CONNAITRE LA VERITE SUR LE LOUP
" Tornareccio: Elles mènent le troupeau au pâturage et sont attaquées par une meute de loups. Lors de l'attaque, ils ont tué vingt moutons et dix chèvres
Rédaction 11-02-2025
MARIANO PELLICCIARO
Ce devait être une matinée comme une autre pour Anna Maria Piteo et sa sœur Maria Pia, respectivement âgées de 33 et 30 ans, propriétaires de la ferme "Due cuori" à Tornareccio (Ch). Avec le soleil, hier, elles sont parties, accompagnées de leurs chiens et de leur troupeau d'environ 350 têtes, dont des chèvres et des moutons, vers les pâturages les plus verts où les deux jeunes éleveuses n'auraient jamais imaginé être observés et attendus par une meute de loups.
Il est environ 10h30 lorsque les quatre bergers des Abruzzes qui escortent le troupeau sentent un air étrange, tandis que les border collies semblent plus nerveux à mesure qu'ils avancent. Les éleveurs se trouvent à quelques kilomètres du territoire de Torricchio di Tornareccio, alors que les loups sont déjà sur leurs animaux.
« Il y avait environ 10 ou 11 loups », a raconté à Abruzzolive.tv Anna Maria Piteo, encore choquée et gravement affectée par l'assaut sanglant. Nous n’avons même pas eu le temps de réaliser ce qui se passait. Les chiens, à un moment donné, se sont regroupés pour essayer de faire face au danger, mais quatre bergers des Abruzzes ne peuvent pas arrêter 11 loups et les border collies ne sont pas là pour se défendre".
Le troupeau terrifié commence à se disperser, au milieu des aboiements et des cris des agriculteurs qui tentent de rappeler les chiens et d'effrayer les prédateurs. Mais il y a trop de loups, les chiens se séparent pour tenter de défendre à la fois les moutons et leurs propriétaires. Il y a de la consternation et de l'indécision et les loups en profitent : ils se lancent soudainement sur le troupeau, avec la précision d'un scalpel tranchant, profitant de la confusion et de la foule créée par les moutons et les chèvres effrayés, parvenant ainsi à emporter les animaux les plus faibles et ceux empêchés de s'échapper par leurs agneaux.
« Nous sommes habitués aux loups mais jamais comme cette année – continue Anna Maria -. Maintenant c'est vraiment trop. Nous demandons une aide concrète des institutions car s'il est vrai que le loup doit être protégé, il est également vrai que les bergers et leurs animaux doivent être protégés et indemnisés lorsque ces événements se produisent".
Au final, vingt moutons et dix chèvres furent tués, égorgés, férocement déchiquetés, un chien blessé à la gorge et d'autres animaux blessés et dispersés.
« Les loups ne peuvent pas changer leur nature, mais nous non plus, et il est juste que nous soyons protégés dans notre travail – tonne à ce stade Anna Maria Piteo –. Nous avons grandi avec cette passion. Depuis que nous étions enfants, nous passions des heures après l’école à nous occuper des animaux dans les étables pour les voir naître et les élever. Les animaux que nous avons perdus aujourd’hui sont nés de moi et de ma sœur, nous les avons élevés comme s’ils étaient de la famille et les voir traînés par les loups au milieu de la végétation pour les mettre en pièces et les aboiements des chiens ont arrêté nos cœurs – conclut-elle –. À la fin, il ne reste qu’un énorme sentiment de vide, d’impuissance totale et le désir de ne plus se taire : quelqu’un devra nous écouter ». "
Le billet d'ouragan:
non à la mise à mort, oui à la protection ont écrit les écologistes italiens
Mais les éleveurs Italien confrontés à l'inefficacité des mesures de protection expriment leur détresse.
Depuis toujours nos ONG de défense du loup nous ont menti ; par ignorance, par idéologie, par escroquerie, par haine, par stigmatisation, par xénophobie, par bêtise, par endoctrinement, par convoitise ... ce mouvement écologiste a été le précurseur de ce que l'on peut voir aujourd'hui de pire, dans les réseaux sociaux.
