Sur fond jaune, Document édité par l’association Houmbaba en Janvier 2013 Fiche Action PLAN NATIONAL LOUP 2013/2018 « SPIKE AND RELEASE 1 »
Sur fond vert : source le monde planète
Réaction de la F.N.E. :
A "On donne à la société humaine l'illusion de contrôler une espèce sauvage, déplore Jean-David Abel, de FNE.....
"Pourtant, sa cohabitation avec les éleveurs caussenards
paraît aujourd’hui impossible. Comment sortir de cette impasse ? En un mot : en innovant ! "- Action n°3 : capture et relâchement des loups porteurs d’un dispositif de localisation.
Technique et outils 5 : détection et capture, technique du « foot-hole » qui consiste à poser le piège au-dessus d’un trou empli de nourriture ou d’un leurre attractif. Les outils (2 lignes de 8 pièges à mâchoires en plastique de type easygrap, lasso, leurres, tamis, papier de soie,…), matériel de détection automatique, matériel de monitoring (VHF/GPS ou satellite ?), un ordinateur portable, 2 mobiles, un véhicule utilitaire et un quad, un local technique (15m2), matériel de survie (duvets goretex, tente abri), matériel vétérinaire et d’anesthésie… ( la on croit rêver, on n'en fait pas autant pour les victimes d'agressions sexuelles ou autre. un juge vient d'interdire a la police d'utiliser le suivit gps du téléphone d'un délinquant: pour non respect de la personne????)
B Reste que même après dix-huit ans d'expérience outre-Atlantique, la technique requiert encore du temps, de l'argent et du matériel sophistiqué. "Les loups sont difficiles à capturer à l'aide de pièges au sol, assure l'ancien expert du Service américain de la pêche et de la faune sauvage. L'utilisation d'un hélicoptère fonctionne mieux, mais s'avère très chère." Coût de l'opération : entre 2 000 et 6 000 dollars par loup, en fonction du type de GPS utilisé – d'une durée de vie de deux ans en moyenne.
1 Les trappeurs s’occupant du contrôle des prédateurs en Amérique du Nord appellent cette technique de gestion du loup le « spike and release », dont la traduction la plus fidèle serait : « un coup de pompe au cul et tu dégages ».
C’est être en mesure de répondre à la question : comment gérer la présence du prédateur, y compris dans une zone cœur de Parc national. Les effets, en règle générale, d’un loup capturé sur une scène d’attaque d’un troupeau sont à deux niveaux : la terreur pour l’animal qui s’est fait prendre et l’angoisse pour tous les loups de la meute qui ont été spectateurs de la scène. (La communication olfactive très développée fait que le loup n’a pas besoin d’être un spectateur direct de la scène pour la comprendre, l’animal capturé laissant de multiples traces de son stress, urine par exemple). C’est le « spike and release » expérimenté et utilisé depuis 20 ans par les équipes scientifiques en charge de la réintroduction du loup au Yellowstone 4 .
- Démonstration de l’effet disuasif de la capture/relâchement de loups sur leur comportement
de prédation du bétail ;
- Démonstration de l’effet disuasif de la capture/relâchement de loups sur leur comportement
de prédation du bétail ;
C "Nous avons réussi à inverser les habitudes comportementales de certains loups grâce à un conditionnement aversif utilisant des captures, des balles en caoutchouc ou des bombes au poivre, livre Daniel Stahler, biologiste en charge du projet loup à Yellowstone. Mais ce conditionnement doit intervenir au moment où le loup agit : la technique ne fonctionne pas si vous le capturez plusieurs jours après la prédation."
"En capturant les prédateurs près du bétail, vous pouvez les amener à rester à l'écart pendant un jour ou deux ; mais s'ils ont faim, ils reviendront, poursuit-il. Tant que les humains, le bétail et les loups cohabitent dans le même écosystème, il n'existe pas de méthode permettant d'éliminer toute prédation."( expérimenté et utilisé depuis 20 ans par les équipes scientifiques en charge de la réintroduction du loup au Yellowstone )
"En capturant les prédateurs près du bétail, vous pouvez les amener à rester à l'écart pendant un jour ou deux ; mais s'ils ont faim, ils reviendront, poursuit-il. Tant que les humains, le bétail et les loups cohabitent dans le même écosystème, il n'existe pas de méthode permettant d'éliminer toute prédation."( expérimenté et utilisé depuis 20 ans par les équipes scientifiques en charge de la réintroduction du loup au Yellowstone )
l’innovation dans les mesures de gestion du loup, un accompagnement et une communication auprès des habitants et des éleveurs. Sa stratégie est celle de l’anticipation : agir avant le loup !
