ATTAQUES DE CHIENS DIVAGUANTS
Sur la commune de Valloire, sept cadavres de chevreuils et un chamois ont été découverts par un agent de l'ONF. Les morsures et les traces observées sont typiques d'une attaque de chiens errants. Photo DL comme on peut le constater, il ne manque rien et la panse est gonflée!
Un chien utilise rarement la mise a mort par la gorge!. Il s'attaque aux muscles, cuisse, épaule, harcelant l'animal jusqu'à la mort etc. Le nombre important de victime est du au piétinement et a étouffement causé par le stress des brebis
aucun cartier arraché
la panse n'a pas été perforée, elle a gonflée
voir l'étude complète pour l'Espagne
On appelle souvent à tort "chien errant" un chien qui n’est plus sous la responsabilité de son maître ; dans la réglementation nationale, il est "en état de divagation".
Un chien errant est un chien retourné à l’état sauvage et n’ayant pas ou plus de maître. En France, il n’y a pour ainsi dire aucun chien errant. dixit Le site de l'État consacré au loup
A savoir aussi que le chien est un concurrent pour le loup qui se charge de le faire disparaître sans aucune difficulté de son territoire!
Rappelons de passage les attaques sur les chiens de protection en France
cette année ainsi que les 30 chiens de chasse au sanglier tués dans une seule région de Galice l'an dernier et les nombreux chiens tués chaque année dans les
pays finno-scandinaves.
Arrivée des loups = sale temps pour les chiens
Sur la commune de Valloire, sept cadavres de chevreuils et un chamois ont été découverts par un agent de l'ONF. Les morsures et les traces observées sont typiques d'une attaque de chiens errants. Photo DL comme on peut le constater, il ne manque rien et la panse est gonflée!
Un chien utilise rarement la mise a mort par la gorge!. Il s'attaque aux muscles, cuisse, épaule, harcelant l'animal jusqu'à la mort etc.
ci dessous brebis attaquées par des chiens, ventre gonflé par la durée du harcèlement et blessures sans communes mesures avec celles causées par les loups..
pas de bain de sang
Un chien utilise rarement la mise a mort par la gorge!. Il s'attaque aux muscles, cuisse, épaule, harcelant l'animal jusqu'à la mort etc. Le nombre important de victime est du au piétinement et a étouffement causé par le stress des brebis
aucun cartier arraché
la panse n'a pas été perforée, elle a gonflée
..... par comparaison, poney et brebis attaquées par des loups,
le ventre n'a pas eu le temps de gonfler, blessures caractéristiques, il manque des cartiers entiers!
le poney a le crane brisé par les mâchoires du loup et il lui manque l'épaule et l’antérieur!
a droite, chien attaqué par un loup
typique du loup
a force égale, le chien n'a pas la même motivation que le loup, et rare sont les chiens disposants d'une telle dentition!
Sauf a de très rares exceptions, celles qui justifient les test adn, les éleveurs de métier ainsi que les experts de l'ONCFS, savent dés la découverte qui est le responsable.
Alors que pour les défenseurs du loup, le doute est toujours en faveur
de la protection du loup, il existe des exceptions de configurations
dans les deux sens, exceptions qui s'équilibrent et donc s'annulent.
Des publications affirmant des niveaux de prédation par les chiens errants de l’ordre de 150 000 à 700 000 ovins par an, un tel niveau de dégâts, représentant en moyenne une perte de 32 à 148 têtes chaque année pour un alpage de 2000 brebis, il devenait nécessaire de vérifier les sources utilisées par ces défenseurs du loup. Les résultats de cette vérification montrent qu’aucune de ces publications ne s’appuie sur une quelconque étude de terrain : Les chiffres sont avancés sans source ni référence à une étude, ou bien reprennent les affirmations citées par d’autres auteurs en les majorant (2fois et demi supérieur à la
source citée dans un cas).
