BIENVENUE

Bonjour, bienvenue aux personnes sensées, soucieuses de comprendre ce phénomène de société: "le culte du tout sauvage". Culte qui nous conduit vers une société dans laquelle tout est planifié pour servir des lobbys dont le but est la stérilisation de nos vies par, entre autre, la perte de savoir faire ancestraux et sages, afin d'avoir la main mise sur l'indépendance des peuples.(ouragan)
Les véritables créateurs des parcs nationaux du monde ne sont pas les idéologues et les
évangélistes du mouvement écologiste, mais les peuples indigènes qui ont façonné leurs paysages
grâce à un savoir et une vision emmagasinés à travers d'innombrables générations. (Stephen Corry)
Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; ce n'est pas de subir la loi du mensonge triomphant aux services d'intérêts obscurs. (Ouragan d’après Jean Jaures)

Mes articles sont régulièrement mis a jour, soit par l'actualité les concernant, soit pour en rectifier des erreurs (que vous pouvez me signaler). Ils évolueront donc dans le temps, jusqu'au jour ou une solution pérenne, pour la sauvegarde des ruraux qui vivent de et en accord avec la nature, soit adoptée par nos gouvernements.
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lundi 19 janvier 2015

LOUP ET PRÉDATEURS, MOBILISATION DES ELUS

L'association Eleveurs et Montagnes mobilise depuis le mois de décembre les élus départementaux autour de la question du loup.
Ainsi, les maires, députés, conseillers généraux des Alpes de Haute Provence ont été appelés à se prononcer sur le texte suivant :

Texte a télécharger et a proposer a vos conseillers et élus



"Les élus de
Mobilisés autour des difficultés rencontrées par l'élevage de plein air face aux loups, et par conséquent inquiets de l'impact sur toute l'économie des territoires montagnards et ruraux, affirment leur pleine solidarité à l'élevage et à aux acteurs économiques de la ruralité ;
Convaincus que :
• L'élevage pastoral est nécessaire pour l'économie des territoires de montagne et ruraux,
• Le maintien du pâturage est le gage de l'entretien des paysages et de la préservation de la biodiversité,
• L'élevage pastoral répond aux nouvelles attentes des consommateurs en termes de proximité, qualité, lien au terroir, sécurité alimentaire et sanitaire.
Font le constat que :
• Les pertes directes et indirectes sur les troupeaux sont lourdes dans toutes les zones de présence du loup et deviennent inacceptables,
• Les moyens de protection sont de moins en moins efficaces face à des loups qui s'adaptent et ne craignent plus l'homme,
• Les chiens de protection, imposés en raison de la présence des loups, deviennent une contrainte majeure pour la fréquentation de la montagne et l'économie touristique, avec de forts conflits d'usage avec les autres activités.
Refusent :
• l'abandon et l'ensauvagement de leurs territoires
• que la responsabilité pénale des problèmes pouvant résulter des chiens de protection retombe sur les éleveurs
• Le principe de protection des hybrides du loup de souche italienne présent en France qui constituerait une menace pour la survie de l'élevage ;
Affirment :
• La nécessité de faire connaître la réalité du problème du loup et de la souffrance des éleveurs
• Notre choix pour des montagnes et des territoires ruraux vivants
Prenons note des nouvelles orientations affirmées par la Ministre de l'Ecologie facilitant les tirs de loups ;
Mais exigent :
• le respect du travail et de la vie de tous les éleveurs confrontés au loup
• aux pouvoirs publics de représenter les éleveurs et de protéger leur activité et la qualité de leurs produits
• une régulation opérationnelle du loup avec des moyens adaptés et obligation de résultat, avec une réactivité réelle des pouvoirs publics prenant en compte les situations de détresse locale. Ces décisions pourraient être prises au niveau local en mobilisant notamment les chasseurs, et appelées à se traduire en plan de chasse, et dont la charge ne repose pas sur les seuls éleveurs ;
• un déclassement du loup de la Convention de Berne et de la Directive Habitat, de façon à sécuriser le cadre juridique facilitant la régulation des loups."


vendredi 5 décembre 2014

LOUP, LETTRE OUVERTE A MME LA MINISTRE SÉGOLÈNE ROYAL

Collectif "Pour la sauvegarde du pastoralisme"
Ouragan et les Associations cosignataires ci dessous(bas de page), à :

Madame la Ministre de l’Ecologie,
 du Développement durable et de l’Energie
Hôtel de Roquelaure,
246 Boulevard Saint-Germain,
 75007 PARIS
Les Prés, le 20 Novembre 2014


Le groupement des associations environnementales pour la protection du loup sollicite votre bienveillance . C’est son droit.  Avant de prendre votre décision, nous souhaiterions remettre à leur place certaines des affirmations émises par Cap Loup.

Analysons les demandes, en italiques dans le texte, de Cap Loup:

"
La protection des troupeaux domestiques ne justifie pas les nombreux arrêtés publiés, visant non pas à limiter la prédation sur le cheptel, mais bel et bien à réduire la population de loups en France. Y compris au cœur même d’un Parc National !"