Notre hypothèse est qu’une stratégie d’anticipation fondée sur la préparation et l’accompagnement du retour du loup permettra :
- D’empêcher la prédation sur les élevages et autres espèces domestiques liés à l’homme ;
- De faire vivre les loups sur la faune sauvage abondante en Cévennes ; -
( il s'agit d'une hypotése qui va couter cher chapitre C et D)
Depuis le retour du loup Officiel en 1992 , prés de 5000 attaques sur des troupeaux ont été recensées, il faut donc éradiquer ces loups et tout recommencer en attrapant les loups avant qu'ils ne commettent un forfait????
Sans oublier de nombreuses prédations de loups et probablement d'ours (dans une moindre proportion) ne sont pas prises en compte dans aucune statistique. Il s'agit des prédations chez les non-agriculteurs déclarés, les retraités et les animaux de loisir (chevaux, ânes, brebis ou chèvres tondeuses, chiens...). Bien souvent les agents ne se déplacent même pas ou se contente d'observer, compatir et repartir (entretenant ainsi le flou qui permet a la doctrine de faire son chemin). Merci de nous prévenir en cas de connaissance de faits assimilable a cette catégorie,
- La capture : Il s’agit d’une capture scientifique où l’animal est relâché une fois porteur d’un dispositif de localisation.( 2 ans de vie pour le gps, sur combien de loup??? entre 2000 et 6000 dollard pièce???chapitre
B) C’est un principe et même un honneur de ne pas l’abîmer. C’est un animal social. Il apprend ce qui est arrivé aux autres membres de la meute.(on croit rever????) La grande difficulté est que le degré d’exigence pour l’activité de capture est extraordinairement élevé. Les cessions de capture n’auront donc lieu qu’une fois. On n’essaiera pas de faire des recaptures (les animaux auront appris de l’expérience de la première capture).(En capturant les prédateurs près du bétail, vous pouvez les amener à rester à l'écart pendant un jour ou deux ; mais s'ils ont faim, ils reviendront, poursuit-il... voir chapitre C et D) On essaiera donc d’attraper le maximum d’animaux qui, une fois capturés, donneront des infos objectives sur le nombre d’individus dans la meute, sa localisation et l’état du territoire où elle circule ;
En
Espagne les écologistes s'élèvent contre la pose de colliers sur les
loups.
En France les écologistes font tout ce qu'ils peuvent pour
vendre le projet.Au niveau du management, on doit intervenir chaque fois que le phénomène loup affleure au niveau du monde humain : le loup se gère en acceptant d’être en relation avec le loup. Il s’agit de protéger le territoire de l’Homme et de le signifier au loup. Selon la logique de domination du territoire qui est celle de l’animal lui-même : ici c’est chez moi, tu n’as rien à y faire. A fortiori quand j’y suis ! (D'habitude, les intègristes nous disent que c'est nous qui sommes sur le territoire du loup???)
Ces grands manipulateurs se targuent du soutien de :
- Institut Desanti, ENS de Lyon : Jacques Deschamps, professeur de philosophie ; ???
- ONCFS : Eric Marboutin, chef de mission loup/lynx, réseau national de surveillance ; De son côté Marboutin précise qu'il n'y a aucune autorisation de piégeage de loup et aucune participation de l'ONCFS
- Parc national des Cévennes ; Aucune participation du parc a ce projet
- Chambre d’agriculture ; laquelle??? a ce jour aucune chambre n'a communiqué sur ce sujet!
- CERPAM ;Je reçois avec le plus grand étonnement ce projet d’action de l’Association Houmbaba et de l’Université de Montpellier avec le soutien de la Fondation Nicolas Hulot. Je n’avais pas connaissance de ces documents. Le CERPAM est mentionné. Je vous informe que le CERPAM n’a jamais été contacté par ces personnes et n’est concerné en rien par les projets décrits, ni dans les Cévennes, ni ailleurs.
