la manipulation par les chiffres
Que ce soit, férus, loup.org, l'aspas et même EELV, les écologistes essaient de manipuler les indécis en leur proposant des statistiques qu"un élève de 6eme n'oserait pas proposer par peur du ridicule.
700 000 OVINS partent chaque année à l’équarrissage, d’après des chiffres qui ne sont justifiés par aucune statistique officielle, mais là n'est pas la question.!
l’INRA et l’AFSSA, dans leurs études démographiques, sanitaires et économiques, utilisent le chiffre de 2% de mortalité annuelle des ovins adultes, toutes causes confondues, ce qui correspond à environ 200 000 animaux!
Ils n'ont de cesse de comparer ce chiffre (700 000) au nombre de victimes du loup, 5779 ovins, issus de seulement "16 départements loup officiellement présent", animaux d'alpages et d'élevages extensifs exclusivement.
Ils sont tous sur la même longueur d'ondes, un peu comme si ils avaient reçus des consignes pour publier sans se remettre en question!
Ils sont tous sur la même longueur d'ondes, un peu comme si ils avaient reçus des consignes pour publier sans se remettre en question!
- D'un coté, 700 000 ovins répartis dans toute la France, dans 96 départements avec ou sans loup, tous ovins confondus (alpages, industriels, de plaine, hors sol, hors zone loups....), blessés, malades ou de réforme, ou que sais-je, équarris (à savoir que la quasi totalité des réformes issues d'élevages de plein air sont bien vendus en boucherie et ne sont donc pas comptée dans les 700 000 )
- De l'autre 5779 ovins, 264 caprins, 49 bovins, 5 équins, 5 chiens, issus de petits élevages extensif en pâture, répartis dans les 2 régions PACA et RHÔNE ALPE, victimes du loup.
Que font les écologistes avec ces 2 chiffres non comparables. Ils s'en servent pour minimiser l'impact important du loup sur un cheptel d'ovins représentant environ :
870 000 animaux sur moins de 1/10eme du territoire.
Comparer la prédation oppressant 870 000 ovins en P.A.C.A. et Rhône Alpe et la transposer au 7 500 000 ovins du territoire National tient uniquement de l'idéologie et non de la démonstration scientifique
(un peu comme si on comparait le nombre d’homicides en Corse au nombre de personnes menées au cimetière ou incinérées en France pour le minimiser).
- De l'autre 5779 ovins, 264 caprins, 49 bovins, 5 équins, 5 chiens, issus de petits élevages extensif en pâture, répartis dans les 2 régions PACA et RHÔNE ALPE, victimes du loup.
Que font les écologistes avec ces 2 chiffres non comparables. Ils s'en servent pour minimiser l'impact important du loup sur un cheptel d'ovins représentant environ :
870 000 animaux sur moins de 1/10eme du territoire.
Comparer la prédation oppressant 870 000 ovins en P.A.C.A. et Rhône Alpe et la transposer au 7 500 000 ovins du territoire National tient uniquement de l'idéologie et non de la démonstration scientifique
(un peu comme si on comparait le nombre d’homicides en Corse au nombre de personnes menées au cimetière ou incinérées en France pour le minimiser).
D'après mes sources, les départements en 2012 concernés par la présence loup, recenseraient approximativement 870 000 ovins.(source maison de l'élevage et d.r.a.a.f.). D’après le Centre d'Etudes et de Recherche pour le Pastoralisme Alpes Méditerranée, "L’estimation de 700 000 ovins exposés au risque loup dans le massif alpin est réaliste."
et de rajouter : "Aux 6000 ovins reconnus et indemnisés, nos études montrent qu’il faut rajouter environ 40 à 50 % d’animaux disparus ou invérifiables (dont 20 % reconnu dans la cadre du forfait). La réalité des pertes reconnues par l’Etat est donc de plus de 7000 ovins perdus, et la réalité de terrain doit avoisiner prudemment 8000 ovins perdus dans les Alpes."
Restons zen et contentons nous d'appliquer le chiffre officiel (+ de 6000 ovins et caprins; source oncfs) de la prédation loup aux seuls départements ou il sévit, sur 700 000 animaux, comme il convient pour une statistique réaliste, et on arrive à un pourcentage 14 fois supérieur à celui des écologistes !
Tout ce montage idéologique pour démolir l’excellent reportage fait par Solenne le Hen dans interception de France Inter:
Les bergers Malade du loup.
La seule comparaison valable serait celle qui comparerait les mêmes estives avant et après l'arrivée du loup!
Ce qui a été fait ici
Un dernier chiffre : le spécialiste d’écologie historique du loup, François de Beaufort, estimait en 1800, à 100 000 les pertes ovines dues aux loups en France chaque année. Que ceux qui maintiennent que nos anciens savait s'y prendre avec le loup modère leurs paroles. Valables aussi pour ceux qui prônent que la cohabitation est possible
a lire aussi "qu'en est il du loup en 1800"
et de rajouter : "Aux 6000 ovins reconnus et indemnisés, nos études montrent qu’il faut rajouter environ 40 à 50 % d’animaux disparus ou invérifiables (dont 20 % reconnu dans la cadre du forfait). La réalité des pertes reconnues par l’Etat est donc de plus de 7000 ovins perdus, et la réalité de terrain doit avoisiner prudemment 8000 ovins perdus dans les Alpes."