Une étude approfondie a été réalisée sur 295 troupeaux et 143 000 ovins au pâturage. Les résultats révèlent une fréquence d’attaques par les chiens errants tous les cinq ans en moyenne pour un troupeau donné et un très faible niveau de pertes au regard des chiffres cités plus haut, qui varie par région entre 0,1 et 0,4 % de l’effectif au pâturage chaque année, la moyenne s’élevant à 0,25 %. Cela équivaut à un niveau de pertes inférieur à 20 000 victimes par an pour un troupeau national de 7 920 000 ovins en 2008 : un résultat quatre à trente fois inférieur aux chiffres sans fondements qui circulent encore trop souvent en France, mais tout à fait comparable aux données anglaises et italiennes.
Une dimension idéologique évidente, une dénégation systématique de la prédation par les loups, une recherche de tous les autres problèmes pouvant affecter l’élevage ovin pour mieux minimiser l’impact du loup afin de dénoncer le statut de « bouc émissaire » qui lui serait réservé. C’est à n’en pas douter un discours idéologique mais en rien scientifique.
Pourtant ces mêmes défenseurs du loup exigent que les éleveurs mobilisent sans délai tous les moyens de défense des troupeaux des l’arrivée des prédateurs, reconnaissant ainsi que leur irruption se traduit toujours par une multiplication des attaques Avec les très importants efforts de protection consentis depuis cinq ans, la prédation se stabilise à un niveau élevé atteignant plus de 900 attaques et 3250 victimes constatées
pour l’année 2009. Un niveau de pertes clairement sous-évalué, comme le montrent plusieurs études en Espagne , en France et en Norvège , estimant que 30 à 50 % des pertes réelles ne peuvent figurer dans les constats en raison des sous-déclarations de la part des éleveurs , des animaux disparus lors des attaques de loups, enfin de la prolifération des vautours rendant de plus en plus difficile l’exercice des constats.
L’administration française reconnait d’ailleurs l’impossibilité de recenser tous les animaux tués par les loups et ajoute un forfait supplémentaire de 15% aux remboursements.
Voir l'étude complète de Laurent Garde, Centre d’Études et de Réalisations Pastorales Alpes Méditerranée
Voir aussi les affabulations de M. Ouary, avec les 11 millions de chiens divagauants en France dans
En Espagne c'est exactement pareil
Les chiffres confirment ce que les études scientifiques ont montré pour la France, rien à voir avec les chiffres fantaisistes qui circulent çà et là sur les bases fantaisistes de sources jamais citées puisqu’elles n’existent pas : les dégâts dus aux loups sont sans commune mesure avec ceux des chiens.
voir l'étude complète pour l'Espagne
Pourtant, une série d'études, supervisée par l'école d'ingénieurs VetAgroSup (Brunschwig et al. 2007), montre qu'il arrive, en moyenne, une attaque de chiens divagants tous les cinq ans dans les élevages, comparé aux attaques à répétition par des loups, s'étalant sur des mois et des mois, si ce n'est des années!
Aussi, le gouvernement a publié une rectification sur son site officiel sur le loup... « ces chiffres permettent de modérer les débats sur les responsabilités respectives du chien et du loup dans les dégâts aux troupeaux domestiques »,
« les attaques de loup seraient donc plus fréquentes que les attaques de chiens divagants, alors que les troupeaux concernés sont plus fréquemment protégés »
mais les "défenseurs du loup a tout prix" persistent à mentir, portant préjudice à toute une profession
plus simplement : personne ne nie la prédation faite par les chiens. Dans une région, avant que le loup ne soit signalé, cela représente quelques %, dés la présence du loup officielle et les mesures de protections mises en place (avant la présence du loup, aucune mesure particulière pour lutter contre l’infime nombre d'attaque de chiens) le pourcentage d'attaque grimpe au dessus de 60 %! Et tout le monde sait que lorsque le loup est présent, les chiens disparaissent car le loup ne tolère pas sa concurrence dans son territoire!
dans notre région, en quarante ans on dénombre en moyenne moins de 3 attaques par an sur l'ensemble des troupeaux avec moins de 300 victimes, aucun chiens, ni équins, ni bovins, en 2012, pour la même région, plus de 44 attaques pour plus de 180 victimes avec un équin, 2 bovins, 5 chiens en moins de un an