LOUP, AU DÉBUT ILS NOUS ONT DIT.....
LOUP, A L'ÉTRANGER COMMENT SE PASSE LA COHABITATION?
LOUP, ITALIE ; QUAND LES MENSONGES DES ENVIRONNEMENTALISTES DEVIENNENT INSOUTENABLES !
LOUP, ITALIE, TÉMOIGNAGE "LE J'ACCUSE" D'UNE BERGÈRE

Chapitre1 Férus : "On travaille avec les éleveurs"
Le travail de Férus avec les éleveurs consiste surtout à la négation de la prédation, à la stigmatisation des éleveurs et à la récupération de fonds. Je cite : La filière ovine est soutenue
artificiellement par les subventions de l’État. 700 000 ovins partent chaque
année à l’équarrissage pour diverses raisons, dont la maladie. Faut il
faire un parallèle entre ce nombre et les 5000 victimes (officielles loup 2013) dont la moitié (affirmation gratuite de Férus 2013)
est due aux chiens." Évidemment ces 700 000 ovins n'ont aucune source viable, pas plus que la déclaration du vétérinaire de Férus : je cite "Les brebis de réforme sont
achetées aux éleveurs afin qu’ils puissent acquérir des
agnelles de renouvellement. Ces vieilles brebis sont envoyées
directement à l’équarrissage. Leur chiffre est de l’ordre d’un
demi-million par an". Pour partir à
l’équarrissage un animal doit être mort et il faut payer. Les brebis de réforme sont
commercialisées en boucherie ou autre industrie alimentaire.
2 Férus : "Le loup est revenu naturellement d'Italie depuis les Apennins."
Inutile de polémiquer sur ce sujet, mais voici quelques exemples qui laissent rêveur :
3 Férus : "le loup, espèce chapeau, témoin d'un système écologique sain"
4 Férus : "Le sanglier coûte 50 millions d'€ comparé au 35 millions pour le loup"
D'abord 1 petite rectification, les dégâts causés par le sanglier sont gérés par les fonds privés des sociétés de chasse et des assurances, alors que le loup est géré par les fonds du contribuable. Ensuite 1 grosse rectification, le coût annuel de la protection des troupeaux et de l’indemnisation est estimé à 80 000 euros par loup, selon Michel Meuret, directeur de recherche à l’Inra.(G)
5 Férus : "Les français sollicitent le loup."
Surtout ceux qui ne subissent aucune contrainte physique, morale, financière ou psychologique. Mais si ce fut effectivement le cas au début, en grande partie grâce aux contres vérités diffusées par les ONG de défenses du loup, il en va autrement aujourd'hui au fur et à mesure du rétablissement de la réalité.(voir chapitre 3)
6 Férus : "Le nombre de cervidés a été le déclencheur du retour des loups. Le gibier sauvage est l'espèce favorite du loup."
7 Férus : "5% de pertes ovine selon la FNO."
8 Férus : "la coexistence se vit mieux dans d'autres pays."
Bruxelles, le 19 octobre 2017 - Des mesures beaucoup plus efficaces doivent être mises en œuvre dès maintenant pour atténuer les conflits croissants entre les humains et les grands carnivores en EUROPE.
9 Férus : "la population en Allemagne nous a très vite rattrapée malgré son retour 15 ans après chez nous."
Peut être est on en droit de penser que le système de comptage allemand est plus fiable ou plus honnête que le nôtre? D’ailleurs l'état Français vient de décider de changer de méthode. En effet, en France beaucoup des bénévoles sont affiliés à Férus qui a demandé à ses adhérents de supprimer les traces de présence du loup. (F)
10 Férus : "En Italie, le loup n'a jamais disparu et les moyens de protections ont toujours été existants".
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| Les brebis de Anna, bergère en Italie |
11 Férus : "En Italie le gardiennage est différent et beaucoup de troupeaux pour le lait sont mieux protégés"
En Italie l’élevage ovin a diminué de 50% depuis la protection des loups en 1976. (- 60% dans les Abruzzes)
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| massacre par le loup en Italie |
Ouragan : A ce stade, j'ai envie de demander au président de Férus qui encense les bergers Italiens pour leur efficacité contre le loup, si c'est la vie qu'il réserve à nos bergers? Ou si pour aider les éleveurs (voir chap.1) ses militants l'accepteraient?
