On vous l'avez dit que loup des alpes ne venait pas d’Italie mais bien du versant Français suite à des lâchers!
Les Italiens, ceux qui ont gardé leur libre arbitre, vous l'ont dit:
Les Italiens, ceux qui ont gardé leur libre arbitre, vous l'ont dit:
"ils ne proviennent pas des Apennins mais des Alpes, c'est à dire de la souche à partir de laquelle la population s'est constituée après les libérations répétées faites sur le versant français de la part des amoureux de cet animal, qui pour l'avoir n'ont pas hésité à libérer ceux qu'ils détenaient dans leurs propres enclos d'au-delà des Alpes, sans faire dans la finesse quant à leur pureté génétique et à la provenance géographique,...."
Voici quelques extraits, du Nouveau Plan de conservation et de gestion du loup en Italie, dont vous trouverez "la traduction et l'analyse du webmaster dans le loup des voisins", des extraits qui laissent rêveur quand à l'omerta qui règne sur la réintroduction des prédateurs en France autant que en Italie.
On lit page 7 : « Alors
que la population apenninique se trouve entièrement sur le territoire
italien, la population alpine se trouve en continuité démographique,
génétique et écologique avec les loups présents dans les Alpes
françaises et suisses.
page 11: Par conséquent, le plan
présent prend en considération le loup réparti en deux populations
distinctes géographiquement et facilement identifiables (Apenninique et
Alpine:
De plus, cette
subdivision des deux populations est soutenue par des évidences
scientifiques concernant la faiblesse relative de la connectivité
fonctionnelle pour le loup entre les Apennins et les Alpes. (ouragan dit : Mais alors, d'ou vient donc le loup des alpes ?)
Il existe en Italie
plusieurs structures de loups autochtones captifs, lesquelles, même si
elles ne sont pas utiles à l'état de conservation du loup en Italie...Toutefois, la
prolifération de telles structures a donné lieu à des opérations
d'utilité douteuse dans le domaine de la conservation du loup" (ouragan traduit : des opération d'utilité idéologique de lâchers dans la nature )
" la détention de loups à
des fins didactiques, zoo privés et publics...... Il faut un contrôle attentif des reproductions, (ouragan dit tiens tiens) qui ne
devraient être autorisées qu'exceptionnellement et s'il y a une réelle
utilité ( par exemple pour la gestion génétique de la population
nationale en captivité).(ouragan dit : Sans contrôle, que sont devenus les louveteaux? )
La nécessité d'un contrôle vigilant des structures jugées aptes à accueillir des loups, d’une planification rigoureuse de l’élevage et d’une coordination des institutions impliquées,....
ouragan dit : Cette nécessité des contrôles n'est elle pas un aveu suffisamment clair des lâchers de loups? Cette nécessité a été demandée il y a plus de 20 ans par la convention de berne:
E. Recommande à l’Italie :
1. De mettre en oeuvre une stratégie nationale de conservation de l’espèce ;
2. De faire respecter l’interdiction de posséder en captivité des individus de toute sous-espèce de Canis lupus et de les libérer dans la nature ;
3. De poursuivre et d’améliorer le programme de reproduction en captivité actuellement en cours
ouragan dit : Cette nécessité des contrôles n'est elle pas un aveu suffisamment clair des lâchers de loups? Cette nécessité a été demandée il y a plus de 20 ans par la convention de berne:
E. Recommande à l’Italie :
1. De mettre en oeuvre une stratégie nationale de conservation de l’espèce ;
2. De faire respecter l’interdiction de posséder en captivité des individus de toute sous-espèce de Canis lupus et de les libérer dans la nature ;
3. De poursuivre et d’améliorer le programme de reproduction en captivité actuellement en cours
Le résumé du Webmasters "le loup des voisins"
Le nouveau plan de 2015
propose donc un ensemble d’actions et souhaite « resserrer les
boulons » dans beaucoup de domaines : citons l’élevage bien sûr, une
surveillance et/ou restriction du pâturage en semi-liberté en
particuliers dans les alpages, plus de protection pour les troupeaux (ouragan dit : nos défenseurs du loup Français ne jurent pourtant que par le modèle Italien), de
meilleures indemnisations pour les éleveurs et plus homogènes sur
l'ensemble du territoire, plus de surveillance et répression de la
solution à l’italienne pour limiter les loups (braconnage) (ouragan dit : quelle déconvenue pour nos écologistes Français jurant sur la cohabitation sereine et légendaire des italiens avec les loups ) ; une
« éradication » des hybrides, une surveillance renforcée des élevages de
chiens-loups (Tchèques, Sarloos, américains) et suggestion de les
interdire comme animaux de compagnie, une surveillance de la
reproduction des loups dans les centres où ils sont en captivité ; la
chasse - autre source de conflit majeur- , la limiter aux abords des
zones protégées, notamment les battues au sanglier ; une surveillance
des producteurs de truffes même (? museler leur chiens ?) ; et de
l’éducation, combattre les « légendes » racontant encore que le loup a
été réintroduit (en Italie aussi) ; une meilleure coordination entre les
Pays pour la gestion du loup des Alpes car c’est à l’Italie que revient
le devoir de favoriser son expansion dans les Alpes, etc, etc.