Le fait de laisser les animaux paître la nuit ou de choisir librement leur "couchades", étant propice à la préservation de la pelouse, en évitant les aller et retour quotidien vers les parcs de contentions tout à fait inutile à cette époque. Des parcs de contentions qui sont des vecteurs de pollution importante des nappes et des sources du fait de la concentration des déjections qui s'y accumulent, jours après jours, mois après mois. Déjections qui donnent lieux à des maladies comme le piétin par exemple!
A cette époque, donc, les animaux étaient à même de choisir leur nourriture en toute liberté, ce qui en faisait la valeur gustative si particulière, autant en ce qui concerne la viande que le lait ou les fromages qui en découlent. D'autre part, le bétail, pendant les fortes chaleurs, se nourrissaient la nuit, profitant de la fraîcheur pour faire sa cueillette. Les problèmes de prédation par des chiens errant restant très largement dans la limite du supportable comme l'indique une étude faite par 4 organismes d'état : " Pour un troupeau la fréquence d'attaques de chiens est en moyenne de 0.20, soit une attaque tous les 5 ans. Le taux annuel de prédations s'établit en moyenne à 0.26%, soit 1 victime par an pour un troupeau de 400 têtes. Ces attaques sont essentiellement diurnes et les chiens sont repérés dans près de 89% des cas." Ces problèmes ne nécessitaient donc aucune mesure de protection particulière, si ce n'est le suivit régulier par les éleveurs et bergers qui étaient à même de pouvoir effectuer les travaux de la ferme, comme l'entretien des bâtiments et des clôtures, la récolte du fourrage et des céréales, nécessaires à la nourriture du troupeau en hiver. Voire même avoir la possibilité de travailler normalement, comme tout un chacun le revendique, sans toutefois pouvoir bénéficier des 35 heures ou des congés payés ou r.t.t. Mais tous ceux qui se sont installés avant la réapparition des prédateurs, en ont acceptés les règles, ayant choisit de faire ce métier par passion et en toute connaissance de cause!
Apparition des loups, premier mensonge
Mais voila que le loup fait sa réapparition! Non pas en 1992 comme il est officiellement convenu de le faire croire, mais bien avant. En 1987, un loup est déjà tué, au cours d'une battue de chasse! Dans le même laps de temps, de nombreux bergers se plaignent d'attaques de chiens récurrentes et hors normes! Certaines autorités, associations de défense des prédateurs et d'autres acteurs politiques ou administratif, savent que ces attaques sont l'oeuvre du loup, mais ne disent mot face à l'interrogation des bergers désemparés, laissant se mettre en place la légende des attaques par les chiens errant. Légende qui aujourd'hui encore, comme nous le verront plus bas, sert de prétexte pour minimiser les attaques de loups sur les troupeaux!Le loup a t'il été aidé pour se réinstaller? Les écologistes sont formel, NON
Commence alors la polémique sur le retour naturel du loup ou sa réintroduction? Polémique tout à fait compréhensible lorsque on se penche objectivement sur le problème et que l'on sait que la présence du loup dans les alpes Italienne est constatée en même temps que la présence du loup dans les alpes Française!
"Les loups sont revenus dans les vallées alpines Piémontaises ( ... ) franchissant la frontière de la France et avançant jusqu'à l'Ossola . ( ... )" (Franco Zunino, naturaliste)
L'Assemblée Nationale, beaucoup moins catégorique que le "non écologiste":
Après son enquête, la commission de l’Assemblée nationale ("des circonstances mal élucidés et un manque total de transparence") penche pour une « non contradiction entre les deux thèses » : les loups arrivés en France seraient bien venus d’Italie, mais parallèlement, il serait « probable » que des lâchers clandestins de loups aient eu lieu — lâchers qui pourraient être « le fait de particuliers passionnés de la nature et particulièrement irresponsables »
Lorsqu’un loup est tué dans les Hautes-Alpes en 1992 (déjaà! ndlr), le directeur de la DNP explique ainsi : « Un fugueur peut-être, mais il existe aujourd’hui une catégorie de nostalgiques qui font de la provocation et lâchent clandestinement des animaux sauvages. »
En Italie la cohabitation est elle sereine, comme l'affirme l'ensemble des défenseurs du loup?