Restons zen et contentons nous d'appliquer le chiffre officiel (+ de 6000 ovins et caprins; source oncfs) de la prédation loup aux seuls départements ou il sévit, sur 700 000 animaux, comme il convient pour une statistique réaliste, et on arrive à un pourcentage 14 fois supérieur à celui des écologistes !
Tout ce montage idéologique pour démolir l’excellent reportage fait par Solenne le Hen dans interception de France Inter:
Les bergers Malade du loup.
Merci
pour cette émission qui a fait l'unanimité dans la profession, et permet de
faire connaître la réalité de la prédation sur nos vies!
Beaucoup d'émotions dans les chaumières
et un peu de beaume au coeur pour les désepérés. Ne pas se sentir seul, est
important!
La seule comparaison valable serait celle qui comparerait les mêmes estives avant et après l'arrivée du loup!
Ce qui a été fait ici
Un dernier chiffre : le spécialiste d’écologie historique du loup, François de Beaufort, estimait en 1800, à 100 000 les pertes ovines dues aux loups en France chaque année. Que ceux qui maintiennent que nos anciens savait s'y prendre avec le loup modère leurs paroles. Valables aussi pour ceux qui prônent que la cohabitation est possible
a lire aussi "qu'en est il du loup en 1800"
Les animaux de réforme ont toujours été vendus à la boucherie.
Les animaux trop gravement blessés pour être soignés, constituent en général la part de l'éleveur.
Ceci conforte le fait que le petit élevage tire son épingle de la crise, en offrant des produits de qualité et en optimisant les méthodes simples qui ont fait leurs preuves et sont le fait de la connaissance du métier et de la valeur réelle des choses; Pouvoir proposer des animaux de réforme à valeur marchande non négligeable, car en bon état de santé et de présentation. Contrairement aux élevages industriels dont les animaux de réforme sont inutilisables en boucherie et participent donc aux trucage des chiffres par les défenseurs du loup.(Le nombres d’animaux équarris dans les élevage qui subissent le loup est quasi insignifiant en dehors de ceux prédatés)
Contrairement à l'affirmation des pros loups, selon lesquels "toute la filière ovine est en crise", c'est encore une des nombreuses contradictions, chères aux écologistes qui n'hésitent pas à mettre dans le même panier tous les élevages de la filière ovine, pour justifier leurs fantasmes.
Or c' est loin d'etre le cas, comme le dit le porte parole de l’agneau de Sisteron :
"L’agneau de Sisteron se porte bien. Tellement bien, que la progression continue, ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."
Malheureusement c'est seulement cette filière en bonne santé qui est la proie des prédateurs. Le reste de l'élevage ovin a moins de risque de subir le loup, surtout en intensif et industriel.
Ceci conforte le fait que le petit élevage tire son épingle de la crise, en offrant des produits de qualité et en optimisant les méthodes simples qui ont fait leurs preuves et sont le fait de la connaissance du métier et de la valeur réelle des choses; Pouvoir proposer des animaux de réforme à valeur marchande non négligeable, car en bon état de santé et de présentation. Contrairement aux élevages industriels dont les animaux de réforme sont inutilisables en boucherie et participent donc aux trucage des chiffres par les défenseurs du loup.(Le nombres d’animaux équarris dans les élevage qui subissent le loup est quasi insignifiant en dehors de ceux prédatés)
Contrairement à l'affirmation des pros loups, selon lesquels "toute la filière ovine est en crise", c'est encore une des nombreuses contradictions, chères aux écologistes qui n'hésitent pas à mettre dans le même panier tous les élevages de la filière ovine, pour justifier leurs fantasmes.
Or c' est loin d'etre le cas, comme le dit le porte parole de l’agneau de Sisteron :
"L’agneau de Sisteron se porte bien. Tellement bien, que la progression continue, ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."
Par ailleurs, l’agneau Label Rouge s’exporte et gagne des parts de marché dans la région languedocienne jusqu’à taquiner son homologue du Quercy sur les terres aveyronnaises.
La filière ovine d'animaux de qualité manque d'agneaux et d'éleveurs:
Malheureusement c'est seulement cette filière en bonne santé qui est la proie des prédateurs. Le reste de l'élevage ovin a moins de risque de subir le loup, surtout en intensif et industriel.
De même que les défenseurs du loup attestent que le métier de berger est en voie de disparition, pratiqué par des personnes vieillissantes qui ne seront pas remplacées, on peut lire dans le dernier recensement:
Les résultats du dernier recensement agricole attestent du fait qu’en région PACA, la
population des éleveurs est plus jeune que dans les autres productions agricoles, et que les installations sont plus nombreuses dans ce secteur en valeur relative. Cette dynamique se traduit par une meilleure résistance des filières animales au cours des dernières années par rapport à d’autres régions françaises. source "la maison de l'élevage"
Les résultats du dernier recensement agricole attestent du fait qu’en région PACA, la
population des éleveurs est plus jeune que dans les autres productions agricoles, et que les installations sont plus nombreuses dans ce secteur en valeur relative. Cette dynamique se traduit par une meilleure résistance des filières animales au cours des dernières années par rapport à d’autres régions françaises. source "la maison de l'élevage"