A notre connaissance, aucune autorisation de tir ou de prélèvement n'a été donnée à l'intérieur d'un parc national, dont nous rappelons ici un des constituants de la charte, signée avec les populations qui y vivent et qui participent à l'épanouissement des principes fondamentaux qui régissent ces parcs:

L’activité pastorale d’altitude dans les parcs nationaux est bien vivante, menée par des éleveurs locaux ou transhumants. Elle a fortement évolué, s’est modernisée. La conservation de bon nombre de milieux et d’espèces est liée au maintien et à l’ajustement des pratiques agricoles et pastorales. Les premiers partenaires des parcs nationaux sont les éleveurs et les bergers, les gestionnaires d’alpages ou d’estives, les services pastoraux, agricoles et administratifs.
Le pastoralisme contribue à la structuration écologique et paysagère des territoires, à la constitution du patrimoine naturel et culturel des parcs nationaux et à sa gestion. Ainsi, les paysages d’alpages et d’estives offrent une biodiversité et un caractère remarquable, résultat des interactions complexes et dynamiques entre activités pastorales et milieux naturels, que les parcs visent à préserver."
(cf. charte des parcs nationaux)

"Le mouvement associatif s’est organisé en conséquence, et 26 associations de protection de la nature et du droit animalier se sont regroupées au sein du collectif CAP Loup."

Parmi les associations constituant ce groupement, la plupart ne cachent pas la véritable motivation qui les anime :
    • "5000 victimes dont la moitié est due aux chiens !" cf. journal de Marianne 28 sept 2013
    • en  octobre 2014 à Gap au cours d’une table ronde : "[...] la prédation reste quelque chose de minime sur le plan économique" 
    • et sur France Bleu "Le problème c'est la non-protection des troupeaux...."

    • "Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages " (cf aspas, pour le loup, 14 juillet 2014)
    • "Le loup, est une opportunité écotouristique, plus de 2 millions de touristes dans le parc des abruzzes »" (cf. campagne pour la connaissance et la protection du loup)

    • Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal"
    • "Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage"
    • "Écologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons. Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour "entretenir" la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique." (cf.dépliant Loup, pour en finir avec les contrevérités sur le pastoralisme)

Comme vous pourrez le constater à travers ces affirmations, toutes ces associations  suggèrent de régler le problème du loup par la suppression du petit élevage traditionnel, et par la même, la disparition de la vie rurale respectueuse de son patrimoine, en pratiquant la désinformation, le mensonge, voire la diffamation.

  "[...] il peut être « chassé » dans 20 départements, et fait l’objet d’arrêtés de « tirs de prélèvement » réalisés à l’aide d’armes interdites en action de chasse, de jour comme de nuit, et même hors période de chasse." 
Comme prévu démocratiquement, le prélèvement des 24 puis éventuellement 36 loups doit se faire, si possible avec des armes sophistiquées, afin d’être sûr de réaliser un tir mortel, plutôt que de prendre le risque de blesser un animal.

"le sondage IFOP réalisé en septembre 2013 pour l’ASPAS et One Voice qui montre que 79% des Français sont favorables à sa présence dans notre pays, y compris les ruraux."
En réalité la question était :"  "Vous  personnellement, êtes-vous tout à fait, plutôt, plutôt pas ou pas du tout favorable à l’éradication totale du loup en France "… question à laquelle de nombreux bergers, éleveurs et moi-même, ont répondu par "pas du tout favorable".
Je vous propose de refaire le sondage en posant la véritable question :
 "Etes-vous pour le maintien d'une population de loup sur l'ensemble du territoire, sachant que chaque citoyen, en âge légal de le faire, devra participer à son épanouissement en offrant une heure quotidienne de travail bénévole, y compris les jours fériés et les weekends,  le loup n'étant pas assujetti au code du travail !"

"Malgré cette forte demande des Français, malgré le caractère encore fragile de l’espèce dans notre pays, et malgré l’intérêt de la présence du loup pour des secteurs économiques clefs en zone rurale que sont le tourisme et la sylviculture, vous avez décidé de faire chasser le loup".

Madame la Ministre, nous pensons tous, nous petits  éleveurs et bergers, que les Français, en particulier les citadins, doivent être véritablement informés sur la réalité des prédations lupines qui  conduisent  inexorablement à la disparition du pastoralisme traditionnel, garant depuis la nuit des temps de la protection de la biodiversité et de la nature qui nous accueille depuis des générations. Nous pensons tous que les Français seraient attachés à conserver le patrimoine intact, sans le déferlement d'un tourisme de masse, comme s'en félicitent certainement à tort, l'ensemble des associations.


Madame la Ministre, nous avons choisi de vivre et de faire vivre la ruralité dans le respect, la durabilité, en proposant des produits de qualité et en officiant, comme vous pourrez le constater en venant nous visiter dans la Drôme, par exemple, dans un cadre qui reste à de rares exceptions près, préservé, exceptionnel, ouvert et partagé.

Madame la ministre, nous ne voulons pas du loup car nous avons appris, en étant les seuls à participer à la cohabitation, que cette cohabitation est impossible. Il y aura toujours une faille, un défaut, un empêchement, une panne, un accident... qui feront que le loup trouve aujourd'hui et trouvera demain, la possibilité de s'en prendre à nos animaux. Le vécu dans les autres pays atteints de ce fléau nous montre qu’après les ovins, ce seront les bovins, les équins, les chiens.... . Car le loup une fois installé, doit impérativement trouver, les quatre à cinq kilos de viande qui sont nécessaires quotidiennement à son épanouissement.