L'Italie, une autre pierre d’achoppement entre mensonges et réalité, car contrairement à la propagande qui consiste à faire croire que en Italie la cohabitation est sereine, les problèmes sont exactement les mêmes que chez nous, voire pire! La communication des écologistes Italien, quand a elle n'a rien à envier à la notre, utilisant le même stratagème pour cacher la vérité: "Des nouvelles dramatiques, souvent censurées en Italie, font désormais la une ailleurs : il s’agit du retour des loup en France qui ont tué ou détruit l’an dernier près de 6000 moutons dans les Alpes et rendu l' élevage impossible dans ces zones. "extrait de : Les loups rôdent et chassent l'homme" traduit en Français"animaux massacrés en Italie
Le problème est le même en Espagne et ailleurs
Mais, penchons nous sur l'idéologie extrémiste des défenseurs du loup!
Les défenseurs du tout sauvages n'hésitent pas à stigmatiser une population en tenant des propos diffamants, comme par exemples "vous feriez mieux de garder vos troupeaux au lieu d'aller boire des coups!" ou pire "les bergers choisissent de vielles brebis et les mettent à la disposition du loup pour encaisser les indemnités", encore pire, "les éleveurs crient aux loups car l'indemnisation fait partie maintenant de leurs revenus habituels . les voleurs ou les chiens errant font plus de dégâts que les loups", toujours crescendo !
"fomenter une «guerre» contre les éleveurs, en leur envoyant des projectiles aux connotations négatives infamantes, est un moyen qui ne sert qu'à exalter la dynamique émotive de fond du problème, celui du besoin de trouver un ennemi à abattre, après l'avoir défini à ses propres yeux et aux yeux des autres comme «coupable» et donc méritant une «juste» punition. Exactement ce que faisait le loup de la fable de Phèdre qui, pour légitimer son agression sur l'agneau, l'accusait de lui salir l'eau du ruisseau où tous les deux buvaient, sourd au fait que l'agneau buvait en aval par rapport à lui, en amont." EXTRAIT DE
"fomenter une «guerre» contre les éleveurs, en leur envoyant des projectiles aux connotations négatives infamantes, est un moyen qui ne sert qu'à exalter la dynamique émotive de fond du problème, celui du besoin de trouver un ennemi à abattre, après l'avoir défini à ses propres yeux et aux yeux des autres comme «coupable» et donc méritant une «juste» punition. Exactement ce que faisait le loup de la fable de Phèdre qui, pour légitimer son agression sur l'agneau, l'accusait de lui salir l'eau du ruisseau où tous les deux buvaient, sourd au fait que l'agneau buvait en aval par rapport à lui, en amont." EXTRAIT DE
Les attaques diffamatoires les plus récurrentes concernent la prédation par les chiens:
Extrait d'une lettre de l'ALEPPE, filiale de FNE adressée au préfet de la Lozère : ""Il est d'ailleurs remarquable de constater que les dégâts nombreux sur les ovins qui incombaient aux chiens divagants, jusqu'à l'arrivée du loup, soient maintenant totalement occultés et intégralement reversés au seul crédit du loup. "
Voilà un propos étonnant dans la mesure où il n’a jamais été tenu une comptabilité des dégâts de chiens en divagation qui, jusqu’à l’arrivée officielle du loup, n’ont jamais fait l’objet de manifestation d’hostilité, d'autant qu'il n'étaient nul besoin de mettre en place des mesures de protections avant l'arrivée des loups, comme nous l'avons vu plus haut. Ces affirmations, qui ne reposent que sur l'idéologie et la prétention de détenir la vérité, sont démenties par toutes les études faites en France et a l''étranger! Mais rien n'y fait, un écologiste intransigeant ne peut jamais se remettre en question, son mental a été formaté par ses mentors et il ne manque jamais d'utiliser la diffamation pour enfoncer son clou : suite de l'extrait ci dessus: " Il est vrai que les attaques commises par des chiens sont difficilement indemnisables, sauf à faire la preuve par l'agriculteur auprès de l'assureur du propriétaire du chien..." Rappel: "les chiens sont identifiés dans près de 89% des cas."
