Une finalité orchestrée de main de maître par les écologistes au service des multinationales qui vont pouvoir financiariser les terres abandonnées par les derniers agriculteurs proposant des produits de qualité dans la proximité, la durabilité, la traçabilité et le respect.
Il est évident que sans l'aide des intégristes pros loups manipulés par des décideurs qui ont des vues sur nos terres et qui n'ont rien à voir avec la biodiversité, la tache serait plus ardue.
"L’écologie n’existe que par la finance. L’idéologie de l’UICN est que tout s’achète, tout se vend y compris la nature. Le syndicat agricole « La coordination rurale » n’entend pas se faire Acheter et le dit clairement"
Dans les pays ou les autochtones n'ont pas de titre de propriétés, la délocalisation tourne à plein régime:
Analysons donc ce que les fondamentalistes appellent le "BLABLA" des éleveurs:
Depuis le début de l’estive, le bilan s’alourdit pour les bergers de Valmeinier. Le troupeau d’Isabelle Dalbier diminue quotidiennement. En quelques jours, onze carcasses de brebis ont été retrouvées et deux sont encore disparues.
L’Office national de la chasse et de la faune sauvage a confirmé qu’il s’agit bien d’attaques de loups. Elles auraient eu lieu entre 4 heures et 6 heures du matin, à proximité des habitations du village.
Le maire, Philippe Baudin, déplore cette situation qui devient inquiétante pour les moutonniers. Ils seraient prêts à quitter Valmeinier pour éviter de trop grandes pertes.
C'est la plus importante attaque depuis le début de l'année dans la Drôme: 50 brebis tuées, blessées ou disparues à Lus-la-Croix-Haute. L'éleveur découragé redescend de la montagne. Le maire de la commune se dit désemparé.
L'éleveur n'en peut plus. Il va faire descendre son troupeau, il quitte l'estive. C'est aussi un coup dur pour la biodiversité. Des espaces qui ne sont plus pâturés par les moutons finissent par se refermer et se couvrir de forêt. Le maire de Lus-la-Croix-haute Alain Matheron partage le désarroi de l'éleveur, il en appelle à un arrêté préfectoral de prélèvement pour abattre un loup, même si ce serait une solution tardive. (et qui ne changera rien au problème! ndlr. Vouloir réintroduire des loups dans les zones d’élevage n'a rien à voir avec la protection de la nature! )
http://www.francebleu.fr/infos/drome/drome-cinquante-brebis-victimes-du-loup-lus-la-croix-haute-2503171
Trop, c'est trop! Après deux attaques consécutives attribuées aux loups sur ses brebis dans les alpages de la communes des Costes, René Galland a donc décidé de rentrer ses brebis. 540 brebis sont donc descendus de leurs alpages. Un véritable gâchis pour l'éleveur.
http://www.dici.fr/actu/2015/07/31/hautes-alpes-exaspere-loup-un-eleveur-descend-540-brebis-alpages-valgaudemar-624840
E.E.L.V. ne cache pas sa véritable vocation au service de l'ensauvagement et se distingue une fois de plus dans la propagande xénophobe envers les ruraux qui dérangent leurs plans pour l'ensauvagement aux cotés des requins de la finance:
"les grands prédateurs et les éleveurs, ce n’est pas nouveau. Il y a des pays d’Europe où cela se passe bien. Regardons où cela se passe bien car on ne va pas tuer tous les prédateurs pour aider nos éleveurs "
(d'autant plus qu'il est prévu de fortes restrictions à l’élevage pour que le pastoralisme ne gène pas les grands prédateurs! WWF, UICN, LCIE ndlr)
Regardons donc un peu chez nos voisins:
choisir une image émotionnelle, qui n'a rien à voir avec la réalité, à des fins idéologiques, nous montre l'ampleur de la perte de libre arbitre des écologistes et leur mépris envers la population à laquelle s'adresse le message!
Voici de quoi faire blêmir les fanatiques de l'ensauvagement:
Dans un avis paru au Journal officiel européen du jeudi 23 juillet, le Comité économique et social européen (Cese) revient sur le thème « L’accaparement des terres : une sonnette d’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale ».
Au niveau européen, les chiffres indiquent que « 1 % des entreprises agricoles contrôlent 20 % des terres agricoles de toute l’Union européenne, et 3 % contrôlent 50 % des terres agricoles ».ON PARIE COMBIEN QUE CES ENTREPRISES SONT POUR LE LOUP ET COPAINS COPAINS AVEC LES ÉCOLOS?