Madame la ministre, faire croire que le loup fera venir des millions de touristes, comme le soutiennent à tort, les défenseurs du loup pour le parc des Abruzzes, est une hérésie. En effet, dans les Abruzzes, la quasi totalité des visiteurs sont des randonneurs, vététistes, joggeurs...ou plus simplement, des familles qui viennent s'y ressourcer indépendamment du loup, mais plus du fait de la proximité des métropoles. De même, nous pensons qu'il faut un équilibre en toutes choses, et par respect pour cette nature que nous avons su préserver pour les générations futures, des millions de visiteurs seraient néfastes pour la faune et pour la flore.
Actuellement, le pastoralisme est un vecteur important d'un tourisme familial et respectueux, comme vous pourrez le voir dans toutes les brochures des offices de tourisme, faisant vivre les autochtones qui ne veulent pas de structures industrielles pouvant  accueillir ces  millions  de touristes, si chers aux défenseurs du loup !

Madame la ministre, l'ensemble de la profession et des acteurs ruraux vous remercie de la position difficile que vous avez su prendre pour le maintien de la vie rurale. Laisser le loup s'installer durablement sur nos terres serait forcément la condamnation de l'agriculture familiale,  mise à l'honneur en cette année 2014, par les NATIONS UNIES.

Veuillez agréer Mme la Ministre de l'écologie, l’expression de notre reconnaissance ainsi que nos salutations respectueuses.


Cosignataires:
Association Éleveurs et Bergers du Vercors, Mme Annette Jouvent, secrétaire, 38680 Presles
Association Solidarité Pastorale, Jean Louis Fleury, 26460, Les Tonils
Fédération des Acteurs Ruraux, M. Christophe Gabert, 38850, Chirens
Association Le Cercle, Jean Claude Robert, 48150, Hures la Parade
Association, Éleveurs et Montagnes, Yves Louis Derbez, 04000, Dignes Les Bains
Association, Encore Éleveurs Demain, 55300 Troyon
Association pour l'Equilibre et le Développement du Massif Vosgien, Jean Marc Delcroix, 68610 Markstein
Association des Bergères et Bergers de Provence et des Alpes du Sud, Mathieu Erny, 04110 Aubenas-les-Alpes
Association des Amis de l'Aigoual,du Bougès et du Lozère, Gilda de Cumond, 48220, Le Pont de Monvert
Association Le Loup et les Indignés de l'Ubaye, Pierre Martin-Charpenel 04400 Barcelonnette
Association des Patres de Haute Montagne, Laurie Sixset, 09000 Loubières

mercredi 19 novembre 2014

LOUP, LES APPRENTIS SORCIERS ESSAYENT DE CORRIGER LEURS ERREURS



Les apprentis sorciers s'apercevant qu'ils ne maîtrisent rien, essayent aujourd'hui de réparer leurs incompétences par le biais de la modification de la convention de BERNE, sur le dos du pastoralisme, comme il se doit, mais aussi sur celui de la biologie et de la sécurité publique. Mais, comme dit le proverbe, quand on aime on ne compte pas!

Extrait de : Hybrid project
4 - [...] d’accorder dans la législation nationale aux hybrides du loup et du chien présents dans la nature, là où le loup bénéficie d’une protection spéciale en vertu de l’Article 6 de la Convention, un
niveau de protection équivalent à celui du loup contre les abattages, la capture et les autres
agissements interdits par l’Article 6, indépendamment de l’élimination prudente, sous le contrôle
du gouvernement, de tels hybrides qui vivraient dans les populations sauvages du loup.

Si cette modification est adoptée, elle devient transposable immédiatement dans la directive habitat et ne pourra plus être retirée.  5 mois après la signature pour la cohabitation par les syndicats qui s'engagent à respecter et appliquer cette directive habitat!

En effet, tous ces gens bien intentionnés, s'aperçoivent qu'ils ne possèdent pas la base génétique permettant d'identifier un loup de race pure!

Ceci s’explique par le fait que la base génétique a été extraite de la centaine de loups peuplant le sud italien, à l'époque fortement infestée de chiens errants, et donc soumise à l'hybridation. Cette soi-disant référence génétique pour différencier un hybride d'un loup "pur", est en fait à coup sûr, comme l'indique "monsieur loup", L.Boitani, une référence tronquée, comprenant déjà des gènes d'hybridation. Le problème des "apprentis sorciers" étant aujourd'hui que : c'est cette base génétique issue de loups vivant dans un espace restreint et dont le niveau d'hybridation était considérée comme le premier facteur de risque sur l'avenir de l’espèce pure, qui a donné la totalité des loups de France, de Suisse et d'Italie, que nous connaissons actuellement.

Qu'à cela ne tienne, il s'agit maintenant de renier tout ce qui était les uniques raisons de la protection de la souche pure de l'espèce, histoire de continuer de faire joujou avec le loup, mais aussi avec les subventions.
Majorant de fait la pression exercée sur le pastoralisme et le maintien de la vie rurale, par, disons-le maintenant, des loups hybrides, voire des chiens hybrides!