12 Ferus : "Le loup tue nettement et clairement ses proies."
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| amputée |
| Pour couper court, il s'agit de rescapées d'attaques qui ont fait de nombreuses victimes |
13 Ferus : "Depuis l'arrivée des loups on n'entend plus parler des attaques de chiens."
14 Ferus : "L'over Killing concerne 2 à 3 animaux lorsqu'il existe."
15 Ferus : "On tue 200 loups par an en France et c'est beaucoup trop."16 Férus "Plus on tue de loups, plus on détabilise la cohésion et plus on multiplie les attaques sur les troupeaux"
18 Férus : "La France a perdu la culture de la protection des troupeaux."
France : Pour
que l'activité pastorale soit durable, il faut en assurer la vente
et le prix juste. Mais pour ce faire, il faut que les charges soient
minimisées, comme dans toute activité économique du monde
d'aujourd'hui.
Et
pour diminuer ces charges et redevenir compétitif, il faut que
l'élevage se fasse sans les contraintes insupportables liées aux
prédateurs, dans le calme, la sérénité, le respect... Loin de
l’agitation des chiens de protection qui nuisent à la
tranquillité des animaux, s'en prennent à la faune sauvage et
posent des problèmes de cohabitation avec les usagers de la
montagne... Sans les obligations d'aller et retour vers les parcs de
nuit qui favorisent les maladies, la destruction de la flore et la
pollution... Loin du stress des attaques qui gréve la qualité, nuit
au développement, tarit les allaitantes, provoque des avortements,
détruit les acquis génétiques, occasionne la dépression chez le
berger, participe à l'abandon des terres, crée des conflits entre
les citoyens et finit par éteindre la vie sociale dans nos
campagnes...
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| Cette image bucolique nous montre l'immense difficulté pour protéger un troupeau contre le loup (500 brebis + leurs agneaux) |
Italie :En conclusion de cette affaire, aux souffrances atroces qui peuvent et doivent être épargnées aux hommes comme aux animaux, nous pouvons dire que n’importe qui peut se réjouir à l’idée que le mythique loup vive libre, à coté de nous ....
Que le loup vive ! oui, au milieu de ses proies sauvages à chasser, en agissant pleinement selon sa nature. Mais bien loin des humbles brebis, parce que, quand il est à son tour dévoré par les affres de la faim, il est obligé de se transformer de merveilleux chasseur en misérable cambrioleur assassin qui pénètre dans les espaces où sont enfermées ses victimes, et - célébrant son rite de tuerie - il en vi-vi-sec-tion-ne des dizaines, dans le sens qu’il les dévore encore vivantes, sous les yeux des compagnes terrifiées qui ne peuvent s’enfuir.
Et il n’y a pas de réparation pour le dommage, la douleur et le stress des humains et des animaux.
M- Direction Nationale des Paysages
« Réduire de moitié la consommation actuelle de viande en France, permettrait d’atteindre les objectifs climatiques fixés pour le pays ». S'agit-il encore une fois d'une attaque sur l'élevage français qui est certainement un des plus vertueux du monde ?
Nous importons 30% de la consommation
de viande depuis l'étranger où dans certains pays les troupeaux ou
élevages sont 100 fois plus gros et polluants que chez nous (moyenne
des élevages bovins en France : 60 têtes).
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Toute la cruauté de l'élevage industriel résumée en une seule photographie terrifiante (curioctopus) |
En réalité l’Europe est la seule zone du monde qui voit son cheptel diminuer sur le long terme. Donc diminuer la consommation de viande en France de 50% fera t-il baisser les cheptels français qui sont soumis à des normes strictes de bien être animal et d’hygiène au profit des importations opaques pourvoyeuses de Gaz à Effets de Serres ?
Cette suppression entraînera un manque d'intrants naturel qui seront produits chimiquement à l’étranger et transporté donc GES.