Ci dessous en italique quelques extraits à des millions d'années lumières des justificatifs utilisés pour la réintroduction des grands prédateurs et arranger les affaires des requins de la finance : (dans ces zones, il faut de fortes restrictions a l'élevage traditionnel pour ne pas déranger les grands carnivores../ .. Mais il faut aussi des territoires inadaptés à sa présence: "Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)
WWF, UICN, LCIE
3.4. L’on constate en Europe une corrélation entre la réduction du nombre des unités de production agricole et la baisse du nombre des personnes employées dans l’agriculture. Ainsi, entre 2005 et 2010 par exemple, dans les pays d’Europe orientale, en particulier dans les États baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie), le nombre d’unités de production s’est considérablement réduit et, parallèlement à cela, l’on a assisté aux plus fortes baisses du besoin en main-d’œuvre (de 8,9 % par an en Bulgarie et en Roumanie et de 8,3 % par an dans les États baltes). En Irlande et à Malte, au contraire, le nombre des exploitations agricoles a augmenté et, avec elles, la demande de main-d’œuvre dans le secteur agricole.
4.1. Dans les pays où se produisent la concentration et les acquisitions de terres, celles-ci provoquent un recul du modèle agricole européen caractérisé par l’exploitation agricole familiale au profit d’une production agricole industrielle à grande échelle.
4.3. L’accaparement des terres agricoles et la concentration de la propriété foncière aboutissent à l’éviction des exploitations agricoles qui utilisaient jusqu’à présent ces surfaces, ce qui se traduit par des pertes d’emploi et une diminution des possibilités de vie dans les zones rurales. Ce processus est généralement irréversible, sachant qu’il est très difficile pour les petits producteurs ou pour les nouvelles exploitations (et les jeunes agriculteurs) d’acquérir des terres et de prendre pied dans ce secteur économique lorsqu’ils ne disposent pas d’un capital suffisant.
4.4. Bien que la Banque mondiale se soit efforcée de mettre en avant les aspects positifs de l’accaparement des terres, tels que les gains d’efficacité, l’innovation et le développement, de nombreuses organisations et mouvements de la société civile critiquent ce phénomène. Elles estiment qu’il cause des dommages à l’environnement, une dégradation des terres et un dépeuplement des zones rurales, où se développe, en lieu et place d’une agriculture durable, une vaste industrie agricole fondée sur la monoculture.
4.6. Willis Peterson, chercheur à l’université du Minnesota, affirme d’ailleurs que les petites exploitations agricoles familiales sont au moins aussi efficaces que les grandes entreprises agricoles. L’affirmation selon laquelle une concentration des surfaces agricoles génère des récoltes plus importantes n’est pas non plus démontrée par les faits ( 4 ). Des données de la FAO indiquent le contraire, étant donné que, dans le monde, 90 % des exploitations agricoles sont des exploitations agricoles familiales, qui gèrent 75 % des terres agricoles et produisent 80 % des denrées alimentaires du monde entier.
5.1. Le CESE a constaté avec satisfaction que les Nations unies ont proclamé l’année 2014 «Année internationale de l’agriculture familiale». Il s’est en plusieurs occasions employé à souligner l’importance stratégique de l’agriculture familiale pour garantir la sécurité alimentaire et le développement rural, et à porter celle-ci davantage dans les débats de société.
5.3. La vie et le travail sur la terre et au sein du monde agricole qui reposent sur des entreprises familiales et sont socialement et écologiquement appropriés s’appuient, dans la plupart des régions de la Terre, sur une tradition vieille de milliers d’années. Là où il existe une sécurité juridique et une fiabilité politique, dans le monde entier, les exploitations relevant de l’agriculture familiale se sont révélées stables, voire supérieures, par rapport à d’autres systèmes agricoles.
5.4.1. Les exploitations agricoles familiales ainsi que les coopératives agricoles jouent un rôle actif dans les structures économiques des zones rurales. L’appartenance de ces exploitations à des organisations coopératives et professionnelles est d’une importance essentielle pour leur stabilité et leur flexibilité. Les exploitations agricoles préservent le patrimoine culturel et la vie rurale, contribuent à la densité de la vie sociale en milieu rural, génèrent des produits à forte valeur ajoutée, utilisent les ressources naturelles de manière durable et veillent à une large dispersion de la propriété dans les zones rurales.