ou dans le 26: "Malgré des montants alloués à la protection des troupeaux, il est indéniable de constater que le nombre d’attaques augmente chaque année, même si l’on peut imaginer que les pertes d’animaux seraient encore pire sans les mesures de protection."( A.D.E.M.E)
Aujourd'hui, certains détracteurs, pour détourner la réalité, n'hésitent pas à dire que les mesures administratives ne sont pas suffisantes et proposent simplement la stigmatisation des éleveurs et bergers qui les appliquent, sans avancer évidemment aucune solution viable si ce n'est: + de chien, + de clôture, + de travail non rémunéré, + de stress, le tout pour en arriver là:
"Les attaques se produisent de jour comme de nuit depuis trois-quatre ans. La proportion d’attaques en pleine journée ne cesse de croître. Des attaques qui se produisent malgré la présence de bergers et de chiens de protection." ( A.D.E.M.E)
Aucune communication de la part des écologistes sur sur les massacres de bovins, chevaux, ânes, chiens, dans les pays voisins et en France ou les éleveurs ne sont pas éligibles aux aides pour les mesures de protections et doivent donc financer seul les mesures de sécurité quitte à mettre en difficulté leurs exploitations.
Pourtant l'article ArticleL113-1 du code rural est clair : "L'état s'attache a : alinéa 8 : Assurer la pérennité des exploitations agricoles et le maintien du pastoralisme, en particulier en protégeant les troupeaux des attaques du loup et de l'ours dans les territoires exposés à ce risque."
L'éleveuse a perdu le revenu de la pension allouée depuis 10 ans, pour la garde des poneys, sans prétendre a aucune indemnisation de la part de l'état et encore moins des écologistes. L'ensauvagement des terres entretenues par les équins a déjà commencé sur ses terres, comme prévu par l'idéologie du tout sauvage!
Tous se réfugient derrière la bannière des organismes mondiaux, comme le W.W.F, (champion de la délocalisation des population traditionnelles), ou l'UICN (en train de signer une convention avec SYNGENTA, le plus gros producteur mondial de pesticide)
Suite à un effarouchement sans armes pour la protection du pastoralisme, "Plusieurs associations demandent le retrait des troupeaux dans le parc des écrins", réponse du parc : "La zone dans laquelle a eu lieu l’effarouchement est classée en « montagne pastorale ». « Cela signifie que, en ces lieux, l’activité pastorale est bien constitutive de la vocation du parc national », « En résumé, selon la charte, le pastoralisme participe à l’équilibre des milieux de ces alpages depuis des générations. La mission de préservation dont est responsable le parc national porte donc aussi sur certaines formes de pastoralisme. »
Mais ça c'est de la démocratie, un mode de société banni par les défenseurs du loup qui sont seul à avoir chapitre sur la vie ou la mort du pastoralisme et de tout ce qu'il représente!
"surtout pas de vague: on continue à "reconnaître" le pastoralisme comme socialement et même écologiquement utile. Alors que c'est faux. (la haine comme seul guide)
Le pastoralisme est par essence et sauf à de rares exceptions, une activité agricole Familiale source de vie sociale dans les pays ruraux et reconnu comme vecteur de biodiversité par la totalité des institution traitant des problèmes d’environnement!
Une déclaration ministérielle en faveur de l’agriculture familiale a été adoptée, à l’initiative de Stéphane Le Foll, le 25 février 2014, par des ministres de l’agriculture étrangers sur le salon international de l’agriculture.
Cette déclaration a pour ambition de faire reconnaître aux décideurs politiques des pays du Nord comme des pays du Sud la nécessité de mettre en place des politiques publiques adaptées, capables de créer un environnement favorable au développement des agricultures familiales qui permettent de nourrir 70 % de la population mondiale.
L'ONU et les NATIONS UNIES ont nommé l'année 2014 "Année Internationale de l'Agriculture Familiale". Mais, mais c'est encooore de la démocratie?, la bête noire de nos écologistes pros loup!
La coexistence pacifique et raisonnée est impossible? Je n'ai jamais cru que l'homme évoluait par sagesse, mais toujours sous la contrainte. Eh bien organisons la coexistence contrainte! (la haine comme seul guide).
Et oui, la voilà la preuve de l'intransigeance qui nous confirme que si les écologistes prennent le pouvoir, la démocratie a du souci a se faire!
Les moutons sont redescendus des estives, donc s'il en crève désormais, il sera difficile d'imputer ça au loup où à l'ours. (la haine comme seul guide)
Hélas, c'est sans compter sur l’appétit féroce des loups,. 4 à 5 kg de viande par jour, soit pour 300 loups en France, 1200 kg de biodiversité par jour (une cinquantaine d'ongulés! Combien de temps croyez vous que cela va durer?) sans compter les restes non consommés!
résultat:
"Les troupeaux ne sont plus attaqués uniquement en période d’estive. La proportion d’attaques au printemps et en automne, voire même en hiver est en constante augmentation. Ces dernières années, des constats ont été réalisés onze mois sur douze que ce soit sur des troupeaux gérés collectivement ou individuellement." (A.D.E.M.E.)