Pour
info, et avec l’accord des auteurs, je vous communique ci-dessous des extraits l’analyse réalisée par Marc Vincent et Michel Meuret de
l’INRA sur la réalité des méthodes « éducatives » des loups aux Etats-Unis. En
résumé, si un premier piégeage est non létal sur un loup s’en prenant au bétail
(équipement GPS pour suivi et relâche dans une zone sans bétail(voir paragraphe B), en théorie, et
dans des espaces infiniment plus vaste que chez nous), en cas de récidive, il y
a abattage. En 2008 aux USA, 15 % des loups étaient abattus (transposé en
France, cela ferait 45 loups abattus en 2013), et les USA viennent de
retirer le loup de la liste des espèces en danger. Très curieusement dans le
document Houmbaba, la principale référence justifiant leur action concerne le
Yellowstone, un espace… où il n’y a pas de troupeaux domestiques. Cela n’est pas
sérieux.
A
ma connaissance, il n’existe nulle part de méthode non-létale permettant
d’ « éduquer » les loups à éviter les troupeaux
domestiques.
Bien
cordialement
Laurent
Garde (écologue au centre d'étude et de recherche pour le pastoralisme alpes méditerranées)
Je laisse la conclusion a david Abel, de la Fédération Nationale de l'environnement:
"On donne à la société humaine l'illusion de contrôler une espèce sauvage, déplore Jean-David Abel, de FNE.....
Et j'ajoute que le loup va rapporter beaucoup d'argent à tout ces écologistes bienveillants qui n'ont pas peur du ridicule, de la contradiction et du mensonge!
La surprotection du loup et l'inflation des moyens de protection (qui font que les loups se cantonnent près des troupeaux, épiant les faits et gestes de l'homme, des chiens et du troupeau ... afin de trouver la faille, d'attendre un moment d'inattention, l'occasion ..) ont rendu les loups 100% "sans gêne". 100% mauvais. 100% "bad wolves"... des loups redoutables, habitués à l'homme ..
Aujourd'hui, il faut réclamer l'exclusion de ces loups de toute zone
pastorale
Demain, le grand public sera amené à réclamer l'exclusion de ces loups de
tout milieu péri-urbain ... il ne leur faudra pas 20 ans pour réagir
parce qu'ils vont hériter de loups dégénérés.
Et comme il n'y a
l'espace nulle part pour ces loups à part des camps d'internement ...dans
l'intérêt général et du pastoralisme et du grand public, le loup
devra perdre sa qualité d'espèce prioritaire, être totalement déclassé .. il ne
faudrait même plus entendre parler de statut.
L' objectif de ce type est le même que FNH. Rouler les éleveurs dans la
farine pour gagner du temps et laisser le loup se développer pouf être en
situation de non retour, épuiser les éleveurs, les faire partir et laisser la
place libre aux loups
Tout est dans le rapport Guth et Braque.
Le choix pour les éleveurs est simple .... s' organiser pour résister et se
développer sans loups et écolos, comme l'ont fait Marizette, Christiane, Pierre, Léon, José quelques uns des acteurs, drôles et émouvants, d'une incroyable lutte, celle des paysans du Larzac contre l'Etat, affrontement du faible contre le fort, qui les a unis dans un combat sans merci pour sauver leurs terres, ou tout perdre dans les 5 ans à venir.....
éleveurs attention
Des éleveurs ont été ou seront contactés par un certain Antoine Nochy pour
des expériences de capture de loups totalement farfelues et, plus
récemment, pour la mise en place d'une marque commerciale (pseudo label de
qualité) pour la commercialisation de l'agneau tout en faisant la promotion du
loup et de la cohabitation.
Les Pyrénées ont connu ces expériences avec la marque de l'ours pour le fromage "Pe descaous" et le "broutard du Pays de l'Ours". Que des fiascos.
Les Pyrénées ont connu ces expériences avec la marque de l'ours pour le fromage "Pe descaous" et le "broutard du Pays de l'Ours". Que des fiascos.
Il existe des labels de qualité officiels délivrés par
l'INAO. Il est nettement plus sérieux de se référer de ces labels de qualité
(comme l'agneau de Sisteron) pour s'assurer une pérennité sans compromission
dans le développement des prédateurs.
Les parcs nationaux offrent ou vont offrir également leur propre marque qui
n'est pas un label de qualité mais juste la preuve de la production dans le cœur du Parc ou la zone d'adhésion. Cette marque pourra être attribuée à la
fabrication de marionnettes, du biogaz comme de l'agneau. A vous de juger.
A titre d'exemple :"D’un côté, un artisan qui rencontre le succès du public avec ses Biscuits du Mercantour. De l’autre, le Parc national qui s’oppose (un peu tard?) à l’utilisation du mot Mercantour"