La finalité, en contradiction totale avec les précédents alinéas de la convention de Berne et incompréhensible sur le plan biologique, étant de changer cette convention de Berne, afin de sur protéger, à l'identique du loup, une entité qui a fortement contribué à faire accepter la protection du loup. Une entité dont les textes  aujourd'hui,   et jusqu'au changement demandé, ordonnent d’éviter son existence et d'assurer son élimination. Une finalité pour convaincre les militants manipulés de protéger, non plus le loup, mais les multiples hybrides. Reste à savoir dans quel but? Question que ne se poseront pas les futurs défenseurs des chiens hybrides, habitués qu'ils sont à relayer la bonne parole de leurs gourous, sans se poser la question, la seule et véritable question: DANS QUEL BUT?

Bref, on ouvre une nouvelle polémique en prônant la protection des Hybrides. Risque se voulant aujourd'hui inexistant, alors qu'il a été la première marche de la mise en place de la vertueuse protection des loups de souche pure, en argumentant qu'il était impératif d’éviter cette hybridation.

En conclusion, il serait équitable de réhabiliter tous ceux qui ont été condamné pour avoir tué des hybrides, car il s'avère aujourd'hui que la défense du loup sauvage n'a jamais eu lieu d'être.

EXEMPLE TYPE DE CE QUI LEUR FAIT PEUR :

Après une instruction qui a duré plus de 15 jours, le procès des 15 chasseurs s'ouvre en Finlande.
Les chasseurs sont accusés d'avoir tué 3 loups.

La défense prétend que les canidés tués n'étaient pas des loups mais bien des hybrides et donc pas davantage protégés qu'un chat haret (!)

Cette semaine le procureur présente les témoins à charge et leurs preuves du 17 au 20 nov.La semaine prochaine ce sera le tour de la défense.
D'après les experts sollicités par la défense, on ne peut pas se fier aux 400 échantillons ADN dont disposent les autorités.

Le Procureur déclare que les données de comparaison d'ADN sont fiables et qu'elles correspondent bien à l'ADN des animaux tués.
Mais les avocats des prévenus ont demandé des informations complètes sur les échantillons (ex :phénotypes correspondants) et les autorités ont annoncé qu'elles ne disposent pas de telles données !

Depuis l'instruction, à la grande surprise, le procureur demande des peines bien moins lourdes que celles requises au départ - emprisonnement avec sursis (au lieu de 5, 6 ans de prison ferme), des amendes et 6 années d'interdiction de chasser.

La défense s'efforcera d'obtenir des peines encore plus clémentes.

2 articles de presse d'aujourd'hui.

http://online.vasabladet.fi/Artikel/Visa/45013

http://svenska.yle.fi/artikel/2014/11/17/jagade-de-varg-eller-hundvarg



Quel avenir pour le loup-chien d'Europe ?

"... L'hybridation entre différentes espèces, ou entre individus appartenant à des sous-espèces de la même espèce, se produit dans la nature depuis des temps immémoriaux. Quand elle est causée par l'intervention de l'homme, l'hybridation peut produire des individus susceptibles d'avoir un impact sur les animaux sauvages correspondants ou sur les activités humaines qui se déroulent en milieu anthropisé. C'est le cas de l'hybridation entre loup et chien.



Face à la prolifération des loups, essentiellement hybrides, en Europe, les apprentis sorciers tentent de de couvrir leurs méfaits ayant conduit à la prolifération incontrolable de ce prédateur. Compte tenu du développement de la contestation des populations humaines hostiles au loup dans pratiquement tous les pays d’Europe et d’une volonté d’éliminer ces loups dont, dans de nombreux cas, les origines proviennent d’élevages prévus à la recommandation n°17 de la Convention de Berne non reprise dans le projet de recommandation de conservation des hybrides, certains fanatiques de l’ensauvagement des territoires tentent de renforcer leurs actions par une nouvelle recommandation de la Convention de Berne qui constituerait un arrêt de nombreuses activités humaines. Mais à quel coût humain, social, économique et environnemental ? Quel avenir pour la notion de développement durable ? Est-ce vraiment compatible avec les objectifs d'origine prévus dans cette convention notamment son article 2 ?

Refus du classement des Bâtards

5) l'administration semble avoir été au courant dès le début car il suffit de lire la convention de berne pour s'en douter, la collaboration avec le corpo forestale et les équipe de Boitani semble accréditer les certitudes sur une connaissance il y a plus de 20 ans par l'administration française de la pollution des populations de loup par des batards, pour la ligné italienne, mais aussi pour d'autres qui ne sont donc pas protéger.



Nous sommes consternés d'apprendre les propositions visant à clarifier les dispositions et obligations de la Convention de Berne (art. 6) et à accorder, dans les législations nationales, un niveau de protection aux "hybrides du loup et du chien" équivalent à celui du loup.