Rien n’arrêtera la deep écologie:
"Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal" (ANIMAL CROSS, ASPAS, FERUS, FNE, FRAPNA, LPO, SPA.......)
Extrait d'une lettre de l'ALEPPE, filiale de FNE adressée au préfet de la Lozère : ""Il est d'ailleurs remarquable de constater que les dégâts nombreux sur les ovins qui incombaient aux chiens divagants, jusqu'à l'arrivée du loup, soient maintenant totalement occultés et intégralement reversés au seul crédit du loup. "
Voilà un propos étonnant dans la mesure où il n’a jamais été tenu une comptabilité des dégâts de chiens en divagation qui, jusqu’à l’arrivée officielle du loup, n’ont jamais fait l’objet de manifestation d’hostilité, d'autant qu'il n'étaient nul besoin de mettre en place des mesures de protections avant l'arrivée des loups, comme nous l'avons vu plus haut. Ces affirmations, qui ne reposent que sur l'idéologie et la prétention de détenir la vérité, sont démenties par toutes les études faites en France et a l''étranger! Mais rien n'y fait, un écologiste intransigeant ne peut jamais se remettre en question, son mental a été formaté par ses mentors et il ne manque jamais d'utiliser la diffamation pour enfoncer son clou : suite de l'extrait ci dessus: " Il est vrai que les attaques commises par des chiens sont difficilement indemnisables, sauf à faire la preuve par l'agriculteur auprès de l'assureur du propriétaire du chien..." Rappel: "les chiens sont identifiés dans près de 89% des cas."
Ils s'acharnent à diffuser des mensonges selon lesquels les troupeaux attaqués ne sont pas protégés!
que ce soit dans le 06:" 100% des troupeaux attaqués avaient mis en place les mesures de protection" (D.D.T 06.)ou dans le 26: "Malgré des montants alloués à la protection des troupeaux, il est indéniable de constater que le nombre d’attaques augmente chaque année, même si l’on peut imaginer que les pertes d’animaux seraient encore pire sans les mesures de protection."( A.D.E.M.E)
Aujourd'hui, certains détracteurs, pour détourner la réalité, n'hésitent pas à dire que les mesures administratives ne sont pas suffisantes et proposent simplement la stigmatisation des éleveurs et bergers qui les appliquent, sans avancer évidemment aucune solution viable si ce n'est: + de chien, + de clôture, + de travail non rémunéré, + de stress, le tout pour en arriver là:
"Les attaques se produisent de jour comme de nuit depuis trois-quatre ans. La proportion d’attaques en pleine journée ne cesse de croître. Des attaques qui se produisent malgré la présence de bergers et de chiens de protection." ( A.D.E.M.E)
Aucune communication de la part des écologistes sur sur les massacres de bovins, chevaux, ânes, chiens, dans les pays voisins et en France ou les éleveurs ne sont pas éligibles aux aides pour les mesures de protections et doivent donc financer seul les mesures de sécurité quitte à mettre en difficulté leurs exploitations.
Pourtant l'article ArticleL113-1 du code rural est clair : "L'état s'attache a : alinéa 8 : Assurer la pérennité des exploitations agricoles et le maintien du pastoralisme, en particulier en protégeant les troupeaux des attaques du loup et de l'ours dans les territoires exposés à ce risque."
De même que ArticleL2212-2 " La
police municipale a pour objet d'assurer le bon ordre, la sûreté,
la sécurité et la salubrité publiques. Elle
comprend notamment : alinéa 7°
Le soin d'obvier ou de remédier aux événements
fâcheux qui pourraient être occasionnés par la
divagation des animaux malfaisants ou féroces "
Idem pour l'article Article L427-9 "Sans préjudice des dispositions prévues à l'article L. 427-8, tout propriétaire ou fermier peut repousser ou détruire, même avec des armes à feu, mais à l'exclusion du collet et de la fosse, les bêtes fauves qui porteraient dommages à ses propriétés "
INDEMNISATION ET SUBVENTION, Un des fers de lance de la pression exercée sur les éleveurs et bergers
"Les éleveurs sont indemnisé..., la prédation est infime...., la perte économique insignifiante....., ils touchent des subventions donc ils doivent accepter le loup....." Par la quasi totalité des associations et défenseurs du loup qui retournent le couteau dans la plaie afin de culpabiliser les victimes qui deviennent des coupables. Stratégie utilisée par les dictatures pour faire passer leurs idéologie!
