En marge de la manif prévue à Lyon, les Gourous se dévoilent
Dan la série : Personna Grata V.I.P. de la manifestation '"non à la chasse aux loups" prévue en Janvier.
Dan la série : Personna Grata V.I.P. de la manifestation '"non à la chasse aux loups" prévue en Janvier.
PAUL WATSON:
Selon lui, aucune communauté ne devrait excéder les 20 000 membres.
« La population humaine doit être radicalement réduite à moins d'un milliard d'individus », et seulement ceux qui sont « complètement dévoués à leur responsabilité vis-à-vis de la biosphère devraient être autorisés à avoir des enfants », soit un « très faible pourcentage d'hommes. »
Il compare la race humaine à un virus dont la biosphère doit être débarrassée, par un traitement « invasif et radical ».
Certains médias ainsi que les adversaires des écologistes considèrent Paul Watson comme un pirate ou un « écoterroriste », thème de plus en plus en vogue à mesure que les polémiques environnementales s'accentuent. Des militants écologistes comme Steven Guilbeault ou Hubert Reeves estiment qu'il donne une mauvaise image de leur combat16 et certains de ses anciens compagnons de lutte de Greenpeace ont pris leurs distances avec lui, comme John Fritzell, directeur de Greenpeace qui l'a traité publiquement d’irresponsable17,18. Dans une interview donnée au Los Angeles Times[réf. incomplète], Jim Bohlen, autre cofondateur de Greenpeace, va même jusqu'à le dénigrer.
Paul Watson est critiqué par les associations de défenses des droits indigènes pour avoir protesté contre l'autorisation donnée à la tribu Makah de pêcher des baleines, dans l'État de Washington.
Le photographe Pierre Gleizes dénonce les actions contre-productives de Paul Watson en disant que :
Il milite pour le véganisme et une vision du monde basée sur le biocentrisme plutôt que sur l’anthropocentrisme. Il est végétalien strict, et tous les repas servis sur les bateaux de la Sea Shepherd Foundation sont obligatoirement végétaliens6.« En 2010, Sea Shepherd a fait échouer les négociations avec le Japon qui acceptait enfin de ne plus chasser en Antarctique, en échange de la possibilité de chasser, sous contrôle de la Commission baleinière internationale, au large du Japon. Une chance historique se présentait pour que les mers australes soient ce qu'elles auraient dû toujours être, un sanctuaire pour les baleines. On se serait occupé dans un deuxième temps de la chasse au large du Japon, beaucoup plus accessible que l'Antarctique. Mais il a tout fait capoter »
Il se présente aux élections fédérales du Canada à Vancouver en 1980, proclamant qu'il n'est pas un homme politique mais un écologiste, et recueille moins de 100 voix.
MIEUX CONNAITRE PAUL WATSON