A savoir ; le projet de classer les hybrides en protection stricte pour la majorité des pays signataires

Encore une fois, les propositions ont été réalisées avec la collaboration des spécialistes partiaux du LCIE qui, jusque-là, ont pourtant montré toute leur incompétence à gérer l'impossible cohabitation entre loups et élevages extensifs, y compris le problème incontournable d'hybrides en zones pastorales.

lundi 27 octobre 2014

LOUP, SOUTIEN A FRANCE INTER, tome II

Alors que France Bleu a diffusé une interview totalement à charge et surréaliste concernant le loup, avec pour unique interlocuteur des représentants d'associations qui relayent ou essaient de relayer de fausses informations, lire le chapitre : 
"une émission de radio enfonce le clou du mensonge et de la désinformation : France bleu dans l'article" http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2014/10/gap-le-loup-de-beaux-jours-devant-lui.html

Une fois de plus les écologistes hurlent lorsqu'une émission consacrée à l'impact de la prédation sur le moral des bergers ne fait pas intervenir des écologistes qui ne subissent aucune contrainte physique, morale, financière et psychologique liées a la prédation! Qu'aurait il donc à y développer, si ce n'est leur ignorance du problème sur "les bergers malade du loup" 

Une fois de plus les éleveurs et bergers tiennent à montrer leur soutien à France Inter qui a résolument pris le parti de révéler la réalité sur la prédation et les problèmes engendrés par le loup!

http://www.franceinter.fr/emission-interception-les-bergers-malades-du-loup-0
http://www.franceinter.fr/emission-le-rendez-vous-du-mediateur-loup-y-es-tu-et-surtout-entends-tu

Une fois de plus, montrant qu'ils n'ont plus d'arguments, les associations de défense du loup écrivent leur détresse à France Inter:
Dans la lettre de réclamation envoyée par Cap loup, toujours le même souci de vouloir désinformer! Le plus simple serait de savoir dans quel but, bien que se profile à l'horizon la volonté de la main mise sur une partie du territoire à des fins beaucoup moins réjouissantes que la rédemption pour les actes de destructions commis par nos sociétés occidentales:
"... obtenir un abaissement des normes environnementales, favoriser l'élevage industriel transformé en unités de méthanisation et faire entrer davantage d'OGM en Europe. L'élevage à l'herbe est ainsi sacrifié, d'autant plus que sa disparition serait "rentabilisée" par l'ensauvagement des territoires (bois énergie, marché carbone..;). Enfin, c'est tout du moins ce qu'ils croient, ou ce qu'on les pousse (pas besoin de trop fort) à croire!"

Nombreux sont les points  (en italique) de cette lettre qui méritent que l'on s'y attarde:

1-"le loup avait été « réintroduit » en France. C’est évidemment faux, les loups présents en France sont issus d’un retour naturel à partir de l’Italie où l’espèce avait pu se maintenir."

 Toutes les auditions de la commission parlementaire française (Assemblée Nationale) sur l'arrivée du loup en France font état d'introductions possibles et/ou clandestines. Mais personne n'affirme. Au pire, les personnes auditionnées tentent de minimiser le phénomène. Curieusement le rapport parlementaire ne conclut rien. Pourquoi ?

Une enquête réalisée en 1990 par la Direction de la nature et des paysages (DNP) évoque quant à elle des lâchers clandestins de loups, sans pourtant s’en émouvoir — ce qui fait bondir la commission d’enquête : « Il est pour le moins surprenant que le ministère de l’Environnement ait officiellement recensé des lâchers clandestins de loups (et d’autres espèces), opérations par définition illégales, sans s’inquiéter outre mesure des auteurs et des conditions de ces pratiques illégales.

Coté Italien, même son de cloche:
"Et ils ne proviennent pas des Apennins mais des Alpes, c'est à dire de la souche à partir de laquelle la population s'est constituée après les libérations répétées faites sur le versant français de la part des amoureux de cet animal, qui pour l'avoir n'ont pas hésité à libérer ceux qu'ils détenaient dans leurs propres enclos d'au-delà des Alpes, sans faire dans la finesse quant à leur pureté génétique et à la provenance géographique, comme l'a montré une Commission d'enquête du gouvernement français datant de quelques années (avec un rapport documenté de trois volumes pour un total de presque 1000 pages, dont tout le monde ici en Italie ignore l'existence, ou fait semblant de l'ignorer)."

Alors qui peut être sûr de quoi que ce soit ? :

LOUP 20 ANS APRES SA RÉINTRODUCTION?


2-"un représentant agricole explique que « le loup n’a plus peur de l’homme ». C’est évidemment faux,..../.../...(de l’aveu même des bergers interrogés), "

Alors que tout le milieu concerné par la prédation s'accorde pour reconnaître que le loup attaque désormais de jour en présence des bergers et des chiens de protection, les fameux bergers  interrogés  sont-ils ceux là? :


LOUP, A DEUX DOIGT DU DRAME


Une fois de plus, le lecteur pourra constater sans toutefois arriver à le comprendre, "la volonté envers et contre tout, ainsi que la focalisation à vouloir diffuser de fausses informations". Le lecteur donc est en droit de se poser toujours la même question "DANS quel but" ?

3-"Vous auriez pu rappeler que l’élevage ovin, qui s’effondre dans des régions où l’espèce n’est pourtant pas présente, résiste mieux dans le sud-est où elle est installée depuis vingt ans."


Ce sont toujours les mêmes propos, à croire que les écologistes sont incapables d'évoluer, à moins que, comme je le dis très souvent, ils ne soient privés de libre arbitre!
La filière ovine est en difficulté comme tout secteur économique en France, seuls les petits éleveurs extensifs proposant des produits de qualité, de proximité et de durabilité, souvent en commercialisation directe, tirent leur épingle du jeu de la loi du marché: 
 "L’agneau de Sisteron se porte bien. Tellement bien, que la progression continue,  ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."
Or ce sont seulement ces éleveurs qui sont victimes de la prédation et dénigrés par les écologistes!