Ensuite les prairies qui sont d'importants puits de carbone qui compense en grande partie le CO2 produit par les élevages ne serviront plus à rien. Elles seront certainement labourées pour les carburants vert par exemple et pour produire des céréales ou légumineuses de remplacement de la viande, donc GES.
Ensuite 700 000km de haies riches en biodiversité sont issus de l’élevage et n’auront plus de raisons d’être entretenues. elles gêneront pour cultiver les végétaux de remplacement donc GES.
Ensuite pour remplacer cette viande il faudra des usines de transformation à outrance donc GES.
Et pour finir je vous laisse deviner qu'elle est la face cachée des évangélistes sauveurs de la planète qui affirment que seul la diminution de la consommation de viandes suffira pour atteindre les objectifs climatiques!
Selon l'ONU, (programme pour l'environnement) : Les émissions générées par le bétail, provenant du fumier et des rejets gastro-intestinaux, représentent environ 32 % des émissions de méthane d'origine humaine.
Selon le site du gouvernement ( notre environnement) : « L’élevage (fermentation entérique et gestion des déjections) est la source de 68 % des émissions nationales de méthane (CH4) » - Par ricochet mais personne n'en parle (chut on s'en sert mais ça vient pas de chez nous), un quart des émissions anthropiques du méthane provient de l’exploitation mondiale du charbon, du pétrole et du gaz naturel, dont le CH4 est le principal composant.
Toujours selon le site de l'état, « La culture des sols (fertilisation minérale et organiques (surtout quand il n'y aura plus de fumier ndlr)) est responsable de 80 % des émissions nationales de protoxyde d’azote (N2O). » Auxquelles il faudra rajouter les émissions de N2O pour la production de ces engrais qui vont remplacer le bon vieux fumier dont les émissions seront donc largement rétablies. (mais chut ce n'est pas produit chez nous donc ça compte pas, ni le transport).
On trouve des chiffres contradictoires partout, c'est selon le but recherché : Le N2O est aussi produit par la combustion de matière organique et de combustibles fossiles, la production de nylon...Les sources naturelles créent 62% du total des émissions mondiales. Les sources humaines principales proviennent de l'agriculture, de la combustion de combustibles fossiles, et des procédés industriels. Les sources liées à l'homme sont responsables de 38% du total des émissions.
Alors évidemment comme en France on ne produit rien, on dit que l'agriculture est responsable de 68% des émissions (jusqu'à 90% selon les sources!).
Le bien-être est dans le pré avec nos vaches Normandes (Mimosa) |
En conclusion, aujourd'hui c'est 50% de viande en moins qui vont sauver la planète, hier c'était « l’élevage produit autant d'équivalent CO2 (c'est a dire tout gaz confondus) que le transport. »
Si la diminution de notre consommation de viande permet a elle seule d'atteindre les objectifs climatiques fixés par la France c'est que soit ces objectifs sont ridiculement bas, soit on se moque de nous.
Au royaume des aveugles les borgnes sont toujours Rois!
Publié le: 15 décembre 2023 par Terre de chez nous
« TOMBER MALADE DU LOUP »
Le loup est une nouvelle source de détresse pour les éleveurs, bien identifiée par la MSA. Elle a mis en place des groupes de parole et de l’aide au répit. Ce mardi 5 décembre à Besançon, une table ronde était organisée avec le sociologue Antoine Doré, appuyé dans la salle par le récit d’un éleveur prédaté.
Antoine Doré est sociologue à l’Inrae de Toulouse, c’est-à-dire qu’il va chercher à comprendre comment fonctionne la société en interrogeant des individus ou des groupes. Dans le cadre de ses missions, il s’est intéressé au retour du loup en France. Cette table ronde, organisée par la MSA à Besançon le 5 décembre, était l’occasion pour lui de présenter une partie de ses résultats, devant un public très demandeur.
Plus récemment, le sociologue s’est penché sur les effets du retour du loup sur la santé des éleveurs et des bergers.
