Monsieur
le Commissaire Européen,
Pour
faire suite à la plainte déposée par Gérard Charollois, Juriste, magistrat de l'ordre judiciaire, président du C.V.N.
contre l'Etat Français, je tiens à vous faire connaître
certaines de mes réflexions concernant ce
document.
Vous
trouverez en italique les points que je trouve éronnés
ou diffamatoires ou à tendance xénophobe!
espèce
présente en France depuis 1992/ / alors
qu'un loup a déjà été tué par
erreur au cours d'une battue en 1987, “les gardiens du
parc ne disent mot face aux éleveurs qui se plaignent
d'attaques de chiens”
en
provenance spontanée d’Italie où elle est bien
installée/ Alors
que côté Italien dans le Mercantour personne n'avait de
problème avec le loup avant les années 85! Alors
que la convention de Berne dans ces directives, recommande à
l'Italie, je cite :" De
faire respecter l’interdiction de posséder en captivité
des individus de toute sous-espèce de Canis lupus et de les
libérer dans la nature ; Alors
qu'il était possible à l'époque de
se procurer des loups dans ces élevages sans aucun
justificatif, il semble qu'il soit autant difficile d’être sûr
du retour spontané que de parler de sa réintroduction. Alors
que Gilbert Simon, Directeur
de la Nature et des Paysages du Ministère de l'écologie
de 1992 à 1996, avait bien reconnu en 2003 devant une
commission parlementaire que des lâchers clandestins avaient
été réalisés dans les années 1980
dans les Landes"
le
loup a été très favorablement accueilli par
l’opinion publique Française:/
alors que l'opinion a soigneusement été tenue à
l'écart de toute réalité concernant la prédation
et les problèmes causés au pastoralisme traditionnel,
respectueux de la nature et source de produits de qualité
de proximité et de durabilité. Pastoralisme d'autre
part reconnu comme favorisant la biodiversité
en maintenant les milieux ouverts et en préservant
des incendies, reconnu d'intérêt général
comme activité de base de la vie montagnarde par la
Communauté économique européenne, mais
continuellement
dénigré par les partisans de l'écologie animaliste extrême . Le loup, après avoir bénéficié d’un capital de sympathie très fort, est entrain de voire celui ci disparaître
mais
combattu par certains milieux agro-cynégétiques
obscurantistes./ là commence à se dessiner la
véritable identité des auteurs de la plainte! Ce
procédé de stigmatisation des populations
minoritaires devra éveiller vos soupçons, quand au bien
fondé de cette requête!
Malgré
l’indemnisation avantageuse des moutons prélevés par
le loup/
ces
milieux s’agitèrent pour obtenir des pouvoirs publics des
autorisations de tirs de loups./: voici
une contradiction qui en dit long
sur l’indemnisation avantageuse dans l'esprit d'un
écologiste coupé des réalités. Car il ne
s'agit pas de choisir le métier de berger pour
nourrir le loup!. Personne, à part des intégristes
pros-loups, n’accepterait de faire
ce métier plusieurs fois millénaire,
dans lequel il faut s'investir corps et âme, si ce n'était
dans un but valorisant de produire des matières
vitales de qualité, de proximité et de durabilité!
le
refus est essentiellement culturel./: alors que la majorité
des éleveurs et Bergers étaient prêt à cohabiter avec
le loup tel qu'il nous avait été présenté,
il est aujourd'hui inconcevable d'accepter cette conclusion à
caractère diffamatoire et réductrice d'autant que
notre revendication n'a d'autre but que de préserver nos
modes de vie ruraux, qui nous permettent de vivre de et en accord
avec la nature, tout en la préservant pour les générations
futures! Un berger est forcément toujours sur un espace A protéger et il le sait.