4-"...vous pourriez montrer aussi les éleveurs les plus nombreux qui s’en sortent bien en présence des loups."

Dans les Alpes, on a recensé de janvier à septembre 2014, 516 attaques sur des troupeaux ayant mis en place les mesures de protection, c'est exactement ce qui arrivera dans les autres régions lorsque les meutes auront fini de s'installer! Alors il sera très difficile d'en trouver "des bergers qui s'en sortent bien face aux loups".

En conclusion, il serait important, si cela leur est possible, que les associations intransigeantes revoient leurs discours et puissent se détacher de l'emprise qui les contraint à ne divulguer que de la propagande idéologique en lieu et place de propos scientifiques!

Dans la même rubrique:

LOUP, SOUTIEN A FRANCE INTER


A lire aussi, un recueil de propagande signé par des associations qui n'ont peur de rien:

peur de rien comme par exemple la LPO, cosignataire du document ci dessus, qui demande des subventions pour entretenir un troupeau de brebis afin de, je cite "garder les paysages ouverts"
PETIT RAPPEL :  "Le pastoralisme n’est pas forcément synonyme d’entretien du paysage  L’idée que le bétail serait utile pour " entretenir " la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique." difficile de croire que l'on puisse demander des subventions pour entretenir la biodiversité avec un troupeau de Brebis, après de telles déclarations, et oui, ils n'ont peur de rien!




mercredi 17 septembre 2014

LOUP, SOUTIEN A FRANCE INTER

Merci France Inter pour ce reportage "LOUP EN LIBERTÉ, ÉLEVEURS EN DANGER"
Je tiens à corriger certaines erreurs et démesures, qui comme d'habitude sont les arguments des défenseurs du loup, dans une lettre (en italique) qui vous est adressée!
Monsieur,
"Vous présentez le loup uniquement comme un problème, en oubliant de rappeler le rôle essentiel que joue cette espèce comme prédateur naturel dans les écosystèmes, en particulier dans les montagnes des Hautes-Alpes, lieu de votre reportage. Le loup, rappelons-le, se nourrit principalement d’ongulés sauvages.! 
Il est pourtant facile de démontrer que le loup d'aujourd'hui surprotégé est devenu déviant et comme il est rappelé dans son descriptif biologique:"
 "Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur, l’abondance et l’accessibilité des proies, la probabilité de rencontres avec la proie, la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle, la probabilité de succès de la chasse, le risque de blessure, la profitabilité de la proie, les conditions environnementales. source le site de l'état consacré aux loups!
(donc adieu le mythe du loup qui se nourrit d’espèces sauvages. Quand il a goutté aux proies faciles plus rien ne le fera dévier)
"Vous évoquez 4 800 ovins tués possiblement par le loup en un an en France, mais ce nombre ne signifie pas grand-chose s’il n’est pas mis en perspective avec les 500 000 ovins tués dans le même temps par d’autres causes : maladies, accidents, pertes dans les alpages…"
Les départements en 2012 concernés par la  présence  loup,  recenseraient  approximativement 870 000 ovins.(source maison de l'élevage et d.r.a.a.f.). D’après le Centre d'Etudes et de Recherche pour le Pastoralisme Alpes Méditerranée,"l’estimation de 700 000 ovins exposés au risque loup dans le massif alpin est réaliste."
 Heureusement pour nous, nous sommes loin de perdre 500 000 animaux sur les 700 000 exposés aux loups. Comme toujours, les associations pour la défense du loup utilisent un stratagème qu'un élève de CM² serait capable de déjouer. En effet comparer  500 000 ovins qui représentent les pertes dans toute la France,( chiffres non vérifiables et non confirmés)  y compris les animaux de réforme, avec les 4800 victimes dans les alpes devraient vous mettre la puce à l'oreille quand à l’intégrité de ces associations!
La seule comparaison valable serait celle qui comparerait les mêmes estives avant et après l'arrivée du loup!
La réalité est toute autre, ""Aux 6000 ovins reconnus et indemnisés, nos études montrent qu’il faut rajouter environ 40 à 50 % d’animaux disparus ou invérifiables (dont 20 % reconnu dans la cadre du forfait). La réalité des pertes reconnues par l’Etat est donc de plus de 7000 ovins perdus, et la réalité de terrain doit avoisiner prudemment 8000 ovins perdus dans les Alpes." source centre d'étude pour la pastoralisme
Vous relayez sans aucun questionnement le discours absurde d’un syndicat agricole évoquant une disparition future du pastoralisme à cause du loup. Comment pouvez-vous laisser croire sans réagir qu’un pays comme la France ne serait pas techniquement capable d’élever des moutons en plein air, de façon compatible avec la présence de prédateurs naturels ?
Tout simplement parce que dans tous les pays confrontés aux loups, le pastoralisme, ovins, caprins et bovins devient impossible, laissant la place à l'élevage industriel!

