droits de l'homme au Cameroun.
(Survival désigne aussi dans son texte le WWF en des termes on ne peut plus clairs : Le géant de l'industrie de la conservation).
a lire dans LE LOUP DES VOISINS
Ecrivez au directeur du WWF pour lui demander d’arrêter de financer les abus perpétrés au nom de la conservation au sud-est du Cameroun. (WWF partisans de l’action, sur la base du dialogue et du respect de l’autre.)
dans le même registre:
http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2014/02/loup-la-face-cachee_9.html
La repentance est toujours possible mais s'engager dans la protection de l'environnement est il une forme de repentance ?
C'est la question que nous pourrions nous poser au sujet des deux co-fondateurs du WWF, le Prince Philip d'Angleterre et le prince Bernhard de Hollande, tous deux anciens sympathisants du nazisme des années 30.
EN SAVOIR PLUS
Il est aussi surprenant de découvrir que le " WWF est l'héritier direct des chasses coloniales rassemblant une élite économique et politique partageant un intérêt commun pour la chasse et une idéologie commune de supériorité des pratiques occidentales dans les gestion des milieux naturels
EN SAVOIR PLUS
Le WWF gére l’oasis par aimable concession de la Sacra et peut-être qu’il n’était pas utile au WWF de mécontenter les aristocrates et les riches actionnaires de la Sacra socialement affiliés à l'idéologie du WWF (né de princes-financiers comme Bernhard de Hollande). C’est ainsi que tout allait bien pour la plus grosse installation de biogaz de Capalbio. Comment a fini cette histoire est une chose connue : la centrale ne se fait pas parce que la Province et la Commune s’y sont opposées, mais la Sacra a engagé un recours civil pour des millions de dédommagement. Le WWF est resté silencieux tout au long de l'histoire du biogaz de Capalbio. Alors maintenant comment peut-il s'opposer à la centrale beaucoup plus petite de Alberese ? Il n’a pas la conscience tranquille, il a la conscience sale, il défend l’indéfendable et donc doit s'aligner avec les affairistes de Legambiente, qui n’ont pas l’intention de se limiter à la seule centrale de biogaz de Alberese.
EN SAVOIR PLUS
Ce n’est un secret pour personne : dans le monde, des millions d’autochtones ont été chassés de leurs terres pour laisser la place aux géants du pétrole, du métal, du bois et de l’agriculture. Mais peu de gens savent que la même chose se passe au nom d’une cause bien plus noble : la protection de l’environnement. Des chefs de tribu de presque tous les continents ont établi une liste des organisations responsables de la destruction de leurs cultures. Parmi celles-ci figurent non seulement Shell, Texaco, Freeport et Bechtel, mais également des noms bien plus surprenants, tels que les ONG Conservation International (CI), The Nature Conservancy (TNC), World Wildlife Fund (WWF) et Wildlife Conservation Society (WCS). Il est même possible que l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), pourtant plus sensible aux problèmes liés à la culture autochtone, y figure.
EN savoir plus
Le président d’honneur du WWF d’Espagne est le roi lui même. Récemment ce grand chasseur a vu son image quelque peu chahutée après avoir été rapatrié du Botswana ou il c’était blessé dans son bungalow . Il faisait discrètement dans ce pays un safari au rhinocéros d’une valeur de 30 000 euros.
Extrait de : http://mathieuerny.unblog.fr/2013/02/04/les-indulgences-au-troisieme-millenaire/
Un nouveau rapport révèle la face cachée de la conservation
Plusieurs organisations de conservation parmi les plus importantes au monde, telles que leWWF et The Nature Conservancy sont impliquées dans ce scandale. Et United for Wildlife, l’organisation fondée par le prince William et le prince Harry, ignore les appels qui lui ont été lancés visant à garantir les droits des peuples indigènes à vivre sur leurs terres ancestrales et à y pratiquer la chasse de subsistance.
Dauqoo Xukuri, un Bushman de la Réserve naturelle du Kalahari central au Botswana a dit : ‘Je m’assois et regarde l’horizon autour de moi. Partout où il y a des Bushmen, il y a du gibier. Pourquoi? Parce que nous savons comment prendre soin de la faune’.
Mais rien n'y fait, la main mise sur des millions d'hectares à travers le monde est devenu l'unique préoccupation des défenseurs de la nature!
Etude sur la nature des mouvements écologistes et leurs véritables objectifs
Le prince philip, le WWF et la conspiration bénédictine