Les indemnisations après une attaque, loin de couvrir la réalité de la perte, ne couvrent pas les dommages collatéraux comme, le stress, les avortements, le refus des chaleurs, la perte de poids, le travail de recherche des animaux disparus, le rétablissement des blessés, le remplacement des chiens qui refusent de retourner au combat, la réparation des clôtures....
Bien que la quasi totalité du secteur économique soit subventionné, sans parler des subventions alloués aux associations environnementales:
"Nul ne conteste l’intervention de l’Etat, puis celle de l’Europe depuis plus de 30 ans. L’approfondissement de la politique de développement durable apporte une nouvelle légitimité aux aides à la montagne, qui « rémunèrent » les externalités positives de l’entretien de la nature, de la biodiversité et des paysages par l’agriculture et la forêt, dont la contribution aux équilibres sociaux, économiques et écologiques en montagne est tout à fait essentielle et dépasse le seul cadre géographique de la montagne. " (Grenelle de l'environnement) extrait de "l'impact dramatique de la disparition du pastoralisme"
Leur principale proposition étant la cohabitation forcée ou la disparition du pastoralisme, :
Toute ces biens pensant sur d'eux, sont capables des pires affirmations du moment que soit préservée la réalisation du réensauvagement . Aucun d'entre eux ne se pose de questions, ni essaient d'approfondir le sujet par ignorance, idéologie ou manipulation.Tous se réfugient derrière la bannière des organismes mondiaux, comme le W.W.F, (champion de la délocalisation des population traditionnelles), ou l'UICN (en train de signer une convention avec SYNGENTA, le plus gros producteur mondial de pesticide)
Certaine associations intransigeantes n'hésitant pas à dire "Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages !" (A.S.P.A.S.).
Avec en arrière pensée la récupération des terres par le partenaire de l'aspas, Rewilding Europe, (groupement de multinationales qui investissent dans l'achat de terres dans le monde à des fins mercantiles)
Suite à un effarouchement sans armes pour la protection du pastoralisme, "Plusieurs associations demandent le retrait des troupeaux dans le parc des écrins", réponse du parc : "La zone dans laquelle a eu lieu l’effarouchement est classée en « montagne pastorale ». « Cela signifie que, en ces lieux, l’activité pastorale est bien constitutive de la vocation du parc national », « En résumé, selon la charte, le pastoralisme participe à l’équilibre des milieux de ces alpages depuis des générations. La mission de préservation dont est responsable le parc national porte donc aussi sur certaines formes de pastoralisme. »
Mais ça c'est de la démocratie, un mode de société banni par les défenseurs du loup qui sont seul à avoir chapitre sur la vie ou la mort du pastoralisme et de tout ce qu'il représente!
"surtout pas de vague: on continue à "reconnaître" le pastoralisme comme socialement et même écologiquement utile. Alors que c'est faux. (la haine comme seul guide)
Le pastoralisme est par essence et sauf à de rares exceptions, une activité agricole Familiale source de vie sociale dans les pays ruraux et reconnu comme vecteur de biodiversité par la totalité des institution traitant des problèmes d’environnement!
Une déclaration ministérielle en faveur de l’agriculture familiale a été adoptée, à l’initiative de Stéphane Le Foll, le 25 février 2014, par des ministres de l’agriculture étrangers sur le salon international de l’agriculture.
Cette déclaration a pour ambition de faire reconnaître aux décideurs politiques des pays du Nord comme des pays du Sud la nécessité de mettre en place des politiques publiques adaptées, capables de créer un environnement favorable au développement des agricultures familiales qui permettent de nourrir 70 % de la population mondiale.
L'ONU et les NATIONS UNIES ont nommé l'année 2014 "Année Internationale de l'Agriculture Familiale". Mais, mais c'est encooore de la démocratie?, la bête noire de nos écologistes pros loup!
La coexistence pacifique et raisonnée est impossible? Je n'ai jamais cru que l'homme évoluait par sagesse, mais toujours sous la contrainte. Eh bien organisons la coexistence contrainte! (la haine comme seul guide).