5.4.5. Un grand nombre d’exploitations possède une valeur en soi dans la perspective de la survie de l’humanité, étant donné que celles-ci garantissent à un plus grand nombre de personnes des compétences et des connaissances relatives à la production de denrées alimentaires et, partant, assurent les bases nécessaires à la survie des qualifications et des connaissances requises, même en période de crise. Si l’on veut que l’agriculture familiale puisse constituer une alternative viable à l’agriculture industrielle et à l’accaparement des terres, qui est l’une de ses manifestations, il convient de prendre des mesures actives pour protéger les exploitations agricoles familiales, notamment des mesures destinées à promouvoir les organisations de producteurs et d’autres pour lutter contre les pratiques commerciales déloyales. Des actions politiques, tant à l’échelon de l’Union européenne qu’au niveau national, peuvent contribuer à rendre l’agriculture familiale plus durable et plus résistante ( 5 ).
6.16. Les communautés locales doivent être associées aux décisions relatives à l’utilisation des terres, ce qui signifie également qu’elles doivent se voir accorder davantage de droits et de possibilités.
6.14. La terre agricole est une ressource naturelle limitée; l’accaparement des terres représente donc une menace pour la mise en œuvre des objectifs formulés aux articles 39 et 191 du TFUE. Le CESE invite dès lors instamment la Commission européenne et le Parlement européen à s’engager activement dans la réglementation de la gouvernance foncière.
Avis du Comité économique et social européen sur le thème «L’accaparement des terres: une sonnetted’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale»
E.E.L.V. ne cache pas sa véritable vocation au service de l'ensauvagement et se distingue une fois de plus dans la propagande xénophobe envers les ruraux qui dérangent leurs plans pour l'ensauvagement aux cotés des requins de la finance:
"les grands prédateurs et les éleveurs, ce n’est pas nouveau. Il y a des pays d’Europe où cela se passe bien. Regardons où cela se passe bien car on ne va pas tuer tous les prédateurs pour aider nos éleveurs "
(d'autant plus qu'il est prévu de fortes restrictions à l’élevage pour que le pastoralisme ne gène pas les grands prédateurs! WWF, UICN, LCIE ndlr)
Regardons donc un peu chez nos voisins:
LOUP, EN ITALIE TOUT VA DE MIEUX EN MIEUX
LOUP, LA COHABITATION EN SUISSE (Valais - Abandon cette année de l'alpage de l'Inalpe en raison de la présence du loup (vidéo à voir à la minute 4) Une conséquence économique et écologique importante.)
Pour les illuminés responsables politiques de E.E.L.V. la biodiversité est représentée par cette image publiée pour leur campagne Européenne dans le plus grand mépris des électeurs auquel s'adresse le message:
Notre avenir, notre biodiversité, notre Europe
Voici de quoi faire blêmir les fanatiques de l'ensauvagement:
Dans un avis paru au Journal officiel européen du jeudi 23 juillet, le Comité économique et social européen (Cese) revient sur le thème « L’accaparement des terres : une sonnette d’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale ».
Au niveau européen, les chiffres indiquent que « 1 % des entreprises agricoles contrôlent 20 % des terres agricoles de toute l’Union européenne, et 3 % contrôlent 50 % des terres agricoles ».ON PARIE COMBIEN QUE CES ENTREPRISES SONT POUR LE LOUP ET COPAINS COPAINS AVEC LES ÉCOLOS?
Ci dessous en italique quelques extraits à des millions d'années lumières des justificatifs utilisés pour la réintroduction des grands prédateurs et arranger les affaires des requins de la finance : (dans ces zones, il faut de fortes restrictions a l'élevage traditionnel pour ne pas déranger les grands carnivores../ .. Mais il faut aussi des territoires inadaptés à sa présence: "Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre?. Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/.! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut! ndlr)
WWF, UICN, LCIE
3.4. L’on constate en Europe une corrélation entre la réduction du nombre des unités de production agricole et la baisse du nombre des personnes employées dans l’agriculture. Ainsi, entre 2005 et 2010 par exemple, dans les pays d’Europe orientale, en particulier dans les États baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie), le nombre d’unités de production s’est considérablement réduit et, parallèlement à cela, l’on a assisté aux plus fortes baisses du besoin en main-d’œuvre (de 8,9 % par an en Bulgarie et en Roumanie et de 8,3 % par an dans les États baltes). En Irlande et à Malte, au contraire, le nombre des exploitations agricoles a augmenté et, avec elles, la demande de main-d’œuvre dans le secteur agricole.
4.1. Dans les pays où se produisent la concentration et les acquisitions de terres, celles-ci provoquent un recul du modèle agricole européen caractérisé par l’exploitation agricole familiale au profit d’une production agricole industrielle à grande échelle.