TOUT LE MONDE a un avis sur le sujet
« Le loup, c’est un sujet un peu étrange : peu de monde est affecté mais tout le monde a un avis sur le sujet », explique Antoine Doré. C’est notamment le cas sur le pastoralisme où le débat se focalise depuis des années sur « la menace réelle ou non du loup pour les élevages ». Mais on s’interroge peu, voire pas, sur « les effets du loup sur les existences des gens qui travaillent avec ces attaques ». Guy Scalabrino, éleveur déjà prédaté deux fois aux Pontets, le raconte depuis la salle : « C’est impactant, c’est violent, on a l’impression de subir cette situation qu’on n’a pas voulue et qu’on subit à cause d’autres ».
RETOUR d’expérience après une prédation
Antoine Doré le précise, il est sociologue et pas médecin. Il a donc « envisagé la santé comme une expérience vécue » et donc racontée par ceux qui vivent les attaques. Les résultats de son étude peuvent être résumés en trois points.
Le premier est que les impacts de la présence du loup ne sont pas proportionnels, pas corrélés, au nombre d’attaques ou de victimes. Des agriculteurs peuvent avoir vécu peu ou pas d’attaques et être très affectés par la présence du loup ou avoir vécu un grand nombre d’attaques et « mieux le vivre ».
Qu’est-ce qui fait que des éleveurs ou bergers vont plus ou moins bien dans un contexte de prédation ? Il y a bien sûr l’impact direct de scènes très dures à voir, des traumatismes qu’elles peuvent amener. Mais il y a aussi des effets indirects, plus insidieux : l’interaction avec les voisins, la famille, qui peut aussi planter la graine de la détresse en créant des conflits. Le sociologue explique que « la nature et l’intensité des impacts du loup sur les éleveurs sont davantage liées au sentiment de maîtrise de la situation à la fois dans la pratique et symboliquement ».
LORSQU'ON VA TOMBER "MALADE DU LOUP", c’est qu’on est débordé
Lorsqu’on va « tomber malade du loup », c’est qu’on est débordé physiquement, psychiquement, mais aussi par rapport au traitement médiatique ou quand on échange avec des proches « qui vont chercher à nous faire la morale ».
LES DÉFENSEURS DU LOUP sont là pour me prouver qu’ils ont raison, pas pour écouter
Nouveau témoignage de l’éleveur : « Aux apéritifs, je sais que souvent je préfère ne pas répondre aux questions car ils sont là pour me prouver qu’ils ont raison, pas pour écouter ». C’est une accumulation qui va s’immiscer dans la vie quotidienne des familles, quelque soit le nombre d’attaques ou de prédations vécues.
C’est la voix tendue que Guy Scalabrino termine son témoignage : « On a vu le troupeau agité un dimanche soir. Au lieu de regarder au chaud la télévision avec ma femme, j’ai pris le fusil et je suis allé surveiller le troupeau. Et là, dehors, la nuit, je me suis dit tout à coup : ça va être ça ton métier maintenant ? »
Certains "malades du loup" selon le coté ou ils se trouvent, comme l'a si bien dit Fabrice Nicolino, sont souvent atteints d'un trouble idéologique qui semble incurable!
Voir aussi le reportage de FR3 vous pourrez y télécharger la synthèse complète de l'étude (40 pages)
DÉJÀ EN 2019
LOUP, LA MUTUALITÉ SOCIALE AGRICOLE SONNE L'ALERTE
A écouter pour réaliser " les bergers malades du loup" 39 mn sur FRANCE INTER
a voir pour savoir "les morsures invisibles" 9mn par la M.S.A
La réintroduction du loup a toujours été un sujet de controverse entre les écolos qui l'ont farouchement nié et les gens de terrain qui l'ont fortement soupçonné.
Farouchement nié malgré de nombreuses preuves.
Fortement soupçonné car comment pouvait il en être autrement?
Dans cet interview :https://www.facebook.com/100006709097178/videos/692423135808724/
Un débat qui convaincra ceux qui utilisent leur libre arbitre en faisant fi de l'idéologie, du parti pris ou des légendes.
ou retour à la réalité?