Si vouloir garder des terres agricoles utilisables et en bonne santé, de bons produits, les paysages de montagne tels qu'ils sont est synonyme de "refus culturel" dans ce cas, l'immense majorité de la population pratique le "refus culturel"
Si vouloir garder des terres agricoles utilisables et en bonne santé, de bons produits, les paysages de montagne tels qu'ils sont est synonyme de "refus culturel" dans ce cas, l'immense majorité de la population pratique le "refus culturel"
De
nombreux actes de braconnages à l’encontre de l’espèce
FURENT COMMIS/
Quelle sont les sources de cette affirmation ? La
seule réalité est qu'aujourd'hui les loups attaquent de
jour en présence des bergers et des chiens de
protection, sans qu'il nous soit possible d'intervenir!
la
MEUSE, département dans lequel un seul loup aurait été
signalé./ Si il n'y a qu'un seul loup dans la Meuse, il
faut immédiatement, devant l'ampleur des attaques,
éliminer cet animal hors normes, en phase de devenir une
nouvelle "bête du Gévaudan"
Ces
mesures comportent une incidence déplorable en ce qu’elles
alimentent les mythes obscurantistes,/ de nouveau la
stigmatisation des populations qui souffrent autant de la
prédation que de la vindicte des écologistes qui ont
perdu tous sens des réalités!
alors
qu’il serait du devoir des gouvernants d’élever le niveau
des connaissances des populations concernées et de faire
prévaloir l’impératif de favoriser la biodiversité./
Alors que les organismes scientifiques qui se sont penché sur
la réalité du pastoralisme sont unanimes pour
dire : "« Les paysages qui abritent la plus
forte biodiversité sont composés d'habitats
semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies
exploitées de façon extensive ou peu intensive, /…/ En
France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur
naturelle " correspondent à des zones d'élevage en
plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central,
Pyrénées…). »source CNRS
+ Université d’Ivry
Par
pure démagogie, le gouvernement confine les éleveurs –
chasseurs dans leurs préjugés anachroniques et les
conforte dans leur volonté d’aseptiser la nature./
Alors que le grenelle de l'environemment précise:
"Enfin, l’agriculture de montagne,
avec un certain nombre de spécialités
parmi les plus réputées, contribue au
renom de la production agricole et alimentaire française et à
la richesse nationale.
Nul
ne conteste l’intervention de
l’Etat, puis celle de
l’Europe depuis plus de
30 ans. L’approfondissement de la
politique de développement durable
apporte une nouvelle légitimité aux
aides à la montagne, qui « rémunèrent »
les externalités positives de l’entretien de la
nature, de la biodiversité et des paysages par
l’agriculture et la forêt, dont la contribution aux
équilibres sociaux, économiques et
écologiques en montagne est tout
à fait essentielle et
dépasse le seul cadre géographique de
la montagne".
Elle fait une guerre aux bactéries même celles qui donnent leur goût aux fromages.
Elle robotise le vivant en obligeant les éleveurs à marquer leurs troupeaux d’une puce électronique.
Elle oblige à concentrer les animaux dans des abattoirs centralisés ou ils connaissent un très fort taux de stress.
Elle interdit aux agriculteurs de semer des graines issus de leur propre production, c’est à dire qu’elle les contraint délibérément à la dépendance face aux semenciers industriels.
En
effet, après les fantasmes contre les loups, émergent
désormais, dans certains milieux ruraux, des rumeurs
fantaisistes contre les vautours./ le refus de prendre en compte ce que disent les témoins d'attaques de vautours montre à nouveau à quel point la parole des éleveurs n'est pas prise en compte, alors que en Espagne on peut lire: " Le
problème est réel, reconnu par les Gouvernements des
Autonomies comme par les spécialistes de cet oiseau," source
Ici une vidéo montrant des vautours qui attaquent un veau a la naissance!
Ici une vidéo montrant des vautours qui attaquent un veau a la naissance!
Avec
l'assurance de ma meilleure considération, et la confiance que
je porte en la justice de la communauté Européenne au
service du peuple!
Ouragan
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