le 14 septembre 2014: déclaration d'une éleveuse Italienne à Beaucroissant sur le stand de la "fédération des acteurs ruraux"
"Maintenant les attaques ont encore pris de l'ampleur en Italie, c'est très rare que l'état indemnise les éleveurs, même quand ce sont des veaux qui sont tués... donc les éleveurs prennent leurs responsabilités et ils font le ménage!" http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/07/en-italie-tout-va-tres-bien.html
Le quota de chasse sur les loups a été augmenté à cause des préoccupations des propriétaires de bétail espagnol sur leurs propres animaux, en raison de la récession actuelle de l'Espagne. http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/05/le-loup-en-espagne-en-italie-et-ailleurs.html

Votre sujet est le « zoom de la rédaction ». Ne serait-il pas intéressant pour vos auditeurs d’être informés sur ce dossier complexe avec plus de recul ? Vous pourriez aborder les questions de fond liées aux vrais problèmes de la filière ovine : problèmes économiques, structuraux, peut-être moins attrayants à vos yeux, mais beaucoup plus significatifs pour la compréhension du dossier « loup ».
Ce qu'il est important de savoir avant tout, c'est que la filière ovine des petits élevages traditionnels se porte mieux que le reste de la profession! En effet le petit élevage tire son épingle de la crise, en offrant des produits de qualité et en optimisant les méthodes simples qui ont fait leurs preuves et sont le fait de la connaissance du métier et de la valeur réelle des choses.
La coopérative du fameux "Agneau de Sisteron" ne s'y trompe pas: "L’Agneau de Sisteron" se porte bien. Tellement bien, que la progression continue,  ces trois dernières années, des agneaux présentés au label, labellisés puis vendus a atteint le plafond de l’offre. L’heure est donc à la réflexion pour les coopératives qui devront trouver des solutions pour remonter l’offre d’agneaux, ce qui revient à trouver de nouveaux éleveurs."
Hors le loup s'attaque uniquement à ces élevages respectueux, proposant des produits de qualité, de proximité et de durabilité!
Vous ne donnez la parole qu’à des éleveurs et à des représentants syndicaux. Il serait pertinent pour vos auditeurs de leur proposer aussi les interventions de scientifiques qui étudient le loup, et des associations de protection de la nature qui connaissent parfaitement le terrain et le dossier.
Pour ce qui est des scientifiques, je pourrais vous proposer dès maintenant une liste ICI, vous y trouverez des scientifiques qui sont clairs: "Le pastoralisme  menacé par l’installation des loups". Mais je me propose de mettre à votre disposition d'autre noms et d'autre études, si vous en avez besoin! 
Quand aux associations, je vous conseille avant toute approche de lire quelques articles qui vous montreront l'intégrité de leurs représentants!
"C’est pourquoi, en réponse à ce reportage, nous vous demandons de pouvoir intervenir sur votre antenne à l’occasion d’un prochain sujet sur le loup diffusé à une heure de grande écoute, afin que nos concitoyens puissent bénéficier d’une vision plus large et mieux informée de ce dossier. Les associations de CAP Loup se tiennent à votre disposition.":
Je pense que vous avez une grande partie des données vous permettant de prendre votre décision quand à une émission sous contrôle des associations environnementales.
Sachez que je me tiens à votre disposition pour de plus amples renseignements!
Dans l’attente, veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Ouragan pour "le collectif de défense du pastoralisme"

vendredi 5 septembre 2014

LETTRE OUVERTE A M. LE COMMISSAIRE EUROPEEN

Monsieur le Commissaire Européen,

Pour faire suite à la plainte déposée par Gérard Charollois, Juriste, magistrat de l'ordre judiciaire, président du C.V.N. contre l'Etat Français, je tiens à vous faire connaître certaines de mes réflexions concernant ce document.

Vous trouverez en italique les points que je trouve éronnés ou diffamatoires ou à tendance xénophobe!


espèce présente en France depuis 1992/ / alors qu'un loup a déjà été tué par erreur au cours d'une battue en 1987, “les gardiens du parc ne disent mot face aux éleveurs qui se plaignent d'attaques de chiens”

en provenance spontanée d’Italie où elle est bien installée/ Alors que côté Italien dans le Mercantour personne n'avait de problème avec le loup avant les années 85!  Alors que la convention de Berne dans ces directives, recommande à l'Italie, je cite :" De faire respecter l’interdiction de posséder en captivité des individus de toute sous-espèce de Canis lupus et de les libérer dans la nature ; Alors qu'il était possible à l'époque de se procurer des loups dans ces élevages sans aucun justificatif, il semble qu'il soit autant difficile d’être sûr du retour spontané que de parler de sa réintroduction.  Alors que Gilbert Simon,   Directeur de la Nature et des Paysages du Ministère de l'écologie de 1992 à 1996, avait bien reconnu en 2003 devant une commission parlementaire que des lâchers clandestins avaient été réalisés dans les années 1980 dans les Landes" 

le loup a été très favorablement accueilli par l’opinion publique Française:/  alors que l'opinion  a soigneusement été tenue à l'écart de toute réalité concernant la prédation et les problèmes causés au pastoralisme traditionnel, respectueux de la nature et source de produits de qualité de proximité et de durabilité. Pastoralisme d'autre part reconnu comme favorisant la biodiversité en maintenant les milieux ouverts et en préservant des incendies, reconnu d'intérêt général comme activité de base de la vie montagnarde par la Communauté économique européenne, mais continuellement dénigré par les partisans de l'écologie animaliste extrême . Le loup, après avoir bénéficié d’un capital de sympathie très fort, est entrain de voire celui ci disparaître

mais combattu par certains milieux agro-cynégétiques obscurantistes./ là commence à se dessiner la véritable identité des auteurs de la plainte! Ce procédé de stigmatisation des populations minoritaires devra éveiller vos soupçons, quand au bien fondé de cette requête!