4.3. L’accaparement des terres agricoles et la concentration de la propriété foncière aboutissent à l’éviction des exploitations agricoles qui utilisaient jusqu’à présent ces surfaces, ce qui se traduit par des pertes d’emploi et une diminution des possibilités de vie dans les zones rurales. Ce processus est généralement irréversible, sachant qu’il est très difficile pour les petits producteurs ou pour les nouvelles exploitations (et les jeunes agriculteurs) d’acquérir des terres et de prendre pied dans ce secteur économique lorsqu’ils ne disposent pas d’un capital suffisant.
4.4. Bien que la Banque mondiale se soit efforcée de mettre en avant les aspects positifs de l’accaparement des terres, tels que les gains d’efficacité, l’innovation et le développement, de nombreuses organisations et mouvements de la société civile critiquent ce phénomène. Elles estiment qu’il cause des dommages à l’environnement, une dégradation des terres et un dépeuplement des zones rurales, où se développe, en lieu et place d’une agriculture durable, une vaste industrie agricole fondée sur la monoculture.
4.6. Willis Peterson, chercheur à l’université du Minnesota, affirme d’ailleurs que les petites exploitations agricoles familiales sont au moins aussi efficaces que les grandes entreprises agricoles. L’affirmation selon laquelle une concentration des surfaces agricoles génère des récoltes plus importantes n’est pas non plus démontrée par les faits ( 4 ). Des données de la FAO indiquent le contraire, étant donné que, dans le monde, 90 % des exploitations agricoles sont des exploitations agricoles familiales, qui gèrent 75 % des terres agricoles et produisent 80 % des denrées alimentaires du monde entier.
5.1. Le CESE a constaté avec satisfaction que les Nations unies ont proclamé l’année 2014 «Année internationale de l’agriculture familiale». Il s’est en plusieurs occasions employé à souligner l’importance stratégique de l’agriculture familiale pour garantir la sécurité alimentaire et le développement rural, et à porter celle-ci davantage dans les débats de société.
5.3. La vie et le travail sur la terre et au sein du monde agricole qui reposent sur des entreprises familiales et sont socialement et écologiquement appropriés s’appuient, dans la plupart des régions de la Terre, sur une tradition vieille de milliers d’années. Là où il existe une sécurité juridique et une fiabilité politique, dans le monde entier, les exploitations relevant de l’agriculture familiale se sont révélées stables, voire supérieures, par rapport à d’autres systèmes agricoles.
5.4.1. Les exploitations agricoles familiales ainsi que les coopératives agricoles jouent un rôle actif dans les structures économiques des zones rurales. L’appartenance de ces exploitations à des organisations coopératives et professionnelles est d’une importance essentielle pour leur stabilité et leur flexibilité. Les exploitations agricoles préservent le patrimoine culturel et la vie rurale, contribuent à la densité de la vie sociale en milieu rural, génèrent des produits à forte valeur ajoutée, utilisent les ressources naturelles de manière durable et veillent à une large dispersion de la propriété dans les zones rurales.
5.4.5. Un grand nombre d’exploitations possède une valeur en soi dans la perspective de la survie de l’humanité, étant donné que celles-ci garantissent à un plus grand nombre de personnes des compétences et des connaissances relatives à la production de denrées alimentaires et, partant, assurent les bases nécessaires à la survie des qualifications et des connaissances requises, même en période de crise. Si l’on veut que l’agriculture familiale puisse constituer une alternative viable à l’agriculture industrielle et à l’accaparement des terres, qui est l’une de ses manifestations, il convient de prendre des mesures actives pour protéger les exploitations agricoles familiales, notamment des mesures destinées à promouvoir les organisations de producteurs et d’autres pour lutter contre les pratiques commerciales déloyales. Des actions politiques, tant à l’échelon de l’Union européenne qu’au niveau national, peuvent contribuer à rendre l’agriculture familiale plus durable et plus résistante ( 5 ).
6.16. Les communautés locales doivent être associées aux décisions relatives à l’utilisation des terres, ce qui signifie également qu’elles doivent se voir accorder davantage de droits et de possibilités.
6.14. La terre agricole est une ressource naturelle limitée; l’accaparement des terres représente donc une menace pour la mise en œuvre des objectifs formulés aux articles 39 et 191 du TFUE. Le CESE invite dès lors instamment la Commission européenne et le Parlement européen à s’engager activement dans la réglementation de la gouvernance foncière.
Avis du Comité économique et social européen sur le thème «L’accaparement des terres: une sonnetted’alarme pour l’Europe et une menace imminente pour l’agriculture familiale»