Et oui, la voilà la preuve de l'intransigeance qui nous confirme que si les écologistes prennent le pouvoir, la démocratie a du souci a se faire!
Les moutons sont redescendus des estives, donc s'il en crève désormais, il sera difficile d'imputer ça au loup où à l'ours. (la haine comme seul guide)
Hélas, c'est sans compter sur l’appétit féroce des loups,. 4 à 5 kg de viande par jour, soit pour 300 loups en France, 1200 kg de biodiversité par jour (une cinquantaine d'ongulés! Combien de temps croyez vous que cela va durer?) sans compter les restes non consommés!
résultat:
"Les troupeaux ne sont plus attaqués uniquement en période d’estive. La proportion d’attaques au printemps et en automne, voire même en hiver est en constante augmentation. Ces dernières années, des constats ont été réalisés onze mois sur douze que ce soit sur des troupeaux gérés collectivement ou individuellement." (A.D.E.M.E.)
Rien n’arrêtera la deep écologie:
"Si nous faisons le choix de ne pas maintenir de pastoralisme dans certains endroits de montagne très reculés et très difficiles, la biodiversité ne s’en portera pas plus mal" (ANIMAL CROSS, ASPAS, FERUS, FNE, FRAPNA, LPO, SPA.......)
NOUS, MAIS QUI NOUS , les gens concernés ? Ou les adorateurs d'un animal qui reste
pour eux absolument abstrait?. Qui doit décider de qui doit vivre là ou non! Doit-on dans
nos campagnes décider de ne pas maintenir la population citadine car elle est source
de destruction de la biodiversité?????
Pour ceux qui ont choisit d'y vivre, il n'y a pas d'endroits reculé ou difficile d’accès. Il n'y a que des lieux ou des femmes, des hommes et des enfants ont choisi de s'y épanouir dans le respect de la nature, comme peuvent le constater tout les randonneurs qui nous rendent visite! Avant de proposer la délocalisation de ces ruraux pour sauver la nature, atteler vous à d'autre taches bien plus urgentes et vitales pour la survie de la planète que la réintroduction de prédateurs dans des pays ou la population atteins plus de 120 habitants au km² et ou la nature est totalement anthropisée*!
*anthropisé : Qui est modifié par la présence humaine. Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air. Autrement dit c'est chez nous que la biodiversité a été protégée, alors pourquoi tant de haine?
pour eux absolument abstrait?. Qui doit décider de qui doit vivre là ou non! Doit-on dans
nos campagnes décider de ne pas maintenir la population citadine car elle est source
de destruction de la biodiversité?????
Pour ceux qui ont choisit d'y vivre, il n'y a pas d'endroits reculé ou difficile d’accès. Il n'y a que des lieux ou des femmes, des hommes et des enfants ont choisi de s'y épanouir dans le respect de la nature, comme peuvent le constater tout les randonneurs qui nous rendent visite! Avant de proposer la délocalisation de ces ruraux pour sauver la nature, atteler vous à d'autre taches bien plus urgentes et vitales pour la survie de la planète que la réintroduction de prédateurs dans des pays ou la population atteins plus de 120 habitants au km² et ou la nature est totalement anthropisée*!
*anthropisé : Qui est modifié par la présence humaine. Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d'habitats semi-naturels. En France, 84 % des surfaces classées en " haute valeur naturelle " correspondent à des zones d'élevage en plein air. Autrement dit c'est chez nous que la biodiversité a été protégée, alors pourquoi tant de haine?
A savoir: aucune des instances politiques à caractère écologique ne condamne cet acharnement, ni les propos diffamatoires, envers une population dont de nombreux acteurs sont à l'origine du mouvement écologiste contemporain.
Nous étions au Larzac, à Malville et dans biens d'autre manifestations environnementales...
La plupart d'entre nous ont choisi de vivre dans nos montagnes par choix écologique
Nous sommes les seuls à participer à la cohabitation avec les prédateurs, cohabitation qui après plus de 20 ans de recul, s'avère impossible à mettre en place.
Aujourd'hui, tout ce qui touche à l'écologie nous montre comme les parias de la société.
La plupart d'entre nous ont choisi de vivre dans nos montagnes par choix écologique
Nous sommes les seuls à participer à la cohabitation avec les prédateurs, cohabitation qui après plus de 20 ans de recul, s'avère impossible à mettre en place.
Aujourd'hui, tout ce qui touche à l'écologie nous montre comme les parias de la société.