 Malgré l’indemnisation avantageuse des moutons prélevés par le loup/ 
 ces milieux s’agitèrent pour obtenir des pouvoirs publics des autorisations de tirs de loups./: voici une contradiction qui en dit long sur l’indemnisation avantageuse dans l'esprit d'un écologiste coupé des réalités. Car il ne s'agit pas de choisir le métier de berger pour nourrir le loup!. Personne, à part des  intégristes   pros-loups, n’accepterait de faire ce métier plusieurs fois millénaire, dans lequel il faut s'investir corps et âme, si ce n'était dans un but valorisant de produire des matières vitales de qualité, de proximité et de durabilité!

le refus est essentiellement culturel./: alors que la majorité des éleveurs et Bergers étaient prêt à cohabiter avec le loup tel qu'il nous avait été présenté, il est aujourd'hui inconcevable d'accepter cette conclusion à caractère diffamatoire et réductrice d'autant que notre revendication n'a d'autre but que de préserver nos modes de vie ruraux, qui nous permettent de vivre de et en accord avec la nature, tout en la préservant pour les générations futures! Un berger est forcément toujours sur un espace A protéger et il le sait.
Si vouloir garder des terres agricoles utilisables et en bonne santé,  de bons produits, les paysages de montagne tels qu'ils sont est synonyme de "refus culturel" dans ce cas, l'immense majorité de la population pratique le "refus culturel"

De nombreux actes de braconnages à l’encontre de l’espèce FURENT COMMIS/ Quelle sont les sources de cette affirmation ? La seule réalité est qu'aujourd'hui les loups attaquent de jour en présence des bergers et des chiens de protection, sans qu'il nous soit possible d'intervenir!

la MEUSE, département dans lequel un seul loup aurait été signalé./ Si il n'y a qu'un seul loup dans la Meuse, il faut immédiatement, devant l'ampleur des attaques, éliminer cet animal hors normes, en phase de devenir une nouvelle "bête du Gévaudan"

Ces mesures comportent une incidence déplorable en ce qu’elles alimentent les mythes obscurantistes,/ de nouveau la stigmatisation des populations qui souffrent autant de la prédation que de la vindicte des écologistes qui ont perdu tous sens des réalités!

alors qu’il serait du devoir des gouvernants d’élever le niveau des connaissances des populations concernées et de faire prévaloir l’impératif de favoriser la biodiversité./ Alors que les organismes scientifiques qui se sont penché sur la réalité du pastoralisme  sont unanimes pour dire : "« Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, /…/ En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). »source CNRS + Université d’Ivry 

Par pure démagogie, le gouvernement confine les éleveurs – chasseurs dans leurs préjugés anachroniques et les conforte dans leur volonté d’aseptiser la nature./  Alors que le grenelle de l'environemment précise: 
"Enfin,  l’agriculture  de  montagne,  avec  un  certain  nombre  de  spécialités  parmi  les  plus  réputées, contribue au renom de la production agricole et alimentaire française et à la richesse nationale. 
Nul   ne   conteste   l’intervention   de   l’Etat,   puis   celle   de   l’Europe   depuis   plus   de   30   ans. L’approfondissement  de  la  politique  de  développement  durable  apporte  une  nouvelle  légitimité  aux aides à la montagne, qui « rémunèrent » les  externalités positives de  l’entretien de la nature, de  la biodiversité et des paysages par l’agriculture et la forêt, dont la contribution aux équilibres sociaux, économiques  et  écologiques  en  montagne  est  tout  à  fait  essentielle  et  dépasse  le  seul  cadre géographique de la montagne". 
Elle fait une guerre aux bactéries même celles qui donnent leur goût aux fromages.
Elle robotise le vivant en obligeant les éleveurs à marquer leurs troupeaux d’une puce électronique.
Elle oblige à concentrer les animaux dans des abattoirs centralisés ou ils connaissent un très fort taux de stress.
Elle interdit aux agriculteurs de semer des graines issus de leur propre production, c’est à dire qu’elle les contraint délibérément à la dépendance face aux semenciers industriels.

En effet, après les fantasmes contre les loups, émergent désormais, dans certains milieux ruraux, des rumeurs fantaisistes contre les vautours./ le refus de prendre en compte ce que disent les témoins d'attaques de vautours montre à nouveau à quel point la parole des éleveurs n'est pas prise en compte, alors que en Espagne on peut lire:  " Le problème est réel, reconnu par les Gouvernements des Autonomies comme par les spécialistes de cet oiseau," source 
Ici une vidéo montrant des vautours qui attaquent un veau a la naissance! 

Avec l'assurance de ma meilleure considération, et la confiance que je porte en la justice de la communauté Européenne au service du peuple!

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